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C'est par ce tweet que la police dénonce ce que l'on pourrait appeler des urgences infondés.
En effet, Un client de Cherbourg a téléphoné au "17" pour se plaindre du ratage...de sa coupe de cheveux (

), il a également souligné que le coiffeur était ivre à ce moment-là (

).
Se dépêchant d'arriver sur les lieux, la police ne fait que constater la situation : une coupe effectivement baclé (

), mais le coiffeur en non-état d'ivresse, mais en état d'euphorie à cause d'un traitement médicamenteux. Suite à cela, seul un remboursement s'est opéré.
Dans cette situation, si cette affaire peut prêter à sourire, elle n'a pas du tout amusé la police. Dans la foulée, la Direction générale de la police nationale (DGPN) a, en effet, lancé une mise en garde contre les appels infondés au "17", rappelant que le numéro d'urgence ne devait être utilisé qu'en cas "'urgences, d'infractions, de personnes en danger?"
"Chaque appel injustifié retarde le secours d'une personne en détresse", a souligné la DGPN.
Une campagne de sensibilisation a également été lancé :
Elle a également indiqué que trois appels sur quatre sont des "canulars ou sans fondement". En 2013, il y a 5 millions d'appels adressés à police-secours dont près de 1,4 millions "ont donné lieu à une intervention". (

)