Jeu : Les Chevaliers De Baphomet : Director’s Cut
Éditeur : Ubisoft
Développeur : Revolution
Type : Point And Clic
Console : Nintendo Wii
Joueur : Un à deux
Avant toute chose, je ne suis pas un expert sur ce type de jeu, je suis plutôt du genre à aimer le genre (très grand public) et si une énigme me barre la route, je peux perdre patience assez facilement.
Pour ceux qui ne le savaient pas, les chevaliers de Baphomet est un remake d’un ancien jeu PC vieux d’il y a environ 15 ans. Ils ont remis au goût du jour les environnements que parcourt George Stobbart. C’est clair que le lifting n’a pas été fait avec beaucoup de moyen financier mais je pense qu’en même temps, ils ne voulaient pas dénaturer l’œuvre originel. Pendant les phases de dialogues, ils ont rajouté même à l’aide d’un illustrateur dont je ne me souviens plus du nom, les visages dans un cadre de ceux qui entreprend une petite conversation qui donne un style très cartoon. Les environnements sont assez variés et diversifiés et même très colorés, le héro voyage à travers diverses pays d’Europe comme la France (le début) sa m’a rappelé les 101 dalmatiens comme design, enfin bref passons! Les personnages sont très stéréotypés tous avec leur accents et leurs accoutrements et c’est ce qui fait le charme du jeu. D’ailleurs, il y a un petit enfant en Syrie et il nous apprend qu’il a appris le français grâce aux cassettes du club de Dorothée XD. Les chargements se font relativement très vite et puis le frame rate est toujours constant. En même temps, sa aurait été désagréable surtout pour un type qui ne demande pas beaucoup puissance.
J’ai vraiment aimé l’histoire et les textes sont aussi très bien écrits et construits. Le jeu rajoute des scènes de dialogues et de jouabilités et ils sont très bien mis en valeur malgré le fait qu’il y en a très peu. Je suis très satisfait de ce côté là. Parcontre, il y a deux ou trois truc qui m’a gêné comme le syndrome d’Alzheimer ou les relations entre Nico Collard et George Stobbart. Premièrement, c’est assez chiant de devoir dialoguer à nouveau avec quelqu'un qui vient tout juste de nous parler mais on fait l’erreur de changer d’environnement alors on doit se retaper ça. En y repensant, je pense que c’est un bug parce qu’il y a juste une personne qui le fait et c’est le garde du musé où André travaille. Deuxièmement, je ne comprends pas trop les liens intimes qui uni nos deux héros. Nico est toujours assez froide envers George et qui entreprend une relation strictement professionnel comme par magie, vers la fin du jeu, il y a une romance. J'ai trouvé que c'était fait à la va vite mais bon.
L’histoire commence à Paris où on incarne la jolie journaliste nommée Nico Collard. Elle a un rendez-vous avec un riche et puissant homme d’affaire, Pierre Carchon. Arrivé aux appartements de monsieur, elle entreprend une conversation avec la femme du bisness man mais sa ne dure guère longtemps. Après les présentations, l’homme se fait tuer par un mime et entre-temps, il nous assomme avec un de ses poings. Ensuite, après de s’être réveillé au côté du mort et de sa femme toujours vivante, elle enquête sur le mort de l’homme et on apprend que le père de l’héroïne connaissait cet homme. Après les diverses événements déroulé avec Nico, l’histoire avec George commence dans un petit café de Paris. Un clown suspect met une bombe dans le café et le bâtiment explose cinq secondes plutard. Cette fois-ci, on joue avec George durant tout le jeu sauf une autre scène qui dure seulement quelques minutes. Le héro est interrogé par la police mais elles n’en a rien à faire de l’aide de George. C’est à ce moment que Nico Collard arrive sur le lieu de l’explosion et qu’ils font équipe tout les deux pour essayer de résoudre l’enquête. Ensuite, l’histoire des templiers se mêle à l’histoire principale mais je ne vous en dis pas plus.
Au niveau sonore, le jeu est assez mitigé de ce côté là. Il y a seulement deux ou trois musiques pendant tout le jeu. Parcontre, elles sont excellentes et les bruitages aussi, les doublages français sont d’une qualité remarquable. Franchement, c’est la meilleur VF que je n’ai jamais entendu. En discutant avec un ami, j’ai su qu’il y avait eu un lifting des voix avec un filtre. C’est très bien sauf que le filtre « clean » n’est que pour maximum 30 lignes de dialogues alors la plupart du temps, on entend le héros parler avec une sonorité digne d’un PC de 1995. C’est assez flagrant quand on passe des nouvelles scènes aux scènes d’origine mais on s’habitue avec le temps.
Les énigmes sont assez bien fichu dans l’ensemble seul les nouveaux qui sont intégrés avec la wiimote sont d’une catastrophe de maniabilité. Enfaite, il y a en vraiment seulement deux qui posent un sérieux problème. Les deux sont deux énigmes à clé (l’énigme du début avec le parchemin trempé en guise de clé et la clé avec la tête du lion à la toute fin) où il faut tourner la wiimote mais rien à faire, la reconnaissance des mouvements est très mal réalisé. Vous rigolez surement mais la première énigme à clé m’a pris 30 minutes à faire et quand j’ai voulu recommencer une partie, je n’ai jamais réussi à passer ce puzzle. Il y a pas mal de casse-tête assez tordu dans le contexte mais très évident quand on y pense. Il y a un système d’aide qui m’a aidé plusieurs fois et je n’ai pas peur de le dire. Il y a aussi un journal de bord qui résume les événements pour ceux qui jouent très peu et en même temps, sa aide où aller quand on retourne chez Nico.
La durée de vie est plus que correcte, il m’a fallu environ 12 heures pour voir le générique de fin avec l’aide du système d’aide biensûr. Sinon, je pense que je n’aurais jamais pu finir le jeu ou bien il m’aurait pris des semaines. Le jeu est assez facile pour un expert du genre vu qu’il n’y a pas beaucoup d’interaction avec les décors et il a surement fini le jeu avant que j’y touche. C’est assez difficile à juger la difficulté pour un point and clic parce que le challenge varie vraiment d’une personne à l’autre. Il y a 100 énigmes en tout ce qui n’est pas négligeable.
En conclusion, Les chevaliers de baphomet : Director's Cut est une version allongée du jeu originel avec quelques ajouts qui sera plaire au gens avec une très bonne histoire. En plus, je l’ai payé 20$ ce qui n’est pas cher pour le plaisir qui m’a donné en le découvrant. J'attends avec impatience un portage du 2ième opus PLZ!!!!! Ma belle surprise de fin d'année
Éditeur: Nintendo
Développeur: Nintendo
Console: Nintendo Wii
Date de sortie: 15 novembre 2009
Type: Plateforme
Joueur: un à quatre
Les licences phares de Nintendo ont toujours bénéficié de petit soin en ce qui concerne les graphismes ou la réalisation. Je ne peux en point critiquer cet aspect. Je vous conseille tout de suite de jouer avec une télévision cathodique. J’ai essayé sur haute définition et ce n’est pas tip top. Pour cet opus tout comme sur la version DS, il y a deux écoles de pensées, ceux qui ne jurent que par la vrai 2d et ceux qui aiment ce nouveau style en 2d.5. Pour ma part, j’adore ce style, simple et épuré mais j’adore aussi l’autre style. Sa me rappelle un mixte entre Super Mario Bros 3 et Super Mario World, deux opus incontournables des jumeaux plombiers. Les niveaux sont longs et très bien construit tout en ajoutant un thème à chacun des mondes comme d’habitude comme le désert, la forêt maléfique, un monde aquatique et etc. Personnellement, je n’aime pas trop les petits niveaux parce que sa laisse le joueur sur sa faim. On retrouve d’ancienne tête comme les sbires de Bowser qui sont un gros plus pour ma part.
Le scénario est d’un classique extrême, c’est un peu un running gag enfaite. Les Super Mario n’ont jamais brillé pour leur histoire (quoi que super mario rpg). Peach vous a invité pour sa fête et pendant son anniversaire, elle se fait kidnapper par bébé bowser et ses acolytes. Ensuite, vous devrez essayer d’aller à son secours à la course mais rien à faire, il faudra faire niveau par niveau pour la délivrer. Tout ça, réglé en 1 min 30 seconde top chrono. En cours de route, les toads vont se faire capturer dans certain niveau, il faudra faire tout le niveau en le prenant sur votre tête pour le sauver.
Une « fausse » 2d implique forcément des sacrifices au niveau de la précision par rapport à de vrai sprite. Le jeu est quand même très précis mais pas aussi précis qu’un Super Mario World quand on essaie de se tourner de bord à une vitesse fulgurante mais on s’en fou, tout le monde le savait déjà ça. C’est la même jouabilité que sur Nintendo DS avec des nouveaux costumes et une ou deux habiletés de plus comme prendre un personnage et le lancer ou de sauter en tournant sur vous même pour lancer une boule de feu ou de glace sur chaque côté. Les nouveaux costumes sont : Mario Hélice qui permet de faire une propulsion dans les airs pendant un court instant, la fleur de glace qui permet à Mario de lancer des boules de glace et qui congèle les ennemies et pour finir, le costume pingouin qui permet en autre de congeler les monstre mais surtout de pouvoir glisser sur une surface gelé et un petit bonus pour la nage sous l’eau.
C’est bien beau tout ça mais New Super Mario Bros sur Wii a un atout majeur que l’opus DS n’a pas et c’est de pouvoir jouer de deux à quatre simultanément à l’écran (Mario, Luigi et les 2 Toad). Je me souviens des premières images sur la version DS où on voit carrément les deux frères se promener dans les niveaux du jeu mais hélas, ce ne fut pas le cas. On reprochera tout de même à Nintendo de ne pas avoir mis de mode en ligne sur ce jeu. Je trouve que c’est rire un peu de la gueule des gens, mettre autant de communication sur ce mode et ne même pas offrir un mode en ligne surtout que la Wii bénéficie des codes amis ou autres. Oui! C’est plus amusant de jouer avec une personne qui est assis à côté de nous mais l’un n’empêchait pas l’autre surtout quand on voit un Mario Kart Wii qui l’exploite assez bien. Pendant que nous y sommes dans les défauts du titre, les rencontres avec les Yoshi se comptent sur les doigts d’une main et je ne rigole pas. En plus d’être rare, on doit les laisser à la fin du niveau. Sérieusement, qui a pensé à ce truc aussi débile ? Pouvoir faire les niveaux avec les Yoshi, c’est super classe. Outre ses deux aspects déplaisants, ce jeu est une bombe avec des copains. J’ai fait la moitié du jeu avec mon frère et c’est de la pure rigolade. Le jeu est plus dure à plusieurs, c’est un fait mais haut combien plus amusant. Seul, c’est du super Mario classique comme tout le monde les aime.
La version DS consacrait une infirme partie au multi joueur en bataille (Je ne parle pas des mini-jeux repris de Super Mario 64 DS.D’ailleurs, quel bande d’enflure d’avoir mis 90% des mêmes mini-jeux). J’avoue, j’ai rigolé quelques fois pour le peu que j’y ai joué mais c’était vachement niais tout comme le multi de The Legend Of Zelda : Phantom Hourglass. Cette fois-ci, ils ont quand même essayé de mettre le tout sympa en proposant des compétitions à 4 dans 8 niveaux différents (il me semble) pour savoir qui récoltait le plus de sous et quelques autres mini-jeux sympa.
Les musiques de NSMB sont d’excellents remix et les monstres se dandinent aux sons de la musique. . Je ne sais pas pourquoi mais mes thèmes favoris de cet opus sont ceux tiré du monde aquatique avec l’instrument comme dans la petite sirène (Kingdom Heart 2 inside). Je les trouve enjoués, gaies et sa me met de bonne humeur. J’ai trouvé aussi que la musique des châteaux a l’air d’une musique tiré d’ALTTP mais non mais on dirait vraiment. Je dois avouer que l’accordéon, j’en ai marre. Je ne suis pas à une fête foraine bordel, je joue juste à Super Mario.
Pour ce qui est de la difficulté, c’est ni facile ni difficile sauf pour les premier boss qui sont d’un ridicule. Je m’attendais à un challenge plus grand. Je discutais avec Vince l’autre jour de Super Mario Bros 3 en disant que le jeu était facile pour plusieurs raisons et lui, il avait une tout autre opinion mais en y repensant, c’est peut-être à cause de mon skill interplanétaire. Non! J’rigole biensûr. Jouer avec trois autres personnes ou même une à NSMBW augmentent la difficulté surtout si un des joueurs veut faire chier les autres ou bien parce qu’il ne sait pas jouer. Vous pourrez toujours appuyer sur la touche A pour vous mettre en bulle et de pouvoir passer au travers des murs et ensuite continuer, l’aventure avec les autres. De toute façon, l’équipe est invincible tant qu’il y ait un joueur qui reste en vie (en dehors d’une bulle). Je l’ai utilisé trois ou quatre fois la bulle pour quelques des piécettes d’or.
Il y a eu une grosse polémique autour du fameux «Super Guide » que je n’ai pas eu la chance d’avoir sous les yeux. En gros, si vous mourrez beaucoup trop de fois dans le niveau, vous allez à voir la chance d’utilisé une boite qui propose de faire tout le niveau à votre place ou bien d’aider la personne en voyant le niveau complet. Pour ma part, sa ne me dérange pas et puis, j’ai vu une grosse différence de difficulté comparé à l’opus DS alors si sa peut aider à avoir un jeu plus dure. D’autres jeux proposent plus où moins la même chose mais vu que c’est Nintendo avec sa fausse mentalité « casual » que tout le monde perçoit apparemment sauf quelques gens de gamekyo bah, on leur chie dessus. Tout ça pour dire que le jeu est assez bien équilibré. Ensuite, le jeu a une bonne durée de vie, elle est dans les normes pour un Mario de ce genre. Vous rajoutez quelques heures pour les pièces d’or mais pas de quoi augmenter considérablement la durée de vie. La rejouabilité est énorme, c’est surtout là, le point fort des Mario 2d. Tu y rejoues sans cesse sans te prendre le chou avec tes potes ou seul.
Pour conclure, le jeu est excellent même s’il n’est pas exempt de défauts. Il est fun, riche, convivial, bourré de référence et pour cela, sa n’a pas de prix selon moi. Oui! C’est vrai, il n’innove pas des masses mais il reprend les meilleurs éléments des précédents opus pour le remettre au goût du jour selon moi (sauf le yoshi -_-‘ j’en reviens juste pas là) comme la musique quoi que l’accordéon, c’est chiant à longue.
Digdog se sont associé avec les Morcos pour faire un jeu de serpent. Est-ce que le doigté des Morcos les ont nuis ou pas ? C'est ce qu'on va voir.
En lançant le jeu, j'ai tout de suite retrouvé la Morco's touch sur l'écran titre du jeu avec beaucoup de pub. Je me suis dit ok, c'est un jeu gratos bon on va faire exception pour cette fois-ci et bien non la pub est aussi tapissé sur l'environnement du jeu. Snake paris est assez beau mais le problème c'est que l'environnement est tellement petit et il y en un seul (en plus de la pub) que bon si c'est pour faire ça.... Le serpent est assez moche on dirait une ligne qui avance mauve. on dirait une crotte.
Niveau Sonore, c'est un mix entre Super Mario Sunshine et une musique parisienne typique. la musique dure 20 seconde max en boucle, c'est tellement chiant que tu as envie de te tirer une balle dans la tête. Fiou que mon Ipod Touch n'a pas d'auparleur intégré, j'ai tout de suite enlever mes écouteurs.
Y'a quand même un point fort dans le jeu, c'est la jouabilité. Je l'ai trouvé assez bonne sur Iphone/Itouch et facile à prendre en main. pour déplacer le serpent, il faut juste glisser votre doigt dans la direction que vous voulez. Le but du jeu consiste à ramasser le plus de losange 3d sans rentrez dans un obstacle. Vos scores sont comptabilisez sur le net avec d'autre gens.
Score 22/20
hé ouais c'est un GOTY signé Morcos encore, meilleur qu'uncharted 2 et aussi gratuit.
Éditeur: Ignition Entertainment
Développeur: Vanillaware
Type : Aventure/action
Console : Nintendo Wii
Date De Sorti : Septembre 2009 (US/Can) Nov. 2009 (Europe)
Joueur : Un
À la génération précédente, Vanillaware nous avait concoctés deux titres tout simplement divins : Odin Sphère et Grim Grimoire. Cette année, ils nous reviennent en force avec un jeu tout aussi fabuleux.
Sur le plan technique du titre, j’ai été bluffé. C’est tout simplement hallucinant sur la console de Nintendo, le jeu est très fluide et les temps chargements sont quasi inexistants. Oboro Muramasa a une identité propre à lui tant visuellement qu’artistiquement. Il donne l’effet Okami, un jeu typiquement nippon que les fanatiques du japon oriental adoreront et que les autres trouveront ça bon mais sans plus. Le design est assez magnifique, lorsque je m’arrête et que je regarde les décors surtout lors des affrontements contre les boss, je ne peux pas m’empêcher de dire « C’est tellement beau, on dirait vraiment des peintures. » Vous l’aurez tout de suite compris, je suis tout à fait conquis par ce jeu qu’est Oboro Muramasa. Les environnements sont assez différents des uns aux autres que ce soit sur les montagnes ou dans une forêt et surtout plein de couleurs et de gaieté. Les deux héros sont très bien mis en valeur même si j’ai un petit faible pour Momohime comme tout le monde, leurs mouvements son très bien animés. Le bestiaire est assez diversifié : cochon, Harpie, Ninja, crapaud et etc. Les voix sont en japonais sur l’édition américaine du jeu ce qui donne un gros plus à l’ambiance très japonaise orientale.
Pour mettre un petit hors sujet dans l’article du jeu même si sa le concerne un peu. Oboro Muramasa est un jeu assez « old school » avec des barres de vie et sa commence à vraiment à m’énerver les jeux où il n’y en a pas. À croire que les gens soignent leurs blessures en restant accroupis ou bien cacher dans les buissons. C’est vachement réaliste tout ça. J’aime bien voir où j’en suis surtout sur la vitalité des boss. Ce qui est assez « kitch » j’ai envie de dire, c’est lorsqu’on cuisine nos plat à l’aide de livre de recette et d’ingrédient, on doit manger notre plat ensuite et attendre quelque dizaine de seconde pour en manger un autre selon le plat désiré. C’est tout à fait anodin comme truc mais c’est ce genre de chose que les gens accrochent pour dire « ah ouais! Tu as vu, on peut même manger les plats qu’on cuisine avec une petite interaction au bouton. KAWAI!!! »
La progression d’Oboro Muramasa se fait via des actes (niveau) comme un jeu d’aventure old school. Sa ressemble un peu à du Castlevania/Metroid. Vous pouvez allez n’importe où enfin selon votre degré de progression à cause des barrières de couleur. Sa reste quand même linéaire par moment mais on s’en fou, le jeu est formidable. Au niveau du scénario, c’est très bien mis en scène sauf qu’il y a rarement des phases de dialogue. En même temps, c’est normal, ce n’est pas un jeu de rôle proprement parlé. Comme dit plus haut, vous pouvez jouer 2 héros chacun leur tour. Enfaite, c’est vous qui décidé, vous pouvez très bien jouer 2 heures avec Momohime et commencer une partie avec Kisuke. L’histoire vague tourne autour d’une épée démoniaque du nom d’Oboro Muramasa d’où le nom du titre du jeu mais avant ça, nos 2 héros ne commenceront pas comme ça. En effet, Kisuke est un ninja amnésique qui veut à tout prix reprendre sa mémoire pour comprendre ce qu’il sait passer, par la suite, il s’alliera avec une jeune demoiselle du nom de Torahime. Je n’ai pas fait l’histoire de Momohime vu que je viens de finir celle de l'autre héros mais j'y court.
Les musiques du jeu sont d’une merveille, j’adore celle de l’écran titre et sa me rappelle beaucoup Okami. Les musiques vous berceront l’oreille tout au long du jeu. Franchement, ils ont vraiment très bien travaillé sur cet aspect du jeu comme tout d’ailleurs.
Une des particularités du jeu en question, c’est la fameuse quête des 102 épées (il me semble). C’est une quête totalement annexe mais qui sera plaire à ceux qui adorent finir leur jeu à son maximum. Enfaite, c’est fort simple, vous avez un genre d’arbre généalogique tout en commençant par le haut et vous devez vous rendre à la dernière épée qui est tout en bas du schéma pour avoir la plus puissante. Vous avez qu’un seul choix pour obtenir ses armes, vous devez les forger à l’aide de votre ami le forgeron mais il vous faudra deux composants : de l’esprit et des âmes. Pour avoir des âmes, c’est très simple, vous devez tuer des gens, c’est aussi simple que cela. Pour avoir de l’esprit, vous devez cuisiner ou bien manger au restaurant et oui! C’est un peu ridicule mais bon. Il y a aussi quelques petites épreuves dans le jeu. Elles sont scellées à l’aide d’une barrière de couleur. Au fil du jeu, vous pourrez casser ses barrières avec vos épées.
Oboro a une jouabilité un peu spéciale à la Super Smash Bros. On reprend beaucoup ce jeu en exemple et c’est le seul jeu que j’ai vu où on doit sauter avec le stick gauche vers le haut. Personnellement, je déteste ça, j’ai toujours préféré un bouton pour sauter. La maniabilité pendant les combats se fait tout sur un bouton. Qui a dit mono touche ? Enfin, c’est presque ça. Le bouton ‘B’ ne sert que pour frapper son adversaire et faire les petits combos. Le bouton ‘Y’ sert à déclencher l’attaque spéciale de l’épée. Chaque épée a des particularités différentes, elles peuvent soit être rapide mais courte ou sinon très lourdes et longues. Elles peuvent aussi donner des bonus comme des bonus de vitalité, de force ou bien de la résistance envers un effet néfaste. Les armes ont aussi une durabilité lors des confrontations, si elle se brise par exemple, il vous faudra attendre quelque temps avant que l'épée se répare d'elle même. C'est pour cela que vous pourrez équiper 3 katanas à la fois. C’est un mélange de beat them all alors les rencontres dites « aléatoire », on tue tout ce qui bouge.
Pour ce qui est de la durée de vie, si vous prenez votre temps, le jeu sera long. J’ai fini l’histoire de Kisuke en 10h30 pour venir à bout des 7 ou 8 actes du jeu. Je n’ai pas fait l’histoire de Momohime vu que je viens de finir à l’instant la campagne de l’autre héro mais sa me laisse quand même une idée pour la durée de vie. C’est par pure spéculation mais sa doit être environs vers les quinzaines d’heures pour nos deux combattants. Il reste toujours la quête des épées pour augmenter la durée de vie. Le jeu est assez bien dosé au final en mode normal, au début, j’ai commencé le jeu en mode difficile vu que j’ai une maîtrise inouïe au katana en regardant des épisodes de Bleach et de Rurouni Kenshin. Hélas, mes talents se sont arrêtés au deuxième combat puisque je suis mort là «rire». Dans Oboro Muramasa, il y a quelques aspects au niveau jeu de rôle, je pensais qu’il allait approfondir la chose mais dommage, il ne survole que la chose (les niveaux et l’équipement basique). Ah oui! Pour ceux qui voulait savoir pour les phases d’augmentation de niveau, bah il n’y en a que très peu. J’en ai fait mais c’était surtout pour les combats parce que tout ce passe tellement vite.
Pour conclure, c’est un excellent jeu doté d’une très bonne jouabilité mais surtout une ambiance et un design à couper de souffle.
Les qualités
-deux héros classe
-L’ambiances et le design orientale
-Les musiques
-Les boss épiques
-les sources d’eau chaude en croisant de jolie demoiselle
-La durée de vie
Les défauts
-La linéarité du jeu
Voilà mon petit avis sur le jeu ^^ et En bonus, la bande annonce du jeu
Jeu: Suikoden Tierkreis
Éditeur: Konami
Développeur: Konami
Console: Nintendo DS
Type: Jeu de rôle
Joueur: Un
L’une des licences phares de la PlayStation revient cette fois ci, dans un format plus petit sur la Nintendo DS mais tout aussi excellent.
Suikoden Tierkreis a une réalisation quasi parfaite sur le plan technique. C’est l’un des plus beaux jeux de la petite portable de Nintendo, les personnages sont réalisés en 3d dans des décors pré calculé. On pourrait reprocher au soft d’avoir seulement des petits environnements à visiter malgré le fait qu’ils soient diversifiés. Le jeu bénéficie des voix américaines qui ne sont pas trop mal et aussi de petites cinématiques en format anime, pour ceux qui s’en doutaient, le jeu est bien en français ce qui n’est plus rare de nos jours. Au tout début du jeu, vous devrez donner un nom au personnage principal, dans l’ensemble, les personnages sont très bien prédéfinis. Le héro est courageux et espiègle, Marica, la fille du maire de la ville de Trico ne se laisse pas marcher sur les pieds et elle est gentille et etc. Ils ne sont pas trop caricaturaux et ils sont sympathiques avant tout. Il y a biensûr une carte du monde mais plutôt découpé comme un jeu de rôle tactique. On ne peut pas vraiment se promener sur les comme dans les jeux plus traditionnel du genre. Pour ce qui est des villages et des villes, c’est pareil. Vous aurez des choix sur une petite carte et ensuite vous entrerez dans des zones pour y faire les courses ou bien vendre vos matériaux.
La trame narrative est excellente dans Suikoden Tierkreis et on ne s’ennuie jamais. Certaines personnes vont peut-être trouver le jeu un peu lent mais personnellement, c’est bien dosé. L’histoire commence lorsque les protagonistes doivent chasser des monstres autour de leur village qui se nomme Trico. Après quelques minutes de jeu, dans un temple, les héros découvrent un livre magique qui donne accès à diverse pouvoirs comme soigner ou bien enflammer un monstre et cela s’appelle la marque de l’étoile. Tout en recevant ses pouvoirs, ils ont un flashback et ils aperçoivent un groupe de gens s’attaquer à une armée. Après quelques petits événements, ils décident de parcourir les terres afin d’aller dans la ville de Cynas pour en savoir plus sur le livre magique. Pendant ce temps, ils découvrent une nouvelle organisation qui s’appelle l’ordre de la voie. Cette organisation prend un rôle important sur la pensé des gens. Elle dicte le futur des villes qui sont soumis à cette manœuvre : leur vocation, leur maladie, leur vie sociale et personnelle etc. Les protagonistes trouveront ce concept malsain et s’alliera à la force adverse qui est le Magistère de Janam.
Tout au long du jeu, vous aurez une complicité avec les 2 groupes élites en matière de combat qui sont les lames du crépuscule et les hauts mages du magistère de Janam. Ceux-ci, seront plus important quel les autres membres du jeu parce qu’ils ont une longue histoire derrière eux mais je ne vous en dit pas plus.
Une des grandes forces de la série, c’est la fameuse quête des 108 étoiles. Chacune des étoiles correspondent à un personnage. Vous l’avez tout de suite deviné, il y a bien 108 personnages à recruter. Cependant, il y a un prix à payer, celui de ne pas faire d’erreur pendant les phases de dialogues ce qui n’est pas toujours si facile. Certains seront faciles à recruter à cause du scénario principal et d’autre seront un peu plus difficile selon les quêtes annexes. Dans le jeu, il y a aussi un système de mission mis à notre disposition. Au tout début du jeu, il sert principalement de compte rendu des différents événements survenus lors du jeu. Au fil du temps, il servira aussi à prendre de petites quêtes afin d’augmenter vos effectifs monétaires ou bien d’armement. Et bien, dans Suikoden Tierkreis, les monstres ne donnent pas d’argent, seulement des matériaux.
Dans l’ensemble, la bande sonore est de toute beauté. Comme dans les derniers volets de la série, c’est Norikazu Miura qui a eu la tâche de composer ses magnifiques musiques. Certains thèmes sont doux à l’oreille dont le thème d’ouverture et d’autres qui sont à éviter car elle ne colle pas du tout à l’ambiance du jeu.
Une des petites faiblesses de ce magnifique volet sont les combats. Ils sont d’un classicisme hallucinant et le ratio des combats est trop court, c’est à dire, que dans un donjon, vous allez avoir une confrontation avec des monstres aux cinq pas. Parcontre, le choix des personnages est immense et ils n’ont pas un type d’arme respectif sauf à quelque exception près. Les magies sont tout aussi diversifiées. Pour approfondir un peu plus au niveau des batailles, l’interactivité est très mince, vous pourrez soit attaquer, utiliser la marque de l’étoile, se défendre, utiliser un objet ou bien faire une attaque de groupe et vous aurez quatre personnages pendant un affrontement. Les développeurs ont tout de même pensé à inclure un mode automatique pour les combats ce qui est une chose non négligeable. Une des particularités du titre, c’est d’avoir des personnages en guise de soutien, ils ne pourront pas attaquer mais ils auront une habileté passive durant le combat et ils ne seront pas visibles à l’écran. À titre d’exemple, Erin peut soigner quelque point de vie à une personne à chaque tour.
Le principal défaut réside dans la facilité et la simplicité du titre. Le jeu est trop pardonnable à certain égard et surtout dans les phases d’embuscades envers l’ordre de la voie à cause qu’il faudra faire des groupes avec des personnages moins expérimentés. À la fin, le jeu est quand même plus dur, il faut juste savoir bien calibrer la chose en ayant 16 personnages. Le système d’expérience est repris de Lost Odyssey qui consiste à avoir toujours un quota fixe pour augmenter de niveau et qu’au fil du temps, les monstres donneront moins d’expérience qu’au niveau précédent. Cependant, les gens qui ont un faible niveau, augmente assez rapidement avec ce système, bien entendu, il y a une limite de 10 lv par combat. Parcontre, le jeu a une excellente durée de vie malgré sa simplicité. Il vous faudra environ une quarantaine d’heures pour le finir et c’est juste le scénario de base. Évidemment, augmenté ce nombre d’heure pour tout les trucs annexes.
Pour conclure, Suikoden Tierkreis est un excellent jeu même si la répétitivité durant les combats et la simplicité du jeu nuisent un peu. Le jeu est avant tout jouer pour son histoire assez bien construit.
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Les graphismes :
Le jeu me rappelle beaucoup les rpg de la super Nintendo. Le titre offre des graphismes honnête pour la console même si un petit plus n'aurait pas été de refus en dehors des combats. Les environnements sont assez diversifiés puisqu'on explore trois mondes différents. Pour ce qui est des personnages, ils sont issus de différents jeux de mécha ou autre comme Kos-Mos de Xenosaga et je les trouve assez bien conçus. C'est clair qu'il y a plus de filles que de garçons dans le jeu mais on s'en fou quoi ^^. Il faut savoir aussi que le jeu prends les doublages japonais dans la version US du jeu pendant les combats ce qui n'est pas de refus .
Le scénario :
Personnellement, le scénario du jeu m'a beaucoup fait rire par ces insultes à outrance envers le physique des jeunes demoiselles. Ce n'est pas une grande histoire rocambolesque mais elle est bien sympathique. Le scénario commence lorsque qu'Haken et Aschen vont dans un vaisseau abandonné pour essayé de trouver des trésors. Pendant leur périple, il découvre une jolie demoiselle à forte poitrine du nom de Kaguya endormi dans un lit. On voit tout de suite que son intelligence n'est pas sa qualité primaire puisqu'elle demande à nos deux "bounty Hunter" de l'escorter jusqu'au château où elle réside. Bah ouais! Comme d'hab, c'est une princesse ^^. Il y a l'histoire classique des terres dévastées par la guerre et tout le bla bla...
Jouabilité :
Franchement, c'est le gros point fort du jeu. Contrairement à la série, les combats se font au tour par tour comme un Final Fantasy et non en T-RPG. Chaque personnages a une liste d'enchaînement qui lui est propre. En gros, vous avez une jauge à 100% et chaque combo prend une partie de la jauge. Vous pouvez effectuer 5 enchaînements à la suite de l'autre par personnage. Vous incarnerez 4 personnages durant les combat. Les autres pourront vous assister en mode de soutient. Pour quelques points magiques, il viendra vous aider pendant quelques secondes. Vous avez bien sûr une autre jauge pour la "limit break". Elle se remplis au fur et à mesure des enchaînements fournis durant le combat. Une fois qu'elle a atteint son quotas, vous pourrez déclencher l'ultime combo du personnage et c'est assez dévastateur. Je trouve les animations des différents protagoniste superbes.
Durée de vie :
J'ai pris mon temps pour finir le jeu. J'ai mis 58h pour voir le générique de fin. Le jeu est long parce que les combats sont long tout simplement ^^. Le titre est assez facile si vous ne faite pas le con pendant les boss. Vers la fin, il y a quand même un faussé énorme. Je pensais en chier au niveau 68 mais je me faisais du soucis pour rien ^^ vu que j'avais fait un longue séance de lv up. Il me semble qu'il y a quelques quêtes mais je ne pense pas qu'elle augmente beaucoup la durée de vie.