A l'époque de la sortie Japonaise de Final Fantasy X, le 19 juillet 2001, on ne parlait alors que vaguement du douxième épisode: pour dire, il n'y avait qu'un fake (qui fut assez bien fait tout de même) circulant sur internet. Puis, le fameux 19 novembre 2003, il y eut enfin (mais nous ne savions pas encore que le jeu ne sortirait pas de sitôt) une conférence ayant pour le motif simple: dévoiler les premières images du projet (ainsi qu'une vidéo!) sous les yeux de milliers de joueurs! Je me souviens que le héros Vaan, pour son côté efféminé et jeunz, avait crée déjà pas mal de remous: il y eut même des joueurs qui pour la gueule du héros s'étaient promis de ne pas acheter le jeu... les boulets... Le temps passa depuis la conférence, lentement mais sûrement, et chaque mois Final Fantasy XII créait l'évènement dans le FAMITSU ou bien dans le V-Jump en montrant de plus en plus d'images de jeu et autre révélation de personnage. L'attente fut si longue, le jeu repoussé tant de fois vers un lointain futur, pour être franc, je me demandai si un jour j'aurai eu la chance de le tâter... Ahh! Messieurs, Mesdames, Mesdemoiselles!! Le jeu est ENFIN chez nous un peu moins d'un an après la sortie japonaise, faisons la fête... et jouons!...


Le juge Gabranth...

Fable

Je vous promet, le matin du 21 février 2007, je n'avais pas vraiment réalisé qu'en face de moi se trouvait le jeu Final Fantasy XII dans la langue de molière dans les étalages de mon magasin de jeux vidéo spécialisé. Aussitôt acheté, aussitôt je rentre chez moi (je précise que j'avais sécher les cours du matin pour être sûr d'avoir un exemplaire du dernier né de la saga culte) en bus, le coeur battant, ne prenant toujours pas conscience qu'une fois arrivé chez moi, je pourrai ENFIN tâter un jeu que j'attend depuis quatre ans... en marchant vers la maison, je vérifie une nouvelle fois que j'ai bien les clés de la maison sur moi (sinon, j'aurai eu l'air con d'attendre devant la porte d'entrée jusqu'à je ne sais quelle heure, avec Final Fantasy XII serré dans mes pognes), j'ouvre la porte, j'enlève mes chaussures, je monte les escaliers en direction de ma chambre, j'entre dans ma chambre, j'enlève ma veste et mon écharpe, je vais me laver les mains, j'ouvre la boîte de Final Fantasy XII, j'insère le CD de jeu dans ma vielle PS2, je ferme les volets de ma chambre: la magie peut commencer ... L'introduction, longue de sept minutes et des poussières, est la plus intense dans un RPG qu'il m'ait été donné de voir depuis ma première expérience vidéoludique. Je vous jure, la musique se montre épique accompagné de tout un orchestre, l'histoire démarre sous les feux d'une guerre entre archadia et damalscan, l'un envahisseur, l'autre en passe d'être envahi... C'est alors qu'en guise de Tutorial, nous incarnons Reks, le grand-frère de Vaan (que nous prendrons le contrôle tout au long du jeu), fraîchement engagé dans l'armée afin de défendre sa patrie, sous les ordres de deux grands chevaliers: Basch fon Ronsenburg et Vossler York Azelas. Ils ont en tête d'arriver auprès de leur Roi et d'empêcher que le traité de paix entre Damalscan et Archadia soit signé, jugé comme une mauvaise blague, puisque leur pays est perdant totalement dans ce traité. Oui mais voilà, une fois rendu au rendez-vous, Reks a une vision d'horreur: il aperçoit son Roi mort... assassiné... soudain, il voit l'un des chevaliers, Basch fon Ronsenburg, les mains pleines de sang. Reks y perdra la vie pour avoir été témoin à son insu d'une telle atrocité...


Voici ses derniers instants ...

Histoire

S'il y a un sujet à polémique à propos du jeu, c'est bien celui-ci. On le dit trop plat, trop naze, voir inexistant. J'avoue avoir eu peur en entendant un tel constat sur ce qui est l'un des ingrédients fondamentales pour offrir un RPG aude-là du sympa. Dorénavant, je peux me permettre d'ajouter mon grin de sel dans le débat, puisque j'ai pu faire le jeu en long et en large. Premier constat, je dois admettre que l'histoire du jeu est moins mise en avant que dans les précédents opus, que nous ne sommes coupés dans notre aventure de bien moins de cut-scènes ou de cinématiques que dans Final Fantasy X... mais je vous pose la question, est-ce un mal? Cela permet au joueur d'être beaucoup plus libre que précédement, ainsi libre à vous de partir faire des quêtes annexes entre deux évènements du jeu, partir chasser du monstre ou bien que sais je encore... De plus, contrairement à certains dires, le jeu est bourré de scènes en émotions, mais je tiens ma langue pour ne pas gâcher le plaisir pour les personnes, qui n'ont pas terminer le jeu ou voir même ceux qui n'ont pas eu la chance (ce qui ne saurait arriver) de jouer au jeu. Mais je vais quand même en parler, destiné particulièrement pour une personne précise de ce site ( ) plus tard dans une balise SPOILER. Là où un nombre de joueurs grincent des dents, c'est le fait qu'on se tape à chaque fois deux donjons pour un brin de cut-scene de cinq minutes. Mais je trouve cet argument boiteux, d'une part, parce que les donjons (terme que je trouve un affront à la beauté de l'univers d'Ivalice comme les Landes de Titsa ou la Forêt de Salika) ne sont pas chiants, et pour être franc, j'ai trouvé seulement deux lieux chiants à parcourir tout au long de mon aventure, et encore, le mot est fort! Sérieusement, c'est tellement un plaisir de fouler les terres d'Ivalice qu'on ne voit plus le temps passer ... (mais si je dois être honnête sur une chose, si j'ai vraiment aimé l'histoire de Final Fantasy XII, c'est en grande partie dû à la richesse de son univers, de tous ces petits détails qui font les grands: c'est un fait, le background est solide) D'autre part, l'histoire, bien que parfois il y a des vides pendant deux heures, n'est pas pour autant plat ou inexistant, mais fais preuve d'une grande maturité et propose en résumé un message profond sur l'identité humaine avec des valeurs comme la liberté, l'honneur, etc... Et je suis convaincu que pour bien comprendre toutes les subtilités de l'histoire de Final Fantasy XII et de son univers, il ne faut pas se contenter de le boucler une seule fois... preuve en est qu'après avoir vu l'écran de fin, je me suis ruée sur les analyses et interprétations du jeu (entre autre FFWorld pour ne citer que ce site). A présent, ce qui suit, je déconseille donc de le lire pour les gens n'ayant pas fini ou commencer le douxième épisode de la saga phare de Square-Enix, c'est pourquoi je le met en SPOILER:

Spoiler :



Regardez moi ces visages, quel précision, réalisme... je ne vous en parle même pas en mouvement...

Game Play

Ivalice... l'univers le plus riche et magique auquel j'ai pu voir dans un Final Fantasy... un Final Fantasy IX en apparence plus mature. Chaque PNJ a son histoire, courir dans les rues de Rabanastre, parler autant à un Seeq qu'à un Vaanga... tout ces petits détails font de Final Fantasy XII un grand jeu... que dis-je, un chef d'oeuvre. Il est vrai que beaucoup de détails sont fortement inspirés de l'oeuvre magistrale de Geoges Lucas, Star Wars, mais fondu dans la magie de Final Fantasy, c'est tout simplement démentiel... on prend son pied! Ivalice est grand, beau, riche de différentes cultures, cosmopolite... on aimerait presque vivre dans l'univers crée par Matsuno! En clair, c'est un peu notre deuxième foyer ... Il est toutefois regrettable que nous n'ayons pu avoir eu la possibilité de voyager dans les terres de Rozzaria, que les villes allant de Rabanastre jusqu'à Bhujerba ne soient vivantes qu'en apparence. En effet, pourquoi ne pas avoir permis au joueur, à l'instar des épisodes précédents, d'entrer dans des habitations? Dommage... mais l'immersion n'en est pas pour autant immédiate, malgré ce petit point noir! Passons maintenant au point le plus révolutionaire de la série: le système de combat! Pour être bref, ce nouveau système de combat allie l'efficacité à l'agréable: pour dire, c'est un plaisir de faire du level-up!... et puis, parole d'un fan du combat au tour par tour, je me suis habitué à ce nouveau système en moins de cinq minutes! (sans oublier les impulsions, sortes de limites break, mettant en extase nos pauvres rétines) Très bon point donc... mais je précise quand même que cela est totalement subjectif, et les joueurs qui n'aimeront pas ce nouveau gameplay, ils vont vite décrocher du jeu tant les combats à livrer sont nombreux! Dernier point, les Gambits et les Permis... pour faire court, les Gambits servent à nous simplifier la vie et les Permis , c'est une sorte d'échiquier type sphérier de Final Fantasy X, mais qui fonctionne de la façon suivante: si vous avez le permis de posséder tel arme ou tel sort, faut-il encore vous l'acquérir à coup de gils. J'ai vraiment aimé ce système, même si à la fin du jeu, il atteint ses limites et perd ce qui faisait son intérêt. En effet, au début, l'originalité est qu'on peut orienter chaque personnage de son équipe dans une spécialité spécifique, mais au bout d'un certain temps, on a tellement de points qu'on ne sait plus dans quoi dépenser et l'échiquier (assez petit je trouve) a été vu tellement en long et en large... qu'au final chaque personnage se retrouve à avoir les mêmes techniques, les mêmes magies, les mêmes capacités, etc... que ses congénères... dommage...


L'occasion de voir la magnifique Fran en mode impulsion ...

Graphisme, Durée de Vie & Composition

Les images parlent d'elles même, et d'autant plus lorsque le jeu est mouvement: Final Fantasy XII est le plus beau RPG de la PS2. Ne parlons pas des cinématiques... rah que c'est magnifique!! Et quel plaisir de voguer vers de nouveaux horizons d'Ivalice bercé sous les musiques si puissantes de Sakimoto, des morceaux épiques à souhait! Selon moi, l'OST de Final Fantasy XII est la meilleur auquel j'ai pu écouter depuis Final Fantasy X. Petite note, le plaisir de marcher sur les terres d'Ivalice est dû en grande parti à la réalisation musicale exeptionnelle de Sakimoto. Bref, cet homme là n'a plus rien à prouver... Enfin, en ce qui concerne la durée de vie, je peux vous assurer que le joueur en a pour son argent. J'ai fini le jeu au bout de 85 heures, bien sûr, je n'ai pas tracé le scénario en ligne droite, non, j'ai pris mon temps... rah quel pied, dans Final Fantasy XII, je respire !! En conclusion? Final Fantasy XII est un chef d'oeuvre, on ressent que l'équipe de développement a travaillé dans la sueur et les larmes pour nous offrir aujourd'hui une telle oeuvre d'art... s'il vous plaît, ne boudez pas leur travail, ce serait considéré comme un crime contre l'art !... (PS: Je n'ai plus qu'une seule hâte, c'est de tâter sa suite sur ma NDS Lite raaaaah I LOVE IVALICE !!)


N'est ce pas magnifique?...

Graphismes: 10/10
Game Play: 9,5/10
Son: 10/10
Durée de Vie: 9/10

Conclusion: 38,5/40

Oh que l'attente fut longue, j'ai bien cru ne jamais le tenir dans mes pognes!... 1... 2... que dis je... 3 ans que j'ai rongé mon frein devant les milles et une images du jeu, sans compter les bandes annonces à foison! Je veux bien sûr parler de Final Fantasy XII... et pour être honnête, je pensai ne jamais pouvoir y jouer un jour. Rah, que du bohneur... Pour les mauvaises langues, je vous ai réservé quelques images pour prouver que je ne dis point de mensonges:








J'y ai pour le moment une heure et des poussières de jeu, mais je compte pas m'arrêter en si bon chemin. Mais je me permet quand même prendre une petite pause pour vous donner une impression ! Le jeu est fabuleux... courir dans les rues de Rabanastre ou parler à un Vaanga est magique... et encore, je n'ai fais que visiter le tiers de la ville ! Je connais déjà par coeur les pistes musicales du jeu, déjà je les trouvais merveilleuses, mais ce sentiment est décuplé par dix avec l'immersion dans l'univers qu'est Ivalice! J'ai pu aussi tâter le système de combat... une chose, ça change un peu les vielles habitudes du tour par tour si cher à la série Final Fantasy... attention, je dis changement, cependant cela ne veut pas dire que c'est une mauvaise chose! Le système de combat apporte un brin de nouveauté, un brin plus d'action tout en conservant quelques notions de base comme le système ATB ou le bon vieux menu de combat. Ce qui m'a le plus surpris, c'est que j'étais habitué depuis plus de dix ans au bon vieux système combat habituel, et j'ai réussi à comprendre et maîtriser cette nouvelle manière de guerroyer en moins de cinq minutes !!...

Bon, je m'en vais à la chasse les amis d'un monstre tomate (si si ), et si j'ai un conseil à vous donner, achetez le... !!...

ou




En ce qui me concerne, j'ai ma petite préférence pour l'édition Final Fantasy... Spoiler :


Et vous, laquelle vous fait le plus craquer?

Je fus depuis toujours un garçon passioné de jeux vidéo, et ma plus vielle expérience remonte à Mystic Quest sur Snes... j'avais alors entre quatre et cinq ans. (je me souviens même que malade (fièvre), j'avai fais un cauchemar du jeu) A l'époque, je ne dinstingais pas le rpg du jeu de course, d'une part, je ne connaissais pas encore les concepts de rpg, wargame ou jeu de course, et d'autre part, je m'en foutais royalement... je prenais mon pied un point c'est tout!...

L'année de mes neuf ans, ce fut l'année 1997, année vidéoludique marqué par un évènement connu de tous.. ou presque tous: Final Fantasy VII. Je me rappelle avoir été intrigué pendant une courte période, ne connaissant pas la série auparavant, par le titre. (ce n'est qu'après la sortie de Final Fantasy VII, que je me suis mis à lire les magazines de jeux vidéo, avant, je n'achetais les jeux que par la boîte) Non point pour son anglais qui sonne bien, mais son chiffre 7. En effet, j'avais déjà vu dans les rayons des suites de jeu ayant le chiffre 2, voir 3, mais jamais 7! Le jour de son achat, cela reposa sur du hasard. Un début de soirée d'hiver, plutôt calme, mon grand frère et moi entrons dans notre magasin de jeux vidéo spécialisé que nous avions l'habitude de nous y rendre, et mon aîné, un ancien passioné des jeux vidéo, après quelques formes d'hésitations marqués par un visage dubitatif, celui-ci m'évoqua avoir eu vent d'un jeu se vendant comme des petits pains ayant pour intitulé Final Fantasy VII. Autant vous dire, que l'achat se fit à l'aveuglette, je me souviens même, que mon frère se montrait encore hésitant devant le comptoir de vente avec la boîte de Final Fantasy VII en main. Puis, une fois rentré chez nous, la console s'alluma aussitôt, et nous fûmes surpris tout en étant impressioné. Nous n'avions jamais rien vu de tel, le jeu était pour nous... bizzare. Mais ce ne fus qu'une question de temps, le temps pour nous de prendre des marques. A noter, qu'au début, je ne faisais que regarder mon frère (puis plus tard mon grand cousin, qui nous rejoigna dans notre nouvelle passion du rpg) jouer, car j'étais trop petit pour m'imposer un minimum, et puis c'était le seul à avoir une carte mémoire. Ah si! les moments de jeu, étant sans carte mémoire, je m'arrêtai toujours aux environs des trains fantômes, peu avant la destruction d'un secteur de Midgard... j'étais plus fou qu'aujourd'hui ... mais au moins, je ne me prenais pas la tête à savoir si c'est du Sony ou du Nintendo, et autres futilités... je prenais juste mon pied !

Puis mon père m'acheta une carte mémoire, et là, c'est comme si il y eut un changement majeur dans ma vie. Ce fut l'extase! J'ai savouré cet épisode dans sa totalité, il n'y eu point un moment de lassitude ou autre, il m'a marqué autant dans l'histoire, les graphismes que les musiques (je me souviens avoir été fan de la musique de la Shinra en la fredonnant à tout bout de champs) et ce qui fait que cette première expérience de Final Fantasy restera unique, est qu'elle est rempli de souvenirs me rendant nostalgique, vis à vis de mon enfance. Pourtant, malgré que je suis un fan chevronné de la série, jusqu'au jour d'aujourd'hui, je n'ai jamais tuer le boss final du jeu... :/ (soit même 10 ans plus tard) Mais je me jure de le mettre hors d'état de nuire, un jour, quand j'aurai du temps libre...

Du coup, ayant adoré (idolatré?) Final Fantasy VII, l'annonce dans les magazines français de jeux vidéo de l'époque d'un certain Final Fantasy VIII, je peux vous certifier d'une chose, rien que le nom nous avait convaincu d'acheter ce jeu sans risque. Cette fois-ci, à la sortie française du jeu, ce fut ma mère et moi, qui partirent acheter le jeu. Nous l'avions réservé à l'avance (toujours dans le même magasin de jeux vidéo spécialisé), et en bonus, j'avais reçu un t-shirt spécial Final Fantasy VIII ! Je me souviens du sens des paroles de la part de la gérante, elle avait dit à ma mère que le jeu se vendait comme des petits pains, et que nous avions bien fait de le réserver, sans quoi nous serions repartis bredouille. Une fois à la rentré, même refrain, mon grand frère attendait avec impatiente notre retour, me prit la boîte Final Fantasy VIII des mains, et monta dans sa chambre pour commencer le jeu. Je le regardais toujours jouer, puis seulement je jouai: je me souviens que nous y avions établi un système une heure chacun avec mon grand-frère, mon grand-cousin et moi. J'étais d'abord le dernier des trois à jouer, et puis ils jouaient toujours plus que moi... rah, j'enrageais !!... Mais étrangement, je devais être un peu sado-maso sur les bords, puisque j'adorai être en compagnie de jeu avec eux, nous étions réunis pour la même passion...

La frénésie Final Fantasy VIII terminé, ce n'est qu'un an (voir un an et demi plus tard) que Final Fantasy IX apparu sur nos terres européennes. Celui-ci... comment dire... c'est l'amour de ma vie rpgiste. C'est LE jeu qui me fit oublier mon environnement terrestre tout au long du jeu pour son univers magique. Pour l'acheter, nous avions explosé un tiroir d'un vieu bureau à moi fermé à clé (bien sûr, étourdi comme j'étais, et que je suis encore, j'avais perdu cette clé) contenant la moitié de la somme nécessaire pour l'achat de Final Fantasy IX, ce fut finalement mon grand frère qui prit son scooter pour aller faire la petite course. Les temps avaient changés, je jouai donc souvent seul, (mon grand-frère et mon grand cousin ayant grandi, ils étaient moins souvent sur le pad) mais cela ne m'a pas empêché de l'adorer au même titre que Final Fantasy VII, sauf pour des raisons différentes...

2002... année de mes 13 ans... année de Final Fantasy X... j'avais acheté ma vielle PS2 actuelle pour ce jeu, j'avais trouvé en peu de temps assez de sous pour l'acheter (à l'époque de mon achat de la console, elle coutait dans les 2000 francs), avec le jeu, le Final Fantasy qui fut le plus cher lors de sa sortie si mes souvenirs sont justes. Effectivement, on se devait, pour se l'acquerir, de débourser la modique somme de 70 €... énorme... Au titre subjectif, c'est l'épisode le plus bizarre de la génération Sony, étant donné que j'avais été très déçu du jeu par rapport à ses prédécesseurs, puis au fil du temps, avec maturité, j'ai su l'apprécier à sa juste valeur...

Malheureusement, ce Final Fantasy marqua la fin de la belle époque rpgiste avec Kingdom Hearts premier du nom... pourquoi? Il semble que la fusion de Square avec Enix mit fin à l'ancien esprit créatrice de Square Soft, celle de créer par sens artistique d'abord, le fric ensuite, et non pas comme la politique marketing d'aujourd'hui avec un Square Enix produisant des jeux en masses que pour le fric... la qualité des jeux s'en ressent... Les jeux comme Final Fantasy Tactics Advance (pourtant que j'ai adoré, mais le fait que ce jeu fut sorti pour renflouer les caisses après les déboires de Square s'en ressent un peu), Final Fantasy Crystal Chronicles, Final Fantasy X-2, Final Fantasy VII Dirge of Cerberus, etc...

Je décrocha donc de la saga, voir même du jeux vidéo... Final Fantasy X-2 n'arrangea rien du tout, pour dire, je ne l'ai jamais acheté, j'y ai bien entendu jouer, mais pour moi, Final Fantasy X n'aurai jamais dû avoir de suite comme Final Fantasy VII: Dirge of Cerberus n'aurait jamais dû avoir été la suite de Final Fantasy VII: Advent Children... toutefois, j'ai confiance en l'avenir de la série... les remakes à venir de Final Fantasy V Advance (16 mars 2007) et Final Fantasy VI, Final Fantasy III, Final Fantasy Crystal Chronicles Ring of Fates, Final Fantasy XII: Revenant Wings, Final Fantasy TA2 le tout sur NDS, avec Final Fantasy VII: Crisis Core et Final Fantasy Tactics: The Lion War sur PSP, ou encore, Final Fantasy XIII et Final Fantasy XIII Versus dans un futur lointain... je ne m'inquiète pas trop ... tiens... c'est bizzare... j'ai l'impression d'en avoir oublié un !...

Qui d'entre vous va l'acheter? Ceux concerné, l'avez vous déjà réservé? Si oui, avec le guide collector ou normal?

Pour ma part, je l'ai déjà réservé il y a un 20 jours environ, et il y avait déjà facile 12 personnes sur la liste de réservation ... mais sans le guide collector ...

Je ne peux pas dire que, depuis samedi au matin, je sois dans mes meilleurs jours: j'ai le nez bouché, j'ai de la fièvre, je tousse à m'arracher la gorge... Quant aux cours, j'ai loupé lundi, et maintenant aujourd'hui, mon état ne s'améliore que peu (je peux aller bien, puis une heure plus tard, j'affiche un 40° fièvre... ). Il faut dire que ces connards de microbe ont choisis la mauvaise période, hé oui, la semaine prochaine, c'est la semaine Bac Blanc. Putain, et moi, au lieu de pouvoir bosser, je reste clouer presque 24/24 h à mon lit. Ma seule occupation faisant passer ces journées (vous savez, les journées pourries, celles où vous faites vraiment rien, vous vous sentez comme une merde), c'est bien sûr Suikoden V. Ce jeu, j'y joue jour et nuit tellement je m'emmerde, bon quoique au moins, je le trouve formidable, même si voir une scène de jeu importante en toussant à en recracher ses poumons tout en reniflant frénétiquement, c'est pas des plus agréables. A l'heure où je vous parle, je vais ien. Je croise les doigts pour aller en cours demain, de quoi me mettre sérieusement au boulot. La période du Bac Blanc est du 5 au 11 Février... puis les vacances commenceront le 23 février... ainsi donc, d'abord l'effort, après le réconfort (Spoiler :
...

Toutefois, il y a une petite nouvelle qui m'a un peu fait plaisir, je pense que la plupart est au courant, ce sont les images de Final Fantasy III dans la langue française (il était temps !!!... ) dévoilées lors de l'interview d'Hiromichi Tanaka... Je n'ai plus qu'une chose: vivement qu'ils dévoilent la date de sortie... (prenons notre mal en patiente pendant quelques jours)

Précisons que le site européen de Final Fantasy XII ouvre dans 7 jours et des poussières (hé oui, le compte a rebours a finalement été plus long que prévu), tandis que le jeu lui même débarque dans 23 jours chez nous... une fois de plus, PATIENCE!...





PS: Merde à tous ceux qui passent également leur Bac Blanc (1ère et Terminale confondu) !

Je parle bien sûr de Suikoden V... jeu, qui est sorti sur nos terres le jour du 21 septembre 2006, pourtant, je n'y avai pas trop fais attention. Il y a quelque jours, je relus un ancien Game Play RPG (jay avait déjà quitté la rédaction), le numéro avec en couverture Final Fantasy XII faisant office d'évènement (époque de la sortie du jeu au Japon), étant donné que j'aime bien de temps en temps relire des vieux magazines avec le recul. Finalement, je passe outre le test de Final Fantasy XII (qui a quand même reçu un 9,5/10, qualifié de douzième merveille du monde), pour tomber sur le test de Baten Kaitos: Origins... bon... je survole les pages... et après quelques tests de jeu par ci par là, je tombe sur un jeu qui aiguise ma curiosité: Suikoden V. Je ne sais pas pourquoi, mais je voue une attention toute particulière à ce jeu (bien que Baten Kaitos: Origins le méritait sans doute tout autant). Je connais la série Suikoden de nom, mais j'avoue ne jamais avoir eu réellement un coup de foudre, voir même une once d'intérêt pour le RPG phare de Konami, mais là, ce cinquième épisode m'intrigue: j'aime beaucoup le design des personnages, et puis... que Game Play RPG a donné un 9/10 au scénario du dernier des Suikoden, avec une critique assez élogieuse, je me suis laissé tenté...

J'ai commencé ma partie depuis dimanche soir, résultat: je ne lâche plus la manette quand j'ai du temps libre! Pour dire, je m'étais promis de terminer avant tout Children of Mana, mais Suikoden V est ma nouvelle drogue. Ce jeu a des personnages si attachants, une intrigue si passionante (si ça avait été un livre, j'en dévorerai les pages! ), des musiques si douces, et d'autres choses qui me donne un plaisir de jeu INTENSE! Bordel! Ô que ça fais un paire d'années que je n'avais pas ressenti tellement d'enthousiasme à me fondre dans un RPG... ce sentiment est même plus fort que pour Kingdom Hearts II, c'est pour dire!

Je n'en suis encore qu'au début (8 heures et des brouettes), mais d'après les fans de la série, et de Suikoden V plus particulièrement, je n'en suis encore qu'au début de mes surprises... Alors je dis Merci Konami pour ce jeu, vous avez réussi à redonner entièrement vie à mon âme de joueur, et EN PLUS devinez quoi?... LE JEU EST EN FRANCAIS!!! !!!

Vous n'avez donc plus aucune excuse de ne pas vous le procurez, je vous promet, c'est un vrai moment de jouissance...

Vous avez sans doute tous entendu parler de ce jeu, il a d'ailleurs été la cible d'une belle polémique. Jeu passable, voir rasoire pour certains, accrochant, voir même superbe pour d'autres, il faut avouer que ceux qui n'ont jamais pu s'essayer au nouveau épisode de la série Mana ont un peu le cul entre deux chaises. J'étais dans cette situation, mais finalement, je me suis décider à me le procurer, d'une pour ronger mon frein avant Final Fantasy XII, puis aussi ma Nintendo DS Lite se devait acceuillir le premier RPG de Square Enix dans le territoire Européen !

Je ne vais pas vous faire un carnet d'humeur, je n'ai joué que 2 heures et des poussières, mais je peux quand même donner une première impression: si il y a un point à ne pas remettre en cause, c'est bien la beauté de ce jeu. Dès la console allumé, on a droit à une introduction en dessin animée très bien foutu, et une fois l'option Nouvelle Partie choisie, on remarque que la 2D est sous ses meilleurs jours. Le meilleur exemple semble être le village, il est tout simplement superbe, et on se dit que la NDS Lite en a quand même dans le ventre, Children of Mana brille de mille et une couleurs!... Je me rappelle, qu'à l'époque de son apparition dans la presse, bon nombre de joueurs avaient déplorés le contraste graphique entre la 2D du village, similaire à du Legend of Mana, et la 2D des donjons, similaire à du Sword of Mana. Je peux vous affirmer que la 2D utilisé des donjons n'est pas comparable à Sword of Mana, tant elle est plus belle, beaucoup plus coloré et fluide (au niveau des décors et des combats). Je viens de finir le deuxième donjon du jeu, je ne vais pas crier au génie, mais j'avoue que c'est plutôt plaisant à tâter du monstre dans l'univers d'Illusia. Bon, comme promis, je vous ponderai un carnet d'humeur sur Children of Mana, quand j'aurai atteint les 10/15 heures de jeu ...

Ces temps ci, tous les yeux sont rivés sur Final Fantasy XII, qui arrive dans un peu plus d'un mois en Europe tout beau tout frais, j'ai alors décidé de m'occuper en attendant avec d'autres jeux. Et voilà, que je trouve Final Fantasy VII: Dirge of Cerberus au prix de 27€ et des poussières, neuf sous emballage, n'attendant plus qu'un joueur acharné... je ne réfléchis pas à deux fois, étant un amoureux inconditionnel du septième opus de la grande série, et une fois reçu dans ma boîte aux lettres par le biais de la poste, je fonce le prendre pour aussitôt y jouer dans ma chambre!... Pourtant, ce jeu ne m'avait, (déjà) à l'époque, pas inspiré grand chose, son univers glauque avec un Vincent en guest star pour dégommer tout ce qui bouge dans les rues de Nibelheim à l'aide de son arme fétiche, non merci... cependant, avec un prix aussi bas pour un jeu PS2, neuf et d'actualité, j'ai craqué...



Fable

L'introduction (en image de synthèse) de Final Fantasy VII: Dirge of Cerberus est assez impressionante, offrant une qualité similaire à Final Fantasy VII: Advent Children, elle montre la ville de Kalm subissant, alors en pleine festivité, un raid de troupes armées inconnues. La mise en scène est au poil, et confirme une fois de plus ce que l'on sait: Vincent a une classe monstrueuse tant soit dans son attitude que dans sa manière de venir à bout de ses adversaires. Quand le joueur sera remis de ses émotions, après cette grosse claque (du moins fort agréable), il devra secourir les civils des griffes des monstres lâchés dans la foule et des soldats d'élites... Ce n'est que le début d'une aventure, dans laquelle, Vincent sera confronté à bon nombre d'adversaires, mais aussi de questions...



Histoire

Je ne vais pas m'étendre trop sur le sujet, au risque de spoiler, je vais simplement répéter ce que la majorité des joueurs savent: Final Fantasy VII: Dirge of Cerberus se situe trois années après la chute du météore et du grand affrontement entre Séphiroth et Clad principalement. Heureusement pour la planète et ceux qui l'habitent, le météore (le grand problème, une fois Séphiroth mis hors d'état de nuire) n'aura pas eu raison d'eux grâce à l'intervention de la Rivière de la Vie. Cependant, bien que la planète ne fut pas détruite, elle subit beaucoups de souffrances, et retrouve doucement mais sûrement ses couleurs d'autrefois... depuis le terrible combat contre Sephiroth au terme duquel la planète faillit périr. Cette épisode de la Compilation of Final Fantasy VII est celui qui est le plus projeté dans l'avenir, où tout au long de l'aventure, nous découvrirons sous toutes les coutures l'ombre de Vincent Valentine: son passé. Je précise que cette suite ne fut pas écrite, contrairement à Final Fantasy VII: Advent Children, au scénariste de Final Fantasy VII, à savoir Kazushige Nojima, mais par quelqu'un d'autre. Cela s'en ressent... pourquoi? Et bien, le jeu livre un scénario présentant quelques incohérences avec l'histoire du septième opus, rien de grave en soit, mais le fan de Final Fantasy VII grince un peu des dents... J'ai une autre critique à faire, si Final Fantasy VII: Dirge of Cerberus donne envie au joueur de continuer par son script, et se présente fidèle à l'ancêtre (Final Fantasy VII), mais que le douzième chapitre, le chapitre final, laisse une fin aussi grotesque que ridicule? Ca m'a noué le ventre de voir une fin tellement... tellement... elle gâche tout. Je ne sais pas ce qui a pris l'équipe de développement du jeu, mais je crois qu'ils ont pris un peu trop de susbtances illicites... Bien sûr, cet avis est tout ce qui a de plus subjectif, mais dans son test de FFWorld, KujaFFMan avait écrit: J'imagine déjà que la fin ne sera pas du goût de tout le monde. Un peu trop héroïque, voire même... pire ? C'est un style particulier, oui. Un style particulier, peut-être, mais qui fais bien tâche je trouve à l'ensemble du jeu... Mais cela n'en tient (je le précise) qu'à moi, et l'histoire n'est pas mauvaise, mais elle me donne un goût d'un travail d'écriture fait à la va vite, faisant office de collage à l'histoire principale de Final Fantasy VII. C'est bien simple, j'ai l'impression que l'histoire de Final Fantasy VII: Dirge of Cerberus n'a pas été écrite dans la nécessité d'écriture, mais dans la nécessité d'une histoire sous forme de prétexte à faire du fric dans le dos des fans. C'est pourquoi, quand j'ai vu l'écran de fin, j'ai eu un sentiment à la fois ravi, mais également de deception, qui m'envahissait tout le corps, assez désagréable comme sensation...



Game Play

L'univers de Final Fantasy VII est vraiment respecté, ainsi l'atmosphère froide et un peu inquiétante des lieux est préservé. Si on voit parfois de vielles têtes (comme Youffie ou Cid par exemple), dans cet opus, nous faisons également la rencontre de moultes nouveaux personnages: notamment l'équipe d'élite (ils sont au nombre de cinq) de Deepground. (ex: Rosso ) Sinon, il est bon de rappeler que Final Fantasy VII: Dirge of Cerberus n'est PAS un RPG, mais (d'ailleurs Square Enix aime bien le définir ainsi) un Gun Action RPG. (un jeu à la Devil May Cry sauce Final Fantasy) Si la boîte est connu mondialement pour ses jeux du genre RPG, il en est de tout autre pour ses créations vidéoludiques d'autres genres. Final Fantasy VII: Dirge of Cerberus fut vivement critiqué, lors de sa sortie au Japon, pour sa prise en main assez désagréable, voir aux dires de certains désastreuse. Toutefois, l'équipe s'est remis aussitôt au boulot pour remédier à ce problème irritant les joueurs, résultat, la version américaine et européenne ont eu des améliorations au niveau du game play, et en effet, on sent que l'effort a été fait, en outre, les contrôles sont plus agréables. En revanche, au niveau du menu (entre autre pour la gestion des objets), je trouve que c'est mal géré, pourquoi on ne peut disposer que d'un nombre restreint d'objets? (par exemple, on ne peut disposer de plus de deux potions +) Bon, je vous rassure, c'est loin d'être handicapant, c'est juste frustrant... De plus, le joueur dispose de plusieurs armes et autres équipements de soutien, qu'il pourra tout au long du jeu amélioré en échange de gils. Bref, sans être un must du genre, après un temps d'adaptation, Final Fantasy VII: Dirge of Cerberus donne tout de même du plaisir à tuer machine et soldat dans les lieux récurrent de Final Fantasy VII, et c'est l'essentiel...



Graphisme, Durée de Vie & Composition

L'aspect visuel du jeu est assez soigné: les scènes cinématiques sont superbes, les cut-scènes donne un grand spectacle, nous laissant assisté à des scènes poignantes, et le jeu en lui même, même s'il subit des ralentissements (toutefois peu souvent), ne fait pas pâle figure face à ses concurrents. Je ne pense pas, qu'il y a à redire là dessus, et puis vous avez à disposition des images du jeu, et si vous n'êtes pas satisfait, vous pouvez toujours vous lancez à la recherche de vidéo... Bien, nous passons à présent à ce qui est l'une des choses les plus sensible chez l'homme: la musique. Autrefois, j'étais loin d'avoir le jeu sous la main, (si je me rappelle bien, celui-ci venait seulement d'atteindre les côtes nippones) j'avais écouté toutes les pistes de l'OST du jeu. Pour être honnête, je trouvai cela assez plat, comment dire... je ne ressentais pas de frissons, je n'étais pas emballé quoi!... Puis aujourd'hui, j'en ai un tout autre avis, pourquoi donc? C'est bien simple, je pense qu'on ne peut écouter les pistes musicales sans jouer au jeu, car ils sont indissociables. Elles sont plus proche du style propre à Metal Gear Solid avec un air fantaisiste, que de l'OST de Final Fantasy VII. Un style particulier, mais qui n'est pas à en déplaire... enfin c'est toujours la même chose, c'est une question de goût: certains accrochent, d'autres n'accrochent pas, point barre. Enfin, en ce qui concerne la durée de vie, sans être faramineuse, elle est honnête: pour finir les douzes chapitres, le compteur doit gros afficher les vingt heures, pour les joueurs acharnés, enlevez cinq à sept heures... En conclusion, Final Fantasy VII: Dirge of Cerberus n'est ni un mauvais jeu, ni un chef d'oeuvre, c'est un bon jeu. (il est quand même conseillé, en priorité, pour les fans du septième opus) Il dispose de personnages attachants, d'un univers immersif, d'un OST sympathique, d'un game play original, et d'une histoire accrochante. Je donne quand même un mauvais point pour sa fin, qui m'a déçu, mais déçu... en faite c'était niais... j'étais comme un con devant ma télévision à sept heures du matin dégoûté de Square Enix et sa nouvelle politique commerciale... je comprends maintenant pourquoi Sakaguchi et les anciens ont formés leur propre boîte de jeu... (et je les encourage de tout mon coeur !!!)

Graphismes: 8,5/10
Game Play: 7/10
Son: 8/10
Durée de Vie: 6/10

Conclusion: 29,5/40

Je reprends les propos de KujaFFMan dans son article de FFWorld:

Comme toujours, la société Piggyback a conçu le guide officiel européen de Final Fantasy XII. Il s'agira de leur plus gros ouvrage, fort de ses 304 pages. Et pour la première fois, nous aurons droit à une édition limitée avec une jaquette imitant le cuir et une reliure cousue. Elle sera disponible le même jour que le jeu, c'est-à-dire le 22 février, au prix de 24,99 euros. L'édition normale sortira deux semaines plus tard pour 19,99 euros.

Le guide sera comme toujours une vraie bible, puisqu'il proposera le cheminement complet de la quête principale et des quêtes secondaires, des suppléments pour finir le jeu à 100%, des tactiques pour maîtriser au mieux les gambits, des cartes en 3D de chaque niveau pour repérer tous les ennemis et les objets, une présentation lisible avec un index complet, des artworks et des images de haute qualité.

A noter que Final Fantasy XII est fixé pour le 22 février (et non plus le 23), on aura gagné un jour pour pouvoir tâter cette merveille !!!... Et puis, si j'ai assez de thune, je vais me prendre le guide à 24,99 € avec le jeu tiens !!

Comme chaque année, Enterbrain (Famitsu) a publié la liste des 100 meilleures ventes de jeux de l'année précédente au Japon. (hé oui, on est en 2007) Je vous propose les 5 premières meilleurs ventes au Japon, puis je ne vous donne que les ventes des jeux SE de l'année 2006...

1. Pokémon Diamond / Pearl
(support: NDS) (date de sortie: 22/09/06) (vente totale 2006: 4.302.815)

2. New Super Mario Bros
(support: NDS) (date de sortie: 30/06/06) (vente totale 2006: 3.818.214)

3. More DS Brain Training
(support: NDS) (date de sortie: 29/12/05) (vente totale 2006: 3.748.638)

4. Animal Crossing Wild World
(support: NDS) (date de sortie: 23/11/05) (vente totale 2006: 2.485.264)

5. Final Fantasy XII
(support: PS2) (date de sortie: 16/03/06) (vente totale 2006: 2.322.329)

11. Final Fantasy III
(support: NDS) (date de sortie: 24/08/06) (vente totale 2006: 935.390)

18. Dragon Quest Monsters Joker
(support: NDS) (date de sortie: 28/12/06) (vente totale 2006: 633.084)

24. Dirge of Cerberus : Final Fantasy VII
(support: PS2[/i]) (date de sortie: 26/01/06[/i]) (vente totale 2006: 513.157)

33. Valkyrie Profile 2
(support: PS2) (date de sortie: 22/06/06) (vente totale 2006: 401.687)

35. Kingdom Hearts II
(support: PS2) (date de sortie: 22/12/05) (vente totale 2006: 391.544) [précisons que le jeu s'est vendu à environ 800 000 exemplaires fin 2005]

42. Dragon Quest Yangus
(support: PS2) (date de sortie: 20/04/06) (vente totale 2006: 301.755)

46. Children of Mana
(support: NDS) (date de sortie: 02/03/06) (vente totale 2006: 281.083)

50. Final Fantasy V Advance
(support: GBA) (date de sortie: 12/10/06) (vente totale 2006: 243.443)

55. Dawn of Mana
(support: PS2) (date de sortie: 21/12/06) (vente totale 2006: 229.524)

56. Final Fantasy VI Advance
(support: GBA) (date de sortie: 30/11/06) (vente totale 2006: 223.320)

64. Front Mission 5
(support: PS2) (date de sortie: 29/12/05) (vente totale 2006: 203.060)

83. Valkyrie Profile : Lenneth
(support: PSP) (date de sortie: 02/03/06) (vente totale 2006: 168.515)


A noter que Final Fantasy XII s'est plutôt bien vendu contrairement aux mauvaises langues, Final Fantasy III va bientôt atteindre le million, et les remakes de Final Fantasy V et Final Fantasy VI s'en sortent pas mal. Au contraire, Dawn of Mana, semble se vendre modérement, mais ses ventes sont toutefois décevantes comme il ne s'agit pas d'un remake, mais du nouveau Seiken. Et j'ai quelques informations à faire part: on raconte que Final Fantasy VII: Crisis Core serait à 65% de son développement, et le gros scoop, ASH serait à la fin de son développement! (j'ai fais un article dessus il n'y a pas si longtemps )

La sortie de Final Fantasy XII en Europe avance à grand pas, mais l'attente se montre toujours autant interminable... pour dire, l'ouverture du site européen, c'est dans 22 jours... (après tout, 22 jours, c'est pas beaucoup si on se veut optimiste)

Ce que je vous propose aujourd'hui, c'est plusieurs avis de personnes ayant joué à la version US du Final Fantasy de Matsuno, ponctué par quelques images du début du jeu (rassurez vous, il n'y a pas de SPOIL)... je ne sais pas vous, mais j'en ai marre de baver devant tout ça (mais je suis un peu sado maso )...



Sylphide - 31/10/2006

Après un X-2 relativement frustrant, Square Enix devait réagir, et on peut dire que c'est réussi ! Tout d'abord effectivement au niveau des graphismes; on est directement plongé dans un monde peuplé plus réaliste que jamais dans un RPG. Tous les paysages y passent, il y en a pour tous les goûts, et surtout cela donne un sentiment d'aboutissement. On pourrait se permettre de faire le rapprochement avec par exemple le IXème opus tandis que le système d'exploration ressemble plus à Star Ocean 3 (si on ne prend pas en compte les combats) : un vaste monde avec des villes séparées par des grandes zones à parcourir.
Pour ma part, la bande son m'a convaincu dès le début; je ne me suis pas posé de questions sur le compositeur, si c'était du Nobuo ou autres, j'ai simplement écouté et trouvé bien. Il s'agit en tout cas d'un style qui colle vraiment bien à l'environnement.
Côté scénario, l'avis est mitigé. On a d'une part une histoire et des personnages forts intéressants et vraiment bien présentés. Le problème, si j'ose dire, est que tout est sous-exploité. On a un niveau très correct, mais qui aspire à une continuité lacunaire. En effet, certains personnages, qu'ils soient des protagonistes ou pas, ne sont pas assez dévéloppés et on a l'impression de se trouver dans un contexte déjà bien entamé et parfois incompréhensible. Cependant le plaisir de découvrir ce vaste monde est bien là, d'où justement le réflexe de dire c'est pas assez.
Une des grandes nouveautés, et réussites, sont les combats. Contrairement à par exemple Kingdom Hearts 2 (où la majorité des combats se terminent en appuyant sans cesse sur le même bouton), il faut lancer un sort approprié au monstre ou à la situation des personnages. On a donc une maîtrise totale des combats. D'autres fonctionnalités viennent appuyer cette maîtrise comme le système des 'Permis' ressemblant un tantinet au sphérier du X, ou encore les 'Gambits' qui permettent d'automatiser les actions de vos personnages par des conditions.
On a donc pour finir un grand jeu qui valait la peine d'être attendu. Tellement bon que malgré toutes les nouveautés jouissives, on va chercher bien loin les petits défauts qui empêchent le jeu de dominer ses prédécesseurs, mais d'être classé parmis les meilleurs de la saga.

19/20



Delldongo - 16/11/2006

Final Fantasy XII, un jeu très longtemps attendu, depuis une époque tellement immémoriale qu'en réalité j'avais appris à ne plus l'attendre. La première chose, indiscutable, qui frappe d'entrée de jeu, est la qualité technique du titre. C'est bien simple, de ce point de vue, FF12 ramasse absolument tous les autres jeux, tout support confondu. Aliasing inexistant, temps de chargement réduit au minimum, textures riches, quasiment aucun ralentissement : on se croirait presque sur une console nouvelle génération si ce n'était une distance d'affichage des NPC plus que modeste. Mais cette technique ahurissante va de paire avec un univers cohérent et homogène qui offre à nos yeux une esthétique incroyable qui permet une immersion totale dans Ivalice. Et heureusement ! car ce nouvel épisode nous ramène eux plus belles heures de la saga, rappelant avec délectation les ambiances d'un ff2, ff6, voire ff9. Le jeu dispose donc d'un souci du détail hors du commun, FF12 est fignolé comme rarement un jeu aura pu l'être. Quand d'autres jeux débarquent dans des versions quasiement bêta, bourrés de bug, on ne peut s'empêcher de penser qu'on a bien fait d'attendre ...
Bizarrement, c'est au niveau musical qu'on est peut-être le plus déçu aux premiers abords. Je n'ai pas trop aimé au début le fait que Sakimoto impose son style si reconnaissable, mais après plusieurs heures de jeu, on se rend compte à quel point il a tissé un univers cohérent et à l'image des innombrables lieux d'Ivalice avec un talent hors-norme, créant ainsi pour moi une des meilleures bande-son de la série. Que ceux qui cèdent au cliché du Sakimoto exclusivement épique (comme je pouvais l'être au début) remballent leurs idées : il y a de tout dans cette OST, chaque thème est inoubliable et marquant.
Derrière un scénario faussement naïf, on découvre d'abord un monde où le joueur possède une très grande liberté (trop ?), des personnages intéressants (sauf Penelo, pièce rapportée inutile et sans aucun intérêt) et charismatiques. D'ailleurs, Vaan est-il le vrai héros ? Mais y a-t-il seulement un héros ? Ashe est celle qui s'en rapprocherait le plus. Un très bon point, même si le scénario proposé est un peu trop dilaté et dont il est difficile de saisir tous les tenants et aboutissants à la première partie. Mais il faut dire que la durée du soft est énorme, et atteint facilement les 60 heures, et nettement plus de 100 avec les quêtes.
Le gameplay sera la partie la plus sujette à débat à mon avis. Le système de combat d'abord est en réalité très proche à un tour par tour en ATB (exactement comme dans FF4 !), mais tous les affrontements se déroule dans l'écran d'exploration. Ce qui change tout et a conduit les développeurs à inventer un nouveau système de penser les combats, ou plutôt les actions. En effet, ils sont partis de l'idée simple que plutôt de dire 1000 fois à son héros de donner un coup d'épée, d'offrir la possibilité au joueur de le dire une fois pour toute. Le système des gambits fonctionnent donc d'une manière plus ou moins automatique (par exemple, votre perso guérira tout allié avec un total HP inférieur à 60%, ou tel magicien lancera un sort de feu sur tout monstre faible face à cet élément, etc). Les possibilités sont nombreuses, tactiques et très intéressantes, surtout vers la fin du jeu, mais le paradoxe que plutôt que de dynamiser les combats, on passe plus son temps à les planifier avant et à regarder le tout se dérouler, intervenant en cas de problème seulement et contre certains boss. Voilà la chose qui m'a laissée le plus perplexe, mais qui ne m'a pas gêné plus que ça, étant donné les possibilités tactiques le déroulement plus que rapides des affrontements.
Concernant le système de Licences (Permis dans la version française), il m'a également laissé sur ma faim, m'attendant à plus de mystère, alors qu'en venir à bout est finalement assez rapide, ce qui en réduit d'autant l'intérêt finalement.
En dehors de ces quelques petits défauts, qui dans le fond s'intègrent parfaitement au jeu et passent très bien, le jeu est terriblement accrocheur et se laisse jouer comme rarement un RPG m'avait attiré dernièrement. Il est juste étonnant de se trouver en face d'un jeu finalement assez simple provenant d'une équipe qui a réalisé notamment Vagrant Story et Breath of Fire Dragon Quarter ; là-dessus, les sirènes du grand public ont sans doute pris trop d'influence. Dommage, mais FF12 termine en beauté le passage de la série sur PS2, et surtout renouvelle la saga avec brio.

18/20



Aciel - 18/11/2006

Un peu comme Dell, FF XII était pour moi LE RPG que j'attendais mais à force j'ai fini par m'en désintéresser complètement et par rejeter la moindre news qui spoilait de plus en plus à mon goûts. J'avais aussi la volonté de me préserver de description exhaustive du jeu afin de découvrir ce nouvel opus par moi-même.
Dès le début, le jeu nous plonge dans une ambiance mouvementée qui nous initie au gameplay. Ce dernier ne change pas dans son principe des anciens épisodes et on retrouve la jauge ATB que le X avait honteusement fait disparaître. La nouveauté c'est qu'ici, tout se passe de manière interactive, on se balade, un ennemi arrive et hop on passe en mode combat comme dans star wars kotor (d'ailleurs le donjon final m'a clairement rappelé la fin de ce jeu (kotor j'entends) à presque tout point de vue) mais avec les règles plus recherchés et abouties des FFs. Le dynamisme obtenu est vraiment excellent et la mise en scène des combats plus énergique que jamais. Un pas avait déjà été franchi avec FF X-2 qui nous permettait des attaques simultanée et rapide mais cette fois-ci, on peut en plus se déplacer assez librement durant les échanges. Ca peut paraître complexe mais la prise en main est quasi instinctive. Le système de gambit apporte un plus excellent vu que tout peut-être désormais géré automatique par nos soins, le fin du fin étant presque au final de pouvoir lancer un combat, poser la manette et voir nos personnages combattre selon notre volonté.
Le système d'évolution est aussi excellent, il rappelle un peu le sphérier mais est clairement plus intéressant et abouti avec une progression qui répondra cette fois-ci vraiment au demande et choix du joueur.
Autre point très positif, les graphismes mais surtout l'esthétisme. Le jeu est superbement réussi de ce point de vu là, l'univers général et non seulement sublime mais très immersif et en jouant à ff xii on pénètre également dans un univers cohérent et bien orchestré. A ce niveau là, on voit où toutes ces années d'attentes sont passées, le résultat est clairement supérieur au X (avec desormais une caméra amovible) et une mise en abîme, une profondeur de champ et une mise en scène des plus réussis. Fini les donjons avec quelques couloirs, ce sont de véritables entités que l'on visite, des lieux vraiment énormes. C'est d'ailleur sun autre point positif, les donjons, sans être trop complexes, sont vastes et demandent bien plus de réflexion que les 5 pièces des petites allés de FF X. De plus, les espaces en extérieurs n'ont plus rien de linéaire et la carte devient véritablement utile ici. On se balade avec bcp de plaisir dans le monde d'Ivalice et parfois même on finit par tomber sur des régions au niveau bien souvent trop élevé pour nous démontrant que la linéarité a été grandement revue à la baisse. Le joueur est bien plus libre de ses explorations. On sent parfaitement que le gameplay et le côté aventure ont été très développés pour le plus grand bonheur des joueurs.
Concernant l'ost, l'ensemble est de très bonne qualité. Sakimoto nous compose toujours des morceaux d'ambiance plus ou moins réussis mais dont la qualité générale est plus que bonne et certains morceaux sont de véritables odes à l'aventure et l'exploration.
Malheureusement tout cela n'est pas idyllique car si l'équipe en charge du jeu a bien bosser sur le gameplay et les graphismes, le scénario déçoit. J'ai déjà été déçu de ne pas retrouver la thématique scénaristique qui avait été annoncée lors des premières images du jeu (vu que j'ai arrêté de lire les infos sur le jeu par la suite, ça peut aussi s'expliquer) mais surtout, ce dernier donne l'impression d'avoir été traité rapidement. Il suffit d'ailleurs de voir les artworks lors des crédits de fin pour se dire que tout ce qui avait été prévu n'a semble t'il pas été programmé, loin de là. Il est vrai que je n'aurai pas aimé retomber dans les travers de FF X où l'histoire prenait le pas sur l'avancée du jeu et parfois de manière honteusement racoleuse, mais il faut avouer qu'hormis le début et la fin du jeu, le scénario de FF XII n'occupe pas bcp de place au sein du jeu. Pas mal d'événements sont vécus avec un oeil externe de la part du joueur qui se doit d'imaginer ce qui a pu se passer et que les événements servent surtout à nous donner une autre mission. Les personnages sont sous-traités à l'exception d'Ashe et Balthier. ils ne sont pas inintéressant pour autant mais j'ai déjà été déçu que l'on ait que 6 personnages au final (ceux présentés pratiquement dès le début quoi) et qu'en plus Penelo et Vaan ne servent à rien surtout que ce dernier ait des un sens labelisé comme le héros. C'est lui qu'on dirige dans les villes et le groupe est d'ailleurs défini comme le groupe de Vaan pourtant Vaan ne représente rien et ne fait que lancer l'intrigue et sans l'histoire de son frère n'a aucune légitimité, comme Penelo, dans cette aventure. Au final, Vaan, sorte d'Hugo version FF, ne sert qu'à remplir la case du lond aventureux et espiègle dans le but d'attirer un certain public uniquement. Heureusement, Vaan arrive à ne pas être aussi ridicule que Tidus (même si je ne l'aime pas non plus au final) et Penelo n'est pas aussi crispante que ce que j'aurai pu le craindre. Le véritable héros c'est clairement Ashe, elle domine d'ailleurs largement le casting (avec Balthier, la classe total) par sa classe et un certain charisme bien au-delà des précédentes héroïnes de la série. Dommage aussi pour Basch et Fran qui ont visiblement un passé et une histoire très intéressante mais qui a une certaine tendance à nous laisser sur la faim comme l'intrigue. C'est d'ailleurs représentatif du scénario global ce qui est regrettable car celui-ci, pour le peu qu'il se montre, est maîtrisé de manière magistrale et je n'ose imaginer le résultat s'il avait été plus abouti et que l'équipe avait pu lui donner un bon rythme scénaristique malheureusement inexistant.

FF XII joue clairement la carte de l'aventure et se base sur son gameplay et le jeu avant tout et au fond c'est ça avant tout un RPG. Alors même si au final, je regrette que le scénario ne soit pas plus développé (ça n'empêche pas la fin d'être énorme au passage), on prend beaucoup de plaisir à jouer, voyager dans cet univers prenant car les FF ça reste des jeux passionnants avant tout et non des films interactifs. La durée de vie est importante, c'est même sans doute le plus long FF en ligne droite. FF XII est contrairement à son prédécesseur (FF X), un jeu intelligent qui marque un retour au source efficace ou le travail et l'intérêt du jeu passe avant tout dans son gameplay extrêmement bien construit (de loin le meilleur de ces dernières années) plutôt que dans un scénario facile. Maintenant, il est clair que tous les joueurs qui ne jurent que par FF X risquent d'être déçus mais pour ma part, FF XII surclasse totalement ce dernier et s'impose comme un des meilleurs (le meilleur ?) RPG de la PS2. Plus ludique, plus immersif et mature, cet épisode termine en beauté la série sur PS 2. En espérant que FF XIII suive cette voie

19/20



Messieurs, Mesdames, Mesdemoiselles, réjouissons nous tous, Final Fantasy XII arrive le 23 Février chez nous, acceuillons le comme il se doit!!! (ah oui, n'oubliez pas de ramener 60€ sur vous, oui, dans ce domaine, il est un peu chiant)

Pour suivre et clore l'histoire de mon article traduisant mon désespoir quant à acquérir une NDS Lite White après Noël avec tous ces
on que je me prenais à la gueule, je ne voyais plus aucune chance d'en avoir une... seulement voilà, comme l'adage dit impossible n'est pas français, j'ai (comme à mon habitude) parcouru le topic Nintendo DS du forum JF, et j'ai eu la chance de tomber sur une personne susceptible de me vendre une Nintendo DS. Je m'entretiens avec cette personne, et j'avoue avoir été au départ un peu méfiant (internet, milieu de l'arnaque m'a toujours martelé maman), mais j'ai décidé finalement de faire confiance à cette personne, et de lui en acheter une après quelques hésitations...

Et comment dire... je ne le regrette pas du tout, à un prix honorable, j'ai pu m'acquérir ( ENFIN ) une Nintendo DS Lite White comme je l'avais souvent rêver!!... En plus, ce vendeur (que je nommerais pas ) a fait preuve d'un envoi sûr, rapide, et d'une console protégé parfaitement: un vendeur sérieux, sympathique, bref à recommander !!...

Je redis donc un gros MERCI à Pyou !!!.... (non, je ne suis pas gay )

Pour le moment, je n'ai que Yoshi's Touch & Go! comme jeu Nintendo DS, mais je compte peut-être m'acheter Children of Mana d'ici une dizaine de jours, si non, je ne louperai pour rien au monde le mastodonte... F I N A L F A N T A S Y III!!... qui (je le rapelle) sort pour le printemps 2007 en Europe...

Je clos cette mésaventure, qui au final se termine bien alors que tout prouvait le contraire, où l'intervention du sauveur Pyou s'avéra déterminant (bon j'avoue que j'exagère un peu trop là ), sur ces quelques images, et à tous les amoureux de la nouvelle portable de Nintendo, ainsi qu'à tous les amoureux du RPG, je vous dis ENJOY!!!

Après moultes remake de ce jeu de légende, voilà qu'il se voit inclus dans la compilation Finest Fantasy for Advance (comprenant Final Fantasy IV Advance, Final Fantasy V Advance et Final Fantasy VI Advance) destiné à la Game Boy Advance (ou à la Nintendo DS indirectement). Final Fantasy V est déjà sorti au Japon et aux USA, il est donc naturel, qu'il se prépare à débarquer sur les côtes françaises dorénavant...

Figurez-vous, nous avons enfin une date précise! Laquelle? Final Fantasy V Advance sortira le 16 Mars 2007 en Europe, chauffez déjà vos GBA j'vous dis !...

Entre parenthèse, premièrement, Famitsu a donné un 32/40 au jeu lors de sa sortie au Japon, ce qui est assez honnête, puis je vous rappelle que l'année 2007 sera l'année Final Fantasy en Europe, avec Final Fantasy XII pour le 23 Février 2007, Final Fantasy V pour le 16 Mars 2007, Final Fantasy III pour le printemps 2007, et sans compter encore Final Fantasy VI, qui n'est pas encore daté...