Los Angeles, dans les années 80. Star de films pour adultes et aspirante actrice, Maxine Minx décroche enfin le rôle de ses rêves. Mais alors qu’un mystérieux tueur traque les starlettes d’Hollywood, des indices sanglants menacent de dévoiler le sombre passé de Maxine.
Mad Movies 5/5
Une étonnante descente aux enfers, portée par une narration retorse et par le portrait d'une héroïne d’exception, dont l"insolence se situe au-delà de toute morale.
20 Minutes 4/5
MaXXXine dose parfaitement les ingrédients d’un succès sulfureux.
Cahiers du Cinéma 4/5
S’il embrasse en un étrange équilibre de cynisme et de romantisme toute une contre-histoire sinistre de Hollywood et de ses starlettes aux destins broyés (on songe notamment au magnifique The Canyons de Schrader), MaXXXine n’en demeure pas moins irradié d’une malice et d’une légèreté vénéneuses et jubilatoires.
Ecran Large 4/5
Maxxxine est bien moins un hommage aux années 1980 que le récit d’un star-system monstrueux. Ainsi qu’une conclusion parfaite à une trilogie parmi les plus fascinantes vues dans le genre.
Franceinfo Culture 4/5
Un thriller un tantinet dérangeant, comme quand le cinéma fantastique est au meilleur de sa forme.
L'Ecran Fantastique 4/5
Le spectateur perd ses repères habituels, une fois de plus grâce à Ti West, et se laisse embarquer avec plaisir et crainte dans ce récit insensé évoquant le Briande Palma de la grande époque.
L'Humanité 4/5
La suite d’une nouvelle franchise d’horreur pas comme les autres, avec une héroïne sulfureuse nommée Maxine (et Pearl), actrice porno puis starlette de cinéma gore dans les années 1980. En filigrane, l’irrésistible ascension de l’interprète britannique du rôle, Mia Goth.
Le Parisien 4/5
Moins sanglant que X, même si truffé de quelques scènes bien gore, plus animé que Pearl, MaXXXine clôt en beauté une trilogie aussi singulière que féministe.
Le Point 4/5
Les trois films de la saga X sont très différents les uns des autres, mais une certitude demeure : Ti West a signé l'une des meilleures trilogies horrifiques du cinéma américain.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Ti West boucle le destin de son anti-héroïne avec cette inclassable fable morale, hommage généreux à l’Hollywood des eighties.
Ouest France 4/5
Volontairement outrancier dans ses scènes violentes, ce film, qui tient au fond plus du thriller que de l'horreur pure, est également très fin dans le portrait qu'il livre d'une jeune femme tiraillée, écartelée entre des pulsions contraires.
Sud Ouest 4/5
Ti West conclut avec brio sa trilogie d’horreur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Mia Goth aimante la caméra, porte le film, lui fournit son carburant, son énergie punk. Sans elle, la trilogie de West aurait eu un clap de fin de série B non inspirée.
L'Obs 3/5
Le premier degré jubilatoire du flippant X cède la place à un thriller en trompe-l’œil dont le fétichisme autoréflexif tourne à vide. À l’esprit malade de Pearl succède une héroïne iconisée mais dévitalisée.
Le Dauphiné Libéré 3/5
S'il faut apprécier MaXXXine, c'est pour sa cinématographie, son esthétique et son ambiance, qui sont sa substance incomparable. West sait mettre en scène. Et créer un climat.
Le Monde 3/5
La bonne idée de Ti West, c’est de convoquer cet âge d’or de vidéoclub par son empreinte visuelle : éclairages baroques, monochromes saturés, fétichisme des matières (le tueur aux mains gantées), usage délicieusement daté du "split screen" ("écran divisé"), jusqu’au "hard FM" de rigueur.
Les Echos 3/5
Si MaXXXine a moins d'allant que les précédents épisodes, ce projet porté par l'actrice Mia Goth reste ce que l'on a découvert de plus séduisant dans le genre sanglant ces derniers temps.
Libération 3/5
Dernier volet de la trilogie débutée avec X, le film de Ti West raconte la reconversion en starlette de son héroïne, mais se perd dans l’excès de références et fétichisme cinéphiles.
Première 3/5
Maxine émeut et passionne, en grande partie parce qu’elle ne cherche jamais à dissimuler la lueur dingo dans son regard. Il était question à un moment que Ti West conclut avec ce film une trilogie, mais on a franchement du mal à imaginer qu’il abandonne en chemin une héroïne aussi démente.
Télérama 3/5
Après X et Pearl, le réalisateur continue son exploration horrifico-cinéphile et honore les pères pour mieux trucider le patriarcat.
Pearl / X / Maxxxine (c'est l'ordre chronologique).
Faut que je revois X avant, je me souviens même pas si elle a survécu ou non