Bizarrement on laisse faire ce genre de choses sur internet. Alors que tu fais ca par n importe quel autre moyen, c est passible d amende et de peine de prison.
Il serait temps de faire quelques exemples avec ces mongols qui se croient drôle
Les pires ce sont les crétins dauphinois. Ils sont gratinés ceux-là ! :3
Comme d'hab, quand la France vit l'un des chapitres les plus noirs de son histoire, il y a toujours des petits plaisantins insouciants et pas bien fins qui cherchent à jouer les prolongations en faisant feu de tout bois par l'entremise d'histoires bidons et de photomontages alakons pour faire parler ou juste par plaisir malsain d'entretenir un climat anxiogène.
Faut juste prendre le temps de trier le bon grain de l'ivraie avant de réagir, savoir raison garder et éviter de céder aux sirènes opportunistes du sensationnalisme et du clickbait généré par des perturbateurs qui n'ont pas de face, et qui n'ont rien de mieux à glander de leur vie que de faire leur beurre sur les malheurs du monde et ses affaires les plus sordides pour attirer l'attention sur eux et en tirer la satisfaction d'un petit quart d'heure de gloire.
Bande de teubés.
Voilà pourquoi je vais plus sur Twitter, Facebook et compagnie. Les réseaux sociaux sont un bouillon d'inculture où on trouve toujours à boire et à manger et où les moindres scénarios fictifs échafaudés par les esprits les plus imaginatifs finissent souvent se répandre comme une traînée de poudre, et par faire de la fumée là où il n'y a jamais eu de feu, parfois même avec la complaisance d'une presse qui joue le jeu et tombe dans le panneau sans prendre le temps de vérifier ses sources.
C'est dans ces moments que tu te rends compte de la dangerosité des réseaux sociaux, les gens relayent des infos sensibles sans prendre la peine d'en vérifier la source ce qui crée une certaine hystérie collective. Hier j'ai relayé un message fake d'un membre de jv.com qui annonçait les attentats une semaine avant, on est tous concernés, faut rester vigilent.
Il serait temps de faire quelques exemples avec ces mongols qui se croient drôle
Comme d'hab, quand la France vit l'un des chapitres les plus noirs de son histoire, il y a toujours des petits plaisantins insouciants et pas bien fins qui cherchent à jouer les prolongations en faisant feu de tout bois par l'entremise d'histoires bidons et de photomontages alakons pour faire parler ou juste par plaisir malsain d'entretenir un climat anxiogène.
Faut juste prendre le temps de trier le bon grain de l'ivraie avant de réagir, savoir raison garder et éviter de céder aux sirènes opportunistes du sensationnalisme et du clickbait généré par des perturbateurs qui n'ont pas de face, et qui n'ont rien de mieux à glander de leur vie que de faire leur beurre sur les malheurs du monde et ses affaires les plus sordides pour attirer l'attention sur eux et en tirer la satisfaction d'un petit quart d'heure de gloire.
Bande de teubés.
Voilà pourquoi je vais plus sur Twitter, Facebook et compagnie. Les réseaux sociaux sont un bouillon d'inculture où on trouve toujours à boire et à manger et où les moindres scénarios fictifs échafaudés par les esprits les plus imaginatifs finissent souvent se répandre comme une traînée de poudre, et par faire de la fumée là où il n'y a jamais eu de feu, parfois même avec la complaisance d'une presse qui joue le jeu et tombe dans le panneau sans prendre le temps de vérifier ses sources.
C'est dans ces moments que tu te rends compte de la dangerosité des réseaux sociaux, les gens relayent des infos sensibles sans prendre la peine d'en vérifier la source ce qui crée une certaine hystérie collective. Hier j'ai relayé un message fake d'un membre de jv.com qui annonçait les attentats une semaine avant, on est tous concernés, faut rester vigilent.