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Inutile de croire que cet épisode DS inaugure une nouvelle série. Depuis 2001, Gyakutensaiban (alias Phoenix Wright au Japon) cartonne au pays du soleil levant avec déjà 3 épisodes sortis sur GBA. La DS accueille donc le premier volet dans un remake du meilleur goût qui permet à la série d'atteindre (enfin!) l'Europe. Pourquoi ce jeu a-t-il séduit nos amis japonais? En quoi une simulation d'avocat peut être intéressante?
Vous incarnez Phoenix Wright, un avocat qui débute dans le métier. Votre première affaire n'est pas facile puisque vous allez devoir plaider afin d'innocenter votre ami accusé d'avoir tué sa compagne... Pour entamer sa carrière, Phoenix aurait pu espérer mieux! Votre arme: écouter les témoignages et en déceler les incohérences d'après un propos douteux ou d'après une preuve qui serait contraire à la déclaration du témoin Ainsi, vous passez votre temps à chercher la faille dans les propos pour résoudre l'enquête. Mais attention: la partie adversaire possède également un avocat et les revirements de situation sont nombreux.
Si vous vous dites « ça a l'air sympa mais répétitif », je vous répondrai que la phase au tribunal n'est qu'une facette du jeu. Eh oui, car les preuves que vous utiliserez ne proviendront que des indices que vous aurez cherchés. Discutions avec témoins, récoltes d'éléments en fouillant des lieux, le tout en cliquant sur les divers endroits liés aux crimes: voilà l'autre face de Phoenix Wright.
Après 4 jeux de combat sur Gamecube et avant un cinquième sur Wii, Tomy a décidé de nous gratifier d'un épisode spécialement dédié à la Nintendo DS. Les images du jeu promettaient un rendu particulièrement soigné avec une 3D plutôt impressionnante pour cette console. Aujourd'hui, stylet en main, nous allons voir si ce titre saura combler les fans de Naruto.
En ce qui concerne les modes de jeux, cet épisode se démarque par son contenu ultra limité. Un mode arcade, un mode story et un mode versus contre un adversaire humain en ad-hoc ou contre l'ordinateur. Ne cherchez pas plus, vous ne trouverez pas. Le mode histoire vous place aux commandes de Naruto avec un enchaînement paramétré de sep combats entrecoupés de petites scènes de dialogues. Les autres modes (arcade et versus) n'apportent rien de spécial et l'intérêt du jeu devient vite de débloquer tous les personnages.
Au niveau des personnages, on trouve initialement Naruto, Sakura, Kakashi, Sasuke, Rock Lee, Shikamaru et Neiji. Vous aurez la possibilité de débloquer Temari, Gai, Gaara, Sasuke sceau niveau 2, Itachi et Kyubi Naruto. Chacun possède une unique furie et quelques coups spéciaux. Vous avez la possibilité d'utiliser des objets grâce au menu tactile qui ne servira qu'à ça. Vous pourrez, grâce à eux, regagner de la vie ou du chakra. Sinon, le seul élément qui vient enrichir le gameplay est le Kawarimi qui permet de se téléporter et qui consomme la moitié de votre barre de chakra. Autant dire que les affrontements sont assez rébarbatifs.
Le visuel est assez bon (niveau playstation 1) mais l'ambiance sonore n'a hélas pas bénéficié du même soin. Ça manque clairement de cris lors des furies. L'animation reste correcte, sans plus.
Le jeu se déroule peu de temps après MGS 3, en 1970. Naked Snake (alias BigBoss) se retouve enfermé dans une cellule d'une base Soviétique située en Amérique du Sud. Heureusement, un jeune bérret vert installé dans la cellule d'en face va vous aider à sortir de ce pétrin! La personne qui vous aide n'est autre que Roy Campbell! Pour les néophytes, sachez qu'il s'agit du colonnel qui guidera Solid Snake dans ses missions futures.
Lors des premières minutes, on prend deux claques: la première est visuelle. Naked Snake est parfaitement modélisé, les décors sont bien faits et on a l'impression globalement d'être face à un jeu PS2. Je reviendrai sur cet aspect plus tard. La deuxième claque concerne la maniabilité.... La PSP n'a qu'un stick analogique et il lui manque deux gachettes supplémentaires. Les premiers pas sont assez étranges. Heureusement, on se réadapte vite: la croix directionnelle permet de gérer la caméra, l'analogique de bouger, Rond maintenu permet d'afficher le menu des armes et triangle en courant face à un mur de se plaquer. Une fois ces 
En plus de nous faire un MGS sur Portable digne des épisodes Consoles, ce MGS PO apporte plusieurs nouveautés, et pas des moindres! La première c'est la différence de système avec les autres volets où l'histoire était continue et dont les cut-scènes servaient de narration. Ici, le fonctionnement se fait par missions où une carte indique les différents lieux pouvant être visités. On imagine que ce choix a été motivé par le fait que sur une console portable, il est plus évident d'encahîner plusieurs actes de jeu d'une durée assez courte plutôt que d'enchaîner plusieurs heures à la suite sans répis. Ce découpage permet de gérer son équipe, ce qui constitue la seconde nouveauté. Il est en effet possible de recruter différents soldats dans les niveaux en les assomant et en les trainant dans votre camion. Vous aurez la possibilité de spécialiser vos membres dans la recherche d'informations dans différents endroits (idéal pour apprendre qu'un soldat est retenu prisonnier: il rejoindra certainement vos rangs si vous l'aider), dans la médecine ou dans l'armement. Bien entendu, il vous faut des hommes sur le terrain et il est donc possible de constituer des équipes de 4. Vous pouvez donc jouer un niveau avec 3 soldats accompagnant Snake (voire des fois 4 soldats) en ayant la possibilité de passer la main à vos coéquipiers. Le thème principal de cet épisode est donc la constitution de l'armée de BigBoss. Notons que la dernière nouveauté est la gestion jour/nuit qui vous eprmet d'appréhender parfois un niveau de manière légèrement différente.
Il faut le reconnaître, le gameplay de MGS est retranscri à merveille et on a de nombreuses possibilités. Cependant, épisode portable oblige, on a seulement 4 objets à porter sur soi afin d'éviter de concentrer toutes les ressources sur un seul personnage. On comprend facilement ce choix et la contrainte de choisir son équipement assure une nouvelle dimension tactique. On notera également que les scènes cinématiques ne sont pas comme les autres opus puisqu'elles reprennent les dessins d'Ashley Wood à la manière de Metal Gear Solid Digital Graphic Novel. Si ces scènes ont leur charme, on regrette quand même de n'avoir aucune scène faite avec le moteur du jeu (cela aurait été faisable puisque des jeux tels que GTA sur la même console y parviennent). L'absence d'un autre détail qui échappera à beaucoup mais qui m'a choqué est présent: la gestion localisée des blessures est absentes. Tirer dans la jambe d'un ennemi ne le fera pas boîter dans cet épisode. Vu le support, on comprend cette concession mais il fallait quand même le signaler. Notez qu'il n'y a également plus de sang donc pas de traces laissées donc pas de gardes qui les suivront. On sent quand même que les développeurs ont dû tronquer le jeu original pour faire rentrer le jeu sur uen si petite console.
Sur le plan technique, le jeu scintille un peu, il manque certains effets de flou (par exemple quand on regarde à travers un grillage) et on note certaines surfaces par qui ne sont pas lissées. C'est tout! Voilà juste ce qui différencie le jeu avec un épisode PS2! La prouesse est donc présente puisque les niveaux sont grands, les modélisations d'excellente qualité et le niveau de détail est élevé. La PSP s'offre le luxe de proposer grosso-modo l'équivalent de sa grande soeur alors que MGS 3 est quand même un jeu de dernière génération sur PS2. Au niveau sonore, on retrouve l'ambiance MGS avec des thèmes sonores impeccables, des voix excellentes et un fond sonore trés travaillé. Branchez vos casques et réalisez à quel point l'équipe de Hideo Kojima a accompli un travail extraordinaire!
Le jeu exploite le module GPS de la console pour recruter des membres dans son équipe. Je n'ai hélàs pas pu essayer cette fonction vu que cet accessoire n'est pas encore disponible chez nous. Sinon, sachez que le jeu propose un mode multi jouable en partage de jeu avec un seul UMD, un mode Ad hoc et un mode Online reprennant le chemin tracé par Metal Gear Solid 3 Subsistence. Ajouté à la durée de vie du mode solo, le multi assure à Metal Gear Solid Portable OPS une longévité hors du commun! 
Ichigo Kurosaki est un étudiant tout ce qu’il y a de plus normal qui va être amené à obtenir des pouvoirs de Shinigami (dieu de la mort) lors de sa rencontre avec une jeune fille nommée Rukia. Son but sera d’emmener des âmes déchues au paradis (ou plutôt Soul Society dans la série). Ichigo et Rukia s’attachent l’un à l’autre mais celle-ci étant originaire de Soul Society, elle devra retourner de force à sa ville natale. Mais c’est sans compter sur la dextérité de Ichigo qui va décider d’aller chercher Rukia avec ses amis. Désolé si mon résumé est un peu trop abrégé mais il est difficile de refléter la puissance de cette série avec quelques lignes. En tout cas, si vous avez l’occasion de la suivre, n’hésitez pas ! Bon, je referme la parenthèse pour rentrer dans le vif du sujet : le jeu !
Au niveau des personnages, je trouve le choix tout à fait bien pensé. Ainsi, sans grande surprise, il sera possible de démarrer le jeu avec Ichigo, personnage équilibré et agréable à jouer, Rukia qui use et abuse de ses boules de feu, Inoue qui se débrouillera plus au corps à corps, Ishida et ses fameuses flèches et enfin Chad et sa force brute. Des personnages cachés viendront étayer votre équipe au gré de votre progression. Le jeu compte au total 13 personnages jouables ce qui est tout à fait honorable pour un jeu de ce type !
Premièrement, il vous est possible d’appuyer sur le bouton X pour lancer une attaque où votre second personnage vient castagner l’ennemi. Il faudra alors mitrailler le bouton CARRE pour le massacrer puis de nouveau appuyer sur X avant que l’adversaire ne retombe afin que votre autre personnage revienne et ainsi de suite. Une indication « COMBO » se remplira au fur et à mesure et une fois qu’elle clignotera, il faudra appuyer sur O pour lancer une attaque à deux. Si vos personnages n’ont pas d’attaque double prévue (exemple : Chad et Renji ensembles), vous les verrez juste enchaîner les coups, par contre s’ils ont une attaque comme (exemple : Ichigo et Renji ensemble), vous verrez une attaque MAXIMUM TENSION où une cinématique intervient le temps de quelques secondes. Une idée sympa et qui représente l’intérêt de ce TAG.
J’allume la console en lançant le jeu avec le freeloader et là je suis face à une introduction. Autant être honnête, c’est comme les épisodes précédents : une musique un peu rock avec des extraits de la série, pas tous bien choisis, certes, mais qui offrent un rendu sympathique, à défaut d’impressionner. Ensuite, je tombe sur un menu avec une Sakura en 3D. Je fais un petit tour vers le mode story et là je m’aperçois qu’il s’agit d’une histoire bidon où Itachi affronte les ninjas du son et où l’équipe de Naruto affronte d’autres teams. Bref, on passe un (court) moment sympathique mais on n’en ressort certainement pas bouleversé. Les autres modes sont classiques et on notera l’absence du magasin. Pourquoi ?
Pour ceux qui ne le savent pas, Naruto Gekitou Taisen est un jeu de combat en cell-shading très joli visuellement et qui propose des enchaînements simple par pressions de touches successives ou par combinaisons de boutons et de directions. La jouabilité est donc plus grand public, aux antipodes d’un Virtua Fighter. Chaque personnage possède deux furies. Sur gamecube, il s’agit d’une référence en terme de jeu de combat. Tomy a décidé d’apporter quelques nouveautés : il est désormais possible de casser certains combos en appuyant sur Y. C’est très sympathique et il faudra s’entraîner pour bien maîtriser cette technique. Certainement le seul vrai apport. Il est également possible de rouler sur le côté lorsque l’on court : sympathique sur le papier, ça n’apporte pas grand-chose dans les faits. Une « nouveauté » qui est vraiment néfaste : avant il était possible de jouer à l’analogique et à la croix : oubliez cette époque, on ne peut plus jouer qu’avec l’analogique. Belle déception. On notera les attaques groupées en TAG qui diffèrent selon l’équipe choisie. C’est un bon petit plus pour cet épisode.
Ayant lancé 70€ pour l’acquérir rapidement et finalement pour m’apercevoir que, globalement, Tomy a fait le même coup que pour le 3, c'est-à-dire le strict minimum, j’avoue avoir été déçu. Cependant, le jeu reste malgré tout excellent, héritant des qualités des épisodes précédents. Si vous avez manqué le 3, vous pouvez vous lancer, sinon je vous conseillerai un achat d’occasion ou plus tard car en cette période, il y a des jeux bien plus innovants à prendre. Je suis la série chaque année en achetant chaque épisode à sa sortie et en y jouant des heures et des heures : cette année, la magie n’a pas marché et j’avoue que son concurrent direct, Naruto Narutimate Hero 3 sur PS2, qui est différent, innove bien plus et propose un contenu bien plus riche. Espérons que naruto 5, s’il sort un jour, que ce soit sur gamecube ou Wii, sera enfin un VRAI nouvel épisode car depuis le 2, la série tourne en rond.
Ichigo Kurosaki est un étudiant tout ce qu’il y a de plus normal qui va être amené à obtenir des pouvoirs de Shinigami (dieu de la mort) lors de sa rencontre avec une jeune fille nommée Rukia. Son but sera d’emmener des âmes déchues au paradis (ou plutôt Soul Society dans la série). Ichigo et Rukia s’attachent l’un à l’autre mais celle-ci étant originaire de Soul Society, elle devra retourner de force à sa ville natale. Mais c’est sans compter sur la dextérité de Ichigo qui va décider d’aller chercher Rukia avec ses amis. Bien entendu, ce bref résumé ne diffuse en rien tout l’intérêt de cette fabuleuse série que je vous conseille de lire/regarder le plus rapidement que possible. Le contexte étant posé, passons maintenant à l’analyse du jeu.
La série Bleach possède un habillage très original et il est amusant de voir à quel point ses adaptations vidéoludiques respectent ce point. Cet épisode Gamecube ne déroge pas à la règle et les menus sont très agréables. Bonne nouvelle : l’essentiel du texte pour naviguer est en anglais (attention, ne vous attendez pas à voir les dialogues traduits). Un bon point qui fait que vous pourrez progresser dans le jeu sans avoir constamment une faq à côté de vous. Voici les modes de jeux proposés :
Le mode scénario vous invite à suivre la progression d’Ichigo et donc à affronter un grand nombre d’adversaires. Avec une mise en scène très « digital comics », la mise en scène reste simple mais sympathique grâce à la présence des thèmes de la série en fond musical lors des dialogues parlés. De jolis artworks viennent illustrer les moments clefs. Deux autres scénarios seront disponibles par ma suite.
Bleach GC offre pour un rendu en cell-shading moins conventionnel puisqu’il utilise des teintes particulières et non vives contrairement à un Bleach PSP, un Naruto GC ou encore un DragonBall Z Budokai. Le visuel est donc sympathique mais ce n’est pas le jeu qui vous marquera par ses graphismes. Les décors ne sont ne beaux, ni moches. Ils sont un peu vides. Les effets spéciaux sont, en revanche, particulièrement réussis. Les musiques pendant les combats sont inédites mais j’ai trouvé qu’elles collaient particulièrement bien aux affrontements. Les voix rythment les duels mais j’ai été très déçu par le fait que les lèvres soient statiques. Ainsi, votre personnage parle mais sa bouche reste fermée. Un peu léger…
Alors bilan de ce système ? Je trouve l’idée du système pour ralentir le temps excellent surtout que les personnages n’ont pas la même portée lorsqu’ils lancent leur vague d’énergie. Un bon moyen pour placer une furie. Cependant je dois avouer que j’ai trouvé le système en lui-même trop rigide. On sent qu’on est vite limité. De plus, la caméra s’approche parfois trop et on a une vue assez bizarre. Les furies m’ont déçues : il n’y en a qu’une par personnage et se limite à une vidéo mal compressée. Celle d’Ichigo en est le meilleur exemple : on le voit en image de synthèse puis il apparaît en Bankai dans une succession de 2 images fixes. On a vu mieux ! De plus, une fois les éléments débloqués, on du mal à y revenir régulièrement.Pour un premier épisode, Sega ne s’en est pas mal sorti mais on sent que tout aurait pu être beaucoup mieux. La réalisation aurait pu être plus pétillante, l’absence de Ichigo en Bankai se fait terriblement sentir, le système de combat regorge de bonnes idées mais aucune n’est réellement exploitée. Mais il faut prendre, à mon avis, le problème, d’un autre point de vue : à qui s ‘adresse après tout ce jeu ? Aux fans. Je pense donc qu’en terme de contenu, ce titre rempli son rôle et que c’est quand même loin d’être une daube. On ne prend pas un plaisir intense à faire des duels mais on passe un très bon moment à tout débloquer et à jouer avec de nombreux personnages de la série.
Appartenant à la catégorie des jeux DragonBall Z inconnus du grand public et mal connu pour beaucoup, DragonBall Z Shin Butoden n'est sorti que sur Sega Saturn et exclusivement au Japon. Il a eu un homologue sur Playstation nommé DragonBall Z Ultimate Battle 22 (sorti quelques mois plus tôt) qui a vu le jour en France. Cependant, les différences entre les deux titres sont sufisamment grandes pour parler de deux jeux totalement différents.
Le gameplay des jeux 16 bits est donc ici bonnifié et comme nous l'avons vu, le plus grand choix de personnages comble les lacunes passées. Les graphismes sont trés jolis et la finesse des décors en 2D l'emporte aisément sur la 3D vide de son rival sur playstation. Notons à cela qu'on retrouve une bon son inspirée des anciens opus et qui est totalement magnifique. Cet épisode Saturn est donc riche en qualités et c'est un véritable plaisir d'y jouer.
Hélàs, le bilan n'est pas parfait puisque le jeu se retrouve parfois handicapé sur certains points face à Ultimate Battle 22. Les Meteors smashs, enchainements assassins équivalente à une furie, sont souvent moins impressionnant. Ainsi, si sur la console de Sony Gotrunk se metttait en 3ème force le temps d'asséner l'adversaire de boules de feu, ici il faudra se contenter d'un vulgaire enchaînement sans la moindre transformation. Idem pour Zarbon qui mutait le temps de son meteor smash sur Playstation. Le côté surprenant du soft en prend un coup et on ne peut s'empêcher d'être déçu. De plus, les modes de jeux sont limités puisque seul un mode où vous contrôler Mr Satan et où vous pariez puis poser des pièges pendant les combats sort du lot. Vous misez votre argent sur un combattant puis l'aider à gagner son combat en pénalisant l'adversaire. Sympa. les autres modes restent ultra classiques.
