Nous sommes en 1996 et Capcom nous sort une nouvelle license de Survival-horror nommée Resident Evil (Biohazard sur le territoire nippon), une license qui va devenir aujourd'hui l'une des plus cultes aux côtés des Silent Hill par exemple.
Cet épisode est surement le plus apprécié de toute la saga (avant son remakeResident Evil : Rebirth bien évidemment) pour plusieurs raisons.
Il y a d'abord l'introduction de l'époque qui aujourd'hui n'est plus culte et qui est plus risible qu'autre chose mais elle reste malgré tout culte :
Mention spéciale à Albert Wesker et sa laque de faux blond ainsi qu'au bucheron Barry.
Non je plaisante à vrai dire, ce n’est pas ça que j’ai retenu lorsque j’y avais joué (j’avais déjà trouvé ça complètement naze, même à l’époque). Ce qu’il y a à retenir de cet épisode, qui fait que c’est un épisode cultissime, c’est son ambiance. Et c’est ambiance se dégage tout simplement du lieu où se déroule le scénario : le manoir Spencer. Un manoir vraiment magnifique dans son style architectural (un tel manoir me semble difficile à concevoir à vrai dire) et l‘ambiance qui se dégage à chaque plan.
Techniquement, nous n’avons pas vraiment affaire à de la 3D classique mais à de la 3D pré-calculée.
On ne va pas s’en cacher, c’était très clairement un moyen dissimulé de contrer les capacités techniques de la console. Et on les pardonne tout à fait, tant c’était beau pour époque au niveau des détails de chaque plan du jeu (il suffit de prendre l’exemple de la première salle du jeu, qui est maintenant un lieu culte du jeux vidéo).
« Bon alors les mecs, j’ai une idée, on va se séparer dans ce manoir lugubre envahit de zombies ok ? - Excellente idée ! »
Bon résumons le scénario, nous sommes membre de l’équipe des S.T.A.R.S. qui a pour mission de retrouver l’équipe alpha qui a disparu dans les environs des montagnes Arklay. Malheureusement quand on arrive sur les lieux (vous le voyez dans cette fameuse introduction d’ailleurs) on se rend compte qu’il y a quelque chose qui ne va pas … Et par quelque chose je parle de pleins de créatures, mais en majorité de zombie. Voici d’ailleurs la rencontre avec le premier zombie, un moment culte du jeu, et aussi du jeux vidéo en général :
« J’ai subit un lifting lors du remake, ça a couté environ 50 000 dollars à la production »
Nous rencontrerons bien évidemment d’autres créatures que les simples zombies. Nous aurons (en dehors des boss bien évidemment) donc entre autre les chiens zombies, les corbeaux ou encore les Hunters.
« Je coûte très cher en manucure … C’est jamais simple »
Parlons maintenant des boss, autre gros point fort pour moi de ce Resident Evil, surtout pour l’époque. Nous avons des boss plutôt classiques comme l’araignée géante par exemple :
Mais nous en avons d’autres qui sont bien plus cultes et impressionnants comme bien évidemment le célèbre Tyrant.
Dans cette scène, nous voyons d’ailleurs le moment du scénario où tout se passe : la trahison de Albert Wesker et donc toute son explication sur le pourquoi du comment de comment on s’est fait niquer depuis le début … C’est d’ailleurs une occasion de faire un point sur le scénario et les personnages.
Et là je vais peut être paraître dur, mais ça a très mal vieillit … Les personnages ont maintenant un doublage tellement cliché que ça en est navrant, et le scénario est vraiment très classique, malgré toutes les notes que l’on trouve toujours ici et là. Resident Evil : Rebirth a d’ailleurs fait de grands efforts aussi de ce côté pour le rendre bien plus intéressant, mais nous le verrons lorsque je ferais un retour sur cet épisode-ci.
Au niveau des personnages nous pouvons les résumer à une phrase : Albert Wesker et les autres. Sur ce premier épisode, il est réellement le seul personnage qui se démarque, malgré sa coupe blonde parfaite et son doubleur qui est surement un mec vraiment très bizarre aujourd’hui … Les autres sont vraiment au second plan, avec notamment Rebecca Chambers qui reste encore un modèle de « putainmaisquelleconnesansdeconnerjaienviedelatuer ».(même l’actrice au début a l’air conne c‘est dingue …). Mais bon les personnages principaux que nous contrôlons Jill Valentine et Chris Redfield sont vraiment trop moyens à côté quoi … Ils faisaient pâle figure, surtout qu’après sur la même console nous avons eu Metal Gear Solid qui a vraiment été une bombe de ce côté-là …
Pendant qu’il y en a qui se battent contre des zombies, on en a d’autres qui changent leurs fringues …
Finalement que dire de ce jeu ? Il reste toujours un exemple au niveau du survival-horror et c’est lui qui a contribué à ce genre aujourd’hui. Mais cette version a cependant un peu mal vieillit aujourd’hui. Il reste malgré tout culte et il est très important de l’essayer au moins une fois dans sa vie.
Nice !
Tu aurai pu parler des différences avec la version Saturn (qui je pense es meilleur) ou director's Cut, mais sinon excellent !
Sinon aps d'acord je trouve Chris et Jill plus sympas comme perso, mais paix a leur ame, Capcom les a déglinguer sans ménagement.....Jill de RE3 tu me manque tellement ^^"
Tu aurai pu parler des différences avec la version Saturn (qui je pense es meilleur) ou director's Cut, mais sinon excellent !
Sinon aps d'acord je trouve Chris et Jill plus sympas comme perso, mais paix a leur ame, Capcom les a déglinguer sans ménagement.....Jill de RE3 tu me manque tellement ^^"