« SNK Playmore » fait une mise à jour du site de Metal Slug 3D et propose quelques images de plus.

Entièrement en 3D comme le suggère son titre, cet épisode de la célèbre saga prévu pour le 29 juin au Japon effraie les fans par son passage d'une 2D lissée, maîtrisée et dynamique à une 3D peu convaincante lors des trailers que l’on a pu se mettre sous la dent.

Des graphismes assez vides qui jurent avec les décors fourmillants de détails des versions 2D, des mouvements de caméra assez brusques et pas forcément évidents, un déplacement qui semble assez complexe à maîtriser, ce soft semble déjà faire la une des critique du fameux débat « 2D / 3D ».

Quoi qu’il en soit, le site officiel suit son cours, allez y jeter un œil pour vous faire une opinion par vous même : http://game.snkplaymore.co.jp/official/metalslug/

Le dernier album de Hikaru Utada, intitulé ULTRA BLUE, vient tout juste de sortir.

Des chansons vraiment dans le style de ce qu'elle a fait auparavant, ainsi que de bonnes surprises. Un bon album dans l'ensemble qui propose de plus la superbe Passion, opening de Kingdom Hearts II sur PlayStation 2.

Et oui, ce matin à 6 heures est sortie la première démo de PREY, le FPS PC que beaucoup attendent.

Ca pèse 449.02 Mo et ça se DL ici : http://www.fragland.net/downloads.php?id=15389

Nom complet du jeu : Rival Schools : United By Fate (« Shiritsu Justice Gakuen : Legion of Heroes » au Japon)
Genre : Versus Fighting
Support : Arcade puis Sony PlayStation
Année de sortie : 1997-1998
Editeur : Capcom
Nombre de joueurs : 2 à 4 (2 VS 2 disponible via l’ajout d’un Multitap officiel SONY PlayStation)





Storyline


Depuis quelques temps, de mystérieux et inexplicables évènements bouleversent le pays tout entier. Dans de nombreuses écoles supérieures, des élèves disparaissent du jour au lendemain sans laisser de trace ni d’indice sur le pourquoi de cette absence soudaine. Pensant d’abord à un manque croissant de discipline chez les élèves, les professeurs ne s’en inquiétèrent guère.

Jusqu’à ce que ces évènements se répètent anormalement, ces disparitions se faisant simultanément dans de nombreux endroits dispersés du pays. Suite à ça, beaucoup virent là des kidnappings commandités par une organisation criminelle et la rumeur fit bon train dans ce sens.

Des officiers spéciaux et des agents du gouvernement furent mis sur l’affaire et coopérèrent ensemble afin de mettre un terme à ces disparitions irrationnelles. Malgré leur bonne volonté et tous leurs efforts, les élèves continuèrent à disparaître un à un et le gouvernement laissa quasiment tomber cette affaire, attendant qu’elle se tasse d’elle même.

Les parents d’élèves et la Police étaient pieds et poings liés et ne pouvaient rien faire de concret. Le pays était paralysé par la peur de ces rapts illogiques et effectués au hasard.

Cependant un groupe d’élèves de diverses écoles décidèrent de prendre l’affaire en main personnellement, ce qui marqua le début d’un combat pour la justice et la vérité.





Ces personnages sont « classés » en fonction de leur provenance, selon l’école à laquelle ils appartiennent. On trouve donc au total les écoles et les personnages y appartenant suivants :

- Ecole « Taiyou Gakuen », une école traditionnelle à l’ambiance bonne enfant et qui prône encore le port de l’uniforme. Celle-ci est représentée par Batsu Ichimonji, Kyosuke Kagami, Hinata Wakaba, Ran Hibiki, Iinchou et Nekketsu Hayato.
- Ecole « Gorin Koukou », une école chargée de créer l’élite sportive représentée dans le jeu par Shoma Sawamura, Natsu Ayuhara, Roberto Miura, Nagare Namikawa et Momo Karuizawa.
- Ecole « Pacific High School », l’école aristocrate propre sur elle qui participe à de nombreux échanges inter-écoles. Représentée par Roy Bromwell, Tiffany Lords et Boman Delgado.
- Ecole « Gedou Koukou », peuplée de mauvais garçons et rivale de l’école « Gorin Koukou ». Elle est représentée dans le jeu par Eiji Edge Yamada, Gan Isurugi et Daigo Kazama.
- Ecole « Seijun Jogakuin », qui est en fait l’école dans laquelle les femmes apprennent les bonnes manières et se forment à être de futures bonnes épouses. Celle-ci est représentée par Akira Kazama, Yurika Kirishima et Aoi Himezaki.
- Ecole « Justice Gakuen », une école privée qui se vante de créer l’élite qui changera le Japon. De nombreux élèves talentueux de partout dans le pays y furent admis, comme Hideo Shimazu, Kyoko Minazuki, Raizo Imawano, Hyo Imawano et Kurow Kirishima.
- Ecole « Tamagawa Minami Koukou » qui accueille Sakura Kasugano, clin d’œil à la série des Street Fighter Alpha.

A noter que Hyo Imawano et Raizo ne sont pas disponibles d’entrée de jeu. Ce jeu présente un rooster plus que conséquent, dépassant la vingtaine de personnages.





Gameplay


A première vue, Rival Schools est un Versus Fighting relativement classique dans la forme. Une touche de coup de poing fort, une de coup de poing faible, une de coup de pied fort, une de coup de pied faible et l’on a quasiment fait le tour.

Et pourtant, bien que disposant de touches de base assez classiques, Rival Schools s’avère être un jeu audacieux dans son gameplay, très dynamique, agressif, technique et relativement rapide. Les guard crush, counter, projections, esquives en profondeur et autres launcher sont présents et ajoutent une subtilité non négligeable, le tout saupoudré d’un timing propre à chaque personnage incarné. Il était également possible après un launcher de suivre son ennemi dans les airs en appuyant rapidement sur haut, s’autorisant quelques hits et donc quelques dégâts supplémentaires.

La grande force de Rival Schools réside dans son système de teams. Chaque joueur choisit 2 personnages entre lesquels il pourra switcher après chaque round. Ce système révèle une autre astuce beaucoup plus importante, la possibilité d’appeler son coéquipier en plein round pour qu’il vienne porter main forte au joueur en difficulté.





A l’instar d’un Marvel Versus Capcom, une combinaison simple de touches (2 boutons faibles ou forts simultanément) permet au joueur disposant de suffisamment d’un stock suffisant dans sa jauge de « Super » de déclencher l’appel à son coéquipier. Cet appel se fait sous la forme d’un éclair rouge, suite à quoi le personnage contrôlé tente de donner un coup à son adversaire. Si ce coup n’est ni bloqué ni esquivé, la « victime » s’expose à une attaque en duo de la part de ses adversaires, souvent dévastatrice et occasionnant des dégâts réellement élevés.

Maîtriser son personnage à fond est une des clés d’un affrontement rondement gagné dans Rival Schools. Connaître la puissance de ses coups, la pertinence de ses command move, le timing avant que certains coups spéciaux ne sortent, la priorité d’autres coups et la hauteur à laquelle on veut frapper sont autant de caractéristiques spécifiques à chaque personnage qui révèlent un rooster déjà bien complet, mais également de qualité car présentant des combattants variés disposant chacun de leur style de combat particulier. . Ce panel varié et peu banal de combattants permet un panel de situations d’affrontements plus varié et renouvelle sans cesse l’intérêt des confrontations, ce qui joue en faveur du soft en lui procurant une durée de vie énorme pour un jeu de ce style.





La version PlayStation de Rival Schools sortie en 1998 propose l’adaptation fidèle et parfaitement retranscrite de l’arcade sur un premier disque nommé « Arcade Disk ». Cette adaptation est un modèle du genre, le gameplay est adapté et les graphismes n’ont pas à rougir de son homologue arcade. Un deuxième disque nommé « Evolution Disk » est fourni avec cette version pourtant déjà parfaite à tout point de vue, celui-ci offrant de nombreux mini-jeux inédits à la version console. Ce « Evolution Disk » ajoute quelques coups et furies à certains personnages afin de compléter leur panel, mais surtout offre toutes les options dont un jeu de salon peut espérer disposer. A savoir un sound test, un mode « Cooperate » jouable à 4 simultanément, un mode « Group » qui est en fait un mode « Versus », un mode « League » permettant au joueur de s’adonner à un mini-tournoi, un mode « Tournament » permettant la mise en compétition de 8 joueurs, la possibilité de voir toutes les fins, de nouveaux costumes pour Natsu, Tiffany, et Hinata.

Mais ce qui marqua surtout les joueurs c’est la présence de 2 mini-jeux mettant tour à tour en scène Shoma et Roberto respectivement dans un jeu de baseball où il faut faire le maximum de home-run et un jeu de tir au penalty dans lequel il faut viser des cartons sur lesquels sont inscrits des scores afin de faire péter le high score.





Anecdotes


- Ryu fait une apparition dans la good ending de Sakura.

- La version Japonaise de Rival Schools comportait un mode nommé « Nekketsu Seishun Nikki » (« Hot-Blooded Youth Diary ») qui est une sorte de dating-sim dans lequel le joueur incarne le quotidien d’un personnage du jeu durant une année à l’école. Les diverses activités et choix du joueur déterminaient les coups que le personnage utiliserait à la fin de l’année. Les amitiés qui se créée en chemin influencent également le résultat final. Cela donnait à la fin de ce mode un perso unique que le joueur pourrait utiliser en mode Arcade par la suite, renouvelant le plaisir de jeu et la durée de vie du soft. Malheureusement ce mode, pourtant prévu comme devant être traduit en US, resta une exclusion de la version JAP, la filiale US de « Capcom » avançant l’argument de la longueur de la traduction.

- La vraie suite de Rival Schools, Project Justice sorti en 2000 au Japon et en 2001 aux Etats-Unis. S’ensuit rapidement une adaptation arcade et DreamCast en Europe. Ce nouvel opus met en place le système de teams de 3 persos ainsi qu’un mode permettant la création d’un personnage via un jeu de plateau.

- Un comics basé sur Rival Schools produit par les studios « UDON » déjà responsables de l’adaptation de Street Fighter et Darkstalkers vit son premier volume sorti le 17 mai 2006.

- La dernière référence à Rival Schools date de Capcom VS SNK 2, depuis la série ne montre plus signe de vie.





Rival Schools marquera les esprits par son panel varié de combattants, le fun inéluctable que le joueur tire des affrontements et cette agressivité dans des combats qui ne voient souvent fin que lors de victoires à l’arrachée.

Un jeu riche en possibilité mais pourtant très abordable pour les néophytes, qui permet des affrontements impressionnants et serrés. Une perle du Versus Fighting 3D, une série dont beaucoup regrettent aujourd’hui la continuation alors que d’autres comme Bloody Roar s’enlisent dans un gameplay répétitif, des personnages rébarbatifs et un univers incohérent.

Juste pour préciser que si des personnes souhaitent des présentations de persos issus d'autres softs que ceux de la firme Capcom, cela est évidemment possible.

Je ne suis pas fermé à quoi que ce soit, si quelqu'un se pose des questions sur un perso de Guilty Gear, Bloody Roar, Dead Or Alive, Mortal Kombat, Soul Calibur, Tekken, Virtua Fighter et j'en passe, ce sera avec plaisir.

Par contre je laisseà Gibbon le soin de faire les profils des personnages SNK, ne désirant pas marcher sur ses plates bandes ;P

N'hésitez pas à me poser des questions ou à me demander des dossiers sur telle ou telle série, tel perso, tel genre de jeu, telle console, je verrais dans quelle mesure je peux vous répondre ^^

Nom complet : Guile

Taille : 1m82
Poids : 86 kgs
Mensurations : 125-83-89
Groupe sanguin : O
Date de naissance : 23 décembre 1960
Pays : Etats-Unis
Style de combat : Techniques des Forces Spéciales Américaines
Aime : Café américain
Déteste : Etre obligé de manger du Natto lorsqu’il est au Japon
Surnoms : « The vengeance person who becomes quiet » ou « A quiet revenge person » dans Super Street Fighter II et Street Fighter Alpha 3, An air force trueborn soldier » dans Marvel Versus Capcom 2, « Bisection of speed of sound » dans Capcom Versus SNK
Stages : Certain Air force base en Amérique dans Street Fighter II, Nevada Ghost Valley aux USA dans Street Fighter Alpha 3





Storyline


Guile est un militaire des Forces Spéciales Américaines. Il a le grade de major à l’époque de Street Fighter II et est sous les ordres directs de son ami Nash, qui est lui premier lieutenant. Ce dernier se fait assassiner alors que tous deux étaient sur les traces du criminel M. Bison, qui semble d’ailleurs être le meurtrier dans cette affaire qui ne manque pas de bouleverser Guile, qui ne jure alors plus que par une vengeance en mémoire de son collègue et ami.





Croyant en la justice de son pays, Guile parvint à présenter M. Bison devant les tribunaux, espérant bien lui faire passer un long séjour en prison. Malheureusement la combinaison de l’influence de M. Bison pour intimider le jury et ses pouvoir psychiques lui permirent de sortir indemne de ce procès, ce qui exacerba la rage de Guile. Ceci explique l’acharnement de Guile, qui désire la tête de M. Bison bien plus que Chun-Li par exemple. Guile abandonna tout derrière lui afin de poursuivre sa quête, tout et tout le monde. Son camp militaire qu’il décrit comme incapable de rendre la justice, sa femme Julia et sa fille Chris. Bien décidé à supprimer M. Bison définitivement, Guile réalisa que la seule opportunité d’y parvenir serait de participer au tournoi.





Alors que Guile se tenait prêt à entrer dans le tournoi Street Fighter II, M. Bison le provoqua en lui envoyant une invitation personnelle. Empli de haine et de sentiments de vengeance, le sang de Guile ne fit qu’un tour et il se jeta dans le tournoi. Cette haine lui permit de parvenir jusqu’à affronter Bison dans un combat explosif qui ne manqua pas de surprendre le criminel.

Réalisant la puissance de Guile, M. Bison lui demanda de l’achever, ce qui le militaire s’apprêtait à faire, depuis le temps qu’il ne vivait que pour savourer cette instant. Alors qu’il allait porter le coup final à son ennemi juré, Julia et Chris s’interposèrent et lui supplièrent de ne pas faire ça. Non seulement cela ne ramènera pas Nash, mais en plus détruire Bison reviendrait à se détruire lui même, car faisant de lui ce qu’est son pire ennemi, un meutrier.

Guile s’inclina et retourna vivre avec sa famille, profitant pleinement de la vie. Complètement libre, le militaire avait le sentiment de se réveiller petit à petit d’un cauchemar mêlant haine et désir de vengeance. Heureusement , Akuma n’eut pas autant de clémence et mit un terme à la vie de M. Bison par la suite, détruisant ses rêves de conquête du monde d’un « Shun Goku Satsu ».





Le personnage de Nash est énigmatique dans le sens où l’on ne sait finalement pas s’il est réellement mort ou pas. Le scénario de Street Fighter Alpha 3 prend quelques libertés de ce côté là et insiste sur la coopération entre Guile et son ami. Guile reçoit un jour un message annonçant la disparition de Nash et la nécessité de le retrouver au plus vite. Il semblerait qu’il soit sur les traces de M. Bison, mais y aller seul relève du suicide. Guile parvint à retrouver Nash, juste au moment où lui même venait de découvrir où Bison se terrait. Guile avait une intuition, il lui avait récemment semblé que l’armée était également sous la botte du puissant criminel. L’influence de M. Bison croissante, les craintes de Guile s’avéraient fondées, ce qui le poussa à faire équipe avec Chun-Li et Nash afin d’anéantir « Shadowloo », l’organisation criminelle de M. Bison . Avec l’aide de son camarade, Guile explosa le « Psycho Drive » de M. Bison, la source de son pouvoir psychique. M. Bison parvint tout de même à mettre Guile hors d’état de nuire avant qu’il n’eut fini de mettre en place les explosifs voués à la destruction de la base. D’une colère immense, M. Bison se prépara à mettre un terme à la vie de Guile, mais Nash surgit pour contrer le criminel, l’immobilisant tout en suppliant Guile de déclencher les explosifs et de vite s’enfuir d’ici.

Pour que les efforts de son ami ne soient pas vains, Guile s’exécuta à contrecœur et échappa de peu à cette explosion qui ravagea littéralement le QG de son ennemi juré. La plaque de Nash serrée au creux de sa main, Guile avoua alors à Chun-Li qu’il était persuadé que son ami était encore vivant, quelque part.





Aux dernières nouvelles, Guile vit paisiblement des jours heureux avec sa famille et vient de se lancer dans la peinture de son garage avec sa fille.





Gameplay


Guile est LE personnage de la série des Street Fighter qui se joue essentiellement à l’aide de « maintenir ». Ses deux coups spéciaux principaux sont le « Summersault Kick » et le « Sonic Boom ».





Pour la petite histoire, le « Sonic Boom » est une technique inventée par Nash. D’ailleurs cela sous entend une contradiction, Nash ne l’ayant vraisemblablement jamais apprit à Guile avant de mourir, et pourtant Guile la maîtrise parfaitement, en faisant même une de ses furies.

Cette furie est d’ailleurs déclinée en deux modèles selon les opus de Street Fighter, une forme consistant en un gros « Sonic Boom » qui fait plusieurs hits au corps à corps et l’autre en plusieurs rapides d’affilée qui ont une portée beaucoup plus conséquente. Dans les deux cas la manipulation reste la même, à savoir maintenir arrière pendant 2 secondes, puis rapidement faire avant, arrière, avant + Punch.

Le « Summersault » de Guile est une de ses techniques les plus puissantes. Non seulement c’est un anti-air efficace qui a une grande amplitude lorsque l’adversaire saute face à la lui, mais les dégâts qu’il occasionne sont également assez élevé. A noter qu’un « Summersault » effectué avec le plus petit kick est un moyen rapide de se dégager d’un corps à corps, tout en ne laissant pas le temps à l’adversaire de riposter.

Cette technique est également déclinée en furie, qui consiste en de multiples « Summersault » successifs au ras du sol. Une furie qui ne fait pas beaucoup de dégâts mais occasionne pas mal de hits, bien que rarement utilisée par la difficulté qu’éprouvent nombre de joueurs à faire la manipulation barbare qu’elle nécessite.


Dans l’absolu, Guile est surtout un personnage à contres et autres punishing. Ne disposant pas de réels combos efficaces, il dispose néanmoins de coups vifs et dévastateurs qui permettent de faire le pressing lors de rares occasions. Ses command move sont efficaces et facile à placer en début ou en fin de courts combos.

Sa double balayette aura agacé plus d’un joueur, devenant un des marques de fabrique du personnage. Son coup de genou projeté et son coup de pied retourné ont également contribué à donner à Guile une réputation d’artiste martial accompli.

Un personnage efficace qui occasionne des dégâts élevés, des coups puissants à placer de manière subtile rendent ce personnage intéressant à jouer, bien plus qu’un Ryu ou qu’un Ken axé bourrinage et cheap.


Anecdotes


- Guile est un gros fumeur, un élément qui a été censuré par la suite par « Capcom » qui tenait à son image de marque.

- La coupe de Guile soulève beaucoup de questions, autant pour ses origines que pour sa stabilité. Il semblerait que Guile utilise un spray qu’il commande spécialement via l’armée et que cette coupe est pour lui un symbole de liberté d’expression. Lorsqu’il intégra l’armée, Guile fut brimé et confronté à de nombreuses contraintes. C’est en partie pour cela qu’il opta pour cette coupe provocante, par vengeance morale.

- Dans la version Japonaise de Street Fighter II, Julia et Chris ne mentionnent pas que détruire M. Bison reviendrait pour Guile à se détruire lui même. Ce n’est que dans la version US de l’opus que cela apparaît, pour ajouter un côté tragique à l’histoire.

- Le « Sonic Boom » de Guile ne fait quasiment pas de dégats dans Street Fighter Alpha 3. Selon « Capcom », cela s’explique par le fait que Nash en est le réel inventeur et reste supérieur à Guile dans son utilisation. Nombres de joueurs supposent plutôt que les personnes responsables de l’équilibre des personnages ont totalement délaissé Guile.

- Chris et Julia ont des noms différents dans la version US de Street Fighter. Chris devient Amy et Julia devient Jane. Au passage Julia est la grande sœur de Eliza, ce qui fait de Guile et de Ken des beaux frères suite au mariage de ce dernier. Bien que Guile n’apprécie par réellement Ken pour son côté play-boy poseur, les relations entre eux deux semblent amicales.

- Amy et Datta, le fils de Dhalsim, sont amis depuis Street Fighter II.





- Le chien de Guile, Safu (« Surf » dans la version US) est camarade avec le chien « Shiro » de Final Fight.

- Contrairement à beaucoup d’extrapolations de fans, Guile n’est pas le père de Remy de Street Fighter III : Third Strike.

- Guile ne s’appelle pas « William Guile ». Ce nom a été inventé pour le film live de Street Fighter. Les producteurs du film jugèrent qu’un personnage avec un tel statut social se devait d’avoir un prénom et le baptisèrent ainsi arbitrairement. Ce prénom ne figure sur aucune biographie officielle ni aucun guide book.

- Le style de combat de Guile est assez flou dans son appellation. Concrètement, il mêle arts martiaux et catch.

- Guile apparaît dans un des background du stage de la France dans Final Fight 2, au stage 2 lors de l’affrontement contre Freddie. Bien que le niveau se déroule en France, Freddie vient des Etats-Unis, ce qui expliquerait la présence de Guile et d’autres soldats venus l’encourager.





Guile est un des personnages qui apportent le plus de poids au storyline principal de la série des Street Fighter. Homme dévoué allant jusqu’au bout de ses idées sans fléchir, son côté ours au grand cœur a séduit de nombreux joueurs qui voient en lui la classe inimitable du soldat expérimenté qui a roulé sa bosse aux quatre coins du globe.

Guile est également un personnage intéressant à jouer car ne disposant pas de tout un arsenal de coups spéciaux, ce qui donne souventdes matchs basés sur la contre offensive et des esquives en pagaille.

Nom complet : Akuma (Gouki au Japon)

Taille : 1m78
Poids : 80 kgs
Mensurations : 118-84-86
Groupe sanguin : Inconnu
Date de naissance : Jour et mois inconnu, année estimée à 1945 d’après les nombreuses sources officielles > A peu près 51 ans à ce jour
Lieu de naissance : Inconnu
Aime : Inconnu
Déteste : Inconnu
Style de combat : Ansatsuken
Surnoms : « The fist of destruction which also slaughters a demon/ogre » dans Street Fighter Alpha 3, « The person who goes to extremes to master the fist » dans Street Fighter III : Third Strike, X-Men Versus Street Fighter, Marvel Versus Capcom 2 et Capcom VS SNK
Stages : Great Wall of China dans Street Fighter Alpha, Gokuentou island au Japon dans Street Fighter Alpha 2, The Cave of Kiga au Japon dans Street Fighter Alpha 3, Hidden Canyon Island dans Street Fighter EX, Mount Fuji au Japon dans Street Fighter III : Second Impact et Kousyu Street at 1:55 AM au Japon dans Street Fighter III : Third Strike





Storyline





Akuma et son frère Gouken furent des élèves de Goutestu. Cet homme leur apprit un art martial mortel du nom de « Ansatsuken », un art complexe et varié qui comprend des éléments de Karate, de Judo, de Taekwondo, de Koppo et une technique appellée « Shun Gouku Satsu », aussi appelée « The Raging Demon ». Cette dernière technique est cependant interdite pour la seule raison qu’elle peut mettre en danger la vie de son utilisateur, bien que pouvant mettre instantanément un terme à celle de son adversaire.





Alors que Gouken se détournait de la nature violente du Ansatsuken, Akuma y dédié tout son temps libre et y plongea tous ses efforts. Akuma était comme obsédé par cet art violent et mortel, jurant qu’il en apprendrait et en maîtriserait parfaitement toutes les techniques. Evidemment le « Shun Goku Satsu » l’attirait au plus haut point.

Dans cette quête de puissance, Akuma augmenta considérablement ses capacités et se laissa tenter par le « Satsui No Hadou », « The Surge of the Intent to Murder ». Ce côté obscur du Hadou lui fit perdre toute compassion en échange de quoi il acquit une augmentation de son potentiel destructeur. Akuma transcenda les limites physiques et psychiques du genre humain et s’éloigna de l’enseignement de Goutestu pour s’entraîner seul sur une île dont il allait faire son sanctuaire. Pendant des jours entiers il poussa son corps et son esprit à bout, pour devenir le plus incroyable adepte du Ansatsuken. Akuma maîtrisa complètement cet art et ne vit plus qu’une seule épreuve pour se prouver sa surpuissance.

Le « Shun Goku Satsu » complètement assimilé, Akuma se livra dans un tournoi acharné contre son propre maître. Ce combat tragique vit la victoire de l’élève, qui n’hésita pas à tuer son propre maître avec ce fameux « Shun Goku Satsu ». Alors qu’il sentait la mort l’emporter, Goutetsu sentait tout de même une fierté et une joie immense, réalisant qu’un de ses élèves tentait de maîtriser le Ansatsuken dans sa totalité. En signe de supériorité, Akuma ôta du cou le collier de son maître et se l’appropria.

Le lendemain, Akuma se rendit au dojo de Gouken et provoqua son frère à un duel à mort. Les deux frères se livrèrent un combat acharné qui voyait nettement la supériorité de Gouken. Akuma fut malmené comme un enfant et demanda fièrement à son frère de prendre sa vie. Gouken refusa, avant l’argument qu’il ne pourrait jamais tuer son propre frère. Cela fit beaucoup rire Akuma qui se moqua alors de Gouken, lui annonçant qu’il ne pourrait jamais maîtriser réellement le Ansatsuken. Quelques secondes après, Gouken était terassé par le « Shun Goku Satsu » de Akuma.

Ken vit un vive éclair blanc en direction du dojo et se rendit sur les lieux le plus vite possible. Sur le sol gisait son maître bien aimé, devant son dojo complètement détruit. Fou de rage, Ken fouilla les environs pour trouver le fautif et vit Akuma s’engouffrer nonchalamment dans la fôret. Ken tenta de l’attaquer mais vu évidemment facilement mis à mal. Parallèlement Ryu cherchait également Akuma mais pour une raison différente, désirant savoir ce qu’était cette sensation qui le torturait.

Akuma erra dans le monde entier, cherchant désespérément de valeureux combattants à provoquer. Se cachant dans l’ombre, il épia nombre de petits tournois et de combats de rues, mais ne trouvait pas d’adversaire capable de rivaliser avec sa force. Il fut tout de même provoqué en duel par un homme nommé Gen.





Gen combattit brillamment, survivant même au « Shun Goku Satsu » de son adversaire en vidant son corps de son âme au moment de l’impact. Akuma semblait satisfait et surexcité, pensant avoir trouvé là un adversaire digne de lui. Son rêve fut brisé alors que la lèvre de Gen commença à saigner, le vieillard étai en fait grièvement malade. Gen fut par la suite vaincu par Akuma qui, par dégoût, ne daigna même pas l’achever.

Ryu retrouva enfin la trace de Akuma et le rejoint sur son île pour un duel. Le combat fut dantesque et se finit sur un match nul, Akuma fut étonnamment surpris et proposa à Ryu de venir le provoquer de nouveau quand il aurait succombé aux charmes du « Satsui No Hadou ». Sur ces paroles, Akuma disparu et éclata en morceaux son île avant de se terrer dans une grotte isolée pour y suivre un entraînement en vue du retour de Ryu.

Deux ans plus tard, alors que la lassitude le tenaillait, Akuma décida de partir en quête d’autres combattants dignes de lui. Il paraîtrait qu’il croisa Adon en chemin et le tua.





Gen se dressa également de nouveau sur son chemin mais le résultat de cette nouvelle rencontre reste obscur. Sur ces entre faits, Ryu rejetait le « Satsui No Hadou », clamant qu’un vrai combattant n’a pas à se nourrir de pulsions meurtrières.


Officiellement, Akuma ne participa pas au deuxième tournoi mondial. Il s’octroya le culot de se présenter sur le ring de M. Bison et le tua d’un « Shun Goku Satsu ».

De même, Akuma ne participa pas au troisième tournoi mais était une fois de plus tapi dans l’ombre. Il frappa même l’organisateur de celui-ci d’un « Shun Goku Satsu » et fuit sans réaliser que Gill ressuscitait.





Akuma continua évidemment se s’entraîner durement, croissant son pouvoir de façon exponentiel et se paya même le luxe de créer de nouvelles techniques. Certaines ont pour légende de pouvoir fendre la roche en deux, d’autre de tuer un adversaire d’un simple tranchant de la main. Mais la plus grande trouvaille de Akuma était le « Tenma Gou Zankuu », une technique pendant laquelle l’homme concentre toute sa force dans la paume de ses mains avant de l’expulser violemment sous forme d’une rafale de boules de feu mortelles.





Ivre de puissance, Akuma ne s’arrêta pas là et affina ses nouvelles techniques. Il semblerait d’après les rumeurs qu’il eut même la possibilité d’affronter Oro mais tous deux déclinèrent sans un mot, alors qu’ils ressentaient tous deux la puissance psychique de l’autre.





Aujourd’hui encore Akuma cherche un adversaire rivaliser, frustré de ne pouvoir faire ses preuves dans un combat qu’il ne remportait pas facilement.





Gameplay


Autant l’avouer d’emblée, Akuma est un personnage qui fait des dégâts élevés et dispose d’une rapidité convenable. Un perso idéal pour les joueurs en quête de surpuissance ou préférant être à l’aise, mais un perso qui en mirror mode permet aussi de jouer le placement des coups et la subtilité à base de contre plutôt que le bourinage sans nom. A noter que la version « Shin » de Akuma est encore plus déséquilibrée, celui-ci étant relativement rapide et encore plus puissant.

Au niveau du gameplay, Akuma ressemble logiquement beaucoup à Ryu et donc, par extension, à Ken. Ses coups spéciaux sont les mêmes affiliés au pouvoir élémentaire de la foudre.



Néanmoins Akuma dispose de la possibilité d’effectuer un Hadouken alors qu’il est dans les airs, ainsi qu’une téléportation bien pratique lorsque le joueur se retrouve acculé dans un coin du niveau contre un adversaire à pressing comme Fei-Long.



Par la suite Akuma se voit gratifié de nombreuses commande move qui permettent de lancer un combo. A noter que le Shoryuken de Akuma fait plusieurs hits à l’instar de celui de Ken.


Anecdotes


- En y réfléchissant bien, le fait que Akuma soit le frère de Gouken fait de lui l’oncle de Ryu puisque Gouken a adopté ce dernier.

- Gouken a le kanji « Mu » sur son dos, ce qui signifie « rien ». Akuma a lui le kanji qui signifie « paradis ». Beaucoup y voient plus un message du sens « transcendant l’être humain », ce qui semble être plus approprié connaissant le personnage. D’après certaines légendes Japonaises, le porteur de ce sceau est voué à l’immortalité.





- Le kanji « Ki » du nom « Gouki » ne signifie ni « fantôme » ni « démon » dans ce cas là, il signifie « Oni ». « Oni » en Japonais désigne un monstre imaginaire ressemblant à un humain avec des cornes, ce qui explique le design de Akuma. Il est une légende qui dit que l’esprit d’un humain devient un « Oni » lorsqu’il est obsédé par la haine, la vengeance et la rage.

- Akuma est un humain et n’est pas possédé par un démon comme beaucoup pourraient le croire. Encore une fois c’est une bourde de la filiale US de « Capcom », qui changea d’ailleurs beaucoup de choses concernant le personnage de Akuma. Le changement du nom « Gouki » en « Akuma » en fait parti, pour coller davantage à leur version de son histoire qui insiste sur le fait qu’il est possédé par un démon. Estimant que cela convenait mieux à son apparence physique et en total désaccord avec les vœux de la filiale japonaise de « Capcom », ils changèrent alors son nom pour celui-ci qui signifie littéralement « démon » en Japonais.

Yeah, les demandes de présentations de persos commencent à arriver et c'est avec plaisir que je m'y mets ^^



Nom complet : Dee Jay

Taille : 1m84
Poids : 92 kgs
Mensurations : 130-89-94
Groupe sanguin : AB
Date de naissance : 31 octobre 1965
Lieu de naissance : Jamaïque
Aime : Crier, le chant, la danse
Déteste : La maturité
Style de combat : Kick-Boxing
Surnoms : « Kick & Music » dans Street Fighter Alpha 3
Stages : Kingston Beach en Jamaïque dans Super Street Fighter II, Port Antonio en Jamaïque dans Street Fighter Alpha 3


Storyline





Depuis sa plus tendre enfance, Dee Jay vouait une passion à la musique et au Kick-Boxing. C’est logiquement qu’il devint alors un Kick-Boxer musicien hors normes.

Dee Jay participe au tournoi Street Fighter II pour s’inspirer afin de trouver de nouveaux rythmes qu’il pourrait jouer lors de ses combats futurs. Il composa suite à ça une nouvelle chanson et devint plus célèbre encore. Son manager, Rick, pousse alors son élève à produire toujours plus, ce qui résulte de millions de ventes d’albums à son actif.

D’après ce que tout le monde a vu de lui au cours de nombreux combats, Dee Jay a la réputation d’être un homme très optimiste.

Malgré ce penchant pour la musique qui peut laisser penser que Dee Jay n’est qu’un bouffon, celui-ci est pourtant un artiste martial accompli reconnu. Dee Jay a en effet remporté de nombreux titres et sa réputation n’est plus à faire. Le secret de sa force ? Un style de combat personnalisé assez proche de la Capoeira dans le fait qu’il utilise le rythme pour se battre.

Dans Street Fighter Alpha 3, Dee Jay a pour surnom « The Southern Comet ». Ce combattant guilleret et souriant grimpa un a un les echellons jusqu’à devenir un champion. Toujours de bonne humeur, il parcourt maintenant le globe à la recherche d’un petit combat sympathique. Malgré tout ce n’est pas ça qui paie ses factures, ce qui explique qu’il soit chanteur en parallèle de sa passion pour le combat.





Gameplay


Fixant son adversaire dans les yeux et bougeant constamment sa tête au rythme de la musique, Dee Jay provoque celui-ci et attend une faille dans sa concentration. Ce style de combat déroutant a fait ses preuves de nombreuses fois, ce qui permit à Dee Jay de se faire une petite réputation montante auprès de ses adversaires.

Dee Jay ne possède pas beaucoup de coups spéciaux et son style de combat est surtout axé sur l’utilisation de coups brusques. Ceci explique d’ailleurs la présence de command move redoutables dans sa panoplie de coups, celles-ci se révélant réellement déroutantes. Bloquer quelques coups et enchaîner avec un B, F + Punch déroutera plus d’un joueur expérimenté, de même que ses coups de poings multiples au corps à corps peuvent surprendre par leurs rapidité d’exécution.





Anecdotes


- Le meilleur ami de Dee Jay est son oiseau, nommé « Beramacha ». C’est ce même oiseau qu s’envole parmi d’autres dans Street Fighter Alpha 3 lorsque Dee Jay commence un combat.

- On apprend au cours de scénario de Yun dans Street Fighter III que Dee Jay est un ami de Fei Long. Cela ne sera pas vraiment étonnant étant donné qu’ils ont tous deux côtoyé le monde du show business de près.

- Dans le comics Street Fighter de « Udon », Dee Jay utilise la Capoeira comme style de combat. Bien que ce ne soit pas le cas officiellement dans les jeux dans lesquels il sévit, le dessinateur trouvait que ce style convenait mieux à l’esthétique du personnage.


- Dee Jay est le seul personnage de la licence Street Fighter a avoir été créé par la filiale US de « Capcom ». Cela explique son manque de background, la filiale Japonaise de Capcom n’ayant pas voulu en développer un pour un personnage qu’elle n’avait même pas créé.

- Les lettres sur son pantalon formaient à la base le mot “MANTIS”, ce qui fut changé en “MAXIMUM” quand les designers réalisèrent que le “N” et le “S” de “MANTIS” seraient inversés s’il était face à l’autre direction.



Bien que Dee Jay n’ait pas de réelle place dans le storyline principale de la série des Street Fighter, c’est un perso fun avec lequel on prend plaisir à jouer, par son côté provocateur et rythmé qui peut en agacer plus d’un.

Huhu..

Nom complet : Fei Long (« FeiLong » au Japon)

Taille : 1m72
Poids : 60 kgs
Mensurations : 108-76-80
Groupe sanguin : O
Date de naissance : 23 avril 1969
Lieu de naissance : Hong Kong
Aime : Le Kung-Fu, l’humilité
Déteste : L’indifférence, l’ennui, l’impuissance
Style de combat : Kung-Fu Hitenryu
Surnoms : « Flame Isao Hero » dans Super Street Fighter II, « A free Kung-Fu Star » dans Street Fighter Alpha 3
Stages : Parc de « Tiger Balm » à Hong Kong dans Super Street Fighter II, Parc « Kowloon » à Hong Kong dans Street Fighter Alpha 3





Storyline





Fei Long commença son entraînement au Kung-Fu à l’âge de 6 ans environ. Ses étonnantes capacités en firent rapidement la coqueluche de l’école dans laquelle il s’entraînait, et c’est rapidement que Fei Long devint petit à petit ambitieux. Afin de perfectionner ses capacités, il se lança dans les plus fortes écoles de Kung-Fu.

Rapidement, Fei Long se forgea un physique et un caractère d’acier, ce qui lui valu d’être reconnu comme étant un maître du Kung-Fu Hitenryu. Alors qu’il s’entraînait dans la rue, Fei Long fut remarqué par un grand producteur de cinéma. Une réputation de star internationale se créa alors autour de lui, et Fei Long apparu dans son premier film « Street Supreme King » à l’âge de 18 ans.

La star montante joua dans quelques films d’actions jusqu’à sa participation au deuxième tournoi mondial des arts martiaux. C’est grâce à cette participation que Fei Long réalise qu’il préférait largement les vrais affrontements aux combats chorégraphiés des films. Suite à cette révélation, la star décida d’abandonner sa carrière. A la fin de Super Street Fighter II, Fei Long est accosté par un producteur qui lui propose un rôle dans une de ses superproductions. Bien que celui-ci lui propose une somme d’argent colossale, Fei Long reste fidèle à ses idées et lui rétorque « I thought you understood. What I want to do is not acting, it's real fighting », avant de retourner à son entraînement.


Malgré cela et bien que ne tournant plus de film, Fei Long reste une star dans le cœur de nombreux adeptes du Kung-Fu Hitenryu dans de nombreuses écoles qui sont dédiées à cet art, comptant au total plus de 3000 pratiquants dans le monde.


Aspect


Comme le laisse supposer son physique, le personnage de Fei Long est un hommage à la légende des films de Kung-Fu, Bruce Lee. Non seulement leurs styles de combat se ressemblent fortement et ils viennent de la même ville, mais nombres de mimiques et de cris de l’acteur sont également repris par ce personnage. Fei Long possède enfin un style de combat aussi rapide et agressif que Bruce Lee, d’ailleurs « Fei Long » se traduit littéralement en Mandarin Chinois par « Flying Dragon ». Pour info le surnom de Bruce Lee était « Little Dragon », ce qui a une fois de plus contribué à cette comparaison entre ces deux personnages.

Aujourd’hui pas mal de Versus Fighting proposent leur propre « clone » de Bruce Lee, par exemple Marshall Law et son fils Forrest de la série des Tekken, Maxi dans Soul Calibur, Liu Kang de la série des Mortal Kombat, Dragon de World Heroes ou encore Jann Lee de la série des Dead Or Alive. Ce stéréotype des jeux de combat est donc aujourd’hui complètement adopté et fait parti des traditions d’un rooster de Versus Fighting.





Gameplay


Fei Long est rapide et agile et ne cause pas des masses de dégâts. Néanmoins sa rapidité permet de réaliser des combos rapides et variés, ses command move s’intégrant parfaitement en début de manip. Fei Long a beau ne disposer que de 3 coups spéciaux, ce personnage rapide et agressif permet de surprendre et de faire le pressing sur son adversaire. Pour info mon record est de 17 hits combos, ce qui prouve la possibilité de ce perso à effectuer des attaques répétées dévastatrices en un court laps de temps.

La grande force de Fei Long est également son spécial « Rekka Ken » en QCF + Punch qui peut être répété 3 fois d’affilée, chaque coup de poing disposant pour l’anecdote de sa propre animation.





Un joueur qui sait maîtriser ce personnage peut aisément combler son manque de puissance par sa rapidité déconcertante, ce qui en fait un personnage efficace.




Anecdotes


- Le nom original de ce personnage est « FeiLong », et non « Fei Long ». Cette erreur de traduction incombe à la firme US de « Capcom ».

- Bien que n’ayant pas réellement d’importance dans le storyline général de la série des Street Fighter, Fei Long reste l’un des personnages les plus populaires.

- Fei Long fait une courte apparition dans le stage de Dan dans Street Fighter Alpha 2. Dans SNK VS Capcom : Card Fighters Clash sur Neo Geo Pocket, son nom est encore ecorché, en « Fei-Ling » cette fois.

- Le personnage de Fei Long n’apparaît pas dans le film live de Street Fighter, pourtant prévu à la base. Cela s’explique par le fait que les producteurs trouvaient ce personnage trop plat, mais surtout parce que cette ressemblance avec Bruce Lee aurait sous entendu de payer des royalties aux détenteurs des droits. C’est afin de pallier cela que le personnage de Sawada fut créé, directement inspiré de Fei Long.




Fei Long est un personnage facile à prendre en main, disposant de coups spéciaux intuitifs et particulièrement faciles à exécuter.

Tiens tant que j'y suis, j'ai toujours cherché l'occasion de caser cette news quelque part.

Il s'agit en fait d'un projet qui est en création depuis un bout de temps maintenant, à savoir un mod Street Fighter pour Max Payne 2. Le tout est assez encourageant pour la suite, d'autant que le gameplay semble avoir été relativement travaillé pour générer le maximum de fun et de fidelité à la série.

Je suis sur ma lancée Street Fighter, alors je vous propose l'OST du grandiose opus Third Strike, considéré par beaucoup comme étant le plus abouti au niveau du gameplay.

Un OST bien sympa qui ne manquera pas de rappeller masses de souvenirs à quiconque aura taté de ce monstre @_@

Street Fighter III : Third Strike - OST

PS : N'oubliez pas de vous register, ça ne coûte rien et ce site est une mine.

Hop j'en profite pour faire un coup de pub pour le blog de Gibbon. Nous nous sommes mis d'accord, lui se spécialisera dans la présentation de persos SNK et je m'occuperais de la partie Capcom. Bien que fan des séries SNK et Playmore aussi hein, ça empêche pas c'est juste pour pas faire doublons è__é

Ce qui n'empêchera évidemment pas des infidélités ;P

Si vous avez une envie de présentation de persos, de jeu en particulier ou bien encore de contribuer à tout ça, n'hésitez pas à m'envoyer un message.

A la demande de Frogs, voici quelques précisions sur ce premier opus qui restera comme le précurseur d'une série reconnue par tous comme étant une grosse référence du Versus Fighting, j’ai nommé Street Fighter.





Cela n’étonnera personne quand je dirais que c’est un jeu de « Capcom », devenu depuis un des nombreux fer de lance de la firme. Au milieu des années 80, essor des Beat Them All, « Capcom » fait le pari dangereux de lancer un nouveau style de Versus Fighting.

C’est donc en 1987 que sort le désormais célèbre tout premier opus de Street Fighter, sur borne d’arcade. Pour la petite histoire le soft sera adapté sur d’autres supports, tout d’abord sur PC-Engine en 1988, sous le nom Fighting Street, puis sur Amiga, Amstrad CPC, Atari ST, Commodore 64, PC (MS-DOS) , ZX Spectrum en 1988 et finalement sur PSP en 2006 dans les compilations Capcom Classics Collection Remixed et Capcom Classics Collection Vol. 2.


Gameplay


Celui-ci était relativement classique dans la forme, un stick et deux boutons dédiés l’un aux coups de pieds et l’autre aux coups de poings. Mais pas dans le fond, ces deux uniques boutons permettant en effet d’effecteur au total 6 coups de base différents.
La grande originalité du soft à l’époque était la sensibilité de ses deux boutons analogiques. En effet, ces boutons de la marque « mechatronics » décryptaient la force de la pression exercée sur ceux-ci et la reproduisait à l’écran sous trois formes : coup faible, coup moyen ou coup fort. A noter que les Bonus Stage par contre se souffrait d’aucune limitation car consistant en un score plus élevé en appuyant le plus fortement possible sur les boutons.

Comme tout le monde l’aura deviné, ce système mit à mal nombres de bornes d’arcade et fut vite abandonné, certains joueurs n'hésitant pas à monter sur les meubles pour taper du pied sur les boutons afin d'obtenir un high score. C’est de cette expérience que naquit le système classique à 6 boutons, chacun correspondant à un coup de poing ou de pied de force différente. C’est d’ailleurs ce système qui sera utilisé dans une grosse majorité de Versus Fighting estampillés « Capcom ».

Avant Street Fighter, les jeux de combat n’étaient que coups de bases répétés à l’infini et placés habilement pour vaincre son adversaire. La future bombe de « Capcom » introduisit coups spéciaux qui devinrent l'une des marques de fabrique la série : le célèbre « Hadoken », le « Shoryuuken » et le « Tatsumaki Senpuu Kyaku », exécutables au moyen d'un mouvement rapide du joystick combiné à la pression d'une touche de coup. Effectuer ces coups spéciaux n’était pas évident pour le non initié et du coup le joueur sentait une fierté personnelle en cas de réussite.


Personnages


Ce premier opus de la licence phare de « Capcom » jette les bases de ce qui sera plus tard une véritable saga reconnue, disposant d’un succès sans précédent pour le style de jeu qu’il revendique.

Le choix des personnages n'était pas possible, Ryu Hoshi était obligatoirement utilisé par le premier joueur et Ken Masters par le second.





Le principe était simpliste, affronter 10 personnages repartis en 5 pays comme suit :

- Japon : Retsu & Geki
- Chine : Lee & Gen
- Angleterre : Birdie & Eagle
- USA : Joe & Mike
- Thaïlande : Adon & Sagat

Nombre des ces noms vous sont sûrement inconnus, et pour cause peu d’entre eux seront réutilisés par la suite, en effet Sagat sera le seul de la liste à se retrouver dans Street Fighter II. Gen, Birdie et Adon feront leur come-back dans l’excellente série des Street Fighter Alpha, alors que Eagle devra patienter jusqu’au relativement récent Capcom VS SNK 2 pour renaître de ses cendres.





En espérant avoir remémoré des choses à certains, et en avoir appris à d’autres ^^