Phil Spencer nous prévenez qu'il n'était pas en concurrence avec Playstation et celà faisait rire pas mal d'entre nous ...
Mais cette gen risque de modifier grandement nos habitudes et certitudes de gamer avec nos marques et consoles préférées...
Microsoft vient d acquérir Bethesda pour 7,5 milliards ce qui est une véritable offensive dans le milieu mais aussi un geste de défense de Xbox face à l avenir .
Les deux autres colosses dont Phil Spencer s estime en concurrence , risque dans les semaines ou mois à venir à réaliser ce genre de moove.
Et je me pose cette question , que restera t'il comme tiers sur nos consoles quand l ombre des deux colosses Amazon et Google planera sur le jeux vidéos et qu'ils commenceront eux aussi l'offensive en achetant des éditeurs ?
Plus d Ubisoft , EA ,Sega ou autres en éditeurs tiers ?
Que restera t'il à nos consoles dont on prédis déjà depuis longtemps leur fin ?
F1 2019 ne plait pas à tout le monde, à commencer par Max Verstappen, qui a décidé de ne pas participer au championnat de F1 virtuel. Mais pourquoi ? Et à quoi jouent donc les pilotes ?
«Quitte le jeu et jette-le à la poubelle. » Max Verstappen n’est pas le genre d’homme qui mâche ses mots sur les circuits, et son quotient de mastication n’augmente pas lorsqu’il parle gaming. Son interlocuteur du jour ? Lando Norris, le jeune pilote McLaren venu lui demander des conseils techniques après une déconnexion surprise sur F1 2019, lors du deuxième Grand Prix virtuel de la saison début avril.
Lando Norris aurait-il donc uniquement des problèmes de wi-fi ? Pas vraiment. Comme beaucoup de pilotes, le surdoué a surtout du mal avec F1 2019 : « C’est plus un jeu d’arcade [qu’une vraie simulation]. » déclarait-il récemment. « Tu ne pilotes pas comme tu le ferais avec une vraie voiture […]. Sur F1 et Gran Turismo – surtout sur Gran Turismo, qui est horrible - tu glisses tout le temps. »
La référence Iracing
Des circuits scannés au laser pour enregistrer le moindre millimètre de piste, des dizaines de véhicules allant de l’engin de GT à la F1 en passant par la Formule Renault (tous modélisés au détail près), 6 catégories échelonnées de rookie à pro, des dizaines de milliers de membres actifs : Iracing n’est pas un jeu. C’est un monde en soi, flippant de réalisme.
D’ailleurs, cette simu en multi uniquement online - lancée en 2008 et initialement destinée aux seuls pilotes - n’est clairement pas faite pour les casu qui veulent se payer 20 tours à Monaco toutes les deux semaines. Entre abonnement obligatoire et notation impitoyable (une roue en dehors de la piste, et vous perdez un point de sûreté qui peut vous empêcher d’accéder à la catégorie supérieure), Iracing demande du temps, de l’argent, et du talent.
Bref, rien qui ne puisse effrayer Max Verstappen, membre du Team Redline (tout comme Lando Norris), vainqueur des 24 heures de Spa Iracing en juillet 2019 et détenteur d’un record du monde (battu sur le Charlotte Motor Speedway 6 mois avant Spa). Fin mars, notre ami batave s’est d’ailleurs payé une nouvelle victoire sur le GP d’Espagne dans la série Real Racers Never Quit.
Et le reste du temps ? Il le passe sur rFactor, une autre simulation d’élite (d'ailleurs utilisée par les écuries il y a quelques années) qui lui a notamment permis de courir un GP d'Australie virtuel suivi par plus de 500 000 personnes (oui) en mars dernier.
« Tous les pilotes de sim ne sont pas forcément bons ailleurs. Dans la vraie vie, tu as peur. Et la peur, on ne la sent pas dans un simulateur. » Peut-être la raison pour laquelle Max Verstappen dit, malgré tout, "préférer la vraie course."
Et ça, Lewis Hamilton l’a bien compris. Mais si le taulier de la F1 a récemment déclaré ne trouver « aucun avantage » au sim racing, il a néanmoins dû se mettre à Gran Turismo(partenariat oblige) en solo, et s’est trouvé le meilleur adversaire qui soit : lui-même. « J’ai essayé de battre mes propres tours. C’était extrêmement frustrant car ils étaient très bons, je trouve. »
Au cours des dernières heures, une vidéo a été publiée par GDC sur youtube, dans laquelle Turn 10 raconte comment le nouveau chapitre évolue et quelles techniques ils utilisent principalement.
En Résumé :
Le but est de tout recommencer , reconstruire les modèles polygonaux des voitures, revoir les pistes et surtout construire un moteur physique à partir de zéro.

Tout d' abord, une technique de skybox est exploitée - la réalisation du ciel, y compris la météo - similaire à ce qui a été vu dans Red Dead Redemption 2 de Rockstar Games.
«Nous travaillons dur sur le ray tracing et comment l'utiliser correctement pour améliorer l impact visuel.»
Cette dernière est de première importance, c'est pourquoi le studio américain exploite la technique de photogrammétrie pour rendre les environnements et les circuits pratiquement photoréalistes.
En bref, Forza Motorsport 8 - ou du moins le nouveau chapitre - semble être une sorte de redémarrage. Le jeu le plus ambitieux jamais créé par le studio et qui se veut être la nouvelle référence des jeux de course . Nous le verrons très bientôt, mais au moins maintenant nous savons que le studio est complètement concentrée sur le jeu et qu'elle ne veut en aucun cas répéter les erreurs du passé. Attendons-nous donc à un mode carrière plus approfondi et à un mode multijoueur conçu pour l'esport et pour toutes les courses compétitives.
Alors que Microsoft a fait de bonne choses avec sa marque Xbox au cours des dernières années,
,ils ont quand même pris du retard sur Sony et Nintendo qui ont fait d excellente choses avec par exemple God of War ou Zelda.
Il est donc évident que Microsoft a besoin de quelque chose d’ énorme.
Mais que se passe-t-il si ils font un effort supplémentaire et acquiert une société et ses actifs pour renforcer sa gamme Xbox et Windows? Dis, par exemple ... Konami?
Cela semble un peu tiré par les cheveux, bien sûr. Mais il y a un raisonnement derrière cette suggestion. Voici ce qu'une acquisition de cette société ferait pour le grand «M.»
DIAPOSITIVE 1/4 - CELA POURRAIT RENVERSER LES PROBLÈMES ACTUELS DE KONAMI
Bien que Konami se débrouille bien sur le plan financier, il n’a pas été excellent en matière de jeux vidéo. Ses plus grandes franchises sont actuellement connectées à des machines pachinko (telles que Silent Hill et Metal Gear Solid 3: Snake Eater ); il vient d'introduire un jeu Castlevania , mais uniquement mobile, ce qui a laissé certains fans orphelin et n'oublions pas ce qui est arrivé à Metal Gear Survive .
Sans oublier sa série Pro Evolution Soccer . L'édition 2019 est excellente, mais elle a perdu l'une de ses plus grandes licences il y a quelque temps(Ligue des Champions). Aussi populaire que puisse être cette série, elle a encore du chemin à faire pour rattraper EA Sports de FIFA.( entre les licences et le net code )Net code qui reste encore quelques choses de compliqué chez Konami...
Nous avons entendu pas mal d' histoires,avec le départ de Kojima, nous avons entendu toutes sortes de choses sur la façon dont il a été traité - Sony l a ensuite glorifié et mis en avant , enfonçant un peu plus Konami,on imagine l affront pour l'honneur des dirigeants japonais.
Avec la société sous le contrôle de Microsoft, il y aurait évidemment un retournement de situation - une activité davantage axée sur les jeux que sur le caractère strictement commercial. Du moins, d'après ce que nous comprenons de la manière dont les bureaux de Microsoft sont actuellement gérés.
DIAPOSITIVE 2/4 - CELA POURRAIT DONNER À MICROSOFT UN COUP DE POUCE INDISPENSABLE AU JAPON
Bien que la gamme Xbox se comporte correctement aux États-Unis et en Europe, elle est terriblement à la traîne au Japon. Il y a à peine 100 unités vendues par semaine. Et Microsoft en est conscient, ayant récemment parlé à Sega et à Capcom de projets potentiels visant à ramener l’audience des joueurs
Konami pourrait contribuer grandement à cette réputation. Beaucoup de gens apprécient encore ce que cette société a à offrir au Japon. Ainsi, avec son aide, Microsoft pourrait devenir un nom plus fiable dans le domaine des jeux. Cela ne veut pas dire que c'est un processus facile- il est évident qu'il reste des obstacles à surmonter. Mais c’est un début, et c’est parfois tout ce dont vous avez besoin pour trouver votre équilibre et aller de l’avant.
DIAPOSITIVE 3/4 - GRANDS NOMS, GRANDS JEUX
Parlons du grand avantage que Microsoft retirerait de l’acquisition de Konami - et cela a frappé les franchises. La société est bien consciente de ce qu'elle a à offrir, plusieurs titres étant inclus dans sa compilation Game Room sur la Xbox 360. Elle connaît donc déjà la valeur de chacun d'entre eux.
Penses-y. Imaginez que Microsoft annonce un nouveau jeu Contra inspiré de Hard Corps Uprising. Ou un remaster HD Castlevania: Symphony of the Night - quelque chose qui remplacerait la version déjà la plus vendue de la Xbox 360 / One.
Et ce ne sont que les noms les plus populaires. Nous pourrions également assister à un retour pour des jeux tels que Sunsetriders et Rocket Knight Adventures . Ou Gradius . Ou même les Simpsons, les Teenage Mutant Ninja Turtles et les jeux d'arcade X-Men qui équipaient les consoles Xbox 360 et PlayStation 3 il y a des années.
DIAPOSITIVE 4/4 - ILS ONT DÉJÀ TRAVAILLÉ ENSEMBLE,
Enfin, certains fans ont peut-être oublié quelque chose - Konami et Microsoft ont déjà convenu de travailler ensemble. Sur la base de ce communiqué de presse, les sociétés cherchaient à collaborer avec un accord de licence réciproque qui permettrait de «proposer des consoles et des jeux PC respectifs pour chaque société sur de nouvelles plateformes».
Mais bien que cela semble génial, nous n'avons pas vu t
de résultats de cet accord. Cela dit, il pourrait certainement revenir avec une acquisition, et Microsoft pourrait peut-être avancer avec un plan visant à intégrer les jeux de Konami sur Xbox One et sur PC, y compris des favoris plus anciens destinés à faire partie de la transaction.
Quoi qu'il en soit, il ne s'agit que d'une idée, car rien ne se passe officiellement entre les deux pour le moment. Mais les deux auraient a y gagner .
C'est en début de semaine que le glas est tombé : Microsoft annule Scalebound. Annoncé à l'E3 2014, le titre figurait pourtant parmi les titres les plus ambitieux et séduisants du catalogue du constructeur américain, qui se payait pour l'occasion les services de Platinum Games mais aussi et surtout le créateur Hideki Kamiya, à qui on doit notamment Devil May Cry, Okami ou encore Bayonetta.
Ce dernier justement, semblait particulièrement enthousiaste à l'idée de mener à bien ce projet, qu'il décrivait alors comme le jeu dont il a "toujours rêvé". S'il fallait d'abord se contenter d'un premier trailer en CGI qui en définissait mal les contours, le jeu est finalement revenu l'année suivante à la Gamescom 2015 avec une première vidéo de gameplay qui nous en disait plus sur le concept : un jeu d'Action teinté d'élements de RPG en monde ouvert et dans lequel le jeune héros (Drew) est accompagné d'un immense dragon qui peut servir d'allié au combat ou de moyen de transport. On grappillera plus tard davantage d'informations, et l'équipe évoque une carte gigantesque, la possibilité de visiter des villages remplis de PNG, de personnaliser son dragon et même de le commander, le tout jouable seul ou jusqu'à 4 en coopération, chacun accompagné de son dragon. Les idées semblent bien là, sans qu'on ait pourtant la concrétisation en vidéo, peut être les prémices d'un développement plus compliquée qu'il n'y parait. Suffisamment en tout cas pour pousser Microsoft à confirmer hier l'annulation du jeu, sans donner davantage d'informations concernant la nature des événements qui ont propulsé le titre dans son cercueil.
Il n'en fallait pas plus pour que le web et les forums s'enflamment, offrant l'opportunité aux détracteurs de tirer à boulets rouges sur Microsoft, qui ne s'est toujours pas relevé de la déconvenue de l'E3 2013. Seulement voilà, ce qu'il y a de génial et inquiétant avec internet, c'est que n'importe qui peut s'exprimer tout en gardant l'anonymat (jusqu'à une certaine mesure), et ça donne lieu à des interventions qui entretiennent la haine et la désinformation autour de la firme de Redmond, avec une violence parfois étourdissante.
Quelques minutes seulement après la confirmation de l'annulation du jeu, on a pu lire ici et là que Microsoft avait littéralement persécuté Platinum Games, au point de précipiter Hideki Kamiya en dépression. Pourtant, aujourd'hui même, l’intéressé est intervenu sur les réseaux sociaux pour démentir les rumeurs sur son état de santé. De la même manière, de nombreux joueurs fustigent Microsoft d'avoir "fait perdre son temps" au créateur japonais, ou lui reproche de ne pas avoir assumé le développement jusqu'à son terme ... sans jamais remettre en question une seule seconde l'implication de Platinum Games ou tout simplement la viabilité du projet.
Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que l'annulation d'un jeu est une affaire sérieuse qui entraîne avec elle des emplois, des plans/stratégies mais aussi de l'argent. Ça ne se décide évidemment pas sur un coup de tête, encore moins quand on parle d'un projet de cet ampleur. Si Microsoft ne comptait probablement pas en vendre des millions, ils avaient avec Scalebound l'assurance de proposer un produit qui dénote du reste de son catalogue et qui profite de surcroît de la popularité (grandissante) de Platinum Games, particulièrement du côté des "core gamers". Cette affaire est donc devenue malgré elle le symbole des perturbations que traverses le constructeur ces dernières années. Mais il faut cependant avoir suffisamment de recul pour comprendre à quel moment l'annulation d'un jeu devient une optique inévitable, ce moment précis où deux choix s'offrent à l'éditeur :
poursuivre le développement visiblement chaotique d'un jeu, ingérer toujours plus d'argent voire même confier la tâche à une nouvelle équipe, et rendre tant bien que mal l'ensemble jouable, quitte à subir les foudres de la presse et des joueurs.
arrêter les frais, admettre que le chantier n'avance pas et réalouer l'argent mais aussi les moyens (humains, technologique...) sur d'autres projets plus sains.
Le problème en fait, c'est qu'on parle ici de Microsoft, qui traîne déjà quelques casseroles du même genre sur cette génération. D'abord avec le reboot de Phantom Dust, annoncé lui aussi en 2014 avant d'être court-circuité l'année suivante, forçant le studio en charge du projet à mettre la clé sous la porte. On apprendra alors que l'équipe ne parvenait pas à remplir les exigences (de plus en plus conséquentes) de Microsoft avec le budget initialement fixé de 5 millions de dollars.
Autre annulation, celle de Fable Legends, un spin-off free to play qui a tout de même englouti 75 millions de dollars avant de rendre son dernier souffle, sans jamais sortir de sa phase beta fermée déjà peu engageante. Tout comme Phantom Dust, l'annulation entraînera dans son sillon la fermeture surprenante et malheureuse du studio Lionhead, considéré jusqu'ici comme l'un des piliers de l'écosystème Microsoft Studios, et si ce nom ne vous dit rien, sachez que c'est à cette structure qu'on doit notamment Black & White mais surtout la prolifique série des Fable, dont la trilogie pèse à elle seule plus de 12 millions d'unités écoulées.
L'annulation de Scalebound s'ajoute donc à la liste, et la nouvelle tombe plutôt mal en ce début d'année 2017 où le calendrier first party du constructeur peine à convaincre, puisque à l'heure où j'écris ces lignes, on attend "seulement" Halo Wars 2, Sea of Thieves, State of Decay 2, Crackdown 3 ainsi qu'une poignée de jeux indépendants (Cuphead, Below, Ashen...), sans oublier Forza Motorsport 7 qui sera - sauf surprise - annoncé dans les prochains mois. Une perspective plutôt maigre face à la ribambelle de jeux qui atterriront sur PS4 cette même année, alors que la machine assume (enfin) son statut de leader incontesté. Le timing ne joue donc pas en faveur de la marque verte, qui doit absolument repartir d'un bon pied avec le reveal de la Scorpio à l'E3 2017 (ou avant), un show qui s'accompagnera probablement de quelques jeux comme l'a d'ores et déjà sous entendu Phil Spencer quelques mois auparavant.
Pourtant, l'annulation d'un jeu n'est pas une exclusivité Microsoft, et encore récemment, on regrettait la disparition de Silent Hills. Plus loin, on se souvient de This is Vegas, Getaway sur PS3 ou le plus obscure Eight Days, sans oublier Deep Down sur PS4, toujours en vie mais d'un mutisme hallucinant (et inquiétant) depuis son annonce en 2013.
Alors pourquoi s'acharner de la sorte sur Microsoft ? Eh bien parce que la firme de Redmond joue le rôle de cible idéale qui cristallise les mécontentements et les moqueries d'une frange des joueurs depuis 2013 et son revers face à Sony à l'E3, avec au coeur de la discorde une incompréhension à faire rougir de honte Plaute.
Mais l'acharnement est tel que certains médias ou journalistes remmettent légitimement en question la vision et la réflexion parfois biaisée(s) des joueurs vis à vis du constructeur américain, là où laisse plus facilement couler du côté de Sony ou Nintendo, et pas seulement en France (historiquement rattachée à la PlayStation). On peut en effet voir sur les célèbres forums de NeoGAF que Microsoft est poussé au centre des débats houleux, où les intervenants n'hésitent pas à (re)dégainer les faux pas du constructeur (époque Xbox 360 comprise), tout en occultant les réussites. On peut par exemple lire que "Microsoft est incapable de tenir des gros projets", alors même que la firme est à l'origine de certaines des plus grosses franchises de l'industrie. D'autres s'emportent et prédisent littéralement la "mort de Microsoft pour l'année prochaine". Shinobi602 y va lui aussi de son petit billet qui propulse le débat encore plus loin en regrettant "l'orientation multijoueur" de la marque (pourtant amorcée depuis plus de 10 ans maintenant). Ce manque de mesure peut surprendre, agacer, mais c'est le reflet d'une génération, celle du tout connecté et des réseaux sociaux. C'est aussi la conséquence d'une surconsommation de l'information, avec la multiplication des sites et sources permise par le web. Le joueur se renseigne de plus en plus, mais paradoxalement de moins en moins bien, et n'a plus l'instinct de pousser la réflexion plus loin, et s'arrêtent parfois aux dires du premier venu sur les forums.
Quoi qu'il en soit, il y a peu de chances qu'on sache un jour les causes exactes de l'annulation de Scalebound, ni même les responsabilités de chacun dans cet échec. Hideki Kamiya rebondira très certainement avec un autre projet, et Microsoft s'atèlera à (re)conquérir les joueurs avec en ligne de mire un E3 2017 qui pourrait marquer un tournant décisif. Mais cette affaire restera comme une épine plantée dans le coeur de certains joueurs, avec la douloureuse sensation d'une idylle fauchée trop tôt.
Repéré dans le build 14997 de Windows 10, le fameux Game Mode n'a pour l'instant pas encore été officiellement dévoilé par Microsoft.
Pourtant, le site Windows Central semble déjà en connaître énormément sur ce fameux mode, et nous explique qu'il ne servira pas qu'aux jeux PC, mais devrait donner un bon coup de fouet aux portages Xbox One et Scorpio.
Voici en substance ce qui est révélé: « Le Game Mode est un mode de programmation qui diminue grandement les variations entre les consoles Xbox et les PCs, s'assurant qu'une majorité de systèmes tournant sous Windows 10 puisse faire fonctionner des jeux aux standards fixés par la Xbox One et le Project Scorpio. Microsoft décrit ces standards « ciblés » par du 900p à 1080p de résolution sur Xbox One, et de la 4K native à 60fps pour le Project Scorpio… et nous avons de sérieuses preuves que la Xbox One utilise déjà, en ce moment, le Game Mode pour atteindre ces objectifs.«
De fait, il semblerait que ce fameux Game Mode ait été implanté dans les kits développeurs Xbox One à l'été 2016, ce qui a permis à Battlefield 1, par exemple, de dépasser la résolution graphique de Star Wars Battlefront, sorti un an plus tôt mais utilisant le même moteur de jeu (Frostbite).
Cependant, seuls les jeux développés sous la Plateforme Universelle Windows pourront tirer parti de ce Game Mode, ce qui explique que de nombreux studios soient en train de programmer leur soft pour l'envoyer sur le Windows Store notamment. On pense ainsi à Resident Evil 7 chez Capcom.
La raison n'est pas innocente puisque ce fameux Game Mode permet de garder quasiment 95% du code de développement originel quand ils porteront le soft sur Xbox Scorpio, ce qui permettra un temps de développement largement réduit pour rendre compatibles les titres entre les trois supports que sont la Xbox One, le PC et la Scorpio.
Windows Central nous explique en effet que: « Cela signifie que les développeurs qui utilisent le Game Mode inclus dans la Plafeforme Universelle Windows (UWP) aujourd'hui pour réaliser des jeux en 900 à 1080p sur Xbox One et en 4K sur PC Windows 10, sont quasiment déjà prêts à lancer leur soft sur Project Scorpio, avec 95% du code existant qui restera intact. Ainsi, si Resident Evil 7 utilise ce système, il est déjà prêt pour de la 4K Native sur Scorpio, le jeu utilisera ainsi les textures 4K du PC déjà présentes dans le code ainsi que ses paramètres quand il sera installé sur la console.«
On attend donc plus qu'une chose: que Microsoft nous dévoile enfin ce fameux Game Mode de façon officielle, en vous rappelant que la Scorpio et ses 6 teraflops de puissance débarqueront en fin d'année chez nous!
En ce moment se déroule une conférence Windows 10 dans laquelle des éléments sur la division Xbox sont présentés et nous apprenons que la Xbox One va enfin supporter prochainement le Dolby Atmos.
La console capable de lire du contenu 4K en streaming ou par le blu-ray était limitée par du simple Dolby Digital ou DTS, désormais dans une prochaine mise à jour, elle va enfin prendre en compte un format audio de dernière génération tel que le Dolby Atmos en Bitstream passthrough. Voilà une bonne nouvelle pour les cinéphiles et technophiles !
Microsoft travaille en partenariat avec les principaux fabricants de PC ( HP,Acer,DELL,Lenovo,Asus ) pour créer une gamme de casques VR innovants à partir de 299 $. Dispo en 2017.
Bonjour Gamekyo , je m'adresse aux joueurs Xbox One qui ont Forza Motorsport 6 et qui veulent participer à un Championnat Amateur .
Championnat Equipe Formule Ford Forza Motorsport 6 avec Lots à Gagner
Réglement :
Les inscrits au championnat devront présentés lors de chaque manche une livrée identique pour chaque membre d'une équipe.
Chaque participant participera au manche avec un réglage prédéfini et qui sera téléchargeable sur le Marché des réglages ( Formule Ford ,Réglage S800,Nom : Championnat FF , Créateur : BoMi91 )
Déroulement des Courses .
Qualification de 10 minutes .
Explication Qualification :
Tout les participants s'élanceront au même moment et un compte à rebours de 10 minutes géré par le jeu fera office de fin de séance une fois écoulé.
Pendant ces dix minutes , les participants devront gérer le trafics et réaliser le meilleur chrono.
Grille de départ selon le résultat des qualifications avec Départ arrêté.
Les pilotes s'élanceront pour la course
ils géreront eux mêmes la nécessité d'un arrêt aux stand ou non .
Mode collision activé , dégâts simulations , sans esp , sans trajectoire , sans tcs
Manche 2
Explication de la Manche 2:
Grille de départ inversé aux résultat de la 1ère Manche .
Le 1er tour servira de mise en formation de la grille , des que la ligne de départ amorçant le 2ème tour est franchi , les dépassement seront possible .
Les pilotes s'élanceront alors pour une course sprint de 5 tours .
Mode collision activé , dégâts simulations , sans esp , sans trajectoire , sans tcs
L'équipe qui remportera le Championnat constructeur remportera :
1 code Xbox Live de 25Euros
1 Jeu Xbox One à telecharger aux choix parmi une liste ( Quantum Break , The Division , Rise of the Tomb Raider etc ...)
( Le mieux classé des 2 pilotes choisira en premier son lot )
Les inscriptions sont ouvertes jusqu'au 10 Avril
Si vous Souhaitez participer et avoir plus d'information contactez moi sur le Xbox Live : Gamertag : BoMi91