Réalisé par Michel Hazanavicius : OSS 117, Le Caire nid d'espions / OSS 117 : Rio ne répond plus / The Artist
Il était une fois, dans un grand bois, un pauvre bûcheron et une pauvre bûcheronne.
Le froid, la faim, la misère, et partout autour d´eux la guerre, leur rendaient la vie bien difficile.
Un jour, pauvre bûcheronne recueille un bébé. Un bébé jeté d’un des nombreux trains qui traversent sans cesse leur bois.
Protégée quoi qu’il en coûte, ce bébé, cette petite marchandise va bouleverser la vie de cette femme, de son mari , et de tous ceux qui vont croiser son destin, jusqu’à l’homme qui l’a jeté du train.
Leur histoire va révéler le pire comme le meilleur du cœur des hommes.
20 Minutes 5/5
Un conte bouleversant et intensément beau.
La Voix du Nord 5/5
En adaptant en film d’animation un conte de Jean-Claude Grumberg, Michel Hazanavicius réussit l’exploit de raconter une histoire belle, humaniste et universelle sans éluder les horreurs de la Shoah.
Le Parisien 5/5
Un chef-d’œuvre animé.
Les Echos 5/5
Par le chemin du conte, l'auteur de « The Artist » reconstitue les années 1940 et la déportation. Son premier film d'animation est aussi son plus beau film.
Ouest France 5/5
Un bijou de film d'animation.
Télérama 5/5
Adaptée du roman de Jean-Claude Grumberg, cette fable délicate est un petit bijou d’animation.
Franceinfo Culture 4/5
Un film important et beau.
L'Obs 4/5
Oui, les sans-cœur ont un cœur, la bûcheronne et le bûcheron sont des Justes et ce film intemporel, narré par la voix enveloppante d’un Jean-Louis Trintignant à l’hiver de sa vie, est bouleversant de grâce et de pudeur.
La Croix 4/5
Un film puissant.
Le Figaro 4/5
Un film grave et poétique.
Le Monde 4/5
Le cinéaste adapte avec sobriété, sensibilité et talent, le récit de Jean-Claude Grumberg sur la déportation vers les camps nazis.
Le Point 4/5
Une bouleversante ode universelle au courage et à l’humanisme, indispensable par les temps qui courent.
Marianne 4/5
Le cinéaste français inclassable adapte un récit de Jean-Claude Grumberg et s’essaie à un nouveau genre : le film d’animation. Ce conte en images évoquant la Seconde Guerre mondiale et la Shoah confirme l’audace du réalisateur.
Sud Ouest 4/5
Proche de la gravure, le dessin chemine avec intégrité entre esthétisme et réalisme. Jamais Michel Hazanavicius ne fait de l’épate avec son sujet. Pour autant, il n’escamote rien de ce qui a été vécu, et qui est effroyable.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Hazanavicius fait un pas de côté en livrant un film d’animation sur fond de Seconde Guerre mondiale. Une œuvre mémorielle élégante mais très sage.
Libération 3/5
Le film d’animation du réalisateur oscarisé, sur un bébé rescapé de la Shoah, se laisse dépasser.
Première 3/5
Hazanavicius prouve une fois encore sa capacité à ne jamais s’enfermer dans une quelconque de zone confort.
Cahiers du Cinéma 2/5
Abandonnant la suggestion, il [Michel Hazanavicius] fait alors le pari que l’animation a le pouvoir, par rapport au texte et à la prise de vues réelles, de montrer sans obscénité des corps décharnés et des visages statufiés par l’effroi.
Les Inrockuptibles 2/5
Pour ce nouveau long métrage, Michel Hazanavicius adapte le conte de Jean-Claude Grumberg. Malgré la force du sujet et la beauté du trait, il échoue pourtant à hisser son film d’animation à la hauteur de son sujet.