La vie de Dai Miyamoto change lorsqu'il découvre le jazz. Il se met alors au saxophone et s'entraîne tous les jours. Il quitte Sendai, sa ville natale, pour poursuivre sa carrière musicale à Tokyo avec l'aide de son ami Shunji. Jouant avec passion, Dai arrive un jour à convaincre le talentueux pianiste Yukinori de monter un groupe avec lui. Accompagné de Shunji qui débute à la batterie, ils forment le trio JASS. Au fil des concerts, ils se rapprochent de leur but : se produire au So Blue, le club de jazz le plus célèbre du Japon, avec l'espoir de changer à jamais le monde du jazz.
Cahier du Cinéma 4/5
Les choix musicaux contribuent évidemment à cette réussite, reposant en partie sur le travail subtil de l’incroyable Hiromi Uehara, à la fois compositrice de la BO, interprète au piano des morceaux joués par les Jass – le trio fictionnel – et directrice musicale du film : un Blue Giant peut en cacher une autre.
Franceinfo Culture 4/5
Alors que "Blue Giant" propose une animation relativement attendue, le film s'envole lors des moments de performance musicale, propose des images presque psychédéliques. Fidèle à l'œuvre originale, l'adaptation cinématographique fait de la musique pour les oreilles, mais aussi pour les yeux.
Le Parisien 4/5
Outre la beauté des images, c’est l’occasion de (re) découvrir le génie de l’artiste internationale nippone Hiromi, pianiste virtuose devenue une star au début des années 2000, qui a composé la bande originale du film, et notamment celle des scènes live. Les films sur le jazz sont rares, les mangas encore davantage. Un savoureux mélange.
Les Inrockuptibles 4/5
Le spectacle d’une transe rendue possible par le pouvoir euphorique et physique de la musique dévoile son plus précieux sortilège : le saxophone se fait cosmos. Et le coup de chaud est total.
Première 4/5
Blue Giant joue une tension très excitante entre le respect des clichés du shonen et leur rejet, tension illustrée par un joli procédé de cinéma : utiliser la capture de mouvements de vrais musiciens lors des scènes de concert, en opposition à l’animation traditionnelle du reste. L’histoire est classique, l’effet est épique.
Telerama 3/5
Le trait séduit par son réalisme quotidien, pour devenir enivrant dans les séquences musicales. Volontiers psychédéliques, elles transmettent le tempo fiévreux et font apercevoir la moindre goutte de sueur des improvisations.
lapala si tu veux de la qualité de son évite absolument le grand rex qui est une salle de cinéma absolument catastrophique. Elle n'a de grand que le nom.
Ippoyabuki quand je vais au cinéma c'est toujours au Diagonal, même si c'est plus petit qu'un grand rex ou un Gaumon, je préfère soutenir se genre de ciné qui passe aussi les petits films, privilégie la VO, et en bonus y a moins de chance d'avoir des enfants relou dans la salle