Voici quelques dessins en vrac' dont un essaie de colorisation (assez peu concluant) sur Photoshop.
Le dessin de Base.
L'avantage d'une colo' Digital c'est qu'on peut la modifier! Je pense modifier la couleur du pull et bosser les zones lumineuses du visage.
Pour ma défense, c'est une de mes premieres colorations sur photoshop, sachant que même en colo' traditionnel ch'uis pas super fort, par l'intermediaire d'un ordi c'est donc pire!
Srx, je ne sais pas ce qui m'a pris, les couleurs ne s'allient pas ensemble, la composition est plutot naze, et j'avais la flemme de trouver une typographie. De plus l'ensemble est trop charger, si version 2 il ya, je jouerai la carte de la sobriété.
Revenons à du croquis traditionnel pour une petite histoire d'un gamin qui voulait voler!
Bonus:
Au plaisir.
(Prochainement un test complet sur Batman Arkham City. Quoi? Tout le monde s'en branle? Oui bah moi aussi.)
J'ai une fascination pour les Samurai.
Dans l'imaginaire collectif ils sont souvent représenté comme des guerriers vagabonds défendant la veuve et l'orphelin, muni tantô de Katana, tantô de Wazashi, ils pourfendent les crapules et les seigneurs vereux avec grâce et Style.
Tout cela en respectant un code très strict, le Bushido.
Seulement la réalité et tout autre, la grande majorité des samurai mettaient leur talent au service de seigneurs fortunés et certains n'hésitaient pas à verser le sang de quelques innocents moyennant paiement.
Bref, entre réalité et fresques romanesque, les Samurai ont suscité beaucoup de passion, et en susciteront toujours.
Surtout lorsqu'on utilisera leurs images avec autant d'inventivité que "Samurai Champloo", une animé unique en son genre!
Samurai Champloo (サムライチャンプルー, Samurai Chanpurū?) est un anime japonais de 26 épisodes de 24 minutes qui a été diffusé sur Fuji TV au Japon à partir du 19 mai 2004. Il s'agit de la deuxième série réalisée par Shinichiro Watanabe, après Cowboy Bebop. Il a été adapté en manga par Masaru Gotsubo.
Le nom de la série provient d'un terme Okinawais désignant un plat japonais : chanpurū (チャンプルー).
L'histoire se déroule dans une version fictive de l'ère Edo au Japon. Une jeune fille, Fuu, recherche le samouraï qui sent le tournesol et se fait accompagner par deux individus originaux, Mugen l'extravagant, ancien pirate devenu vagabond, et Jin le samouraï (rōnin) impassible, suite à un pari qu'elle a gagné contre ces deux derniers qui allaient s'entre-tuer.
Source: Wikipedia
Que dire?
Tellement de choses me traverse l'esprit quand il s'agit de parler de Samurai Champloo.
Avant toute chose Je ne suis honnêtement pas fan d'animé. Suivre une série d'une centaine d'épisodes prend bien trop de temps et d'attention. Mes goûts se focalise donc sur des séries ne comportant que peu de saison(s). Ainsi, dans un élan très sélectif, mon choix s'est porté sur un animé de 26 épisodes.
Ce choix je l'ai fait en 2006 et il m'émoustille encore en 2011.
Samurai Champloo que ça s'appelle.
On ne me l'a pas conseiller, je n'en avais pas entendu parler, je connaissais un peu les antécédents de Shinichirō Watanabe (Cow Boy Bebop) et encore, j'étais vierge de toute information au sujet de cet oeuvre.
Seul l'appellation Samurai à éveillé mon attention, car comme je l'ai précédement dit: il me fascine. Quelle chance que cela fusse le cas car j'aurai pu passer à côté d'une oeuvre culte dans le cas contraire!
Samurai Champloo en bref...
L'histoire est simple mais bourré d'effet de style, les personnages sont stéréotypés mais diablement attachant, les épisodes n'ont presque aucune connexion entre eux et pourtant l'ambiance est là et elle est bien prenante, et puis la musique...
Cet musique bordel!
L'opening restera à jamais gravé dans ma tête. Toute les musiques de l'OST d'ailleurs.
De plus c'est grâce à SC que j'ai découvert Fat Jon, Tsutchie mais surtout Nujabes et son univers musical onirique.
Samurai Champloo a donc à tout jamais modifier mes perceptions mélomanes.
Samurai Champloo, c'est aussi un pari fou et audacieux, l'anime reprend un concept qui à toujours exister, celui d'allier Tradition et Modernité.
Ce concept est magnifier lorsqu'il s'agit de mélanger la Culture Hip Hop et la culture du Bishido façon Edo.
Integrer du beatbox, du Graffiti et même du Baseball dans un contexte historique aussi peu propice à cet culture, c'est juste de la folie à l'état brute! Samurai Champloo c'est un foutoir anachronique complètement assumé et maitrisé!
Chaque épisodes comporte des moments complètement fou mais jouissif, la Forme l'emporte sur le fond avec un style détonnant et contre toute attente alors que nous sommes noyé devant ce flots de n'importe quoi, le scénario prend de l'ampleur au fur et à mesure qu'on approche de la fin.
Une fin royal en plus de ça. Pas très inspirés mais réaliste.
Car certes, le scénario ne paye pas de mine au prime abord. Mais il installe une ambiance de voyage qui est présente dans chaque épisodes, les trois héros sont liés par l'honneur, rien ne les oblige vraiment à accomplir ce périple, pourtant, il iront jusqu'au bout sans trop savoir ce qui les fait avancer.
Ils iront jusqu'au bout et une amitié complexe se tissera entre les 3 lurons, 3 lurons que tout oppose
bien sûr, sinon ce n'est pas drôle.
Trois personnages attachants, subtile ou pas. Mugen, le samurai sans maitres 'vènère pour tout et n'importe quoi, Jin le mystique Rônin , Samurai à lunette calme et rélféchi et Fuu, fillette pleurnicharde mais courageuse.
Ce beau monde est doublé à la perfection.
Vous pensez que je parle de la version Japonaise? Oui mais pas que. C'est l'un des rare manga animé où la VF est d'une qualité égale à la VO.
Certains vous dirons que non, des puristes sans doute, mais je vous assure que pour ma part, la VF se laisse franchement écouter. La voix de Mugen est parfaite, plus arogante que la version Japonaise. Les sainte ni Touches diront qu'il y a trop d'insultes dans la version Française. C'est un fait, mais du coup cette vulgarité accentue l'anachronisme ambiant, moi ça ne me gêne pas.
Très sincèrement, je trouve même la VF plus plaisante que la VO, une première dans un Manga pour ma part.
Il ne se passe pas un trimestre sans que je me remate un petit épisode. Histoire de replonger dans l'ambiance tout ça quoi.
Faut se mater la série pour comprendre, c'est vraiment un univers singulier. La force de l'œuvre c'est sa courte durée de vie (On pourrait comparer ça à une attaque éclaire qui cause de gros dégâts) alors que bon nombre d'animés mise sur des saisons multiples, interminable et parfois agrémenter d'épisode HS pas franchement intéressant, mais bon c'est un autre débat!
Samurai Champloo est un concept, une ambiance, une œuvre d'art qui m'a vraiment touché et orienté artistiquement, un animé qui m'a montrer la voie à suivre!
Ce n'est pas de la masturbation pour bobo, on est loin des réflexions métaphysiques qui enflamme le cerveau, non ici, ça touche l'âme!
Certes durant 23 épisodes on prend juste plaisir à chercher la logique dans ce foutoir, mais dans les 3 derniers on se surprend à avoir peur pour nos personnages fétiches, on se surprend à découvrir une histoire plus riche qu'il n'y parait, on se surprend à verser une larmichette quand l'ultime générique apparait...
Samurai Champloo Man, c'est de la patate!
Je conseille à tout le monde cette série, même si vous n'êtes pas fan de manga! A voir et à revoir. Peace au studio Manglobe, à Mr Watanababe et surtout à Nujabes.
( Je pense me mettre prochainement à Cowboy Bebop, j'espere être autant en mode groupie que pour Samurai champloo. )
Salut le peuple.
En premier lieu je voudrai remercier ceux qui ont laissé des commentaires sur mon précédent article, j'ai pu découvrir et redécouvrir certain morceau mais surtout j'ai eu affaire à des gens très ouvert et qui connaissait le sujet. Meme ceux qui n'ont pas aimé sont resté courtois.
Alors je vous dis Merci!
Sinon voici quelques dessins, certains remontent à cet été et d'autre sont frais de 2 semaines. Avec le taf' j'ai plus vraiment le temps. J'écris plus que je n'dessinne.
Regrettable mais bon say la vee.
...
Voilà, j'ai pensé à plein de trucs, faudra que je les mettent sur feuille.
En attendant on tue l'ennuie comme on peut.
Peace.
J'aime le rap donc j'aime la violence. Un amalgame aussi fréquent que: "T'aime le rock alors t'es un gothique fils! Pire t'es un émo!"
Les clichés vont bon train. Mais les vrai rockeurs le savent, il suffit pas de se maquiller les yeux pour avoir l'esprit Dirty d'un Hendrix ou l'état d'esprit d'un Jim Morisson.
Si vous êtes d'accord avec ça sachez qu'il suffit pas de crier "nique ta mère" ou "je te baise" pour avoir l'esprit Hip Hop.
Du rock ce n'est pas Simple Plan ou du Johnny Halliday. Le Rap ce n'est pas La fouine ou Booba.
Les choses une fois remis dans leurs contexte, voici un extrait de l'album Les Mozaïstes intitulé Cellules Souches.
Ce morceau est interpreté par l'un des Mc du groupe grenoblois la Moza.
Groupe constitué de 2 rappeurs et 1 DJ, respectivement Nemo, Biboosta et Raistlin.
Ici c'est Nemo qui s'y colle vous montrant avec brio que le rap est une musique non violente qui ne sert pas qu'a se plaindre et dire de la merde.
Une ôde au Hip hop, une ôde à la musique, si vous pensez que le rap c'est naze, écouter ça je vous en supplie.
La saga Kingdom Hearts a bien fait des sceptiques et ce depuis le premier épisode. Mélanger l'univers Disney et Final Fantasy peut paraitre quelque peu désuet mais le mix ( sans être détonnant ) fonctionne bien.
Après le succès du 2eme épisode il était normal de voir débarquer des spin off sur Ds et PSP.
Dessouder du sans coeur et du simili n'importe où à quelque chose d'attrayant n'est-il pas?
Il y a bien 4 semaines que je suis tombé sur Kingdom Hearts DS à 15€, ni une ni deux je me suis laissé tenter.
Soyons franc... Je n'aurai peut être pas dû.
Avant toute chose, le soft a des qualités...
Je pense qu'il est judicieux d'énoncer les points forts du jeu en premier, de toute façon ça ne prendra pas longtemps.
Le contexte et le concept sont sympathique. Vous suivez Roxas et son évolution dans l'organisation XIII, le terrible groupuscule de Chain of Memories et du second opus. Le jeu se découpe en journée, 358 comme l'indique le nom du jeu, les jours défilent et sont ponctué de missions, vous permettant ainsi de vivre le quotidien de l'organisation.
Sur le papier l'idée envoie quand même du lourd.
Graphiquement c'est jolie pour de la DS. Les animations sont fluides, aucun ralentissement, aucuns bugs, les programmeurs ont assurés.
Je souligne ce point, souvenez vous en, le paragraphe suivant sera plus virulent.
Avant de passer aux défauts, l'atout majeur c'est bien le gameplay. Il est aussi vif et riche que celui du second opus PS2 avec en plus un système de damier où vous devrez placer des bloc d'améliorations de la même manière que dans un tetris. Ce n'est pas non plus un festival, mais ça reste sympa.
Puis disons le franchement! Un jeu 3D sur DS qui est agréable à jouer on crache pas dessus.
Enfin du moins j'aurais pas cracher dessus si dans un Kingdom Hearts il n'y avait que le gameplay qui comptait...
"Ah parce que l'organisation XIII c'est ça?... Putin les baltringues!"
Le scénario de Kingdom hearts est aussi abracabrantesque que faussement compliqué, mais il est surtout tacheté d'un brin de niaiserie. Moi la niaiserie, ça ne me gêne pas.
Mais lorsqu'on y ajoute de la guimauve alors là on obtient le scénario de 358/2 days.
Et autant dire qu'il craint. Il reste fidèle à l'histoire des autres opus, certes, mais il craint.
Pas parce que certaine ficèle sont trop grosses, non ça dans KH on a l'habitude, mais parce que ce chapitre est censé vous mettre dans la peau d'un membre de la plus terrible organisation existante dans l'univers KH. C'est pas la compagnie créole l'organisation XIII bordel!
Pourtant là on y croirait presque.
Je vous jure que c'est vrai, l'organisation est en faite constitué de branleurs et de mec pas au courant. Alors entre ceux qui se pète le bide à coup de glace à l'eau et ceux qui reste avachis sur le canapé et qui te demande de faire le boulot à leur place, le Kingdom Hearts y peut attendre je vous l'dis.
Sans déconner les gars, c'est ça les terrible méchants du jeu, ah bah putin.
Le truc qui m'a achever c'est bien le jour férié de l'organisation. À un moment du jeu, Les méchants ne bossent pas et font sabbat.
Attend mais c'est normal tout le monde a droit à sa part de spiritualité.
Apparemment tout le monde à aussi droit à un moment de fraicheur... Sans rire le nombre de glace à l'eau que Roxas et Axel s'enfile est impressionnant. Ils doivent avoir le bide ravagé vu qu'il s'en font une petite après chaque mission. Ah ça pour etre relou.
Encore que, si au moins ils mangeaient leurs glace en silence, peut etre que ça aurait pu passer parce que je vous jure niveau dialogue c'est du grand art.
Faut y jouer pour comprendre. Je pense qu'ils ont embauché le dialoguiste de Pokemon, je vois que ça. Au lieu d'avoir des dialogues qui servent la trame scénaristique, on a la place des grands moment de remplissage, du vent en somme.
Il y a bien certaines révélation qui tiennent en haleine mais très franchement, l'histoire a un rythme tellement décousue qu'on en perd le fil.
Déjà que les Kingdom Hearts ne sont pas réputé pour avoir une histoire d'une nervosité sans pareille et bien là c'est juste incroyable.
Vite une comparaison... Vous voyez le début de KH II? C'est lent, long, chiant, redondant. Heureusement en jouant bien le calvaire ne dure que 2h. Là le calvaire dure une bonne trentaine d'heure.
Pourtant on s'accroche pour voir si l'histoire décolle. Sauf qu'après la cinématique de fin on est encore sur le plancher des vaches, la mine renfrogner, aigri par toute ces missions effectuer sans grande finalité.
Je pense que c'est ça le pire. A part taper du sans coeur et inspecter des zones déjà visité dans d'autre KH on ne fait rien. Le gameplay (meme si la transposition de celui ci sur DS est un réussite) n'as pas bouger d'un pouce, il n'y a meme pas des phases en vaisseau pour varier cette fois ci. C'est de la castagne pure et c'est très lourd sur la longueur.
On dit souvent que des série comme Uncharted ou Assassin's Creed sont répétitive, KH en est à son 6eme essaie en comptant Drop Distance, il est temps d'avoir du neuf.
Kingdom Hearts est une bonne franchise, cela dit, elle stagne depuis quelque temps. Même birth by sleep à l'air d'être fortement similaire aux autres opus, j'attends de l'avoir pour l'affirmer mais cette opus DS ne m'emballe pas pour Drop Distance. Je n'ai pas peur de l'histoire (meme niaise elle reste passionnante), j'ai peur pour le gameplay. Exploser du sans coeur pendant une trentaine d'heure on connait. Maintenant il faut allez plus loin. Kingdom Hearts mérite mieux. J'espère que mon pessimisme ne sera pas justifier par les prochain titre KH à venir. I believe in a better way comme dirait un grand philosophe.
Vive le jeux video.
(ps: ça vaut le coup d'acheter une PSP pour Birth by Sleep ou non?)
Mass effect 3 sortira vers mars 2012. Paumé que je suis je ne me suis fait le 2 que dernièrement. Voici mes impressions à chaud.
Mass effect 2 me met dans une position très délicate! D'un côté je le trouve bien, d'un autre il ne l'est pas. Ouais je suis complètement en accord avec moi même. En effet beaucoup de changement ont été opéré sur ME2 apportant nombres de correction aux défauts du premier opus, mais pas tous!
Malheureusement certaines chose qui n'allaient pas dans le dit opus se retrouve dans le deuxième d'une manière différente. Et ça, ça craint.
Mass effect: le bijou.
L'équipe artistique de Bioware avec ME1 s'était à l'époque fait plaisir en créant un univers Space opéra très crédible piochant de ça et là dans des oeuvres SF déjà existante.
Ils avaient aussi mis au point des graphismes de dingue qui sublimaient un système de dialogue fluide et riche entrecoupé de scène de shoot tactique du plus bel effet.
Mass effect c'était aussi une histoire mené tambour battant à la poursuite d'un ennemi mystérieux et d'une menace galactique mystérieuse. Bref un récit aux révélations multiple que je ne me lasse pas de revivre.
Pour les raisons citées Mass Effect est un grand jeu... Cependant ponctué de défauts que j'énoncerai un peu plus loin. En effet je pensais que ME 2 allait corriger les défauts du un et proposer une aventure aussi riche. Ce n'était qu'a demi vrai, ce qui n'empêche pas Mass Effect 2 d'être une très bonne expérience.
1er Contact: la forme.
Le premier bon point c'est l'importation de notre personnage créer lors du première opus. Nickel.
Juste après l'importation nous avons droit à une scène d'introduction bien classe qui met direct dans l'ambiance, puis stupeur: l'écran de création de personnages.
Il a pas bouger d'un pouce pour notre plus grand déplaisir. Je garde le visage importé et je fais impasse de cette vision d'horreur.
La première phase du jeu est un didacticiel ou l'on s'aperçoit que le gameplay est bien plus tourné vers l'action, c'est plus nerveux. Pourquoi pas.
Visuellement c'est plus texturé et plus fin, au fil du didactiel le gameplay s'appréhende rapidement, les phases de dialogue sont toujours aussi cool, RAS.
Force est de constater que les changements effectué sont sympathiques, ME 2 n'est pas un add-on, c'est une suite réel qui remplie bien sa part de contrat, celle d'en mettre plein la vue.
Les séquences d'action, l'ambiance des villes, les phases de dialogue, tout a été amélioré et pas seulement.
Je pense notamment aux clin d'oeil adressé au premier opus. Autant le premier titre nous emmener dans un univers inconnu, autant le deux profite de ce constat pour le prendre à revers en prenant à partie l'expérience du joueur que celui ci a acquis avec le premier soft.
La trame scénaristique sur fond de poursuite intergalactique dans l'épisode 1 a laissé place à une histoire plus intimiste.
Le calme avant la tempête du 3eme opus probablement.
D'ailleurs l'histoire de cette suite est simple: Shepard doit effectuer une mission sucuide et a pour obligation de constituer une équipe de choc pour la réussir.
Ainsi commence votre mercato galactique ponctué de personnages haut en couleurs.
Les personnages sont bien fouillés même si il manque d'interaction entre eux. Le système de loyauté tient plutôt bien la route et les phases de dialogue avec vos compagnons sont meilleur que celle du un, notamment parcequ'elle sont bien mise en scène. A priori ME 2 est donc très bon, mais ça c'était pour la forme, quand on passe au "fond" j'ai quelques détails qui agacent et qui transforme ma gueule en affiche pour la dépression. Le jeu est bon, mais les défauts sont là.
"Les truc déjà bien du premier, on les a améliorés, puis les trucs nuls on les a rendu encore plus nuls. On est fier de nous."- Casey Hudson... Le fond.
Comme dis plus haut Mass Effect 1 avait des défauts très agaçant. Ces défauts se retrouve dans le 2 de manières différentes, similaires ou en pire (au choix).
Commençons avec le clipping (les textures à retardement) il y en à moins certes, mais les bugs lors des phases de dialogues sont légion, les personnages disparaissent en pleine parlote, la camera se place mal, ce n'est pas très grave mais vu que dans le un ces bugs étaient moindre, les retrouver en abondance dans le 2 est impardonnable.
Dans le premier opus, nous avions le Mako. Un véhicule tout terrain à la physique douteuse mais sympathique à piloter. Ici il fait place à un système qui scanne les planètes, marrant les première heures, chiant la minute d'après.
Sans le Mako bye bye les grand espaces et bonjour les couloirs, le terrain de jeu faiblit et le temps pour effectuer une mission aussi. Paradoxalement mass effect 2 est plus long car la trame principale est plus longue mais ses quêtes annexes sont naze, il n'y a aucune scène de dialogue lors des quêtes secondaire, ce qui n'est pas le cas du premier.
Puisque nous parlons des scènes de dialogue, j'avais lu quelque part que 30 000 lignes de texte avaient été enregistré pour ME2 comme le 1. Sauf que dans le 1, il n'y a que 6 personnes dans votre commando, dans le 2 c'est presque le double. De ce fait arriver à 2/3 du jeu, beaucoup de vos compagnon n'ont plus rien à vous dire, chose qui ne m'était pas arriver dans le premier (que j'ai fini 7 fois).
Très mauvais point pour bioware.
Dernier point pour terminer ce paragraphe des lamentations: les temps de chargement!
Vous voulez changer d'etage dans votre vaisseau LOADING, atterir sur une planète LOADING, changer de coéquipier LOADING vous crevez LOADING et pas le LOADING mignonnet d'une minute, non parfois c'est le double. Je préfère encore les ascenseur du premier opus.
Je suis médisant mais mis à part ça le jeu est sympa. A part peut être un autre truc qui m'a Peter les couilles... Oh puis merde faut que je lui dédie un autre paragraphe.
L'autre truc qui m'a pété les couilles: l'histoire.
Avant toute chose, le concept de Mass Effect 2 est géant, recruter une team pour une mission voué à l'échec ça le fait, le jeu à une ambiance que même le 1 n'as pas.
Mais ce que le un a, c'est une histoire et une direction artistique au poil.
Les révélations du 2 sont moins poignantes et surtout le design des ennemis est franchement pauvre! Saren et la matriarche avait un réel charisme, ici le chef des recolteurs fait juste pitié.
D'ailleurs les récolteurs sont classe,certes, mais (spoilers) lorsqu'on apprend que ce sont des prothéens j'ai été déçu, les statues prothéenes sur Ilos dans le premier m'avait fait espéré un peuple un peu plus stylé: tant pis!(spoilers)
En faite l'histoire du 2 est un énorme prologue pour l'épisode 3, c'est dommage. Parce qu'avec de grandes révélations le 2 aurait été une tuerie. Pareille pour sa fin, avec un peu plus d'efforts elle aurait pu égaler le final du un. Je m'explique plus en détail ci dessous.
"Quoi? T'as pas aimé la fin du 2?! Tu pues kemé!"
Alors si j'ai aimé, franchement aimé. Cela dit constat:
J'ai passé 38h à me préparé au mieux pour la mission sucuide et j'ai bouclé le jeu en 38h43.
Oui.
On vous pete les couilles 38h pour une mission de 40 mn. Effectivement c'était les 40 mn les plus oppressante de ma vie vidéoludique mais elles laissent comme un goût amer.
Sachant que le boss de fin est en carton et que la fin dure le temps d'une publicité pour un dentifrice.
Vous avez passer 40 mn en enfer pour sauver toute les races conciliennes et tout le monde s'en branle. Putin d'ingrats! Pas une fête avec vos coéquipier rien. Lorsque vous allez voir les protagonistes important après la grande mission tout le monde s'en tapote les boules avec un bambou. Décevant.
Le un se termine aussi abruptement mais au moins le final s'étale sur 2 missions, 2 missions riches en révélation.
Là nada. La fin n'est pas nul mais elle est loin de briller.
Donc voilà manque plus qu'a faire une synthèse.
Niveau jeu et aventure, Mass Effect 2 est supérieur à son ainé. Sous bien des aspect il lui rend hommage, les clins d'oeil y sont légion.
Cela dit les clins d'oeil ne suffisent pas à égaler le ressentit produit par le premièr opus.
Sans etre chauvin, je préfère le premier opus, pourtant le 2 est très bon, seulement le manque de dialogue, les temps de chargements et certain choix de mauvais gouts entâche le tableau.
Mais nul doute que celui ci annonce un troisième opus sublime.
Mass effect est une valeur sûr pour cette génération de console, j'ose donc espérer que l'épisode final de la saga saura mettre tout le monde d'accord.
En tout cas moi je croise les doigts! Mass effect 3 believe!
Avant que je salope tout avec une 25eme couche, je préfère poster la toile telle qu'elle est.C'est un cadeau pour ma gentille maman, le type du bas étant son père et celui du haut son beau-père, c'est mes deux grand père quoi.Bref, c'est la première fois que je peins sur une toile, c'est super bien mais c'est grave chaud la peinture.
Derrière un titre aussi peu évocateur se cache une ode à un très grand jeu. Red dead le magnifique.
On pourra dire ce qu'on veut, et je le dis sans transition apparente: cette génération de console est daubé du rectum.
Soit les dev' en glande pas une et fouttent tout leurs budget dans les graphismes au détriment du gameplay, ou alors ils vendent leurs jeux par partie par DLC interposé nous faisant raquer encore un peu plus.
Sans compter que nous les joueurs devenons de plus en plus exigeant, faisant que cette génération laissera probablement un goût amer...
Cela dit certains jeux ont su se placer comme étant une douce oasis dans un paysage vidéoludique désertique remplie de FPS et TPS sans saveur.
Je ne suis pas en avance je le sais mais red dead redemption mérite qu'on y revienne un petit peu! La critique ci dessous est très subjective et s'appuie sur mon expérience de gameur, la dite critique est aussi parsemé d'une part de fiction! Saurez vous dissociez le vrai du faux?! xD
Au commencement était Mass Effect et Assassin's Creed.
Il y a presque 4 ans de cela, Alors que j'étais sur une colline rassemblant mes brebis comme tout bon berger, le seigneur m'apparu (je ne mens pas!), il me tint à peu près ce discours:
"Mon fils, quitte ta situation de paysan consanguin et achète toi une propriété en ville. Ensuite va chez le gourou de Micromania et achete toi une xbox360 et alors à ce moment là, tu verra la gloire du seigneur."
Comme le créateur me tape pas souvent la causette, quand il s'adresse à moi je l'écoute. J'ai même improvisé en achetant en plus Mass Effect et Assassin's Creed, je suis un fervant croyant vous savez.
La gloire du seigneur m'était alors apparu ce jour là, comme une jouvencelle du JV NeXT gen' je m'étais extasier devant les graphismes et le vent de fraicheur qu'apporter les deux softs.
Mais avec du recul, même si j'affectionne ces deux jeux, j'ai en faite compris que dieu me mettait à l'épreuve!
D'abord avec la repetitivité des missions d'AC et son scénario léger mais surtout par la fausse liberté de Mass effect (ça je m'en suis rendu compte à ma deuxième partie). Gloire du seigneur ou pas, faut avoué que la NeXT gen' qu'on attendait m'as fait l'effet d'une sacré douche froide.
En plus moi qui n'est pas le live, imaginez comment je me fais chier avec un simple jeux boite de cette génération, d'où ma question à l'époque: "Seigneur, pourquoi m'as tu abandonner? Quand est ce qu'un jeu va me faire bouffer mon slip, guide moi vers le messie!"
Le messie tant promis!
Il est arrivé lorsque les nations s'élevaient contre nation. le camps de Sony qui avait déjà sortit l'artillerie lourde avec MGS4 continue farouchement son ascension avec Uncharted pour finalement terminé en apothéose avec God of war en 2010, laissant les xboiteux espérer un retournement de situation miraculeux avec Alan wake.
Mais chacun de leurs cotés, ces jeux étaient des pétards mouillés souffrant de mécanique de jeux mille fois revu et d'une rejouabilité proche de 0...
C'est alors que Dieu, qui ne m'avait plus parler depuis presque 3 ans maintenant, vint me voir pendant mon sommeil:
"La guerre fait rage mais le messie viendra et instaurera une trêve,
Cet trêve se fera par le sang et la mort,
L'âme solitaire y trouvera sa rédemption et si bien qu'elle unira les deux camps dans sa chute."
Bon les prophétie c'est un peu raide (dead redemption LOL ), faut bien piger le message, chose que je n'ai pas fait sur le moment jusqu'à ce qu'un studio plutôt connu présente un jeu façon grand ouest.
Rockstar/Red Dead... Messiah is back!!
Les Sonyais et les Xboiteux cessèrent un moment leur battaille acharné pour contempler cette vision prophétique d'un grand ouest modéliser à la perfection... Main dans la main, ils attendirent.
J'attendis avec eux. Jusqu'au jour ou enfin, la pépite fut en ma possession.
Mais...mais...la NeXT gen' ça détruit tout en vrai!
Avant de commencer la liste des éloges de RDR, j'avoue avoir un peu flipper de la qualité final du jeu en repensant à GTA 4, si niko bellic avait pas était aussi cool, j'aurais dis que ce GTA était un échec.
Mais maintenant, je peux le dire, GTA 4 et Red Dead ne jouent pas dans la même cours. Oh que non!
Déjà: "Non de Die.... euh!Non d'un chien! C'est trop beau!".
Tout. Je dis bien tout dans RDR est bien gérer. L'animation, les paysages grandiloquent, l'ambiance des villes, les événements aléatoires, tout défonçe sa mère.
L'univers est riche et crédible, les personnages sont intéressant voir attachant.
Marston, le héros, évolue dans un grand ouest fictif peuplé de gens charmant ou très antipathique, voir carrément pas fréquentable.
Les développeurs ont réaliser un tour de force en modélisant la faune et la flore de manière réaliste. Tenter qu'on se rend compte de notre petitesse apparente face aux événements aléatoires et surtout face à l'étendue du jeu.
La jouabilité est bonne, pas surprenante car reprenant pas mal les codes TPS de cette génération mais elle est intuitive.
Les animations rendent grâce à Marston, tout comme celles des chevaux et autres domestiques.
Tiens, Marston parlons en! Depuis le prince des "sables du temps" , jamais je ne m'étais autant attaché à un personnage.
Marston est un homme qui a souffert, qui a donné, qui a rependu la souffrance et qui s'est fait trahir. Son passé est riche, lui même est psychologiquement fouillé, c'est un mec simple avec ses défauts et ses qualités mais surtout, il est doté d'un fort charisme.
Même son aspiration est noble, il cherche juste le paix en faisant table rase du passé.
Un personnage très humains donc, et de ce fait vraiment trop attachant.
Mais ce qui rend Red Dead encore plus unique et joussif, c'est son contexte, son scénario.
Si il y a bien un truc qui m'avait fait tiquer dans GTA 4 c'était son scénario un peu too much qui laissé pas trop place à la réflexion.
Red Dead Redemption lui est déjà plus philosophique que son ainé puisque la trame du jeu prend place à l'aube de la 1ère guerre mondiale en plein BOOm industrielle, là où un vieux cow boy illettré et sont bétail n'ont plus vraiment leur place.
Il était une fois dans l'ouest style.
En plus le jeu dépeint les prémices du système fédéral américain avec un certain regard critique ce qui étoffe encore plus l'expérience.
Red dead est donc une satyre très bien pensé couplé d'un jeu très inspiré.
Puis cette fin... Mais qu'elle fin bordel! Ah là là si tout les développeurs étaient aussi couillu et inventifs, l'industrie se porterait mieux. Les mots me manques, la conclusion se fait sentir...
D'une gen' à L'autre, Rockstar est devenu un puissant maitre videoludique. La redemption se fait par le sang et la mort et je remercie le seigneur pour ce jeu sublime doté d'un grand potentiel.
Il m'a tout simplement réconcilier avec la NeXT génération prouvant avec brio qu'on peut allier finesse scénaristique, gag potache et jouabilité intuitive. Ôde au messie car il est venu et a tout balayé sous son passage, GOTY 2010 très certainement.
Oui, j'aime Red dead redemption.
Rockstar, je vous tire mon chapeau de cowboy.
Vous, avez vous aimé Red Dead?
Quelle est votre GOTY 2010?
j'ai tellement la flemme de faire un article maintenant que je vais me taire et laisser parler d'eux même quelques un de mes dessins.Ils ne sont pas terminer et ne le serons jamais, leur qualité est variable... En faite il ne sont pas gg mais je les aimes bien.
Un croquis très sale.
idem...
Que?...Bordel mais tout mes croquis sont sales!
j'aime juste l'expression.
Bon et pour finir une esquisse de décors plus ou moins propre... Voilà,Peace!
Bonsoir les gars. Un petit message de présentation histoire de "jauger" l'accueil.
Ça faisait tellement longtemps que je ne m'étais pas connecté, que mon ancien compte (Nazareth voodoo) s'est désactivé. Qu'a cela ne tienne, j'en refais un autre tranquillos.
Déjà je squattais à l'époque de JF (rip) sans trop poster, gamekyo je m'y suis inscris mais je postais pas non plus (utile d'y être inscris donc) et la riiiiiip le compte. On verra si celui ci tiendra.
[img]
Niveau console, j'ai pas de préférence marquer.
J'ai la ds, la wii,
Une Xbox 360
Pis la PS2. Je pense économisez pour la 3 histoire d'être "complet" si je peux dire.
Enfin voila,
Le message pèse pas bien lourd mais c'est histoire de me présenter (trės) brièvement.
Peace.