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Hideki Naganuma est le compositeur de Jet Set Radio et Jet Set Radio Future et ... le monsieur a décidé de twitter ça dans le plus grand des calmes.
Alors vous n’êtes pas sans savoir que Microsoft et Sony ont des events de prévu cette semaine pour le premier et début juin pour le deuxième. Alors pour imaginer le retour de Jet Set Radio, il n'y a qu'un pas et on n'aura pas bien longtemps pour voir si c'est du lard ou du cochon.
Peu importe qui des deux constructeurs, voir même de Nintendo aura la joie de nous dévoiler un nouveau Jet Set Radio, ce sera la folie chez pas mal de joueurs dont moi. Mais peut-être que ce n'est juste rien de tout ça. Wait and See !
Le retro-gaming prend de plus en plus de place dans la vie de certains gamers en mal de nostalgie. Ce besoin se renforce quand les joueurs veulent redécouvrir leurs passés devant un écran cathodique ... Ouais je suis en train de partir loin, bref Sega avait promis qu'il ressortirait de vieille gloire d'antan pour le plus grand plaisir de vieux de la vieille comme moi, amoureux de Sega depuis toujours. Streets Of Rage 4 se présente donc avec Panzer Dragoon Remake dans cette nouvelle politique de Sega qui veut enfin se servir de son trésor de guerre pour retrouver un peu de gloire.
Streets Of Rage 4 est développé par 3 studios, Dotemu, Lizardclub et Guard Crush Games, les deux premiers sont Francais et le troisième est Canadien, en ce qui concerne l'édition Dotemiu s'en occupe avec la collaboration de Sega.
Techniquement, Streets Of Rage 4 est un jeu en 2D avec des reflets sur les flaques d'eau, des effets de lumière qui s’intègrent parfaitement, des animations dignes de dessin animé. Le jeu est de toutes beautés.
Au niveau du gameplay c'est du classique, avec une touche pour les coups de base, une touche pour les coups spéciaux, une touche pour ramasser les armes et vivre au sol, une touche de saut et une touche pour les coups en arrière. Attendez-vous à du challenge même en normal.
Streets Of Rage 4 est disponible sur PS4, Nintendi Switch, Xbox One (et Game Pass) et sur PC.
Final Fantasy VII, ce jeu sorti sur tous les supports possibles, ce RPG mit sur un piédestal par les fans de la licence FF (doit y avoir des exceptions) et pour lequel un remake est attendu depuis des décennies. Annoncé en 2015, ce remake qui sera en plusieurs épisodes, arrive enfin avec sa première partie.
Techniquement, c'est du grand art, les transitions entre cinématique et gameplay sont quasiment invisibles. Mais ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas des temps de chargement. Effet de particules, feu, éclaire, modélisation des personnages, bref c'est beau malgré le fait qu'il peut y avoir des textures relativement baveuses pour un jeu aussi beau.
Au niveau du gameplay, c'est FF7R se pose comme un "Action-RPG" avec un ralentissement du temps pour utiliser des objets, sorts ou compétences. Vous avez aussi la possibilité de changer de personnage à la volée afin de passer d'un personnage à l'autre suivant comment se passe le combat et les ennemies que vous avez en face de vous.
Au niveau de l'histoire, je n'ai jamais fait l'original, je ne peux donc pas juger des changements entre les deux versions, mais on sait que ce premier épisode se concentre sur la ville de Midgar et qu'il y a des modifications et des ajouts dans le scénario.
Bref, n'étant pas un grand fan de J-RPG au tour par tour, je suis plus que conquis par cette version, alors je ne peux que vous conseiller de tenter de sauter le pas quand vous en aurez la possibilité.
Pendant que l'enfer s'abat sur terre depuis quelques mois, ID Software et Bethesda nous envoient le DOOM Slayer pour éradiquer les démons de la surface de la terre, sur PS4, PC et Xbox One.
Techniquement DOOM Eternal est plus fin et plus nerveux que DOOM, c'est surtout dans les détails que ce DOOM fait mieux avec des ennemies qui subissent les dégâts de vos attaques en temps réel et localisé, ce n'est pas dur vous allez littéralement décharnés les démons qui croisent votre route. C'est fluide comme jamais sans sourciller.
Au niveau du gameplay, on ne change pas une équipe qui gagne, mais on y ajoute quelques "joueurs" enfin technique comme le grappin, l'escalade sur des parois poreuses, s'accrocher à des barres, différentes grenades, un lance-flamme à l'épaule etc. Oui vous pourrez toujours débloquer 2 tirs secondaires avec eux-mêmes des améliorations, amélioration de l'armure Praetor[ et j'en passe.
Au niveau du scénario, DOOM avait fait un effort avec une histoire même légère, DOOM Eternal vous envoie direct au front sans préparation, vous arrivez de Mars avec votre vaisseau et la terre est envahie par les Enfers, alors pas le temps de niaisait DOOM Slayer à l'attaaaaaaaque.
Après une longue période de pause malgré moi sur la chaîne Youtube, je me mets enfin sur un jeu que j'attendais énormément. Ori And The Will Of The Wisps est la suite d'Ori And The Blind Forest, derrière ces deux titres à rallonge se cache toujours Moon Studio et toujours édité sous la bannière Xbox Games Studios.
Ori 2 pour que ce soit plus court, est un Metroïdvania, en clair un jeu de plateforme, aventure avec quelques énigmes dans des environnements 2D/3D. Le jeu est magnifique, tout est vivant et sur tous les plans. Les environnements réagissent à chaque passage ou coup d'Ori. Si graphiquement Ori met des mandales façon Bud Spencer, il arrive tout de même qu'il y ait des soucis de framerate avec parfois un freeze de quelques secondes, c'est peut-être le seul problème technique du jeu. Moon Studio a déjà annoncé un autre patch.
Le gameplay reste dans la lignée du premier avec un Ori bien plus guerrier, vous ne serrez donc pas dépaysé. Double et triple saut, s'accrocher aux parois, attaque au sabre de lumière, marteau etc vous aurez de quoi faire avec en plus la possibilité de rajouter des capacités comme augmenté de 10% les dégâts donnés ou diminués ceux reçus, mais attention vous serez limité dans ces capacités, il faudra donc les choisir en fonction de vos préférences.
Le plus gros point positif d'Ori 2, ce sont les environnements sonores, merci Dolby Atmos. Les musiques sont tellement magnifiques qu'il est difficile de ne pas en parler, composé par Gareth Coker qui a déjà officié sur Ori 1 avec l'interprétation du "Nashville Music Scoring Orchestra" qui eux sont des habitués des musiques de jeu vidéo comme Spider-Man, Destiny 2, Abzu ou encore Days Gone pour ne citer qu'eux. Bref elles vont littéralement vous transporter dans l'univers de The Will Of The Wips, alors si en plus vous avez un casque 7.1, c'est la jouissance auditive assurée.
Ori And The Will Of The Wisps est disponible sur PC, Xbox One ainsi que dans le Xbox Game Pass. Place à la vidéo de gameplay sur la première heure de jeu.
18 ans que Shenmue 2 est sorti sur Dreamcast, 18 ans que j'espère une suite de la licence qui a su marquer ma vie de gamer au même titre que des jeux comme DOOM. Yu Suzuki revient enfin pour continuer la saga de toute une vie avec le soutient de Shibuya Productions et des fans de la licence qui ont participé au financement du jeu via Kickstarter ou PayPal.
La première chose qui fait plaisir, c'est que techniquement, c'est loin d’être aussi moche que ce que certains voulaient nous faire croire, oui ce n'est pas parfait notamment au niveau des animations qui restent encore un peu rigide (Beaucoup moins que les deux premiers, heureusement), les animations faciales font tous juste le taf avec là aussi un peu de rigidité et les pnj sont plutôt bien modélisés. Les décors sont vraiment superbes avec de bien jolies effet de lumière.
Au niveau du gameplay, on retrouve tous les éléments de Shenmue à la différence que Ryo ne se déplace plus comme un semi-remorque, on parle au PNJ pour glaner des infos qui seront notées dans le calepin, on joue au mini-jeu pour gagner soit de l'argent, soit des objets qui pourront vous servir plus tard. Seul le système de combat change, adieux la touche d'esquive, le tout se gère avec une double poussée sur le joystick gauche deux boutons coup de pied, deux touches coup de poing, vous gagnerez toujours de l’expérience sur les coups que vous utiliserez le plus souvent. Le petit nouveau est un inventaire pour la nourriture afin de regagner de la vie qui est aussi votre endurance quand vous vous baladez en courant, une fois vide pour ne pourrez plus courir, il faudra donc manger pour en récupérer et ne pas vous retrouver en combat sans vie.
Shenmue 3 conserve l'ambiance de la licence ce qui est assez beau pour un fan de la première heure, un jeu plutôt beau malgré une certaine rigidité dans les animations (moins qu'a certaines présentations), un système de combat revu, mais conservant le même principe d'XP, en clair la magie opère toujours.
J'avais un rêve, moi qui ne joue que très peu sur console portable voire jamais. C'était de pouvoir jouer à un vrai RPG Pokémon sur une console de salon Nintendo, chose que je n'ai jamais eu l'occasion de faire parce que Game Freak s'y été toujours refusé ou alors dans une formule qui n'était qu'un ersatz de ce qui se faisait sur le portable.
Ce jour est enfin arrivé avec Pokémon épée et bouclier. C'est sur la version épée que j'ai lancé mon dévolu, je n'ai pas assez joué dessus pour vous donner un avis assez pertinent, mais je vais quand même vous parler du coté technique du jeu en mode docké. La première scène du jeu fait un peu peur, nous sommes dans une arène et le publique est ultra flou, l'aliasing et le scintillement sont très présent sur les éléments éloignés, ça pique les yeux.
C'est quand même beaucoup plus glorieux sur les éléments affichés en premier plan, que ce soit les Pokémon, les pnj et les intérieurs parce que sur les extérieurs, certaines textures font peine à voir, surtout quand on a joué à Zelda BOTW ou Mario Odyssey qui te mettaient des mandales techniques, mais dans l'ensemble c'est tout de même moins agressif que dans la première scène. Autre problème technique qui sera le dernier que j'ai relevé, tous ces pnj et Pokémon qui pop au loin.
Sinon dans les combats, aucun problème pour moi, j'ai vu des vidéos où il n'y avait aucune animation, j'avoue avoir pris peur avant d'acheter le jeu, mais ouf tout est là et les effets sont très réussis, c'est juste quelques petits malins qui ont cru bon d'enlever les animations en combats dans les menus. Par contre, on ne peu pas dire que ce soit toujours très glorieux avec une génération de retard sur certaine animations.
Même si techniquement Pokémon épée et bouclier ne sont pas les plus beaux jeux de la Nintendo Switch, ils restent agréables à jouer et c'est bien là le plus important.[/couleur]
EA aura mis le temps pour nous proposer un jeu solo dans l'univers de Star Wars, après plusieurs jeux annulés, nous voici enfin devant Star Wras Jedi Fallen Order, développé par Respawn Entertainment.
Vous êtes Cal un jeune homme qui travaille dans les décharges de l'Empire qui s'occupe de démanteler toutes les carcasses de vaisseaux Impériaux. L'ordre Jedi n'existe plus et ça devient une habitude dans Star Wars, voilà donc le speech de départ de Jedi Fallen Order.
Le jeu tourne sous Unreal Engine 4, ce qui est bizarre vu que EA a tendance à utiliser le moteur maison de chez DICE pour les jeux de leurs studios, bref le jeu est vraiment beau, malgré quelques petits soucis d'affichage qui reste léger. Respawn nous délivre un jeu solo narratif à mi-chemin entre Uncharted et Dark Souls avec de l'action, de la plateforme et une difficulté bien présente où le bourrinage des touches vous mènera sur le chemin de la mort et des points de médiation (feu de camp) où l'on pourra attribuer ses points de compétences pour débloquer de nouvelles techniques et se reposer pour récupérer de la vie et des medikits ce qui aura pour conséquence que tout les ennemies tuaient réapparaîtront.
Star Wars Jedi Fallen Order propose une recette très appréciable qui vous donnera plus ou moins de fils à retordre suivant la difficulté que vous aurez choisie avant de commencer la partie.[/couleur]
Avec The Outer Worlds, Obsidian signe son dernier jeu multisupport avec Private Division (Take Two) à l'édition. The Outer Worlds se veut être un jeu à la Fallout tout essayant d'y apporter sa vision.
Techniquement, le jeu se veut être plutôt agréable à l’œil sans pour autant vous mettre des gifles techniques, on va dire que le jeu est au-dessus de Fallout 4 sur la modélisation des PNJ et des décors, mention spéciale sur le ciel qui est juste magnifique avec ces planètes immenses et les vaisseaux qui fendent le ciel, mais le jeu se perd au niveau des effets de lumière, d'eau etc. La DA est un parti pris qui ne plaira pas à tout le monde avec des couleurs flashy bien loin des couleurs terne et apocalyptique d'un Fallout.
Le gameplay reprend les bases d'un Fallout avec ses éléments de RPG, l'amélioration des armes et armures, leurs réparations, le recyclage pour récupérer des pièces et j'en passe tout en proposant un arbre de compétences à vos alliés, un système de VAST plus libre où seul le temps est ralenti, vous laissant le temps de viser la partie du corps qui vous intéresse sans être limité par votre endurance. Le gameplay est donc plus direct et se marie bien plus avec la vue à la première personne. Sans oublier les éléments de dialogue, l’attitude des autres factions, les missions secondaires etc. Le jeu semble être moins ouvert qu'un Fallout avec des environnements plus petits, la faute peut être à la possibilité de changer de planète.
Je ne peux pas vous en dire plus étant donné que je n'ai pas assez joué au jeu. Mais ce que je peux vous dire c'est que la DA sera peut-être un frein pour certain, qu'il possède une ambiance décalée avec un univers rappelant légèrement Bioshock dans l'espace. The Outer Worlds est disponible sur PS4, PC et Xbox One ainsi que dans le Game Pass.
Après trois jeux sortis sur 360, PS3 et PC, GRID nous revient cette fois-ci sur Xbox One, PS4 et toujours sur PC. La recette est la même, des courses arcades avec une légère pointe de simulation sur plusieurs catégories et dans le monde, toujours développé par Codemaster que l'on ne présente plus.
Techniquement, le jeu est vraiment beau surtout en pleine nuit ou sous la pluie, les effets de fumée sont excellents, comme l'eau de pluie soulevée par nos bolides, les dégâts ne sont pas en reste et il n'est pas rare de voir voler quelques morceaux de carrosserie, surtout que les contacts vont être légion dans GRID tellement l'IA est agressive.
Le gameplay arcade propose tout de même quelques éléments de simulation lorsque nous enlevons les aides à la conduite sans pour autant dénigrer l'essence ( hahaha ! ) même de la licence. Concernant l'IA que j'ai trouvé ultra agressive (sans parler du rival si vous vous frottez trop à un autre pilote), il y a un petit quelque chose qui m’embête, c'est la difficulté avec laquelle on peut faire sortir un adversaire de la route, je me suis souvent retrouvé à partir en vrille sans que l'autre ne bouge d'un poil, c'est assez rageant parfois.
GRID sera disponible le 09 octobre sur Xbox One, PC et PS4.