Syphon Filter 2 sur PS1, est un jeu d'action-infiltration suivant Gabe Logan et Lian Xing, agents confrontés à une menace mondiale liée au virus Syphon Filter. L'histoire, sombre et captivante, les entraîne dans une course contre la montre pour stopper une organisation cherchant à exploiter cette arme biologique. Les missions se déroulent dans des environnements variés, comme des installations militaires ou des zones urbaines, avec une tension constante portée par des cinématiques immersives. Le jeu mêle tir, furtivité, et offre un mode multijoueur en écran partagé et une difficulté relevée.
Syphon Filter 2, sorti en 2000 sur PlayStation, est une pépite d’action-infiltration qui a marqué l’ère PS1. Développé par Eidetic (futur Bend Studio à l'origine de Days Gone) et édité par Sony, ce titre est la suite directe du premier Syphon Filter (1999), reprenant immédiatement après les événements de ce dernier, plongeant immédiatement les joueurs dans une course effrénée contre un complot mondial. Ce jeu reste, pour moi, un incontournable, même avec ses rides graphiques.
L’histoire nous met dans la peau de Gabe Logan et Lian Xing, deux agents secrets devenus des parias. Après avoir découvert que leur organisation, l’Agence, est derrière le virus mortel Syphon Filter, ils sont accusés de trahison et traqués comme des terroristes. Alliés à une faction clandestine, ils se lancent dans une mission désespérée pour empêcher le virus de tomber entre de mauvaises mains.
Le scénario, riche en rebondissements, se déploie à travers 21 missions variées.
Des montagnes enneigées aux laboratoires secrets, en passant par une boîte de nuit, un musée, ou encore une prison, chaque niveau apporte son lot de surprises et d’ambiances.
Avec ses nombreux dialogues et cinématiques, l’histoire est immersive, presque cinématographique pour l’époque.
Le gameplay est un savant mélange d’action et d’infiltration. On alterne entre fusillades explosives et approches furtives, équipé d’un arsenal : pistolets silencieux, fusils de sniper, grenades, et des gadgets d’espion. La visée offre deux options – automatique ou manuelle – mais face à des ennemis en gilet pare-balles, les abattre avec le mode automatique est presque impossible, ajoutant une couche de défi tactique. Si la maniabilité est fluide pour les habitués, elle peut dérouter les novices, surtout avec des commandes typiques de la PS1. Pourtant, une fois maîtrisé, ce n'est plus un problème.
Graphiquement, soyons honnêtes, le jeu a pris un coup de vieux. Mais les environnements restent immersifs grâce à une direction artistique soignée.
Ce qui n’a pas vieilli, en revanche, c’est la bande-son. Composée par Chuck Doud, elle est tout simplement magistrale. Des thèmes épiques des combats de boss au rythme entraînant de la boîte de nuit, en passant par l’ambiance tendue du train ou discrète du musée, chaque morceau colle parfaitement à l’action et à la situation. Le compositeur nous a livré un travail d’orfèvre qui donne des frissons, même aujourd’hui.
Le jeu est aussi intégralement doublé en Français, et le doublage est d’une qualité rare pour l’époque, avec des doubleurs de légende comme Patrick Borg (Goku), Patrick Béthune (ancien doubleur de Kiefer Sutherland) ou Stéphane Cornicard (Liquid Snake), et d'autres. Leurs voix donnent une âme aux personnages et rendent les cinématiques encore plus mémorables. C’est aussi le genre de détail qui fait qu’on s’attache à Gabe et Lian, malgré les polygones anguleux.
Réparti sur deux CD, Syphon Filter 2 offre une aventure dense, avec une durée de vie de 4 à 6 heures pour une première partie, mais bien plus si vous visez tous les secrets.
Les missions regorgent d’objectifs variés – sauver des otages, désamorcer des bombes, éliminer des cibles – et chaque niveau pousse à l’expérimentation.
Et puis, il y a le mode multijoueur en écran partagé, une vraie cerise sur le gâteau. Avec des matchs à mort, des cartes exclusives et des personnages déblocables (y compris ceux du premier opus, même les « défunts »), ce mode est addictif et prolonge le plaisir à deux. Déverrouiller de nouveaux contenus devenait une quête en soi, et les soirées entre amis pouvaient vite devenir légendaires. Même aujourd'hui, je pense qu'il y a encore moyen de s'amuser dessus.
Avec 1,32 million d’exemplaires vendus, Syphon Filter 2 a conquis les fans et rivalisé avec des géants comme Metal Gear Solid. Pour beaucoup, dont moi, c’est un amour de jeunesse.
Personnellement, je ne compte plus les fois où j’ai terminer le jeu à l'époque et au fil des années.
C’est mon Syphon Filter préféré, celui qui m’a fait vibrer en premier, et chaque partie ravive cette nostalgie brute. Malgré ses défauts – des graphismes datés et un gameplay qui demande un temps d’adaptation – il reste une référence du genre, porté par une ambiance d’espionnage unique, une bande-son inoubliable et une VF d’exception. Si vous l’avez manqué à l’époque, donnez-lui une chance : c’est une capsule temporelle qui pulse encore.
Avec Splinter Cell et MGS qui sont morts, il est temps pour sony de ressusciter cette franchise. On est en manque cruel d'un jeu d'action/infiltration.
L’histoire nous met dans la peau de Gabe Logan et Lian Xing, deux agents secrets devenus des parias. Après avoir découvert que leur organisation, l’Agence, est derrière le virus mortel Syphon Filter, ils sont accusés de trahison et traqués comme des terroristes. Alliés à une faction clandestine, ils se lancent dans une mission désespérée pour empêcher le virus de tomber entre de mauvaises mains.
Le scénario, riche en rebondissements, se déploie à travers 21 missions variées.
Des montagnes enneigées aux laboratoires secrets, en passant par une boîte de nuit, un musée, ou encore une prison, chaque niveau apporte son lot de surprises et d’ambiances.
Avec ses nombreux dialogues et cinématiques, l’histoire est immersive, presque cinématographique pour l’époque.
Le gameplay est un savant mélange d’action et d’infiltration. On alterne entre fusillades explosives et approches furtives, équipé d’un arsenal : pistolets silencieux, fusils de sniper, grenades, et des gadgets d’espion. La visée offre deux options – automatique ou manuelle – mais face à des ennemis en gilet pare-balles, les abattre avec le mode automatique est presque impossible, ajoutant une couche de défi tactique. Si la maniabilité est fluide pour les habitués, elle peut dérouter les novices, surtout avec des commandes typiques de la PS1. Pourtant, une fois maîtrisé, ce n'est plus un problème.
Graphiquement, soyons honnêtes, le jeu a pris un coup de vieux. Mais les environnements restent immersifs grâce à une direction artistique soignée.
Ce qui n’a pas vieilli, en revanche, c’est la bande-son. Composée par Chuck Doud, elle est tout simplement magistrale. Des thèmes épiques des combats de boss au rythme entraînant de la boîte de nuit, en passant par l’ambiance tendue du train ou discrète du musée, chaque morceau colle parfaitement à l’action et à la situation. Le compositeur nous a livré un travail d’orfèvre qui donne des frissons, même aujourd’hui.
Le jeu est aussi intégralement doublé en Français, et le doublage est d’une qualité rare pour l’époque, avec des doubleurs de légende comme Patrick Borg (Goku), Patrick Béthune (ancien doubleur de Kiefer Sutherland) ou Stéphane Cornicard (Liquid Snake), et d'autres. Leurs voix donnent une âme aux personnages et rendent les cinématiques encore plus mémorables. C’est aussi le genre de détail qui fait qu’on s’attache à Gabe et Lian, malgré les polygones anguleux.
Réparti sur deux CD, Syphon Filter 2 offre une aventure dense, avec une durée de vie de 4 à 6 heures pour une première partie, mais bien plus si vous visez tous les secrets.
Les missions regorgent d’objectifs variés – sauver des otages, désamorcer des bombes, éliminer des cibles – et chaque niveau pousse à l’expérimentation.
Et puis, il y a le mode multijoueur en écran partagé, une vraie cerise sur le gâteau. Avec des matchs à mort, des cartes exclusives et des personnages déblocables (y compris ceux du premier opus, même les « défunts »), ce mode est addictif et prolonge le plaisir à deux. Déverrouiller de nouveaux contenus devenait une quête en soi, et les soirées entre amis pouvaient vite devenir légendaires. Même aujourd'hui, je pense qu'il y a encore moyen de s'amuser dessus.
Avec 1,32 million d’exemplaires vendus, Syphon Filter 2 a conquis les fans et rivalisé avec des géants comme Metal Gear Solid. Pour beaucoup, dont moi, c’est un amour de jeunesse.
Personnellement, je ne compte plus les fois où j’ai terminer le jeu à l'époque et au fil des années.
C’est mon Syphon Filter préféré, celui qui m’a fait vibrer en premier, et chaque partie ravive cette nostalgie brute. Malgré ses défauts – des graphismes datés et un gameplay qui demande un temps d’adaptation – il reste une référence du genre, porté par une ambiance d’espionnage unique, une bande-son inoubliable et une VF d’exception. Si vous l’avez manqué à l’époque, donnez-lui une chance : c’est une capsule temporelle qui pulse encore.
Un jeu PS2/GameCube/Xbox, oui mais PS1 c'est mort...
De toute façon ils ont intérêt à diversifier leur offre avec des AA et non plus que des AAA. Sinon ils vont perdre des gens en chemin.
Ils le font déjà bien avec le China Hero Project, On a eu A.I Limit, puis Lost Soul Aside qui arrive me mois prochain.
Il faut continuer comme ça et faire revivre des licences. Le remake de Medievil était top par exemple.
Même Omega Strain l’épisode tant décrié j’ai adoré.
Mais c'était bien quand même. Dans le même style il y avait Chase the Express qui était pas trop mal non plus pour ceux qui ont connu.