Le Journal du Geek 5/5
Cette envie de nous proposer un blockbuster intelligent qui a autant le charme du savoir-faire maison niveau action que de composer avec une galerie de personnages humains. Définitivement rien de Minus ici.
Le Parisien 4/5
Contre toute attente, ce volet se hisse parmi les meilleurs de la franchise.
Les Inrockuptibles 4/5
Véritable tour de force, le film de Takashi Yamazaki redéfinit le prototype même du kaiju eiga (le film de monstre japonais) avec un savoir-faire impressionnant et une ligne claire opportune, à l’heure où le genre (côté américain) a plutôt tendance à se tuméfier en crossovers et autres spin-off indigents.
Libération 4/5
Un spectacle superlatif qui, s’il est n’est pas exempt de défauts (personnage du kamikaze affreusement terne, rebondissements artificiels et happy end chargée en sucre) est clairement l’un des blockbusters les plus ahurissants vu sur grand écran ces dernières années.
Mad Movies 4/5
"Godzilla Minus One" traite ses thématiques chafouines avec audace et justesse, dans un équilibre idéal avec le caractère spectaculaire de la saga.
Première 4/5
Le blockbuster américain est dans un coma dépassé, et la dernière réussite incontestable en date était Nope de Jordan Peele, tout autant un film à énigmes tordu et obsédant, qu’une chasse au monstre spectaculaire en IMAX. Godzilla Minus One -qui ne sortira que deux jours seulement en France, dans les salles IMAX notamment- est son cousin japonais : aussi clair et précis que Nope était tordu, mais tout aussi obsédant, et tout aussi
Télérama 4/5
Ce film d’époque, malin et impressionnant, met à l’amende le blockbuster américain moyen.
EcranLarge 3,5/5
Malgré son classicisme apparent et ses séquences de destruction spectaculaires, ce Godzilla est bien celui de la reconstruction.