La vie extraordinaire d’un homme ordinaire racontée en trois chapitres. Merci Chuck !
Cahiers du Cinéma 5/5
Flanagan atteint paradoxalement ce sentiment de multitude en se détournant de toute sur-dramatisation. Les seules images qui donnent corps à la catastrophe annoncée passent rapidement par la télévision.
L'Ecran Fantastique 5/5
Un chant du cygne bouleversant et magistral.
Le Point 5/5
D'ores et déjà l'un des meilleurs films de 2025 et qui mériterait d'enchanter les Oscars 2026.
Nice-Matin 5/5
Film complexe, sur les rêves et les destins brisés, qui va constamment vers l’inattendu et construit comme un puzzle, le parcours émeut et a cette capacité rare de s’ancrer dans l’esprit du spectateur
Ouest France 5/5
Dans une époque où le cinéma hollywoodien a renoncé à nous émouvoir, Life of Chuck fait figure d’ovni salvateur.
Première 5/5
Avec une grâce et une ambition folles, Flanagan livre ici une version grand public des délires mentaux de Charlie Kaufman ; un La Vie est belle pour temps d'apocalypse. Et dans une période où le cinéma mainstream semble avoir renoncé à nous émouvoir vraiment, Life of Chuck fait figure d'ovni salvateur.
Sud Ouest 5/5
Avec tact et sens du rythme, Mike Flanagan bouleverse.
20 Minutes 4/5
Ce conte cruel et tendre sur un homme mystérieux fascine autant qu’il émeut.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Tom Hiddleston danse sans raison, ou peut-être pour toutes les raisons du monde. Car face à l’inconnu, il y a le mouvement – fragile, inutile, magnifique.
Ecran Large 4/5
Typiquement le genre de film difficile à vendre et dont il est préférable de ne rien savoir avant d’y aller. C’est encore le meilleur moyen d’être emporté par cette vague magique qui commence sur les chapeaux de roue, et qui rappelle le pouvoir du cinéma.
L'Obs 4/5
Ce choix de casting, sous ses faux airs d’attrape-geek, participe de la magie atypique de cette fable serpentine, à la fois surannée et déconstruite. Un pied chez Frank Capra, l’autre chez Jordan Peele (« Nope »).
Le Dauphiné Libéré 4/5
Une œuvre rare, réconfortante, qui invite à regarder en arrière, non pour pleurer ce qui est perdu, mais pour célébrer ce qui a été vécu
Le Figaro 4/5
Présenté en avant-première, en septembre dernier, au Festival de Toronto, Life of Chuck en est reparti avec le prix du public. Difficile effectivement de résister à tant de charme et de délicatesse.
Le Monde 4/5
Au tableau apocalyptique succède un morceau de comédie musicale jubilatoire, puis un récit d’apprentissage bouleversant.
Le Parisien 4/5
Mais ici, pas de créatures fantastiques, de morts-vivants ou de tueurs, mais un récit alambiqué et philosophique, rompant l’ordre chronologique, plein d’émotion et de compassion, et d’un tout petit peu de fantastique, avec de jolis personnages… dont le fameux Chuck. Ce qui n’empêche pas le film d’aligner les séquences mémorables (...).
Les Fiches du Cinéma 4/5
Spécialiste de l’épouvante, Mike Flanagan retrouve le grand écran avec un mélodrame très “feel good”, porté par une écriture et un casting inspirés.
Les Inrockuptibles
On sent bien que ce qui passionne Stephen King et Mike Flanagan n’est pas tant la clé de voûte psychologique de leur protagoniste. Life of Chuck est une célébration du parcours et de ses moments où la vie déraille pour faire (re)naître des mondes, des multitudes.
Mad Movies 4/5
Un film de fin du monde à la naïveté volontariste déconcertante, solaire au point de se poser en véritable test de cynisme pour l'époque.
Rolling Stone 4/5
Car c’est moins la narration qui compte ici que les étapes qui la composent, de l’enfance pesante à l’énigme de l’après. Entre casting au cordeau et flamboyance des intentions – à commencer par cette scène de danse de cinq minutes qui restera longtemps gravée –, cette vie mérite d’être vécue, même par procuration.
La Voix du Nord 3/5
Dans cette fresque intime déséquilibrée, on aurait souhaité que Tom Hiddleston soit davantage présent à l’écran, mais la proposition reste très audacieuse. Peut-être qu’elle vous donnera même envie d’entrer dans la danse.
Libération 3/5
C’est à travers cette noirceur larvée que Life of Chuck, malgré sa naïveté, retrouve un certain souffle. Flanagan réussit moins en exaltant la candeur de la jeunesse qu’en regardant l’abîme, l’horizon amer qui en constitue l’envers.
Télérama 3/5
Partant de la très belle idée que chaque mort est une apocalypse et que toute vie, même la plus ordinaire, est un miracle, ce film original, ambitieux dans sa forme comme dans son propos, parvient à nous faire oublier des moments patauds pour offrir de vraies fulgurances, comme une formidable séquence de danse… Donc, merci Chuck.
J’ai passé un bon moment, celle faisait longtemps que je n’étais pas sorti du cinéma avec un sentiment feel good comme cela. Le jeu des acteurs est bon et il y a plusieurs moments de fulgurance qui laissent une empreinte comme un flash sur la rétine, très réussi malgré une absence de résolution satisfaisante, mais ce n’est pas le plus important