Après Hitman et Far Cry 3, mon jeune apprenti revient avec un nouveau test, j'espère que ça vous plaira !
- MARTY ! Prépares tes affaires, on repart à l’aventure !
- Oh merde… Quelle date je met Doc ?
- 1750, dans ces eaux là Marty ! La Révolution Américaine, la Boston Tea Party, les Pères Fondateurs et les barbecues d’anglais !
- Mouarf… On pourrait pas mettre History Channel plutôt… ?
- Fais pas l’con Marty ! Fais donc chauffer la DeLorean et commence pas à jouer avec mes couilles, tonnerre de Zeus !
Vous l’aurez compris, on va aujourd’hui parler voyage dans le temps et aller se balader du côté de la révolution américaine qui donnera naissance à cette belle patrie du libéralisme, de la conquête, du patriotisme et du Big Mac arrosé de Coca-Cola. Oui mes enfants, Assassin’s Creed 3 sera le sujet de cet article et ça va faire mal, parce que j’ai beau être fan de la série, de l’idée et tout le bazar, a m’ment donné, même un fan a ses limites. Alors en bref, Assassin’s Creed c’est la série à très gros succès d’Ubisoft, le bijou commercial par excellence : sorti en 2007, le premier opus a remporté un franc succès (quelque peu inattendu), tout comme sa suite, Assassin’s Creed II, sortie en 2009 en reprenant les qualités de son prédécesseur et contentant les fans sur ses défauts. Derrière, Brotherhood et Revelations, les suites de la suite sortent sur le rythme propre aux séries blockbusters, sans vraie grosse nouveauté et ça commence déjà à lasser. Voici donc venir le 3eme opus, le vrai, qui propose de nous emmener, après le Moyen-Orient et l’Italie, du côté de l’Amérique et la création des Etats-Unis d’Amérique. Franchement alléchant, on va voir pourquoi cet opus est juste bon et pas génialement exceptionnel, comme on pouvait l’espérer.
Lire le test complet de Assassin's Creed III
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