Si vous avez déjà regardé Lost, vous devez surement connaitre le personnage de Desmond Hume. L' ancien moine qui s'est échoué sur l'île mystérieuse de la série , et a été chargé d' appuyer plusieurs fois sur la même série de touches sur un clavier pendant des semaines à la fois. Pourquoi il a dû le faire est encore assez déroutant pour moi ( comme le reste de la série) , mais je me suis souvenu de la mission de Desmond pour la durée de mon temps avec la démo de Ryse : Son of Rome. J'ai passé deux heures avec la Xbox, mais je me sentais comme si je rentrais des nombres aléatoires dans un ordinateur plutôt que de réellement jouer à un jeu vidéo.


Il est clair que Microsoft et le studio Crytek misent sur le jeu, lors de son lancement ,un jeu d'action épique qui démontre clairement la next-gen. Ryse est indéniablement jolie, mais c'est à peu près tout ce qu'il avait pour lui dans cette démo . Après une intro de l'histoire douloureusement générique, le jeu a commencé à m'apprendre la mécanique de combat sans inspiration . Alors qu'il essaie de ressembler à un jeu d'action en profondeur avec des éléments familiers comme des blocs parfaitement synchronisés , l'expérience réelle est loin d'être profond.

J’espérais que les niveaux supérieurs introduiraient des ennemis plus difficiles, comme les dizaines de rencontres que j'avais composée de toute la complexité de la composition des numéros de téléphone . Presque chaque combat a commencé avec moi appuyant sur le bouton d'attaque de manière répétitive , puis en poussant l'ennemi dans le but de l'empêcher de briser mon combo . Ensuite, je voulais continuer à attaquer jusqu'à ce qu'il soit assez faible pour la séquence d'exécution . Lorsque cela se produit , le jeu ralentit et l'ennemi clignote en différentes couleurs. Vous appuyez sur le bouton de la couleur appropriée , et votre personnage Marius démembre l'ennemi de façon dramatique .



C'est tellement basique et prévisible , j'ai commencé à tester pour voir si je pouvais passé la plupart des situations de combat avec une seule main. Avec ma main gauche tenant le contrôleur, j'ai pu couper et couper à travers des tonnes d'ennemis simplement en entrant le même finish de la séquence. À quelques occasions, le jeu passait à des séquences qui impliquaient la défense d'une zone avec des stations d'arbalète ou d'ordonner à mes hommes de bloquer les flèches avec leurs boucliers. C'est en quelque sorte encore moins excitant que le maniement de l'épée .