Zephyr, une surfeuse intrépide au tempérament libre est kidnappée par un tueur en série obsédé par les requins. Séquestrée sur son bateau et confrontée à la folie de son ravisseur, elle va devoir se battre pour survivre face à tous les prédateurs…
Ouest France 5/5
Dangerous animals est le parfait divertissement d’après plage, dont on se souvient longtemps après le générique final. Le film de l’été ?
L'Humanité 4/5
Un vrai bonbon estival, trempé dans l'hémoglobine.
La Voix du Nord 4/5
Les 50 ans des Dents de la mer ne pouvaient être mieux célébrés. Même si ça n’est pas (seulement) du requin que vous devez ici avoir peur.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Hilarant et terrifiant.
Le Figaro 4/5
Le film de l’Australien Sean Byrne croise habilement film de tueur en série et de requins.
Le Parisien 4/5
Offrant un original mélange des genres, ce film de requins, en salles ce mercredi, sort du lot et distille même un message environnemental fort. Étonnant !
Libération 4/5
Dans le genre train fantôme sur rails de grand huit, le film est effectivement très bon, mille miles en avance sur les séries B high-concept qui pullulent sur les plateformes.
Cahiers du Cinéma 3/5
Filon malfamé du direct-to-video, le film de requin est-il appelé à se gentrifier ? Si c’est le cas, cela ne passera pas par Dangerous Animals de Sean Byrne. Sa sélection à la Quinzaine des cinéastes de Cannes semble moins tenir à un quelconque auteurisme elevated qu’au contraire : une manière d’assumer jusqu’au bout le programme festif du genre.
L'Ecran Fantastique 3/5
Audacieux et original.
L'Obs 3/5
Personnage intéressant que ce quadra volubile et faussement cool, précipité d’aigreur d’une génération X rarement portraiturée de la sorte, nourrissant une détestation farouche à l’égard des jeunes connectés d’aujourd’hui, martyrisés selon un rituel sadique.
Le Monde 3/5
Cette amusante mise en abyme constitue tout à la fois le prix et les limites du film de Sean Byrne. Dangerous Animals fonctionne sur la réactivation, plus humoristique que parodique, de formes désormais essorées dont il tire, comme une ultime mais inspirée tentative, la matière à un spectacle enfantin et jouissif.
Le Point 3/5
Un thriller rafraîchissant.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Avec Dangerous Animals, Sean Byrne se positionne comme l’héritier subversif de Steven Spielberg et William Friedkin. Le cinéaste australien livre un thriller d’horreur aquatique à la fois brutal, ironique et profondément sensoriel.
Mad Movies 3/5
Pourtant, si les squales sont rassasiés, nous sommes un peu restés sur notre faim. En particulier, la partition des acteurs et le dessin des personnages demeurent prisonniers des conventions.
Première 3/5
On sent constamment l’amour du genre (les passages comico-gores, entièrement dédiées au plaisir du spectateur), mais tout est savamment pensé pour élever le film au niveau supérieur. Sans doute la séance la plus cool de votre été.
Télérama 3/5
Voilà une bonne surprise qui rafraîchit le genre avec du sang bien dosé dans les embruns.
Les notes ciné où un 3 sur 5 veut dire que c’est un film sympatoche, un 12 sur 20 à l’école on était contents aussi, alors qu’un 12 sur 20 dans le monde du JV, c’est de la daube...