2123. Dans un futur où la sécheresse a ravagé la Terre, l’humanité est contrainte de sacrifier une partie de la population : toute personne de plus de 50 ans sera transformée en arbre. La société est régie par des règles impitoyables. Le jour où Stefan voit sa femme condamnée prématurément par le système, il décide de prendre les plus grands risques pour changer son destin.
L’Écran Fantastique 5/5
Un film bouleversant qui nous projette un siècle en avant dans un futur que la science-fiction a prédit maintes fois, simplement en observant le pire dont on sait l’Homme capable.
Franceinfo Culture 4/5
Tout en répondant habilement aux codes des récits post-apocalyptiques, Sky Dome 2123 déplace les attentes et pose un autre regard sur l'avenir. Et si le nouveau monde se faisait sans les hommes ?
Le Dauphiné Libéré 4/5
Sky Dome 2123 soulève des questions profondes sur la valeur de la vie humaine et les sacrifices nécessaires pour préserver la planète.
Le Figaro 4/5
Dans un monde ravagé par une crise climatique, une bouleversante histoire d’amour post-apocalyptique. Entre récit d’aventures et dystopie écologique.
Le Parisien 4/5
Une jolie petite surprise qui a fait sensation dans les festivals où elle a été présentée.
Télérama 4/5
L’échappée belle – et désespérée – qui s’ensuit offre bien des trésors. Poignante histoire d’amour, fable pessimiste sur l’incurie et l’avidité de notre espèce autant que sur ses folles illusions d’éternité, le film est aussi un extraordinaire voyage visuel dans les vestiges de nos civilisations, que Stefan et Nora traversent au cours de leur fuite.
Les fiches du Cinéma 3/5
Habillée par la rotoscopie, cette épopée intime et post-apocalyptique embrasse, non sans ambition, des thématiques environnementales et éthiques.
Les Inrockuptibles 3/5
Sky Dome 2123 pose esthétiquement la question de l’hybridité pour l’avenir.
Mad Movies 3/5
Malgré cela, quelques tableaux franchement réussis marquent durablement l'esprit.
Paris Match 3/5
Le film d’animation le plus surprenant de ce début d’année nous vient de Hongrie. Sur des thématiques proches de « Blade Runner » et de « Soleil Vert », le duo Tibor Bánóczki et Sarolta Szabó imaginent une dystopie angoissante mais finalement très réaliste.
Le Monde 2/5
L’intrigue – resserrée sur le couple (les acteurs ayant été filmés en prises réelles puis redessinés à la main) durant leur longue traversée des paysages désertiques, les ruines de villes abandonnées étant travaillées en 3D – peine à convaincre et à émouvoir.
Libération 2/5
Projet au long cours qui s’est étendu sur sept années, le film souffre – triste ironie – de trop s’en remettre à la technologie pour créer du spectaculaire quand sa 3D souffre de paraître trop souvent dépassée, évoquant plutôt le jeu vidéo fauché que le cinéma.
Première 2/5
Et jamais Sky Dome 2123 ne parviendra à se déjouer de l’influence évidente du Mamoru Oshii de Ghost in the Shell -et donc du Tarkovski de Stalker et Solaris- convoquée dès son démarrage et qui écrase tout le reste du film, gentiment planant mais pas assez fou ni fort pour s’en libérer.