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    idd
    publié le 05/05/2013 à 09:23 par linkudo
    commentaires (27)
    teel publié le 05/05/2013 à 09:26
    je ne vois vraiment pas d'autres explications

    peut etre que le livre est mauvais aussi non ?
    shining publié le 05/05/2013 à 09:27
    Bizarre la lettre ,sa sent l'ironie quand même ,sa a pas l'air d’être sérieux en la lisant.
    darksly publié le 05/05/2013 à 09:27
    Avec des raisonnements à la con comme ça, ce sera quoi la prochaine étape ?

    le pass online...ah non ça c est déjà fait et des trou du cul arrivent à trouver ça bien --'
    saintsaga publié le 05/05/2013 à 09:29
    cette lettre est une blague, ce n'est pas à prendre au sérieux.
    darksly publié le 05/05/2013 à 09:31
    Oui la lettre est un du second degré, mais résume bien le climat actuel je trouve.
    linkudo publié le 05/05/2013 à 09:31
    il faut connaître un peu le bonhomme pour comprendre qu'il tourne toujours ces phrases de cette façon : extrêmement ironique. Je vais rajouter dans l'article la suite de la lettre avec la partie sérieuse qu'il explique...
    x1x2 publié le 05/05/2013 à 09:37
    chaud
    minbox publié le 05/05/2013 à 09:59
    Texte approuvé par Microsoft
    Excusez-moi c'est de l'humour
    lamiral publié le 05/05/2013 à 09:59
    Quel est le rapport avec les DRM?
    Pour les prêts en bibliothèque, les auteurs inscrits sur SOFIA touchent 6% du prix HT lors de la vente du livre par un libraire à une bibliothèque. Les auteurs ne touchent pas de l'argent à chaque prêt.

    Si un dispositif analogue est mis en place pour l'occasion, la taxe serait payée par le site commerçant lors de la vente, non?
    idd publié le 05/05/2013 à 10:00
    entièrement d'accord avec les questions à la fin de l'article.
    x1x2 publié le 05/05/2013 à 10:10
    pareil
    lolcat publié le 05/05/2013 à 10:18
    ce monsieur n'est pas tres "devellopement durable" ! produire des nouveaux bouquins au lieu de se refiler des anciens, c'est complétement idiot.
    lamiral publié le 05/05/2013 à 10:20
    Linkudo: Si tu vends un livre à Gilbert Joseph, le magasin doit payer de la TVA dessus. En quoi rajouter une taxe supplémentaire serait du vol? Le commerçant online se fait une marge sur les produits d'occasion, donc un mécanisme de redistribution est viable. Le site devra juste remplir une déclaration en fin d'année.
    lamiral publié le 05/05/2013 à 10:25
    Linkudo: Pour répondre à une de tes questions, un concessionaire de voitures d'occassion doit régler la TVA lors de la cession du véhicule, alors que la voiture n'est plus neuve.
    lolcat publié le 05/05/2013 à 10:31
    c'est tout le secteur de l'édition qui, à l'instar de l'industrie du disque face au téléchargement illégal, est menacée.

    aaaah, l'industrie du disque et sa chute inexorable due a internet... quoi ? on me dit que le marché est en constante augmentation ? autant pour moi.
    kabuki publié le 05/05/2013 à 10:32
    Non mais ils sont complètement à la masse c'est pas possible, le livre, le jeu ou tout autres objets achetés devient la propriété de son acquéreur, pourquoi devrions nous reverser une commission au vendeur initial mais c'est le monde à l'envers !

    Je me suis fait la même question que celle de fin d'article, alors quoi la plus-valus sur nos appart on reverse de l'argent au promoteurs aussi ? Ce sujet de la honte...
    lamiral publié le 05/05/2013 à 10:39
    Kabuki: quand Amazon met un prix occasion en face d'un prix neuf, le produit est vendu par Amazon, pas par un particulier.

    C'est ce type de vente d'occasion qui est ciblé ici.
    matrique publié le 05/05/2013 à 10:51
    Je trouve qu'il a raison. Le marché de l'occasion ne doit pas alimenter les bourses du revendeur. Celui qui crée l'oeuvre devrait toucher sa part, du moins quand ce n'est pas une revente entre particuliers.

    Non mais ils sont complètement à la masse c'est pas possible, le livre, le jeu ou tout autres objets achetés devient la propriété de son acquéreur
    C'est totalement faux. En achetant une oeuvre, tu paies le droit de jouer, de lire ou d'écouter. Tu n'achètes pas les droits sur l'oeuvre. Ca n'a jamais été le cas et ça ne le sera jamais! C'est effarant de bêtise ce que tu racontes.
    matrique publié le 05/05/2013 à 10:56
    Tout ce qu'on paie c'est un support physique et le droit de "consultation ou d'utilisation" mais en aucun cas le droit d'exploitation sur lequel une taxe supplémentaire serait obligatoire (vidéoclub par exemple).
    C'est là que la différence entre dématérialisé et physique n'est pas assez prononcée.
    lamiral publié le 05/05/2013 à 11:03
    Un produit est la propriété de son acquéreur, si et seulement si un produit est physique et donc que ce produit est destructible, entraînant une perte de valeur.

    Dans le cadre du dématérialisé, tu agrées à une license. Tu as le droit de l'utiliser tant que tu ne baffoues pas les accords auxquels tu as agréé. C'est le cas des logiciels et des brevets.
    matrique publié le 05/05/2013 à 11:18
    Un produit est la propriété de son acquéreur, si et seulement si un produit est physique
    Le produit mais pas les droits sur celui-ci. Quand tu revends un produit, tu cèdes tes droits sur le produit mais comme tu n'as pas les droits tu ne peux pas céder ces mêmes droits. Le marché de l'occasion fonctionne sur un vide juridique. Il y a toujours un moment où le vide est comblé.
    kabuki publié le 05/05/2013 à 11:23
    C'est totalement faux. En achetant une oeuvre, tu paies le droit de jouer, de lire ou d'écouter. Tu n'achètes pas les droits sur l'oeuvre. Ca n'a jamais été le cas et ça ne le sera jamais! C'est effarant de bêtise ce que tu racontes.

    Mais de quoi tu parles toi, tu as déjà fait du droit des Marques une seul fois dans ta vie pour dire ce genre de connerie ?

    Le produit physique comme le dit Lamiral est et sera toujours la propriété de son acquéreur, un consommateur lambda n’achète ni une licence ni le droit d'exploitation ... ce n'est même pas de ce que l'on parle ici.
    matrique publié le 05/05/2013 à 11:32
    C'est exactement ce que je dis. Et oui j'ai fait du droit d'auteur!

    Sauf qu'en revendant d'occasion il pourrait être perçu comme une cession des droits d'auteur alors que ce n'est pas le cas. Le marché de l'occasion fonctionne sur un vide juridique qu'il serait très facile de combler!
    kabuki publié le 05/05/2013 à 12:14
    Bandicroute: Non car on ne parle de droit d'auteur à partir du moment où il existe une exploitation lucrative, marketing et publicitaire d'une oeuvre qui peu engendré des bénéfices concurrentiel avec les actions de l'auteur. En gros en cas de copies, faux, utilisation ou référence dans une campagne marketing et publicitaire bref on en parle que dans la distribution.

    Le marché de l'occasion ne pose absolument aucun soucis juridique et n'exploite aucun vide, c'est juste un détournement utilisé par les juristes des marques pour faire croire aux plus cons que ce qu'il font est interdit afin d'éviter un marché parallèle qui flingue le sell-in (quand ce sont les distributeurs qui font de l'occaz) et le sell-out des sociétés.

    Ce qui pose problème ce n'est pas la vente isolé des objets pas les consommateurs, c'est le volume de l’ensemble qui met à mal le CA des boites... et quand ça te gène tu fait en sorte de l'interdire en détournant la loi à ton avantage parfois ça passe et parfois non. Dernier recourt le lobbying pour faire pondre une loi comme ici...

    Donc ne l'avance pas comme une vérité absolue, le détournement de loi est une astuce rien de plus...
    lamiral publié le 05/05/2013 à 12:22
    Bandicroute: j'ai bien écris que tu étais l'acquéreur du produit et je n'ai pas mentionné les droits. Quand tu achètes un bouquin d'occasion, tu achètes le support où tu pourras lire l'oeuvre, mais non réécrire l'histoire pour te l'accaparer, faire des lectures publics payantes ou que sais-je encore. En revanche, le livre peut se retrouver près de la cuvette des toilettes ou tu peux le jeter au feu.

    Selon mon appréciation personnel, une oeuvre n'est pas destructible, donc nous devrions redistribuer une part de la revente que le support soit physique ou non.
    lz publié le 05/05/2013 à 13:15
    Si j'étais Gaymard je me ferais tout petit ... avec son affaire d'appartement à Pris il y a quelques années, il fut viré du gouvernement Raffarin ...
    spartiate14 publié le 05/05/2013 à 13:34
    Pour le jeux vidéo , si l'occasion est interdit sa fera forcément des répercussions sur le marcher du neuf. Combien de gens revendre leur ancien jeux pour financer un jeux neuf ? Beaucoup de monde je peut vous l'assurer.