Plongez dans GYLT, une aventure d’infiltration horrifique, où Sally, une fillette courageuse de 11 ans, recherche sa cousine Emily dans une version de sa ville de Bethelwood cauchemardesque.
Projetée dans un monde tordu via un téléphérique mystérieux, elle affronte des créatures monstrueuses dans une école hantée et des rues oppressantes.
Entre harcèlement scolaire, peurs d’enfance et traumas, ce jeu mêle furtivité et narration.
Avec une direction artistique et une bande-son immersive, GYLT offre une expérience d’horreur douce pour tous les âges.
GYLT est un jeu d’aventure narratif teinté d’horreur et d’infiltration, développé par Tequila Works, un studio qui a fait faillite en 2024.
Sorti initialement en 2019 en exclusivité sur Google Stadia, il a été porté sur PC, PlayStation, Xbox et Nintendo Switch à partir de juillet 2023.
L’histoire suit Sally, une jeune fille de Bethelwood, une ville minière fictive du Maine, lancée à la recherche de sa cousine Emily, mystérieusement disparue.
Après une altercation avec des brutes, Sally bascule dans une version cauchemardesque de sa ville, où ses peurs et souvenirs prennent vie sous forme de créatures monstrueuses.
Le scénario aborde des thèmes sérieux comme le harcèlement scolaire, la solitude et les traumas psychologiques, mais son traitement, peut manquer de subtilité par moments.
Côté gameplay, GYLT mise sur un mélange d’exploration et d’infiltration.
Sally navigue dans des environnements inquiétants – une école, un parc, une salle d’arcade – en évitant ou affrontant des monstres à l’aide d’une lampe torche, d’un extincteur ou de leurres comme par exemple lancer des canettes de soda pour attiré l'attention.
Si la lampe torche est suffisamment chargée, il est même possible d’éliminer les ennemis par derrière.
Cependant, ne vous attendez pas à la profondeur d’un Splinter Cell : les mécaniques sont minimalistes, offrant le strict nécessaire.
Le bestiaire est aussi assez limité.
Le jeu est d’une extrême facilité, ce qui le rend accessible, notamment pour les jeunes joueurs ou les néophytes du genre horrifique.
Cette simplicité peut toutefois frustrer ceux qui recherchent un défi plus corsé.
L’atout principal de GYLT réside dans son ambiance.
La direction artistique, avec ses graphismes évoquant un film d’animation, est à la fois mignonne et joliment oppressante, sublimée par des jeux de lumière soignés.
La bande-son, alternant entre thèmes enfantins et sonorités angoissantes, renforce cette atmosphère mélancolique, tandis que le doublage français, de bonne facture, ajoute à l’immersion.
Les environnements, bien que variés, restent dans un style cohérent qui donne vie à ce cauchemar éveillé.
Avec une durée de vie de 3 à 6 heures, extensible grâce à trois fins différentes et des collectibles, GYLT offre une expérience compacte mais satisfaisante.
L'obtention de la Vraie Fin encourage une certaine rejouabilité.
Coté Optimisation, le jeu tourne sur l'Unreal Engine.
Avec toutes les options graphiques à fond, j'ai du 60 FPS constant et sans aucun micro-freezes.
L'optimisation est parfaite.
GYLT est un bon petit jeu qui ne révolutionne pas le genre de l’infiltration ou de l’horreur, mais qui fait le job pour une petite expérience narrative accessible et immersive.
Son ambiance soignée, son optimisation parfaite et son prix abordable (entre 10 et 20 euros, actuellement en promotion jusqu’au 10 juillet 2025) en font une option intéressante pour les amateurs d’aventures narratives ou les joueurs cherchant une introduction douce à l’horreur.
Cela dit, son gameplay simpliste et son manque de challenge pourront décevoir les habitués du genre.
Mais je le recommande uniquement si l'on a rien d'autre à faire.
Note : 6,5/10.
Sorti initialement en 2019 en exclusivité sur Google Stadia, il a été porté sur PC, PlayStation, Xbox et Nintendo Switch à partir de juillet 2023.
L’histoire suit Sally, une jeune fille de Bethelwood, une ville minière fictive du Maine, lancée à la recherche de sa cousine Emily, mystérieusement disparue.
Après une altercation avec des brutes, Sally bascule dans une version cauchemardesque de sa ville, où ses peurs et souvenirs prennent vie sous forme de créatures monstrueuses.
Le scénario aborde des thèmes sérieux comme le harcèlement scolaire, la solitude et les traumas psychologiques, mais son traitement, peut manquer de subtilité par moments.
Côté gameplay, GYLT mise sur un mélange d’exploration et d’infiltration.
Sally navigue dans des environnements inquiétants – une école, un parc, une salle d’arcade – en évitant ou affrontant des monstres à l’aide d’une lampe torche, d’un extincteur ou de leurres comme par exemple lancer des canettes de soda pour attiré l'attention.
Si la lampe torche est suffisamment chargée, il est même possible d’éliminer les ennemis par derrière.
Cependant, ne vous attendez pas à la profondeur d’un Splinter Cell : les mécaniques sont minimalistes, offrant le strict nécessaire.
Le bestiaire est aussi assez limité.
Le jeu est d’une extrême facilité, ce qui le rend accessible, notamment pour les jeunes joueurs ou les néophytes du genre horrifique.
Cette simplicité peut toutefois frustrer ceux qui recherchent un défi plus corsé.
L’atout principal de GYLT réside dans son ambiance.
La direction artistique, avec ses graphismes évoquant un film d’animation, est à la fois mignonne et joliment oppressante, sublimée par des jeux de lumière soignés.
La bande-son, alternant entre thèmes enfantins et sonorités angoissantes, renforce cette atmosphère mélancolique, tandis que le doublage français, de bonne facture, ajoute à l’immersion.
Les environnements, bien que variés, restent dans un style cohérent qui donne vie à ce cauchemar éveillé.
Avec une durée de vie de 3 à 6 heures, extensible grâce à trois fins différentes et des collectibles, GYLT offre une expérience compacte mais satisfaisante.
L'obtention de la Vraie Fin encourage une certaine rejouabilité.
Coté Optimisation, le jeu tourne sur l'Unreal Engine.
Avec toutes les options graphiques à fond, j'ai du 60 FPS constant et sans aucun micro-freezes.
L'optimisation est parfaite.
GYLT est un bon petit jeu qui ne révolutionne pas le genre de l’infiltration ou de l’horreur, mais qui fait le job pour une petite expérience narrative accessible et immersive.
Son ambiance soignée, son optimisation parfaite et son prix abordable (entre 10 et 20 euros, actuellement en promotion jusqu’au 10 juillet 2025) en font une option intéressante pour les amateurs d’aventures narratives ou les joueurs cherchant une introduction douce à l’horreur.
Cela dit, son gameplay simpliste et son manque de challenge pourront décevoir les habitués du genre.
Mais je le recommande uniquement si l'on a rien d'autre à faire.
Note : 6,5/10.