Voici un article bilan de cette année que mon bel assistant
Pino au charme certain vous donne aujourd'hui. J'espère que vous apprécierez
Ouf ! On y est, 2012 se fini et c’était pourtant pas gagné… Entre la Fin du Monde, les élections en France et aux States (et ailleurs, mais qui se fou des élections en Tadjikistan du Sud ?) ou Justin Bieber contre One Direction sur Twitter, cette année fut forte en émotions et moments de péril pour l’humanité. Et parce que ça fait un peu genre on est de pros, je me propose de vous fournir un petit récap’ de l’année 2012 et ses moments forts côté jeux vidéo, agrémenté des grosses attentes pour l’année à venir (2013, oui, je le précise pour toi, Kevin, qui dort au fond de la classe…) Nan pis ce genre d’articles, c’est un peu comme le « Noyeux Joël » ou le traditionnel « A l’année prochaine » en partant du boulot un 28 Décembre, tout le monde le sort fièrement en pensant que ça fait fin d’esprit et original… Et oui, en effet, à cause de Gad Elmaleh notamment, ce genre de remarques, ciblant le manque d’originalité des pratiques verbales de fin d’année, manque cruellement d’originalité. Bref, comment dès lors, avec des idées aussi nases, bricoler une introduction potable à ce premier dossier ? (woah, je rédige des dossiers pour l’Antre de Greil quoi, trop un fou !) Une introduction qui, surtout, doit vous donner envie de lire la suite ! Mes amis, je vous pose humblement la question…
Le phénomène Minecraft s’abat sur le monde

Premier gros plan 2012 en terme de jeux vidéo : la déferlante Minecraft. Sorti officiellement en Novembre 2012, le jeu a depuis (déjà) inscrit son nom dans l’Histoire. Intriguant par ses graphismes pixelisés à outrance et son environnement entièrement cubique, ce titre bac à sable (allez, Sandbox parce qu’on se la pète à utiliser des mots anglais!) a fait passer des nuits blanches à plus d’un joueur. L’idée est simpliste mais semble révolutionnaire : cassez des cubes qui donnent des ressources avec lesquelles vous faites des objets, pour survivre dans un monde hostile. Qu’on joue en mode Survival (sans fin puisqu’il faut juste… survivre…) ou Builder (pas de survie mais de la construction à gogo), tout les joueurs trouveront leur compte, du Casu‘ au Hardcore. Mais plus que le projet indépendant initié et dirigé par Notch (synonyme de Dieu sur internet, mais pas encore au niveau de Chuck Norris), mieux que le fait que le jeu soit fait à la main et roulé sous les aisselles, encore plus fort que l’ouverture du jeu au développement de mods, de texture pack ou de quêtes (gros doigt d’honneur aux mastodontes de l’industrie qui nous inondent de DLC et add-on payants), c’est bien la communauté qui fait que Minecraft marque cette année 2012. Tapez Minecraft sur Youtube et vous trouverez mille et une vidéos présentant des histoires in-game, des tutoriels pour créer des mécanismes ou des démonstrations de monde féériques créés dans le jeu (au point que Minecraft s’est même invité dans la vidéo rétro 2012 de Youtube). Tapez Server Minecraft sur Google (ou sur Bing pour les gros nazes… Troll ? Nooooon…) et découvrez l’immensité du multi sur Minecraft. Tapez Mod Minecraft et constatez comme les geek, quand ils travaillent ensemble, peuvent révolutionner un monde virtuel (putain que c’est beau !). Et outre le côté rafraîchissant du jeu indy à très gros succès dans un contexte tendu entre les joueurs et les studios, on appréciera forcément l’esprit d’une communauté ouverte aux nouveaux, pas hostile pour un sous et hyper créative (bon, y a des cons partout, on va pas non plus se leurrer, mais Minecraft adouci les mœurs contrairement à d’autres titres communautaires… communautaristes ? Oui oui, bon d’accord…) Bref, si c’est pas encore fait (et c’est là que ce que je vais écrire ensuite me paraît complètement débile), essayez-le, au moins. Et pis merde quoi, vous pourrez dire que vous avez vécu Minecraft. Moi je me lève tout les matins en rappelant à mon petit frère que j’ai vécu Pokémon et pas lui, il pleure et je suis heureux.
Et le jeu le plus attendu pour 2013 est…

Mais le gros carton attendu pour 2013, celui qui va vous faire vendre père et mère pour un putain de jeu vidéo, celui qui vous fera camper devant votre magasin comme une pucelle devant le guichet d’un point de vente du concert de One Direction ou même celui qui vous fera réserver un titre sur Amazon 6 mois à l’avance (déjà fait pour ma part …), c’est bien-sûr GTA V (je rajouterais même GTA V, Fuck Yeah). Faut-il que je le précise, Gran Theft Auto c’est la franchise à succès de Rockstar, premier titre (je m’avance un peu mais bon…) à vraiment maîtriser à fond le monde ouvert et connu aussi bien des n’enfants que des parents pour son univers trash. Que celui qui n’a jamais négocié avec ses vieux pour s’acheter un GTA et menti effrontément pour obtenir le jeu, ou même qui n’y a jamais joué en cachette avec ses potes entre le goûté et les Power Rangers, me lance la première pierre. Au point que toute une génération a développé LE sixième sens : je joue, mais je suis parfaitement conscient de l’environnement entier, je suis une sentinelle, un prédateur et une mouche peu péter dans la cuisine, la console sera éteinte dans la seconde. Bref, un mythe, un culte. GTA IV était déjà très attendu sur les plate-formes next-gen et s’il avait un peu déçu par son côté légèrement austère, le titre avait su apporter son lot de nouveauté tout en restant dans l’air du temps. Et puis bon, Rockstar a lui aussi posé ses couilles sur la table : tout le monde fait du DLC ? Ok, nous aussi. Deux DLC dont la durée de vie ferait pâlir la plupart des grosses productions du moment. Le tout sans nous sortir un titre tout les 6 mois. Bref, un développement sain, de qualité et sans l’arrière pensée manette en main devenue trop commune pour les joueurs : à ce prix là, on se fou un peu beaucoup d’ma gueule. Alors forcément, ce GTA V qui sort 5 ans après son aîné, sur une console en « fin de vie » (mais donc parfaitement maîtrisée par les développeurs, au maximum de son potentiel, comme une cougar en mal de petits jeunots), ça promet d’envoyer du lourd. Les premières images et trailers ont suggéré un rapprochement de San Andreas (l’opus resté mythique et pour l’instant indétrônable au rang du Meilleur GTA) et trois personnages jouables, donc trois histoires, donc du lourd question durée de vie. Enfin vala, GTA V, tout simplement. Hâte. Mais hâte !
Nintendo passe du côté obscure de la force

Gros événement selon moi en 2012, Big N se met en ligne. Un peu d’histoire. Cher public, je te présente Nintendo, constructeur japonais qui domine le marché des consoles depuis de nombreuses années. Si les PlayStation 1 et 2 ont été de sérieuses concurrentes, la PS3 n’a pas su imposer Sony à la place du géant japonais. Quand à Microsoft… Micro-quoi ? (Troll, oui, je vous dit zut) En fait, Nintendo à réussi à identifier le jeu vidéo à sa marque : parlez de jeu vidéo avec un Moldu (c’est ainsi que les geeks appellent les non-geek… me demandez pas d’où ça vient (c’est absolument faux hein, mais je réutiliserais sûrement le terme tiens !)) et il vous citera très certainement Mario comme une image illustrant le jeu vidéo. Or, Mario, c’est Nintendo. Et puis Nintendo, c’est l’innovation : là où Sony et Micro… j’ai oublié le nom… enfin Sony-America (re-troll, booooouh Pino), font du lourd sur des bases sûres (gros graphismes, grosse puissance, grosse b…), Nintendo se permet de jouer la carte créative en sortant la Wii et son gameplay basé sur les mouvements (repris par le PlayStation Move… LOL !) ou la DS et son gameplay tactile (repris par la PS Vita… Je pourrais même pas mettre LOL car c’est tragique cette histoire…) Alors non, les graphismes sont pas aussi HD qu’une PS3, mais quand on joue à des œuvre d’art signées Nintendo, comme The Legend of Zelda : The Wind Walker en cel-shading sur GameCube, on comprend vite que la perfection est ailleurs. Donc voilà, jusqu’à pas longtemps, Nintendo c’était l’enfant prodige, le maître créateur, l’esprit vif et brillant… Et puis Nintendo a craqué. Nintendo sort sa plate-forme en ligne, eShop et attaque le marché du dématérialisé et du DLC, symbole suprême de la rentabilisation à outrance du jeu vidéo. Alors si certains restent optimistes et estiment que Nintendo n’y perdra pas son identité et sa réputation de faiseur de miracles, on peut quand même pointer du doigt la tombée d’un des derniers bastions du jeu vidéo à l’ancienne… Hum, je dit ça, hein, mais y avait quand même des signes avant coureur. Beaucoup pensent (et ils n’ont pas tord) que la Wii et la DS sont, avant d’être des merveilles d’innovation, d’extraordinaires machines commerciales, ciblant sans complexe le marché du casual gaming (l’ayant presque inventé), à coup de campagnes de pub internationales et tout et qu’ils ont pas attendu les DLC et le démat’ pour maximiser leurs bénef sur le dos du consommateur lambda (au détriment du hardcore gamer)… C’EST PAS FAUX ! (Mais c’t'un autre débat, j’ai envie d’te dire…)
La prochaine génération de consoles débarque (la dernière ?)
On parlait constructeur et consoles avec Nintendo, on reste dans ce registre avec une grosse attente pour 2013 : la next-next-gen. On peut donc l’appeler la new-next-gen. Mais théoriquement, la present-gen sera plus la next-gen, donc la new-next-gen peut être appelée next-gen. Bordel que ça devient compliqué. Quoiqu’il en soit, les nouvelles consoles arrivent, faut pas abuser, on a découvert que le HD c’était pas suffisant, on va faire péter le BHD (Pour Big HD, wow, super, nom à la con, j’en sais rien, c’est juste qu’on avance dans les innovations donc je pond un nom à la va-vite en espérant qu’il entrera dans le langage courant du geek, le Fourche-lan… Nan faut pas abuser non plus. Et puis BHD ça sonne BHV. Ou Bernard-Henry Devy. C’est cool.) En tout cas c’est en cette année 2013 que sortiront (on l’espère) les PlayStation 4 et Xbox 720 (noms les plus couramment utilisés pour les désigner mais pas sûr qu’elles s’appellent comme ça !) On l’espère car c’est pas sûr, toujours pas de date officielle, mais ce qui est certain, c’est que le prochain E3 (le gros big salon du jeu vidéo de la mort qui tue) sera regardé de prêt par tout les geeks, les gamers, les technophiles et toute la masse informe des gens qui vivent la nuit et survivent le jour. On attend bien-sûr des avancées technologiques de pointe : sans rentrer dans les détails techniques (on s’en fou, pis j’ai la flemme de recracher des infos peu fiables d’un site obscur), on attend de meilleurs graphismes (notamment sur la base de l’Ultra HD (ça c’est vrai) et la résolution 4k (beaucoup BEAUCOUP de pixels)), une meilleure connectivité entre les plate-formes, une plus groooosse puissance, on peu penser à plus de 3D (celle-ci apparaissant tranquillement dans nos nouveaux titres)… Il y a toutefois aussi des craintes : cette génération sera-t-elle l’avènement de l’intrusion du social gaming sur nos consoles (jeux connectés à Facebook et Youtube), du dématérialisé (fini les boîtes ?!) ou même du Pass Online obligatoire (le gros méchant loup qui fait peur au marché de l’occasion…) Ces pratiques un peu trop restrictives aujourd’hui pour certains joueurs pourraient-elles définitivement polluer notre beau petit monde de pixels ? La réponse en 2013… (Ouah, je devrais écrire des trailers pour Enquête Exclusive ou Sept à Huit moi…) Si ce n’est pas demain la veille que les joueurs arrêteront de chérir leur belles consoles de salon, on peut quand même se demander jusqu’à quand celles-ci pourront lutter contre l’adaptabilité et l’accessibilité des supports venant piétiner sur leurs plates-bandes : je pense aux iDevices, notamment l’iPhone qui a même droit à une place aux côtés des PC, PS3, Xbox et Wii dans les classements par plate-formes sur certains sites d’actu jeux vidéo… La nouvelle génération de consoles aura donc une mission très importante, rappeler à tous que le jeu vidéo, c’est pas juste un élastique, trois pigeons et quelques bouts de bois à faire tomber sur un cochon vert, ou au moins ne pas aggraver le désamour grandissant des joueurs pour les constructeurs et les éditeurs de jeux…
Call of Duty, le sujet qui fâche

En cette année 2012, le gros titre, la grosse série qui a beaucoup fait parler, c’est bien-sûr Call of Duty. Un peu après les fêtes de fin d’année 2011, beaucoup de joueurs (dont votre serviteur) se rendaient compte que le millésime 2011 de la série, Call of Duty Modern Warfare 3 n’était finalement qu’un plat réchauffé et refroidit derrière, au goût bien fade et sans réelle saveur. Mais fort du record de meilleures ventes de l’histoire, Activision n’allait pas en rester là : pour eux, le social gaming, les DLC en Season Pack et la sortie annuelle, c’est suffisant pour faire un bon jeu. Pour eux, « jeu », ça veut dire bénéfice. Donc oui, continuer sur le succès de MW3, c’est logique. Pour d’autres, « jeu », ça veut dire autre chose que succès commercial. Et là, la logique s’effrite. Bref, Black Ops II, 7ème Call of Duty à sortir sur Next-Gen en 5 ans (depuis 2007 et Call of Duty En Marche vers Paris, si si) ne déroge pas à la règle et fait sa sortie annuelle juste avant Noël. Sauf que cette fois, ça ne se passe pas comme ça au goût du public. Une vraie guerre va avoir lieu, les uns accusant les acheteurs (appelés pigeons ou vache à lait) de Call of d’aider le diable à pourrir une industrie présumée polluée par les noobs, Kevins, casu’ et autres pseudo PGM, les autres accusant les premiers d’être des nuls qui ne savent pas jouer donc qui veulent casser le plaisir de ceux qui gèrent, les premiers rétorquant que jouer dans une communauté agressive, peuplée de mauvais joueurs, élitiste à souhait et surtout où des cons ont trouvé l’idée de rusher avec un sniper, c’est pas cool, les joueurs de Call of répondant que les autres connaissent rien aux FPS et qu’ils devraient retourner se toucher la buche sur Counter Strike et ses graphismes à la con… Bref, ça s’insulte, ça s’bouscule, (ça zappe la galanterie), ça se traite de tout les noms et ça fait surtout parler d’un titre et d’une série qui n’en vaut finalement (d’un point de vue purement technique) plus trop la peine depuis Modern Warfare II, en donnant au passage une image déplorable de la communauté des gamers dans son ensemble. Nan sérieux, lisez les commentaires sur JeuxVidéo.com et FranceFootball.fr : c’est la même connerie de base, la raclerie du fond de l’humanité, la toute-puissance du zéro ultime de naserie. J’en pleurerais…
2013 s’annonce dense, le compte bancaire va souffrir !

Alors forcément, pour 2013, on attend de bons jeux vidéo. Si certains rêvent d’un Modern Warfare 4 signant enfin le renouveau de la série (je crois pas qu’il ait été annoncé, mais qui doute de son arrivée…), on aura plus de certitudes quand au retour de Lara Croft sur le devant de la scène. La belle aventurière revient en effet dans un prochain Tomb Raider qui se pose en reboot de la série, explorant les origines de l’exploratrice (la vraie, pas Dora) et voulant retrouver sa suprématie sur un créneau aujourd’hui dominé par Uncharted. De même, on peut attendre beaucoup de Watch Dogs, le petit nouveau d’Ubisoft qui a de furieux airs d’Assassin’s Creed premier du nom. Teasé au compte-goutte mais attirant beaucoup de regard sur lui, ce titre pourrait bénéficier des même atouts que son prédécesseur : l’effet de surprise, une réalisation soignée sans dead-line contraignante pour les développeurs et un gameplay pointu mêlant infiltration, action et énigmes. Le tout avec la touche artistique d’Ubisoft, à savoir la capacité à sortir une super-production de nulle part, fruit d’une recette proche de celle utilisée par les gros studios Hollywoodien. Bref, un titre à surveiller de près. Par ailleurs, Resident Evil 6, Crysis 3, God of War : Ascension, Bioshock Infinite, un nouveau SimCity, Pikmin 3, Rayman Legends, Metal Gear Revengeance, le prochain Castelvania, Dead Space 3, Metro : LastNight, voilà tant d’autres jeux qui auront la lourde tâche de raviver la flamme de séries oubliées ou enterreront définitivement certaines licences. Enfin, j’attend personnellement avec impatience la sortie de Last of Us, le survival façon I am a Legend. Avec Watch Dogs bien-sûr. Et quelque surprises, quand même, on l’espère…
Allez, en attendant, bonnes fêtes à tous, bonne fin d’année et bon début 2013. Soyez bien bourrés pour le Jour de l’An et, eh…
A L’ANNÉE PROCHAINE HEIN !
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J'ai pas trop aimé la politique qui consistait à taxer les joueurs de manière abusive que ce soit à travers les Pass Online, le jeu en ligne encore payant au 21ème siècle, les DLC aux prix abusifs ou encore de vieux jeux dématérialisés à des prix excessifs...
Bref, en terme de politique j'ai trouvé que les 3 firmes et certains gros éditeurs comme Activision ou Capcom se sont mal démerdés et qu'on a été mieux lotis par exemple sur Steam... En ce qui concerne les jeux je suis mitigé, disons que ça dépend d'une console à l'autre...
D'un côté on a des firmes qui prennent peux de risques et qui te pondent des nouvelles licences de temps en temps... de l'autre tu peux avoir de bonnes surprises... J'ai pas trop aimé les traversées du désert qu'on a subit sur Wii et tout le phénomène Casual, pour le coup je l'ai très mal pris car perdre 2 années sur 6 c'est impardonnable...
Reste que globalement je trouves qu'on a eu une gen assez variées malgré le grand nombre de jeux de zombies et de party games. Certes cette génération était encrée sous le signe du FPS et du TPS encore une fois mais ça ne nous a pas empêché d'avoir un large panel d'expériences et de voir le genre du jeu bac à sable et du monde ouvert en général exploser. Ravis aussi de voir que le jeu vidéo a été un peu plus considéré autant pour son aspect créatif et ludique que pour sa mise en scène le reprochant un peu plus du 7ème art.
Je suis heureux d'avoir tâté aux expériences les plus ambitieuses tout comme aux concepts les plus simples et voir le monde du jeu indépendant poursuivre sa route à côté des blackbusters ne peut être qu'une très bonne nouvelle.
Gears of War Judgment
Tomb Raider
Bioshock Infinite
Abe le Remake
South Park Le Bâton De La Vérité
Grand Theft Auto 5
Pour le reste je regarderai le moment venu .