Réalisé et écrit par Quentin Dupieux
(Réalité / Au Poste! / Incroyable mais vrai / Yannick)
Une journaliste française rencontre Salvador Dali à plusieurs reprises pour un projet de documentaire.
Ouest France 5/5
Un hommage très réussi à la personnalité la plus farfelue du 20ème siècle. Edouard Baer et Jonathan Cohen sont à mourir de rire.
20 Minutes 4/5
Le réalisateur rend un hommage malicieux à Savaldor Dalí dans ce film original.
Cahier du cinéma 4/5
Cette focalisation sur une entreprise de mise en image fait sens, car les films de Dupieux entretiennent une parenté plus profonde avec la figure publique de Dalí qu’avec sa peinture: rien ne brouille mieux les frontières entre le réel et l’imaginaire qu’une vie elle-même faite œuvre.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Le cinéaste fait du cinéma avec un mix de ciseaux et de fantaisie, découpant la réalité à la manière d'un collage visuel, créant un personnage puzzle constitué de pièces désordonnées. Dali était surréaliste, Dupieux lui est dadaïste.
Écran Large 4/5
En faisant de chaque plan la pièce d’un puzzle absurde, Quentin Dupieux nous donne envie de recomposer l’image finale qu’il se fait de Dali. Son film le plus ludique depuis un moment.
Franceinfo Culture 4/5
"Daaaaaali !" a toute la cohérence surréaliste d’un tel projet, avec un Quentin Dupieux au mieux de sa forme.
La Voix du Nord 4/5
Le tout rythmé par une ritournelle enivrante signée Thomas Bangalter (Daft Punk) mais surtout enrichi d’une étude sur le statut du génie, voire sur la faculté du quidam d’en être un.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Une excentricité dalinienne, à la fois référentielle et inclassable !
Le Figaro 4/5
Ce Dali dans tous ses états souffle sur la poussière des musées, invente son propre personnage, bouscule sa légende. Entre deux éclats de rire, on percevra cette chose si rare, l'amour du cinéma.
Le Monde 4/5
Daaaaaalí ! éclabousse avec joie, célèbre son icône autant qu’il la ratatine.
Le Parisien 4/5
Un film délirant, savoureux, un peu fou… comme Salvador Dali.
Les Echos 4/5
Malgré ses bégaiements, un film bref, amusant et malin.
Les Fiches du Cinéma 4/5
La nouvelle fantaisie de Dupieux, inégale par endroits, brille par son esprit buñuelien.
Les Inrockuptibles 4/5
Un esprit buñuelien plane sur cette évocation libre du fantasque maître catalan. Dalí est une figure de la commedia dell’arte, de la comédie humaine. Il n’est pas forcément un grand peintre, mais il est pour Dupieux un personnage, un inoubliable Polichinelle. Une figure du passé.
Libération 4/5
Délirant autour de la figure du peintre surréaliste, bringuebalée dans une interprétation à cinq têtes, le dernier long du cinéaste subvertit la temporalité par une esthétique du ressassement.
Marianne 4/5
Il ne faut donc pas se fier à ses airs de vieux gamin inconséquent (il fêtera ses 50 ans en avril) : Dupieux connaît ses classiques, et il revendique en outre l’influence de Luis Buñuel, un complice historique de Dalí, dans ce film malicieux.
Sud Ouest 4/5
Une évocation kaléidoscopique et géniale, pour synthétiser l’essence de Salvador Dalí.
Télérama 4/5
Quand le cinéaste de l’absurde s’en prend à l’ego démesuré de l’artiste espagnol, cela donne un film surréaliste.
L'Obs 3/5
Fourmillant de piques bien senties contre l’égocentrisme hors-sol de l’artiste et le mépris arrogant d’une pseudo-élite culturelle, l’exercice de style apparaît comme le négatif de « Yannick » : moins drôle que névrotique, hanté par le complexe de l’imposteur, plus fort sur la forme et rapporté à l’œuvre du réalisateur que sur le fond, un peu court.
La Croix 3/5
Dans des boucles temporelles et des récits gigognes, Quentin Dupieux dessine aussi en creux la peur du temps qui passe et la terreur de la mort. Comme toujours, son film suscitera des avis tranchés, le rejet ou l’adhésion de spectateurs prêts à accepter la folie d’une construction labyrinthique qui jamais ne les perd.
Le Point 3/5
On s'amuse beaucoup à ce jeu de piste orchestré avec brio par un cinéaste qui revendique la légèreté dans un monde pesant.
Première 2/5
S’opère alors une mise en abîme bricolo-rigolote autour de la représentation et des traces qu’elle laisse sur un tableau, un petit ou un grand écran, un rêve voire sur le visage des multiples acteurs qui incarnent le rôle-titre… Un peu partout donc, sauf peut-être dans l’imaginaire du spectateur.
Tant mieux si c’est bien construit et ludique parce que j’ai beau accrocher perso à l’art de Dupieux, il y a quand même beaucoup de film qui sous ses airs de j’en ai rien a foutre son surtout à mon goût assez prétentieux pour finir sur quoi que ce soit de bien constructif ou productif. Beaucoup de ses films ne mènent absolument nul part, comme une bonne idée sur un brouillon, quand c’est pas survendu (fumer fait tousser…).
Je dirais que c’est quitte ou double. Comme l’art moderne.
- Je retient surtout : Wrong
Mandibules
Le Daim
Réalité me semble cinematographiquement intéressent, mais ca s’avére surtout être du foutage de gueule.
pimoody C'est drôle je trouve que Le Daim et Mandibules sont parmis ses moins bons (avec fumer fait tousser qui est le moins bon, excepté pour un sketch (avec la broyeuse))
Réalité est un de mes favoris, avec Incroyable mais vrai, Yannick, Au poste et Rubber
Rarement déçu en tout cas par Dupieux qui sait faire des films légers et pourtant originaux.
poghpo Après c'est normal que chacun est ses préférences, surtout avec ces réalisations atypique.
Réalité est très bon dans sa forme, mais de l'aveu du réal lui-même c'est une grand fumisterie. Cela dit il m'a marqué, et je le qualifierais pas de nul.
Yannick pas encore vu et Au poste j'ai vraiment pas accrocher du tout, je piquais du nez, c'est d'ailleurs peut être le seul qui m'a fait cet effet. Il y a Steak aussi.
Pour fumer fait tousser le sketch que tu mentionne est effectivement bien, mais franchement la construction du film et l'écriture est médiocre, c'est fait au coin d'un bar, on dirait un délire entre potes.
Il y aussi incroyable mais vrai qui était un super concept puis après l'écriture sur la dernière partie c'est fait à la va vite, même le réal se permet une ellipse grossière et on plis ça vite fait, dommage.
Il tourne tellement que j'ai l'impression ça le dérange pas de bâcler ses films, comme si il faisait un travail d'art plastique avec le talent d'un potentiel génie.
J'aime bien le style d'humour "absurde" mais Quentin Dupieux je n'arrive pas à accrocher... En faite j'aime bien quand c'est bien dosé. Là il est dans l'absurdité permanente de la 1ere à la dernière minute. Du coup j'en fais une indigestion.
Pourtant il arrive toujours à avoir un casting de dingue qui donne envie, donc je tente presque à chaque fois, mais au final je suis déçu.
Je crois que le pire c'est "Réalité"... Wtf bordel...
Maintenant qu'on a compris qu'il fallait arrêter de toujours vouloir trouver une explication quand on a voir un film, j'aimerais qu'il nous montre qu'il sait faire autre chose.
Apres le dernier que j'ai vu c'est le daim, donc peut etre qu'il changé de formule depuis, mais j'ai l'impression de m'etre fait avoir à la fin de ses films donc je les regardes plus.
Je dirais que c’est quitte ou double. Comme l’art moderne.
- Je retient surtout :
Wrong
Mandibules
Le Daim
Réalité me semble cinematographiquement intéressent, mais ca s’avére surtout être du foutage de gueule.
Réalité est un de mes favoris, avec Incroyable mais vrai, Yannick, Au poste et Rubber
Rarement déçu en tout cas par Dupieux qui sait faire des films légers et pourtant originaux.
Réalité est très bon dans sa forme, mais de l'aveu du réal lui-même c'est une grand fumisterie. Cela dit il m'a marqué, et je le qualifierais pas de nul.
Yannick pas encore vu et Au poste j'ai vraiment pas accrocher du tout, je piquais du nez, c'est d'ailleurs peut être le seul qui m'a fait cet effet. Il y a Steak aussi.
Pour fumer fait tousser le sketch que tu mentionne est effectivement bien, mais franchement la construction du film et l'écriture est médiocre, c'est fait au coin d'un bar, on dirait un délire entre potes.
Il y aussi incroyable mais vrai qui était un super concept puis après l'écriture sur la dernière partie c'est fait à la va vite, même le réal se permet une ellipse grossière et on plis ça vite fait, dommage.
Il tourne tellement que j'ai l'impression ça le dérange pas de bâcler ses films, comme si il faisait un travail d'art plastique avec le talent d'un potentiel génie.
Pourtant il arrive toujours à avoir un casting de dingue qui donne envie, donc je tente presque à chaque fois, mais au final je suis déçu.
Je crois que le pire c'est "Réalité"... Wtf bordel...
Apres le dernier que j'ai vu c'est le daim, donc peut etre qu'il changé de formule depuis, mais j'ai l'impression de m'etre fait avoir à la fin de ses films donc je les regardes plus.