
Une potentielle deuxième chance pour Tales of Kenzera, mais dans un tout autre genre
Tout comme
Prince of Persia : The Lost Crown, le petit
Tales of Kenzera : ZAU est un MetroidVania plutôt apprécié par la critique mais n'étant pas parvenu à trouver un public suffisant. Si le premier cité est désormais enterré par Ubisoft comme on a pu le comprendre, Surgent Studios veut lui profiter de sa stature indépendante pour offrir à la licence une deuxième chance mais en modifiant le genre :
Project Uso se situera dans le même univers (mais bien avant l'histoire déjà contée) mais l'approche narrative sera beaucoup plus sombre, et si l'action sera encore présente, les projecteurs seront cette fois braqués sur les dialogues à choix multiples, l'équipe allant même jusqu'à prendre en référence
Planescape : Torment.
La grande question est de savoir maintenant si un éditeur serait intéressé pour financer le projet (c'est le but de commencer à communiquer dessus) car sans cette aide, il ne faudra pas trop parier sur l'avenir de la licence, ni sur celle du studio…

posted the 10/26/2024 at 03:46 PM by
Gamekyo
Test de Tales of Kenzera
https://youtu.be/ayhNVwSB8FA?si=nD6tAHQreMrIXygh
sinon le jeu était sympa mais oubliable malheureusement.
Je m'attendais a un Metroidvania générique mais qui se serait démarqué par sa D.A, OST et surtout histoire. Je me suis retrouvé avec la DA, l'OST mais pas l'histoire
Ici premier commentaire ça parle tout de suite de Sweet Baby, sur l'article Spider man noir c'est l'autre camp qui fait de la provoc dés le 2ème commentaire...
Nettoyage effectué.
tripy73 tokito zekk
Stop.
Et je parle notamment à toi tokito car autant le débat a parfois lieu d'être, autant pour Kenzera, son échec n'est aucunement lié à du DEI.
Le jeu manquait d'aura et de personnalité dans sa DA d'entrée de jeu, et même des fans du genre n'étaient pas attiré sans même savoir que y avait du Sweet Baby dedans.
Le jeu vidéo est un divertissement interactif, ça beaucoup de gens et notamment en occident l'oublient et ont de plus en plus tendance aujourd'hui à se servir du média pour faire autre chose d'un peu plus politique quitte à faire à des produits très moyens. On le voit très bien avec Ubisoft et Star Wars Outlaw et Assassin's Creed Shadows, 2 jeux qui sont en-dessous de ce que sait normalement faire les développeurs vu leur passif. Il est là le problème à mon humble avis.
Voir d'anciens jeux être censuré cette génération comme Dead Rising jusqu'à Paper Mario 2 sans oublier des nouveaux jeux comme Final Fantasy 7 Remake ou Stellar Blade pour convenir à une cible qui n'achète pas des jeux comme Concord (Sony), Tales of Kenzera (édité par EA) ou Dustborn (édité par Quantic Dream), ça n'est pas très rassurant pour créativité dans le futur...
Ce qui m'énerve surtout c'est quand on entend des développeurs critiquer voire insulter des gens de ne pas venir supporter leur jeux et de reprocher d'être un produit DEI avec argument niveau 0 du "vous êtes des facho", qu'est-ce qu'on doit faire ? Nan mais vraiment qu'on me réponde, parce que se taire n'est pas la bonne solution. On peut parler de la toxicité des gens, mais il y a vraiment un soucis de déontologie dans l'industrie (et pas que celle du JV d'ailleurs) de plus en plus excusé dans la vie de tous les jours.
Je n'ai jamais dit que le jeu n'était pas associé avec la politique DEI, je demande juste pourquoi en parler ici vu qu'on ne sait rien de la suite, et que l'échec du jeu n'est pour le coup pas lié à cela.
Le mec lie son propre passif à son produit ? Mais en quoi est-ce un problème ? Beaucoup l'ont fait avant lui sans que personne n'y trouve rien à dire. On en parle de Papo & Yo ? On en parle de That Dragon, Cancer ?
Et qu'il y ait de la politique dans le JV, en quoi là encore est-ce surprenant et nouveau ? Animal Crossing est une satire du capitalisme, un paquet de JV font de la religion le mal absolu, Pikmin est une ode à l'écologie, et sur ce dernier point, FFVII va jusqu'à proposer un scénario fait de terroristes écologistes face au grand capitalisme. Le même scénario aujourd'hui, il se ferait insulter de suceur DEI
Ce qu'il faut, c'est savoir doser, l'équilibre est difficile.
Le problème, c'est que Sweet Baby & co veulent faire pencher la balance dans un sens, et que beaucoup de ceux qui luttent contre eux aimeraient bien faire l'exact inverse.
Sweet Baby & co, c'est de la merde.
Mais n'oubliez jamais que le reflet d'une merde, c'est également de la merde.
Alors c'est vrai que la DA n'est pas attirante, je l'ai dit depuis le début.
Mais une DA peu attirante n'est pas forcément synonyme de DEI. Eternal Strands, la DA est vraiment bof et de ce que je sais, c'est pas associé à cette politique. Inversement, on sait que Remedy est lié à Sweet Baby, et on peut pas vraiment critiquer la DA (fabuleuse) de Alan Wake 2.
Pour répondre un passage de ton précédent message, bien sur qu'on peut mettre du personnel dans son projet, mais pas au détriment de l'aspect ludique. M'enfin par exemple, Miyamoto n'est pas un écologiste qui a pour objectif premier imprégner cette idée dans l'esprit des joueurs, et puis on ne peut pas dire que ce serait l'objectif final d'un Final Fantasy 7, hein. Il y a l'inspiration et la créativité qui peuvent en effet pousser à la réflexion, et il y a l'acte de vouloir passer parfois en force des messages politiques au travers des médias culturels, tu confondes les deux là. C'est bien de la 2e catégorie que me concernant je suis très critique. Tales of Kenzera n'est pas un énième Metroidvania qui serait sorti au mauvais moment, c'est surtout un jeu qui n'est pas attrayant.
Les studios et éditeurs qui se plaignent d'avoir des avis négatifs de leur produit sur ces questions de DEI n'ont pas compris ce qu'est le jeu vidéo en fait, il faut le dire ça.
Mais encore une fois, si ton message est dans le vrai, en quoi ça concerne directement Tales of Kenzera qui pour le coup ne semble avoir aucun message politique à entrer au forceps dans le crâne des joueurs ? Le scénario, c'est un mec qui va vouloir à travers les mythes africains traverser le royaume des morts pour récupérer l'âme de son père.
Ou alors je comprend pas où tu veux en venir.
Des jeux basés sur des histoires et légendes africaines et même par des studios africains, ça existe depuis quelques temps maintenant, mais aucun jusqu'à présent n'avait besoin d'une agence de consultation DEI...