Après avoir découvert un cadavre mutilé près de leur propriété, deux frères apprennent que les événements étranges survenant dans leur village sont causés par un esprit démoniaque qui a élu domicile dans le corps purulent d’un homme. Le mal dont souffre ce dernier ne tarde pas à se répandre comme une épidémie, affectant d’autres habitants de la région.
20 Minutes 4/5
On prend vraiment plein la figure dans cette histoire de possessions dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle ne fait pas dans la dentelle, ni dans la délicatesse.
Le Parisien 4/5
When Evil Lurks renouvelle avec brio le thème de la possession démoniaque. Il fascine également grâce à une ambiance générale particulièrement macabre et des séquences chocs qui motivent une interdiction aux moins de 16 ans, dont certaines bien gore.
Mad Movies 4/5
Demián Rugna signe avec When Evil Lurks une montée en gamme spectaculaire, tant dans sa mise en scène, la maîtrise de son engrenage scénaristique, sans oublier sa capacité à enchaîner les visions traumatisantes.
Première 4/5
Véritable vent de fraicheur, les spectateurs les mieux accrochés y apprécieront l’un des films les plus méchants de l’année.
Télérama 4/5
De la violence brutale d’aujourd’hui à un envoûtement à l’ancienne, voilà un brillant tour de piste de tout ce que la peur permet.
L'Obs 3/5
Une atmosphère savoureusement délétère et des scènes bien flippantes.
Le Figaro 3/5
When Evil Lurks est un divertissement nihiliste, à la violence complaisante entre deux tunnels de dialogues lourds et explicatifs.
Le Monde 3/5
Le film de Demian Rugna déplace les enjeux du cinéma d’horreur pour conjuguer tout à la fois l’efficacité du choc terrifique et une vision proprement nihiliste d’un monde rural littéralement infesté.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Demián Rugna signe un film de genre astucieux et efficace, riche de scènes horrifiques mémorables, mais qui s’essouffle en cours de route, faute de cohérence.
Cahier du Cinéma 2/5
La peur, la violence et la haine naissent de la bouche des enfants, des mères, des amis, créant une tension permanente où la déraison est telle qu’on finit par oublier les limites du film.
Ah oui effectivement il était dispo depuis un moment en torrent , pour le coup je ne vais plus au cinéma depuis un bon moment (tellement aucun respect dans les salles de nos jours) mais je suis bien content de le voir sur grand écran ce soir dans sa version originale.