La notion de chef d’œuvre oublié relève autant du fantasme que de la réalité. Il est de vrai qu’il est assez croustillant de penser que le patrimoine d’un domaine artistique renferme, dans des coins sombres et oubliés, quelques pépites qui ne demandent qu’à revoir un peu le soleil. Qui ne s’est pas demandé un jour si la littérature française ne contenait pas un deuxième Balzac ? Si le cinéma ne possédait pas, dans des archives poussiéreuses, quelques films d’un Clouzot ignoré ?
C’est un fantasme bien légitime que celui-ci, un fantasme qui semble reposer autant sur une envie secrète de découvrir quelque chose que les autres n’ont pas vu que sur un désir profond d’accéder à ce que l’on fit de mieux dans tel ou tel domaine. Kid Dracula se rapproche grandement de cette idée du chef d’œuvre oublié. Œuvre de Konami bourrée de qualités avec une identité forte, elle méritait bien une chronique.
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