Une nouvelle page se tourne ! Voilà que nous atteignons le nombre symbolique des 2 millions de visites.
Tout d'abord... Ca veut dire qu'on commence à se faire vieux. Mais plus sérieusement, c'est de profonds remerciements que l'on vous doit, à vous visiteurs ! En effet, on bosse, on bosse mais c'est aussi grâce à vous que le site continue de vivre. Mais également tous les membres réguliers ou non qui font vivre le forum et toute la communauté Legendra.
On espère tout de même que Legendra a encore de beaux jours devant lui et plusieurs autres bougies à souffler. En attendant de nouvelles surprises sur le site (une V4 du site?, Celle du forum étant sortie ), encore un grand merci à tous nos visiteurs (ça serait impossible de tous les nommer), à tout le staff Legendra, y compris le webmaster overbooké, le gosu national et le lapin de Mana...
Suivront, dans quelques minutes, nos derniers tests.
Avant tout, pour vous mettre en jambe, voici deux musiques extraites de l'Ost du jeu:WatersideHigh Speed Flight
Très attendu, et peut être aussi l'ultime espoir de Microsoft au Japon, Blue Dragon est avant tout la réunion de grand nom du JV. Hironobu Sakaguchi (ancien PDG de Square) décide de créer son propre studio, MistWalker, avec l'aide de Microsoft et l'immense mission de convaincre une partie du public japonais. Il amène avec lui Nobuo Uematsu aux musiques (Final Fantasy...) et Akira Toriyama au chara design (Dragon Ball entre autre). Pour nous, joueurs et joueuses, nous attendons surtout d'avoir une première vraie expérience nouvelle génération sur un RPG, et Blue Dragon s'annonçait très prometteur pour le premier jeu du studio. Alors, coup de maître ? place au Test !
Nene
Le monde de Blue Dragon est un monde merveilleux, où la paix et l'harmonie règneraient, si l'infâme sorcier Néné, accompagner de son fidèle robot perroquet DeathRoy, ne cherchaient pas le chaos dans d'obscurs desseins, à l'aide de sa technologie robotique avancée, et dirigée par le terrifiant General Mecha, Szabo.
Shu, Jiro et Kluke mènent une vie paisible, avant que les évènements ne s'agitent et qu'une curieuse créature détruise le village. Shu, de nature téméraire mais courageuse décide de s'opposer à la créature pour protéger ses proches, ses deux amis vont l'aider dans sa tâche. Le plan va marcher, mais ils vont se retrouver embarqués par la créature loin de leur village, jusqu'à découvrir l'identité d'une affreuse machine. Premier objectif, où sommes nous ? nous devons rentrés au village au plus vite !... mais la rencontre avec leur prochain ennemi va mettre les idées au clair, le monde est en danger et il faut que nous agissons, mais y arriverons nous ? bientôt un immense pouvoir leur sera transmit facilement, dans quel but exactement ? c'est ici que l'aventure débute...
L'histoire de Blue Dragon est empreinte de mysticisme à base de légendes originales et de technologie, sur un récit traité dans un univers héroic-fantasy, proche d'un certain Dragon Quest pour ce dernier critère. Les protagonistes principaux sont peu nombreux mais très bien développés dans leur psychologie, assez jeune mais dégageant déjà une grande maturité et un sens des responsabilités. Les ennemis eux, sont mystérieux, Néné dégage une atmosphère dérangeante, on se doute qu'il a de mauvaises intentions mais ses actions laissent dans l'interrogation, et nous incite à avancer pour savoir comment tout cela va tourner, mais il n'est pas seul. Le reste des acteurs se situe au niveau des personnages secondaires, très nombreux et ayant tous un rôle à jouer, plus ou moins importants, au cours de l'aventure de nos héros, qui seront rejoins par deux autres membres, formant l'équipe (donc vous) qui décidera du sort de ce monde.
Bien sur la trame principale réservera beaucoup de rebondissements, et chaque tâche même mineur participera à la cohérence de l'univers, plutôt riche du jeu. Pas d'excentricité, pas de délires ou trop de clichés, juste un message passé au travers de différentes émotions, tantôt touchantes, tantôt intenses, sur lesquelles l'interactivité jouera un rôle essentiel.
Eblouissant
La réalisation technique de Blue Dragon nous permet de mesurer enfin le potentiel d'une machine nouvelle génération sur un RPG. Et c'est impressionnant !
Le jeu nous propose trois modes d'affichage, les CG, les cut scènes à mi-chemin entre CG et moteur du jeu, et le rendu du dit moteur. La première chose qui nous interpelle, c'est les efforts pour garder une grande cohérence dans ces trois phases, au point que nous avons vraiment l'impression d'un tout, sans décalages et parfaitement orchestrer. Ce tour de force permet surtout de constater que le moteur du jeu est impressionnant, et que l'image de synthèse interactive n'est plus une fiction, tant par moment le travail des effets et textures est saisissant, avec un aliasing ou des bugs inexistants. On se surprend même souvent a s'arrêter, tourner la caméra avec le stick droit pour chercher un plan de carte postale avec les reflets du soleil sur l'eau, tout simplement superbe.
Les personnages ont donc bénéficiés de ce travail de textures, un brin pâte a modelé, qui leur donne une identité certaine, même si peut être certains angles laissent trop entrevoir un aspect poupée, mais le jeu l'assume sans soucis, avec un grand soin dans la mise en scène. Le chara design de Toriyama est simple et efficace, parfaitement intégrer à l'univers 3D du jeu, c'est même un bel hommage vu le soin apporté. Cependant certains ennemis prouvent que l'on peut sophistiqué un visuel d'apparence épuré, et le résultat est souvent bluffant, on pense notamment à tous ce qui porte une armure ou les machines, avec un rendu métallique sensationnel, sublimé par un travail d'éclairage presque parfait, toujours cohérent.
A ceci il y a les décors, si les textures de milieux futuristes ou plus conventionnels sont réussis (à part l'herbe moins convaincante), il y aura souvent un élément gênant, le vide. Le début de partie est d'ailleurs assez terne à ce niveau, heureusement par la suite la simplicité mais l'efficacité du level design gommera en partie ce détail. Quelques éléments sont interactifs comme un rocher à faire tomber sur un passage, ou briser un arbre mort pour faire un pont, mais ça reste léger, un peu plus d'audace dans les plus grandes étendues n'aurait pas fait de mal. Villages sont inégaux dans leurs surfaces, mais globalement c'est impressionnant, avec une population donnant vie et une variété appréciable qui nous émerveille souvent. Un défaut cependant, l'effet de blur pour simuler la distance qui s'affiche un peu trop vite, ou est trop présent lorsque la caméra se situe entre décor et personnage rapprochés, mais pas vraiment gênant, on s'y habitue même très vite. Le jeu comporte également une world map, à l'ancienne, sur laquelle vous vous déplacez à pied avant d'avoir d'autres moyens de transport au gameplay manuel, à moins que vous ne préfériez vous téléportez. Cette carte est à l'image du jeu, et finalement, c'est juste une histoire d'échelle tant la aussi, les textures sont magnifiques. Les combats maintenant, que se soit personnage ou ennemi, tout transpire la réussite, les shadow (ou ombre, le pouvoir de nos héros) sont animés avec talent, le tout sous un déluge d'effets spéciaux tous plus spectaculaires les uns que les autres, et a un stade avancé, ça devient le feu d'artifice avec des zooms et cadrages agressifs, d'ailleurs un peu trop puisque le frame rate en prend pour son grade. Même si ces skills sont rares dans l'utilisation et magnifiques visuellement, je devais vous prévenir de ce petit problème.
Vous l'avez compris, le nouveau maître étalon en matière de réalisation technique s'appelle Blue Dragon, et à ce niveau le pari est réussi.
En prévision de la V4, Legendra recherche du sang neuf. Alors si vous êtes passionnés de RPGs, et ayant de bonnes bases en français pourquoi ne pas postuler?
Intégrer l'équipe de legendra, c'est:
-Faire parti d'un staff super motivé et limite gosu dans l'âme.
-Pouvoir tester divers jeux en version preview ou définitive selon nos partenariats du moment.
-Outre le staff vous rencontrerez une des meilleurs communauté spécialisé Rpg du web.
Nous avons plus de 330 tests en ligne et atteindrons bientot les 2 000 000 de visites.
Nous recherchons donc des newsmakers, testeurs, voir personnes interressées par l'admin.
Donc si vous êtes interressés , envoyez moi votre candidature (age motivations, jeux préférés etc...) via un message privé.
Vous voulez voir le site de Legendra: => Le site ici
D'autre site du type dont certains méritent d'être mieu connu: => D'autre sites
Voila, ayant reçu il y a peu l'ost du premier Rpg de Mistwalker, j'ai nommé le trés attendu Blue Dragon. Je ne peux m'empécher de vous faire profiter de quelques tracks:
Ayant adoré les derniers opus en date, j'attendais beaucoup de ce Tales of the Abyss dont j'avais entendu le plus grand bien. Après avoir longtemps cru que le jeu resterait cantonné au Japon, ma patience fut récompensée par une sortie US (dommage Feid ^^). Une excellente initiative de namco, qui permettra de profiter pleinement des savoureux dialogues du jeu, à défaut d'avoir une sortie européenne. A noter que la sortie du jeu coïncide avec les 10 ans de la série (et oui, le temps passe vite).
Luke Von Fabre, noble teigneux
Le jeu nous met dans la peau de Luke Von Fabre, jeune héritier de cette famille noble proche de l'empereur de Kimlasca. Depuis son kidnapping 7 ans auparavant qui l'a rendu amnésique, Luke est cloîtré dans son manoir, si bien qu'il ne connaît rien du monde extérieur. Depuis, il entend régulièrement une mystérieuse voix dans sa tête, dont la fréquence d'apparition s'accentue avec le temps. Luke passe son temps entre l'entraînement avec son maître Van, les moments en compagnie de serviteur et ami Guy, et ses caprices d'enfants gâtés (une vraie tête à claque, c'est jouissif).
Mais ce jour là, le destin de Luke va basculer. Alors qu'il effectue ses gammes quotidiennes avec Van, le manoir est pris d'assaut par une étrange jeune femme du nom de Tear, qui parvient à endormir tous les gardes. Lorsqu'il comprend que sa cible n'est autre que son maître vénéré, Luke s'interpose, et le contact avec Tear provoque une hyper-résonnance qui les transporte tous deux loin de Kimlasca. Le début pour Luke de la découverte du monde, mais aussi d'une quête initiatique qui révèlera sa vraie nature, lui fera découvrir le monde, et le marquera à tout jamais.
La fine équipe
Si Tales of Legendia m'avait littéralement accroché, c'était avant tout grâce à la qualité des personnages et leur développement. Dès les premières heures, on sent que les personnages du jeu vont être aussi intéressants et fun, bien que dans un style radicalement différent (Jay est inimitable :-) ). Luke, héros au départ irritant (ce qui fait son charme) va évoluer tout au long de l'aventure et sa prise de conscience face à ce qu'il est et ses actes passés est très intéressante. Son fidèle acolyte, Guy Cecil, a presque tout du héros classe et viril, à un détail près: sa phobie des femmes. Ce petit détail donne son charme au personnage et permet quelques situations hilarantes. Les deux compères seront rejoints par Tear Grant, de l'ordre religieux de Lorelei, dont les principes vont être ébranlés et la vie bouleversée. Un perso au premier abord froid et distant, mais qui amènera aussi sont lot de surprises. Viennent ensuite Jade Curtis, général de l'empire surnommé le nécromancien à la connaissance infini, Anise, petite peste au service du maître de l'ordre de Lorelei (le Fon Master Ion) et enfin Natalia, princesse de Kimlasca et promise de Luke.
Les relations entre les membres de l'équipe sont très ambiguës tout au long du jeu et régulièrement développées au travers de petites scènes optionnelles. On s'attache vite à cette équipe, sûrement la plus réussie de la série au coté de celle de Legendia.
Une gestion bien poussée
nutile de chercher en quoi cet épisode se démarque des autres dans le déroulement, tous les Tales of sont quasiment tous identiques sur ce point. On note juste le retour d'une vraie carte ouverte et non plus dirigiste comme c'était le cas dans Tales of Legendia. Petite nouveauté dans les villes, on peut désormais rapporter les matières premières récupérées au cours des lieux et en profiter pour commander de l'équipement avec, une idée déjà vue mais toujours agréable. Les donjons sont variés, intéressants par leurs petits énigmes et ne donnent jamais l'impression d'être trop longs. Le sorcerer ring pur laisse ici place à une petite bête adorable, Mieu, qui se chargera de convertir l'énergie de l'anneau en diverses actions (cracher du feu, choc destructeur de pierre etc). Mieux (notez le jeu de mot excellent), certains pouvoir sont et permettent de trouver les quelques passages secrets du jeu (donnant lieu à de nombreuses petites scènes).
Les nouveautés sont à chercher du coté de la gestion des protagonistes. On peut désormais assigner des éléments à chaque attaque spéciale ou magie, selon quatre catégories. Les effet sont variables (effet accru, consommation de magie réduite...) et la fréquence d'activation augmente avec l'utilisation de la capacité associée. Une très bonne idée qui permet de réduire considérablement le temps d'incantation des magies fréquemment utilisées, par exemple. A fur et à mesure des combats vous débloquerez aussi des compétences spéciales pour chaque personnage. Il est de bon ton d'aller régulièrement y jeter un oeil pour voir les dernières mises à jour, car certaines sont vraiment plus qu'utiles (pouvoir utiliser un objet sur un autre membre, se déplacer librement sur tous les terrains etc). Enfin, on peut assigner un artefact à chaque personnage qui accentuent les caractéristiques.
Un peu de technique dans ce monde de brutes
Les combats ressemblent fortement à ceux de Tales of Symphonia. L'aire de combat est en 3D, et on peut s'y déplacer librement (après quelques petites heures) en maintenant la gâchette L2. Pendant les affrontements, des petits slots élémentaux apparaissent au sol, qui peuvent être actifs ou inactifs. Si on déclenche une action du même éléments qu'un slot actif en se trouvant dessus, l'effet se verra grandement boosté. Un très bon ajout qui donne une nouvelle dimension technique au combat, en faisant bien plus jouer sur les déplacements. Notons enfin la présence toujours sympathique des Ougis, assez simples à déclencher. Une fois la barre adéquate chargée au maximum (over lmimit), le joueur peut basculer dans un mode spécial, il suffit ensuite de lancer une attaque élémental et de maintenir le bouton d'attaque pour déclencher ces attaques monstrueusement puissantes et magnifiques. Sans être insurmontables, les combats contre les boss proposent souvent un peu de défi, et une bonne gestion de tous les paramètres est souvent nécessaire à une victoire sans encombre. Le système de combat est sans conteste le plus réussi de la série, un vrai régal pour les joueurs même les plus réfractaires, qui devraient le trouver moins bourrin et fouilli que d'habitude.
La carte, éternel talon d'Achille
Sans être le plus beau RPG de la machine, le jeu s'en sort honorablement. Au coté de personnages moyennement modélisés mais possédant malgré tout un certain charme on trouve de très beaux décors pour la console et des effets lumineux superbes. L'architecture des batiments est bien souvent très travaillée et les angles de vue adoptés les mettent superbement en valeur. Reste le sujet épineux de la série, la carte 3D du monde. D'ordinaire moche, elle est ici assez joli, ce qui est asses surprenant. Oui mais voilà, chaque mouvement de caméra entraîne des ralentissements énormes et plus que pénibles, à se demander si les développeurs ont testé leur moteur 3D! Un défaut fâcheux dont on se serait bien passé, d'autant qu'on passe pas mal de temps à l'air libre. Quelques cinématiques marquent les moments importants, pour la plupart réussi (on oubliera celle illustrant la guerre, affreuse et complètement en décalage avec le jeu). Faisons mention également des menus, sobres et ternes, ce qui surprend au premier abord.
La bande son remplit son role, et comme souvent avec Sakuraba sur les les Tales, c'est joli, mais sans génie. Reste que les thèmes sont agréables et qu'aucune lassitude ne s'installe, mais on attend toujours le jour où Sakuraba produira une ost culte pour la série, comme il a si bien su le faire pour tant de jeux.
Un grand scénario pour un grand cru
La où le jeu m'a surpris, c'est de par son scénario. La série, sans forcément être misérable sur ce point, n'a jamais été réputé pour ses histoires et ses personnages. Pourtant avec l'épisode précédent, le tendance semblait s'inverser. Ici, on a affaire un excellent scénario mis en scène dans un univers très travaillé. Mais, car il faut toujours un mais, cela se paie au niveau du plaisir de jeu. Par moment, on se trouve surchargé d'informations, les dialogues n'en finissent plus et l'envie de cogner du méchants et d'arpenter des lieux nous démangent. Il ne reste plus qu'aux programmeurs qu'à trouver le juste milieu, même si le fait de zapper toutes les scènes optionnelles atténuent grandement ce défaut, qui pour certains n'en sera pas un.
Sans conteste l'épisode de la série le plus abouti à tout niveau, Tales of the Abyss pèche légèrement par une surcharge de dialogues au détriment des phases de jeu. Qu'importe, le plaisir est bien là, et l'on prend son pied à diriger les excellents personnages tout au long du jeu. La série fête ses 10 ans avec son meilleur épisode, Mieu Mieu!
Les plus:
+Meilleur scénario de la série
+Gameplay jouissif
+Equipe excellente (Guy!)
+Univers envoutant
Les Moins:
-Un poil trop de dialogues au détriment de phases de jeu
-La carte, une honte
Bon ben voila, la sortie du nouvel Ys approche à grand pas! Laissons tomber ce vulgaire Zelda sur wii, et achetons tous le nouveau chef d'oeuvre de Falcom !!! (non non je ne me sens pas seul ).
Bon, avant toute chose, pour vous mettre en condition cliquez ICI , vous écouterez alors un des meilleurs ending jamais fait.
J'ai vu il y a peu que l'anime Fantastic Children était sorti en dvd en France. Etant un de mes derniers coup de coeur en anime il fallait que je fasse ne serais-ce qu'un post pour inciter à vous procurez cette oeuvre.
Le synospsis peut paraitre bizarre dans un premier temps, mais l'histoire étant assez complexe et dévoilé en continue dans l'anime, il n'est pas aisé d'en faire un de bonne qualité , et surtout sans trop spoiler...
En voici tout de même un:
Un groupe d'étrange enfants aux cheveux blancs sont à la recherche d'une personne qui serait la clé de leur bonheur; malheureusement leur seul indice est une peinture ilustrant un étrange croissant de lune.
Thomas est un jeune homme, vivant avec ses parents sur une île éloigné, cherhcant desespérément à se faire des ami(e)s et à trouver un sens à sa vie.
Helga est une orpheline qui cherche desespérement à trouver un lieu qu'elle a tout le temps en tête.
La rencontre de ces deux jeunes gens va changer leur vie, et ceci pour toujours.
Le design particulier des personnages est l'œuvre de Takashi Nakamura, dont le style est facilement reconnaissable. Il est l'auteur du long métrage Palm no Ki sorti en 2002. Parmi le staff, signalons aussi la présence de Nizu Yamamoto comme directeur artistique. Il a collaboré avec Hayao Miyazaki sur des films des studio Ghibli.
cette précision doit être faite car au premier abord, l'on pourrait prendre Fantastic Children pour un truc de seconde zone, alors qu'il n'en est rien. Bien au contraire. L'histoire est boulversante comme peut l'etre un l'autre monde, l'ambiance enivrante, on sent du début à la fin que l'auteur aime son oeuvre. Une foi dans l'aventure on ne peut lacher l'anime.
Bref je ne peux que conseiller cet anime en espérant que le post ne soit pas passé inaperçu ^^
La série Suikoden fait, pour moi, partie du panthéon du rpg. Histoire d'assouvir votre nostalgie voici ci-dessous les différentes Intro des opus sorties (en attendant Suiko 6 ).
Pourquoi faire un tel test me direz- vous? Bien déja car c'est un rpg majeur de la saturn, mais aussi parceque au vu des commentaires posté sur dragon Quest Sword, beaucoup ont du mal à se dire que de grands rpgs étaient en vue à la première personne. Voici le test d'un jeu qui leur montrera que la qualité d'un jeu n'a pas forcément à voir avec la vue adoptée... (Merci Darkshao au passage, qui indirectement m'en a donnél'idée ^^)
Enrich, un bien étrange royaume...
Le jeu prend place dans le royaume enchanteur d'Enrich. Vous incarnez Arthur, un jeune mercenaire qui, en compagnie de ses compagnons assez réputés -la guérisseuse Melody et du magicien Forte- est chargé par le roi d'aller capturer le ninja rebelle, Rodi, terré au fond d'une sombre caverne.
Au cours de cette quête, ils découvriront que les personnes de confiance et celles qui tirent les ficelles ne sont peut être pas celles que l'on croit... Cela va être le début d'un long périple qui va amener Arthur et ses amis à parcourir toute la contrée pour mettre fin aux agissements de vils démons nommés les Vandals (mais sont ils vraiment des ennemis?).
Il va ainsi faire la connaissance de deux autres mercenaires rivaux : Lisa (paladin de sexe féminin, haaaaaaaaaaa quelle classe) et Basso (bourrin de base, un Dragonut), mais aussi de deux ninja, Akane (la petite préférée d'Axi) et Doyle, venant d'un village ninja au sud du pays. Si vous avez bien suivi, vous aurez remarqué qu'il y a en tout huit persos
Un classical dungeon-rpg?
Comme je le disais plus haut, le jeu peut être assimilé au premier abord à un dungeon-rpg de par sa vue. En effet, à la manière de Shining and the Darkness, on se déplace dans les lieux avec une vue subjective en case par case du plus bel effet, même si au final le jeu est un pur classical, le seul de la saga. Vous visiterez ainsi pas à pas tous les donjons avec cette vue (seule la carte du monde opte pour une vue classique et vous choisissez juste le lieu où vous voulez aller, avec un style 2D SD super mignon). Une fois dans l'un d'eux,une carte très bien faite montrant les endroits que vous avez visités est accessible pour mieux vous y retrouvez , et elle est vraiment très bien faite. Mais ce qui le différencie vraiment d'un dungeon-rpg, c'est que le scénario est extrêmement poussé, et l'on ne se contente pas d'aligner les donjons répétitifs pour revenir à un unique village. Dans chaque lieu il y a de très nombreuses énigmes et préparez vous à bien faire fonctionner vos méninges lors des derniers lieux (la fameuse énigme avec les bijoux haha vive les équations de maths) ! Ensuite vous naviguerez ensuite de villages en villages (assez nombreux) et discuterez avec les villageois, fouillerez les diverses habitations, tonneaux ou autres trucs qui traînent (Voila ce qu'on a pas dans les dunjeon-rpg).
Des combats dynamiques
Les combats se déclenchent de manière habituelle pour un classic-rpg, c'est-à-dire aléatoirement, et utilisent évidemment les icônes habituelles de la série. On peut toujours attaquer, lancer de la magie, utiliser un item ou fuir (ça peut toujours servir ~~, hein Dron).
Au fur et à mesure que vous gagnerez des levels vos persos apprendront des attaques spéciales qui se déclenchent aléatoirement et en plus d'être magnifiques elles sont souvent très puissantes. Au début de chaque tour vous pouvez intervertir les personnages qui se battent (quatre parmi huit maximum) et ceux restés à quai. Très pratique pour mettre plusieurs guérisseurs ou pour gicler un magicien vide de mana (et oui les magiciens ne sont pas des brutes en attaque ici).
Le rythme de ces combats est très rapide et il n'y a aucune coupure entre ceux-ci et l'exploration. Pourquoi ? Parce qu'ils utilisent la même vue et on voit l'ennemi arriver.
Du reste ce dernier point est très important. En effet, durant le jeu, on peut trouver des fées qui pourront attaquer les ennemis lors de leur approche, mais ceci de manière limitée : les adversaire vient par la gauche, envoyez les Succubus, il tente de vous prendre par la droite, faites appel aux Incubus, etc. A noter qu'il y en a cinquante en tout assez bien cachées. Et si les ennemis viennent de plusieurs cotés à la fois, il faudra bien évidemment essayer d'envoyer le type de fée où vous en posséder le plus grand nombre (vous pouvez n'envoyer qu'un type à la fois que vous choisissez à l'aide des gâchettes). Idée fun pour le système efficace des Shining.
Dans les villages vous devrez très souvent discuter avec les villageois pour pouvoir avancer dans l'histoire. Tous les ingrédients classiques des villages de rpg sont présents et bien évidemment comme dans tout bon Shining, il y aura assez loin dans le jeu un forgeron qui permettra de forger des pièces d'équipement.
Un mélange 2D/3D de toute beauté
Graphiquement, le jeu est un mélange de 3D et de 2D et le moins qu l'on puisse dire c'est qu'il flatte la rétine! Sincèrement même actuellement le jeu est encore très beau (pour un jeu de 97). Les décors ne pixellisent pas énormément et les ennemis sont tous très très fins . Le style est vraiment mignon et les attitudes des différents persos croisés sont très naturelles... Les effets des magies et attaques spéciales sont extrêmement bien réalisés, c'est un régal. Les villages sont bien structurés, réalisés, mais surtout semblent vraiment très vivants. Le scénario est très bien ficelé, bien travaillé et introduit bon nombre d'éléments qui seront repris dans SFIII (TEST CI DESSOUS).
Coté sonore, ben c'est un Shining et une fois de plus les diverses compositions sont splendides ( signées Motoi Sakuraba) !
Enfin, au niveau de la durée de vie, vous en aurez à peu près pour quarante heures à la première partie et bien plus pour avoir les 100%. De plus on y revient vraiment sans problème...
Voila, que dire de plus si ce n'est : culte, culte, culte! L'un des meilleurs classical existant, la série des Shining a bien réussi son virage (à l'inverse de ceux effectués pour aller vers l'action-rpg...).
Les plus:
Les graphismes enchanteurs
L'ambiance excellente
Le système des fées
Les musiques
La classe des persos
Gameplay béton
Les moins:
Etant sur Saturn pas forcément simple d'y jouer aujourd'hui