L’embargo touche à sa fin pour Portal 2, petit tour des quelques tests français disponibles :

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Graphismes (14/20) :

Le moteur graphique n'est pas le point fort du jeu. Le Source Engine prend vraiment de l'âge malgré quelques mises à jour et on reconnaît des textures issues de Half-Life 2. Par ailleurs, sur Xbox 360, l'aliasing est étrangement très prononcé alors que les versions PS3 et PC n'en souffrent pas. Heureusement, l'esthétique et le design sauvent la mise et il suffit d'avoir admiré Atlas ou P-Body se prendre un mur en plein saut pour pardonner les lacunes techniques.

Jouabilité (19/20) :

Jouer à Portal 2 c'est redécouvrir le bonheur de faire face à une énigme complexe, qui semble insoluble et qui pourtant dispose d'une solution qui à la fin nous semble si évidente qu'elle en est forcément géniale. Les mécaniques sont intelligentes et le gameplay est aussi original que novateur, en solo comme dans l'excellentissime mode coop.

Durée de vie (16/20) :

Le temps de complétion du mode solo varie pas mal d'un joueur à l'autre, on comptera de 8 à une bonne dizaine d'heures selon les cas. Le mode coop pourra vous tenir en haleine entre 6 et 8 heures. On rejouera facilement au solo rien que pour l'ambiance.

Bande-son (19/20) :

La B.O. mise sur la musique électronique, à la fois discrète et de qualité, ce qui colle à la perfection à l'univers. Les doublages en V.O. sont d'une qualité rare, essentiellement grâce à l'acteur Stephen Merchant (Wheatley). La V.F. n'a pas non plus à rougir et dans les deux cas, les dialogues sont jouissifs.

Scénario (17/20) :

Le scénario comprend quelques rebondissements, et un éclairage sur l'histoire des laboratoires Aperture mais surtout, c'est l'univers si particulier de Portal, coincé entre les Monty Pythons et Kafka, qui transpire de chaque bout de mur, que l'on aime et qu'on ne veut plus quitter. Notez que si vous espériez la mise en évidence du lien entre Portal et Half-Life, n'en attendez pas trop au-delà du clin d'oeil.

Note générale (19/20 ) :

Dans ses mécaniques autant que dans son écriture, Portal 2 est tout simplement brillant, intelligent et terriblement drôle. Un constat qui vaut aussi bien pour son mode solo que pour son mode coop qui convertira même les allergiques au multijoueur. Un titre résolument incontournable doté d'un gameplay sans cesse renouvelé et de répliques qui ne tarderont pas à devenir cultes.

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Les + :

- Gameplay de génie, toujours plus riche
- Best Level Design Ever ?
- Narration intégrée sans égale
- Direction Artistique en pleine maîtrise
- Multi Coopératif renouvelé
- Histoire captivante
- Parmi les meilleurs personnages crées pour un jeu vidéo
- Fin grandiose

Les - :

Rend 99% de la production vidéoludique fade en comparaison

Conclusion (10/10) :

On s'attendait à une claque, on a hérité d'un chef d'œuvre. Alliant la pratique d'un gameplay profond et la constante motivation « affective » à poursuivre le récit, l'aventure solo est le fruit d'une alchimie rarissime qui suffit à justifier un engouement sans borne. Si l'on considère l'ajout d'un mode multijoueur novateur totalement captivant, pour une durée de vie totale impressionnante pour un titre de ce niveau. A tous points de vue, Portal 2 est cet immense jeu caché dans les replis du premiers épisode, qui n'a jamais tant fait figure d'introduction. Gamers de tous bords, réjouissez vous : il s'agit des titres phares de la décennie naissante.

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On aime :

- Je n'avais pas autant ri devant un jeu depuis longtemps
- Superbement écrit et mis en scène
- Des mécaniques de jeu impeccables
- Le coopératif aussi conséquent que jouissif
- De vrais succès savoureux à découvrir

On n'aime pas
- Un deuxième acte un peu en retrait
- Une fin qui sonne un peu redite, moins culte que l'original

Conclusion (5/5) :

Exception faite d'un second acte un peu en retrait, Portal 2 impose une aventure d'une saveur incomparable, impeccablement mise en scène et bourrée d'autant d'humour que d'ingéniosité. Les nombreuses nouvelles mécaniques renouvellent les puzzles, la durée de vie excède nos espoirs, le mode Coopératif se déguste en ligne ou en local avec délectation, et même si la fin ne saurait être aussi savoureuse que celle du premier, elle conclut un rollercoaster de sensations pures et de trouvailles de génie qui forcent le respect.

Hello tout le monde

Je voudrais savoir si certains d'entre vous sont allés voir Scream 4 au cinéma, car j'entends dire de partout que c'est le meilleur volet de la saga depuis le premier, voir le meilleur volet tout court.

Donc si certains pourraient partager leurs avis ce serait bien, sachant que j'apprécie franchement la saga de Wes Craven ...

Depuis quelques temps ( et tout particulièrement depuis la sortie de la console ), je n’arrête pas de me faire cette remarque dans la tête.

En fait si on regarde bien les avis ( petite précision : Je n'ai pas encore la 3DS et je n'ai pas pu la tester ) sur les différents jeux du line-up, pour le moment aucun jeu n'a droit à une 3D vraiment ratée ?

Quand la 3DS fut annoncé, j'avais vraiment peur d'une chose : Que certains développeurs maitrisent mal la fonction 3D et qu'ils nous sortent donc des jeux avec une 3D tout simplement " imbuvable ", avec des effets mal foutus et désagréables pour nous. Que l'on se retrouve un peu avec le même problème que la Wii à sa sortie, ou certains jeux avaient une détection de mouvement totalement chaotique. Et en lisant donc les différents tests des jeux du line-up, je suis surpris de voir que finalement tous les jeux utilisent bien la 3D, certes elle est plus ou moins impressionnante ( apparemment la 3D de PilotWings déchire, alors que celle de SSFIV est apparemment un peu plus classique ), mais on a pas vraiment de jeux ou la 3D est ratée, même les jeux d'Ubilol qui sont pourtant des portages faits à la va-que-jte-pousse ont apparemment droit à une 3D soignée. Pourtant on peu pas dire que les jeux du line-up soient de grosses grosses cartouches, c'est quand même très prometteur quand on sait que plus tard on aura droit à du Kid Icarus, du Mario Kart, du Mario Bros ou du Resident Evil c'est quand même très prometteur !

Il est peut être très facile de développer avec la 3D, mais je reste quand même agréablement surpris. A moins qu'un jeu est échappé aux critiques ?


Lady Gaga manque de se bouffer le piano