Nintendo annonce aujourd'hui la suite de l'épisode mythique de Super Mario World, paru en 1992 sur Super Nintendo.


L'histoire de New Super Mario World prendra place dans Dinosaur Land, qui, à peine libéré des Koopas, va subir à nouveau l'assaut des sbires de Bowser, avec à leur tête Ludwig von Koopa. Parcourez avec Mario et son frère Luigi les 80 niveaux de New Super Mario World, à travers prairies, grottes, forêts, et bien sûr donjons des frères Koopa.


New Super Mario World bénéficie des graphismes léchés de son aîné, avec une légère refonte en 3D, dans la parfaite lignée de l'épisode original. Retrouvez de tous nouveaux objets, avec en premier lieu le grand retour de la plume, mais également la présence du champignon géant, ou de l'inédite lampe du génie.


New Super Mario World, qui aura mis plus de 15 ans pour voir le jour, sortira au Japon début 2008, au deuxième trimestre 2008 aux Etats-Unis et en Europe. Il espère suivre les traces du premier épisode des Super Mario sur DS, New Super Mario Bros., écoulé à plus de 9 millions d'exemplaires à travers le monde.



Update 1 : Nintendo nous apprend que Shigeru Miyamoto serait personnellement impliqué dans ce projet et qu'il superviserait le développement de New Super Mario World



Update 2 : Nintendo diffuse la première image de New Super Mario World, où on peut voir l'apparition d'un bloc !, renfermant peut-être une casquette d'invisibilité.

source : IGN DS

Salut à tous !
Voilà je vais partir en Allemagne pendant quelques jours et ça sera l'occasion de faire chauffer ma DS qui prend la poussières depuis quelques semaines pour cause d'examens notamment.

J'ai donc besoin de vos conseils pour m'acheter un nouveau jeu, vu que j'ai déjà fini les autres.

Pour info j'aime bien les jeux sans prise de tête, si possible assez longs, où on a souvent envie de revenir dessus.
Merci de m'éclairer !

ps : j'ai déjà Mario 64, NSMB, Mario Kart, ainsi que l'entraînement cérébral... et sinon je ne suis pas trop fan des FF.

C'est ce qu'on aurait eu si Nintendo et Sony ne s'étaient pas embrouillés

Je sais pas si c'est pareil pour vous mais je vis un truc assez bizarre en ce moment.

En fait, avant d'aller à la fac, j'aimais bien passer du temps dans les jeux vidéo. Même si j'ai jamais été un très grand joueur, je passais pas mal de temps à jouer à des jeux comme Zelda ou Resident Evil 4 sur gamecube, et souvent à la DS avec Mario 64, NSMB et Kawashima, ainsi que Zelda : Oracle of Seasons sur Game Boy.

Depuis que je suis en fac, j'ai dû changer mes habitudes en travaillant beaucoup plus. J'ai encore du mal à me rendre compte des différences entre le lycée et l'université. En gros, si on ne travaille pas à la fac, on est mort. Alors qu'au lycée si on se débrouillant bien, on pouvait sans trop d'efforts avoir le bac, là c'est pas possible.

Bref je me suis retrouvé à faire des devoirs de 3 pages doubles jusqu'à 2 heures du matin, j'ai travaillé... et à force j'ai peu à peu arrêter de jouer, sauf à Kawashima de temps en temps.

Tout ça pour dire qu'aujourd'hui, j'ai moins envie de jouer aux jeux vidéo. Pourquoi ? j'ai tendance à trouver qu'aujourd'hui c'est une perte de temps. Il y a peut-être mieux à faire : travailler pour moi même ou pour mes parents qui croulent sous le boulot, sortir, faire des foot avec les potes, bref ne pas rester devant la console ou l'ordi... Ainsi, j'éprouve un peu de culpabilité lorsque je joue un peu, comme récemment depuis que je joue à S.T.A.L.K.E.R. Je me limite moi-même et j'aime pas faire de trop longues sessions.

Par voie de conséquence, je ne suis plus aussi attiré par la Wii et par Zelda qu'auparavant, je deviens en quelque sorte un joueur occasionnel, tout ce que j'attends c'est des jeux sur portable auxquels on peut jouer de temps à autre comme Brain Training 2 ou Pokémon, ou encore Zelda Phantom Hourglass et Tingle RPG, mais bon celui là on est pas prêt de le voir venir. Je pense aussi me limiter aux plus gros jeux sur Wii.

Voilà, je sais pas si c'est pareil pour vous mais je me sens un peu m'éloigner du monde du JV même si j'aime bien fréquenter ce site

(merci de m'avoir lu)

Ca se passe ici :

http://www.justiciers.tv/

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-893141,0.html?xtor=RSS-3208

Spoiler :


C'est assez inquiétant... D'autant plus que ça vient d'Azouz Begag, un des seuls du gouvernement (avec Borloo) qui me plaisait bien, et qui à mon avis n'est pas du genre à raconter des salades.

Malheureusement, comme l'a dit un des lecteurs du Monde, cette histoire risque bien d'offrir une publicité supplémentaire à Sarkozy...

Lol, je me demande comment ils ont fait pour ramener Miyamoto !

Je viens de lire le test de Jeux-france sur Final Fantasy XII, et personnellement, bien que je sois très étranger à l'univers des FF, je le trouve très réussi.

Je pense que la nouvelle forme du test, basée sur l'opinion des testeurs plutôt que d'un récit entier, est beaucoup plus agréables en termes de lecture (moins de texte) et aussi en lisibilité (les notes et les rédacteurs sont visibles).

En adoptant ce type de texte qui connaît de plus en plus de succès (Famitsu, EGM), Jeux-france parvient à se démarquer de sa concurrence directe (à savoir jeuxvideo.com et jeuxvideo.fr), et permet d'avoir une autre vision du jeu. L'avis personnel est ainsi beaucoup plus efficace qu'un test formaliste, puisque le lecteur peut s'identifier à un des journalistes. Voilà, je pense que le test basé sur l'avis personnel est une bonne idée, et c'est égalment bien de donner la parole aux membres du site, comme on le voit en bas de page du test.

Eh oui, d'après Phil Harrison de Sony, le Rumble serait old-gen :

''Je crois que le Sixaxis offre aux game designers et aux développeurs des opportunités beaucoup plus larges pour l'innovation future par rapport à ce qu'a apporté les vibrations. Maintenant, je pense que les vibrations appartiennent à la vieille génération ; ce n'est pas l'option de la next-gen. Je crois que l'option next-gen c'est la sensibilité des mouvements. Et nous ne voyons pas à quoi les vibrations pourraient servir. D'autre part, il y aura des controlleurs avec d'autres fonctions spéciales, par exemple des volants qui inclueront des vibrations et du retour de force - ça ne viendra pas de nous mais des éditeurs tiers.'' Phil Harrison


Tout est dit.

Matt Cassamassina vient de mettre à jour son blog :


''Il y a des jeux potentiellement incroyables à venir sur Wii. Vous n'avez aucune idée. Je sais que c'est vague - et ça doit l'être - mais j'ai vu des choses sur Wii dont vous n'avez tout simplement pas idée qu'ils existent, et franchement, si vous le saviez, vous en seriez retourné. En disant ça, je risque d'avoir des problèmes et je suis sûr que certaines personnes seront gênées que j'ai dit cela, même si je n'ai pas donné de détails sur les projets en question. Certains diront que je dis n'importe quoi en pensant que je ne risque rien vu que ce que je ne révèle apparemment rien. Peu importe. Je sais que si j'étais à votre place, je serais simplement heureux que des choses vraiment cool et inattendues. Je le promets, quand ces choses vont se montrer, je vous rappellerai que j'ai écrit un article là dessus.

La prochaine semaine devrait être sympa. Quelques compagnies vont nous montrer des jeux Wii. Nous annoncerons nous même un projet ou deux pendant la semaine. Pas de licence célèbre, donc ne vous enflammez pas, mais quelque chose de bien quand même. Nous testerons SSX Blur aussi. Au fait, EA a déjà annoncé son nouveau jeu sur Wii ? Nous en parlerons également.

Je vais aller à San Francisco pour la Game Developers Conference. Miyamoto sera là. Aonuma aussi. Kondo aussi. Suda51 aussi. Et d'autres partenaires de Nintendo ainsi que des éditeurs tiers. Je m'attends au lancement officiel de la chaîne Wii Demos. Je ne sais pas vraiment comment ça sera appelé, mais c'est des jeux originaux avec le même système de la Console Virtuelle. Ce sont des nouveaux projets sur Wii, mais ils seront téléchargeables. Est-ce que j'ai besoin de continuer ? Je pense aussi que Nintendo va devenir agressif - très très agressif - pour encourager les éditeurs tiers à créer des jeux fous, des nouveaux jeux ''garage'' sur Wii. Gardons nos doigts croisés.''



Personnellement, je pense que Matt dit la vérité, la Wii traverse une période un peu vide mais à mon avis on va bientôt avoir de grosses infos

Nintendo a tiré un trait sur la période Gamecube en annonçant la fin de la production des consoles.

D'autres jeux sont encore à venir, mais là majorité sont des titres à licence, et d'autres encore de moins bonne qualité.

C'est la fin d'une période, la fin d'une console qui a été boudée au profit d'une autre, une console qui recelait pourtant de beaux trésors, comme Zelda : The Wind Waker et Resident Evil 4, parmi tant d'autres...


Prions notre cube.

...ant.

Arnaud Marty-Lavauzelle, l'ancien président d'Aides, flamboyant et efficace, est mort après vingt ans de lutte contre la maladie.

Il le disait, souvent. Il le disait en éclatant de rire : «Même dans la pire des catastrophes, il y a toujours quelque chose à faire.» Arnaud Marty-Lavauzelle est mort du sida dans la nuit de lundi à mardi (1), chambre 9, à l'hôpital la Pitié-Salpêtrière de Paris.

C'était une des personnalités les plus flamboyantes de l'histoire du sida en France. Mais aussi les plus efficaces, les plus combattantes. Président de l'association Aides, de 1992 à 1998, c'est-à-dire pendant les pires années. Depuis plus de trois ans, cela n'allait plus. Le virus gagnait, le corps s'épuisait, jamais pourtant il ne baissait les bras. Malade puis vingt ans, il disait : «Il faut tenir, tenir, jusqu'à demain.» Ces derniers mois, nul n'y comprenait plus rien. L'équipe du professeur Christine Katlama faisait tout, et même parfois l'impossible. Son compagnon Hugo Curletto était là, il s'énervait. Hugo est styliste. Alors que ses proches étaient démunis, désemparés par l'aggravation de son état, c'était Hugo qui a pris la relève. Arnaud ne parlait plus. C'était Hugo qui s'est mis à parler pour lui. Arnaud n'avait plus la force de se battre. Hugo se battait à sa place.

Unique. Dans le paysage des associations luttant contre le sida, Arnaud Marty-Lavauzelle a toujours été unique. Peut-être en raison de ce nom impossible qu'il porte, fruit d'une adoption, ou bien à cause de ce visage, aussi élégant que chaleureux. Il est né juste après la guerre, en 1946. En 1969, tout jeune médecin psychiatre, emporté dans la foule de cette génération qui s'engage, il s'en va. Et se rend au Biafra, avec Bernard Kouchner et son ami Patrick Aeberhard. «Les représentations catastrophiques me sont vite devenues familières, racontait alors Arnaud Marty-Lavauzelle. De retour, c'était l'antipsychiatrie qui s'emballait, les fous enfermés, la lutte contre les pratiques asilaires, et la découverte de la thérapie familiale.»

Acteur. Peu d'entracte dans le malheur. Arrive le sida. L'hécatombe. Ils sont quatre amis inséparables. Trois sont morts. «Et je me suis retrouvé isolé, dans un désarroi d'autant plus profond que ma culture psychiatrique et médicale ne me servait à rien.» Ainsi, en 1987, il devient volontaire à Aides : «J'ai lancé un groupe de soutien aux personnes en deuil.» En 1992 le fondateur de l'association, Daniel Defert, le choisit pour prendre la relève. Une succession parfaite. Daniel Defert avait réussi à fonder un lieu d'accueil ouvert à tous, ayant eu cette idée inouïe de faire du malade un acteur clé du changement. Arnaud Marty-Lavauzelle va développer Aides, puis l'organiser : 32 comités locaux, 3 500 volontaires, une présence dans 99 villes. Aides devient la première association de lutte contre le sida en Europe. «On ne peut pas être dilettante. Ce sont nos vies qui sont en jeu.» Arnaud disait aussi : «La pire image que je peux avoir en tête, c'est celle de quelqu'un qui, juste, passe dans une chambre d'hôpital et laisse quelques pâtisseries, puis repart.»

Lui reste. Dans ces années de lutte, deux moments parmi d'autres. En décembre 1995, Pierre Kneip vient de mourir. Pierre était une personnalité singulière du monde associatif, fondateur de Sida Info Service : lors d'une messe en sa mémoire à l'église Saint-Eustache à Paris, Arnaud Marty-Lavauzelle, alors président de Aides, ne supporte pas quelques propos mielleux sur la «banalisation» de l'épidémie. D'un coup, il se lève. En pleine église, il prend violemment à partie l'orateur. L'assemblée est subjuguée, ahurie, si contente d'entendre cette colère intacte. Trois ans plus tard, à Genève au siège de l'OMS, c'est une matinée d'hiver. Les traitements ­ les trithérapies ­ commencent à arriver. Et Arnaud Marty-Lavauzelle a voulu participer à cette séance plénière pour convaincre les représentants des différents pays de rendre accessibles les traitements pour les pays du Sud. Il est un des tout premiers à en parler. Les experts ironisent, certains lâchent : «Ne rêvons pas.» Arnaud Marty-Lavauzelle a continué de rêver. Patrice Chéreau lui a remis en 1998 la Légion d'honneur, Arnaud a participé ensuite à la création du Fonds mondial de lutte contre le sida. Puis Bertrand Delanoë l'a nommé pour la coopération à la ville de Paris.

Mardi matin, à l'hôpital la Pitié-Salpêtrière, son compagnon, Hugo Curletto, est allé à l'état civil pour le certificat de décès. L'employé a demandé : «Marié, veuf, divorcé ?» Hugo a répondu : «Non, pacsé.» L'employé : «Il n'y pas de case.» Les combats ne sont jamais tout à fait gagnés.


Je pense qu'il est important de rendre hommage à des gens comme ça, qui se battent pour une cause et y croient

Voilà, ça n'a l'air de rien mais j'observe le succès de la Wii un peu partout, même dans des endroits inattendus.

Sur le forum prizee par exemple, qui regroupe somme toute une majorité de newbies et de casual gamers, allant de la fille en 5ème au gars de fac (comme moi), eh bien on constate que la Wii a du succès.

Pour preuve, un post réclamant l'apparition de la Wii dans la boutique comprend aujourd'hui 629 messages, ce qui témoigne quand même d'un vrai enthousiasme chez le grand public. Le tout sans compter les messages annexes consacrés à la Wii.

On voit aussi plein d'allusions aux jeux Nintendogs et Animal Crossing, ainsi qu'un vrai engouement autour de la DS lite.

C'est plutôt sympa de voir ça je trouve (même si ça sert pas à grand chose).

ça promet


Depuis 2002, Nicolas Sarkozy a placé des hommes à lui dans presque toutes les rédactions parisiennes, dans la presse écrite comme dans la presse audiovisuelle.

Les Français ne connaissent pas la société audiovisuelle ETC (Etudes, techniques et communication). Pourtant, ils ne cessent de voir ses productions à la télévision. C’est cette entreprise, appartenant à l’UMP, le parti de Nicolas Sarkozy, qui filme le candidat Nicolas Sarkozy et qui ensuite vend (ou plus souvent donne) ses reportages aux chaînes de télévision françaises. «Le plus grave, ce n’est pas que Sarkozy organise ses propres reportages, mais que les télévisions acceptent ce procédé car il leur fait économiser de l’argent», proteste un journaliste parisien sous couvert d’anonymat.

Pourquoi se gêner? La société ETC jouit d’une excellente réputation professionnelle, elle offre des images parfaitement maîtrisées, avec des caméras face à la tribune, sur les côtés, et survolant la foule. Nicolas Sarkozy a même organisé le retour de Cécilia, son épouse, au domicile conjugal. Son photographe a pris soin de prendre les clichés à distance afin de faire croire qu’il s’agissait de photos volées par un paparazzi… Rien d’étonnant à cela. Comme le rappelle Frédéric Charpier dans son livre «Nicolas Sarkozy. Enquête sur un homme de pouvoir» (1), l’actuel ministre de l’Intérieur avait imaginé un temps devenir journaliste.

Les journalistes au pain sec

Maire de Neuilly, dans la région parisienne, et président des Hauts-de-Seine, le département le plus riche de France, Nicolas Sarkozy courtise de longue date les patrons de presse, qui sont souvent ses administrés, comme autrefois Robert Hersant, propriétaire du Figaro et de 30% de la presse française, et aujourd’hui Martin Bouygues, le patron de TF1, dont le journal télévisé est regardé par 8 millions de personnes. «Il est non seulement l’ami des patrons de presse, mais il est aussi l’ami des rédacteurs en chef et des chefs des services politiques qu’il appelle tout le temps au téléphone. Sarkozy s’est aussi constitué une cour de sans-grade qui espionnent pour lui à l’intérieur des rédactions, recevant en compensation des informations exclusives ou des promesses de promotion», raconte un enquêteur connu de la presse parisienne.

Le climat est devenu tellement étouffant que ce journaliste demande non seulement que son nom n’apparaisse pas, mais que son journal ne soit pas mentionné non plus. «Je suis contraint de me méfier de mes propres collègues», déplore-t-il. Ministre de l’Intérieur, à la tête de deux services secrets, la DST et les Renseignements généraux (RG), Nicolas Sarkozy est un homme tout-puissant. Alors que ses «amis» journalistes sont abreuvés de scoops sur la délinquance ou sur le terrorisme, les autres rédacteurs se retrouvent au pain sec: les policiers ne leur parlent plus. Pire, ils découvrent que les Renseignements généraux ne font pas seulement des enquêtes sur les collaborateurs de Ségolène Royal, la candidate socialiste, comme Bruno Rebelle, ancien directeur de Greenpeace. Mais qu’à l’occasion, ils s’intéressent aussi à la vie privée des rédacteurs un peu trop à gauche. «Un proche de Sarkozy vous appelle au téléphone et lâche le nom de votre maîtresse, menaçant de le faire savoir à votre épouse si vous ne devenez pas davantage conciliant avec le candidat de l’UMP», s’étrangle un journaliste du Figaro. Un proche de Sarkozy que Karl Laské, journaliste à Libération appelle carrément «le lanceur de boules puantes».

Le livre à charge intitulé «Nicolas Sarkozy ou le destin de Brutus» (2), écrit par plusieurs journalistes parisiens sous le pseudonyme de Victor Noir, s’est vendu à plus de 25 000 exemplaires. Il est réédité en livre de poche.

Sarkozy propulse les ventes

«On montre du doigt le magazine Le Point pour ses 10 couvertures consacrées à Nicolas Sarkozy ces derniers mois. Le problème, c’est que ces 10 couvertures ont bien vendu. Les journalistes qui ne sont pas sarkozystes ne peuvent pas reprocher ce choix journalistique à leur direction», souligne François Malye, président de la Société des rédacteurs du Point.

Article de Ian Hamel paru dans Le Matin