> Editeur : Bandai Namco Games
> Développeur : Dimps
> Genre : Combat
> Sortie France : 28/10/2016
> PEGI : 12
> Plate-formes : PS4 / Xbox One / PC
> Version testée : PS4
> Multijoueurs : Oui
Ca y est, Dragon Ball Xenoverse 2 est enfin disponible et même depuis un petit moment puisqu’on peut le trouver chez tous nos revendeurs habituels depuis le 28 octobre 2016. Ouais je sais, vous allez me dire « mais c’est quoi de ce test tardif ». Et là je vous répondrais d’une je n’ai pas trop le temps avec le taf et de deux je fais ce que je veux c’est mon blog (oh rebelle).
Bon soyons sérieux et passons à ce test tardif (oh ça va là !) de DBX 2.
Première chose à faire en lançant le jeu, créer son avatar à partir d’une base de 5 races (Saiyan, Humain, Namek, Freezer ou Buu) sans oublier de choisir son sexe. A noter que si on possède une sauvegarde du premier opus, on récupère quelques bonus (yata !).
Maintenant que mon Saiyan est créé, il me tarde d’arpenter à nouveau la ville de Toki Toki. Et là première nouveauté du jeu ! Fini Toki Toki puisque c’est à travers Conton City qu’on se balade.
Sept fois plus plus grande que la première (oui j’ai fait des calculs !) avec des zones rappelant des lieux de l’univers de Dragon Ball (plaines, Namek, etc.), elle garde cependant le même rôle à savoir servir de Hub où sont regroupées toutes les activités du jeu (mode histoire, missions secondaires, boutiques, etc.). Bien sûr, cette nouvelle version de Xenoverse garde son côté MMO avec la possibilité de rencontrer d’autres joueurs en se baladant à Coton City. Petit aspect amusant, au début du jeu, il nous est impossible de se déplacer en volant à travers la ville. C’est uniquement après avoir obtenu un permis (délivré en avançant dans l’histoire) que cette action nous est autorisée. C’est un petit détail mais on ne blague pas sur la sécurité à Coton City !

Allez maintenant je me lance dans le mode histoire et qu’est-ce que j’apprends ! Mira et Towa sont de retours mais cette fois-ci avec des acolytes bien connus des fans de l’univers de DBZ. Comme quoi la raclée du premier opus ne leur a pas suffi. C’est donc reparti pour un tour ! Je dis reparti car de nombreuses missions du mode histoire sont quasi identiques à celles de l’épisode précédent à quelques détails près. On se rassure, il y en a quelques-unes inédites (notamment le passage dans le futur de Trunks) dont certaines sont à débloquer en récupérant les cinq Œufs de Faille Temporelle. Pour les obtenir, il faudra terminer toutes les missions des différentes failles temporelles.
Particularité du mode histoire, certaines de ses missions se déloquent uniquement après avoir complété des quêtes annexes précises. Quêtes annexes qui sont majoritairement recyclées du premier opus. Autres aspects primordial dans l’avancé de ce mode, l’entraînement pour apprendre de nouvelles techniques et le choix de sa tenue. Vêtements qui peuvent à présent être customisés et transformés en QQ Bang (ne voyez rien de vicelard dedans). Je m’explique, par exemple vous aimez la tenue de Goku mais vous préférez les stats de la tenue de Beerus. Pas de soucis, un petit tour chez Capsule Corps, quelques Zennis, des objets particuliers et vous obtenez votre tenue préférée avec les stats voulues.

Ce mode histoire était aussi l’occasion de voir quels sont les nouveautés niveau gameplay. Et bien il y en a un paquet ! Parmi celles quI m’ont le plus marqué, il y a les nouveaux combos, les transformations qui ne sont plus réservées qu’aux Saiyans, les Burst Dashes qui permettent de rejoindre rapidement l’adversaire moyennant un peu d’endurance, le KI qui se vide enfin lors des attaques spéciales en étant transformé (fini les spams) et l’arrivée du Stamina Break qui en plus de casser la garde de l’adversaire vide son KI et le met dans les vapes. Bref que de nouveautés au niveau du gameplay. Et en plus de ça, j’ai trouvé le jeu un peu plus accessible que le premier (à l’exception de quelques combos qui demandent un timing précis).
Bon, après avoir passé de nombreuses heures sur le mode histoire que me reste-il à faire sur le jeu. Et bien tout un tas de choses. Un paquet de missions annexes, des entraînements, des missions évènements, des Versus, et bien sûr un roster d’une centaines de personnages (versions alternatifs compris) issus des univers Z, GT et Supe. Bref ce Dragon Ball Xenoverse 2 nous offre une durée de vie colossale. Et quoi de mieux que de faire les missions annexes et les évènements secondaires entourés de ces amis ayant également le jeu. Je pense notamment aux missions expertes qui en solo sont vraiment hardcore.
Ah j’oubliais, les graphismes ! Et bien visuellement, le jeu n’a pas beaucoup changé par rapport à son prédécesseur qui était pluôt pas mal. On regrettera seulement que les dégâts des arènes ne restent toujours pas à l’écran malgré quelques petits efforts de ce côté. Mais je n’oublie pas le petit détail qui fait plaisir : les cailloux qui planent autour de notre personnage quand il est transformé en SSJ3 !
En gros j’en pense quoi ?
Malgré pas mal de recyclage du premier opus, ce Dragon Ball Xenoverse 2 reste un incontournable pour les fans du manga de Toriyama. Si l’amélioration visuelle ne semble pas avoir été la priorité des équipes de Dimps, j’ai vraiment apprécié tout le travail fait sur le gameplay. Je ne vous cache pas que la licence Dragon Ball est saignée à blanc et que j’ai l’impression de toujours faire la même chose. Mais les Xenoverse ont ces deux petits trucs en plus : la possibilité de jouer avec son avatar dans l’univers de Dragon Ball et son côté MMO font que j’ai du mal à décrocher. Ah oui, un point important à souligner, Namco Bandai propose en plus du contenu supplémentaire payant, du contenu gratuit et fort intéressant. Et ça c’est plutôt cool.
Les plus

> Le roster
> Le gameplay amélioré
> Le gameplay technique et accessible
> La durée de vie
> Se balader et combattre avec son avatar
> Les missions en équipe
> Des transformations pour chaque race
> Le SSJ 3 !!!!!
> Les missions Event
Les moins

> Beaucoup de missions recyclées du premier
> Graphiquement quasi identique au premier
Ma note : 16/20

j'ai pris conscience que c'est avec les perso du manga que je voulais jouer et pas un avatar.