Shenxiu, une fillette de 10 ans, est aspirée dans les profondeurs marines durant une croisière familiale. Elle découvre l’univers fantastique des abysses, un monde inconnu peuplé d’incroyables créatures. Dans ce lieu mystérieux émerge le Restaurant des abysses, dirigé par l’emblématique Capitaine Nanhe. Poursuivis par le Fantôme Rouge, leur route sera semée d’épreuves et de nombreux secrets. Leur odyssée sous-marine ne fait que commencer.
Première 5/5
Donc, soyez prévenus, si le film parvient à repérer ne serait-ce que la moindre petite faille en vous, il en profitera pour y pénétrer et tout bouleverser. Pas besoin d'avoir une grosse fissure, ceci dit : il suffit juste d'ouvrir les yeux.
Le journal du Geek 4/5
À déconseiller aux plus sensibles et aux jeunes enfants, Le Royaume des Abysses vous maintient la tête sous l’eau pendant près de deux heures. Vous n’en sortirez sans doute pas indemnes, mais le film n’en reste pas moins sacré voyage, autant qu’une leçon d’animation.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Un fantastique voyage au cœur de la consolation mêlant triste réalité et rêves irisés.
Les Inrockuptibles 4/5
Le film donne la très vive impression d’observer un diorama violemment secoué dont les pièces se détachent et s’entrechoquent. C’est un ballet psyché, dense et chargé, qui semble parfois tout droit sorti d’une IA sous ecstasy et qui provoque un certain malaise.
L'Obs 3/5
Inégal mais séduisant.
Le Monde 3/5
Le Royaume des abysses nous raconte l’odyssée sous-marine dans laquelle se trouve embarquée l’héroïne du film, Shenxiu. Le typhon qui l’aspire lors d’une croisière en famille et qui l’entraîne au fond de l’océan ouvre, en réalité, la brèche vers un monde intérieur, celui de la conscience, des émotions et des fantasmes. Tourbillon que l’animation et la bande-son transforment en véritable expérience sensorielle.
Mad Movies 3/5
Créer un univers fantasmagorique aussi riche est une chose, lui insuffler humanité et grâce en est une autre.
Franceinfo Culture 2/5
Ce film à la technique impressionnante passe finalement à côté de son sujet en perdant de vue une réalité inhérente à son intrigue : il faut souvent du temps pour remonter pour de bon des abysses.
La Croix 2/5
Allégorie surréaliste des tourments psychologiques d’une jeune fille en mal d’amour maternel, « Le Royaume des abysses » est un étourdissant film d’animation chinois en 3D relief, qui pâtit de son abus des effets spectaculaires et de sa ressemblance avec des œuvres similaires, plus inspirées.
Le Parisien 2/5
Ici, l’outrance numérique est telle qu’on croirait le film animé par une intelligence artificielle, ce qui épuise rapidement la rétine…
Libération 2/5
Le film d’animation de Tian Xiaopeng, d’abord rafraîchissant par son réalisme, se laisse finalement engloutir par les banalités et une interminable course à l’émerveillement.
Télérama 2/5
Une drôle d’immersion, en apnée, dans un imaginaire surchargé, qui risque de dérouter les jeunes spectateurs, et d’épuiser leurs parents.
le pitch du film ce serait pas celui de Dorothé emporté dans un voyage initiatique au pays du magicien d'Oz le tout enrobé dans un truc à la Ghibli qui fait penser au voyage de chihiro
en fait la vraie distinction c'est que c'est un film d'animation à la pixar.
Le film parait riche, trop même jusqu'à paraitre un peu boursoufflé, y'a trop de détail à l'écran (cf l'avis du parisien ou télérama) une faute de goût en somme.
en fait la vraie distinction c'est que c'est un film d'animation à la pixar.
Le film parait riche, trop même jusqu'à paraitre un peu boursoufflé, y'a trop de détail à l'écran (cf l'avis du parisien ou télérama) une faute de goût en somme.