Dans Spy Fox 2 : Opération Robot-Expo (Some Assembly Required en anglais), le joueur incarne Spy Fox, un renard espion élégant et astucieux travaillant pour l'agence secrète Spy Corps.
L'histoire se déroule lors de l'Exposition Mondiale, où le villain, Napoléon Bocloporte, chef du Service Mondial d'Escroqueries, de Larcins et de Liquidation par les Yuppies (S.M.E.L.L.Y.), a conçu un plan machiavélique pour dominer le monde. Il a construit un gigantesque chien-robot alimenté par l'énergie des tourniquets de l'exposition, avec l'intention de le déchaîner pour semer le chaos.
Spy Fox est envoyé pour contrecarrer ce complot.
Spy Fox 2 : Opération Robot-Expo, sorti en 1999, est la deuxième aventure du renard espion au style cartoon.
Ce point-and-click vise surtout les enfants.
Le Scénario est Ridicule, mais c’est le but !
L’histoire suit Spy Fox, qui doit déjouer le plan diabolique d’un méchant caricatural tout droit sorti d’un cartoon des années 90.
Son objectif est de dominer le monde avec un Robot Chien Géant exposée à une foire scientifique.
Le scénario est volontairement absurde, et le méchant rappelle les vilains des dessins animés pour enfants, avec son plan théâtral et ses dialogues exagérés.
Cependant, comparé au premier épisode, l’intrigue est un peu moins captivante, moins inspirée. Ça reste divertissant, mais on sent une légère baisse de régime.
Le méchant, Napoléon Bocloporte, fait quand même marrer avec son style théâtral et sa voix. Il me fait un peu penser à Plancton de Bob L'éponge pour ceux qui connaissent.
Le Gameplay est simple, c’est du point-and-click classique : énigmes faciles, objets à combiner, dialogues à fouiller, etc...
Les puzzles sont pensés pour les jeunes, donc ça peut sembler basique pour un adulte.
Le jeu dure 2-3 heures, un poil plus long que le premier, ce qui donne un rythme correct. Mais son côté très enfantin le rend clairement plus adapté aux gamins qu’aux grands.
D'ailleurs à chaque redémarage comme dans le premier, certaines énigmes et dialogues peuvent être différente, ce qui peut légèrement booster la rejouabilité. Au moins pour les enfants.
Pour ce qui est des graphismes, c'est quasiment un cartoon vivant.
Visuellement, c’est du pareil au même que le premier : des couleurs vives, des animations comme un dessin animé interactif. Ça a un charme fou, surtout pour les jeunes.
Les graphismes, un peu datés vu d’aujourd’hui, tiennent la route grâce à une direction artistique solide.
Les doublage des voix caricaturales, surtout celle de Spy Fox et des persos récurrents, sont toujours au top pour moi.
Le méchant, avec sa voix exagérée, est plutôt bon aussi. Je pense que c'est le même que celui du méchant du premier jeu, mais je ne suis pas sûr.
Le boulot des doubleurs booste bien l’ambiance déjantée.
Les musiques et effets sonores font le job, sans marquer les esprits.
Verdict ?
Sympa pour les gosses, un peu moins pour les vieux.
Spy Fox 2 est une suite honnête, mais moins captivante que le premier.
Son humour absurde, ses graphismes cartoon et ses énigmes simples plairont aux plus jeunes, qui devraient kiffer.
Pour les adultes, ça passe grâce au doublage et à l’humour, mais ça manque quand même de profondeur. Et le début est moins intéressant et marquant que le premier.
En 2-3 heures, c’est plié, et ça reste un bon plan pour initier des gamins au point-and-click.
Les fans du premier risquent d’être un peu déçus, mais ça vaut le coup pour les nostalgiques.
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Ce point-and-click vise surtout les enfants.
Le Scénario est Ridicule, mais c’est le but !
L’histoire suit Spy Fox, qui doit déjouer le plan diabolique d’un méchant caricatural tout droit sorti d’un cartoon des années 90.
Son objectif est de dominer le monde avec un Robot Chien Géant exposée à une foire scientifique.
Le scénario est volontairement absurde, et le méchant rappelle les vilains des dessins animés pour enfants, avec son plan théâtral et ses dialogues exagérés.
Cependant, comparé au premier épisode, l’intrigue est un peu moins captivante, moins inspirée. Ça reste divertissant, mais on sent une légère baisse de régime.
Le méchant, Napoléon Bocloporte, fait quand même marrer avec son style théâtral et sa voix. Il me fait un peu penser à Plancton de Bob L'éponge pour ceux qui connaissent.
Le Gameplay est simple, c’est du point-and-click classique : énigmes faciles, objets à combiner, dialogues à fouiller, etc...
Les puzzles sont pensés pour les jeunes, donc ça peut sembler basique pour un adulte.
Le jeu dure 2-3 heures, un poil plus long que le premier, ce qui donne un rythme correct. Mais son côté très enfantin le rend clairement plus adapté aux gamins qu’aux grands.
D'ailleurs à chaque redémarage comme dans le premier, certaines énigmes et dialogues peuvent être différente, ce qui peut légèrement booster la rejouabilité. Au moins pour les enfants.
Pour ce qui est des graphismes, c'est quasiment un cartoon vivant.
Visuellement, c’est du pareil au même que le premier : des couleurs vives, des animations comme un dessin animé interactif. Ça a un charme fou, surtout pour les jeunes.
Les graphismes, un peu datés vu d’aujourd’hui, tiennent la route grâce à une direction artistique solide.
Les doublage des voix caricaturales, surtout celle de Spy Fox et des persos récurrents, sont toujours au top pour moi.
Le méchant, avec sa voix exagérée, est plutôt bon aussi. Je pense que c'est le même que celui du méchant du premier jeu, mais je ne suis pas sûr.
Le boulot des doubleurs booste bien l’ambiance déjantée.
Les musiques et effets sonores font le job, sans marquer les esprits.
Verdict ?
Sympa pour les gosses, un peu moins pour les vieux.
Spy Fox 2 est une suite honnête, mais moins captivante que le premier.
Son humour absurde, ses graphismes cartoon et ses énigmes simples plairont aux plus jeunes, qui devraient kiffer.
Pour les adultes, ça passe grâce au doublage et à l’humour, mais ça manque quand même de profondeur. Et le début est moins intéressant et marquant que le premier.
En 2-3 heures, c’est plié, et ça reste un bon plan pour initier des gamins au point-and-click.
Les fans du premier risquent d’être un peu déçus, mais ça vaut le coup pour les nostalgiques.