Les jeux vidéo violents où le joueur doit sauver la Terre d’une mort certaine sont nombreux. Mais jusqu’ici, les joueurs reconnaissent n’avoir jamais reçu la moindre contrepartie de la part de leur proches et amis ou encore des sociétés éditrices. Une situation qui créé souvent beaucoup de conflits


À 31 ans, Corentin( photo de droite) peut se targuer d’avoir sauvé la Terre plusieurs dizaines de fois, en jouant à des jeux vidéo violents. Une situation dont il est fier mais dont il regrette le peu de publicité mais surtout l’égoïsme de son entourage. « J’essaie d’expliquer que c’est un jeu très difficile, que parfois il s’en est fallu d’un cheveu. Mais les gens soupirent ou haussent les épaules, c’est rageant ». Même son de cloche pour Amandine(photo de gauche). Joueuse invétérée du jeu X-Com, elle se vante d’avoir tué plusieurs milliers d’aliens envahisseurs, sans même avoir le moindre remord, et pour cause, elle estime n’avoir fait que son devoir. « J’ai toujours assumé mes responsabilités. Mais mes proches ne s’en préoccupent pas, ils dorment sur leurs deux oreilles, on dirait qu’ils s’en fichent en fait ».

Pour Jean René(photo) psychologue spécialisé dans les jeux vidéo violents, il est ainsi normal de ne pas recevoir de remerciements de la part d’autrui « Il n’y a aucune raison d’être félicité pour cela. Oui, ce sont des actes de bravoures, et ils ont sauvé la planète d’une mort certaine et atroce, à plusieurs reprises. Mais une fois de plus, nous parlons d’un jeu vidéo, pas de la réalité, de quelque chose qui se passe dans l’espace confiné d’un téléviseur».

Plusieurs sociétés éditrices ont quant à elles décidé de s’attaquer à ce malaise. « Nous allons les intégrer dans nos prochaines campagnes publicitaires, pour que leurs exploits soient enfin connus de tous » annonce le directeur de chez Ubi-Soft.
Les joueurs nintendo peuvent se targuer d'avoir sauver une pauvre princesse Bitch ou Zelda
Faut prendre du recul quand même avec les jeux....
Mais on t'aime quand même
Nan parce que ça vient un peu de Le gorafi