Bella est une jeune femme ramenée à la vie par le brillant et peu orthodoxe Dr Godwin Baxter. Sous sa protection, elle a soif d’apprendre. Avide de découvrir le monde dont elle ignore tout, elle s'enfuit avec Duncan Wedderburn, un avocat habile et débauché, et embarque pour une odyssée étourdissante à travers les continents. Imperméable aux préjugés de son époque, Bella est résolue à ne rien céder sur les principes d’égalité et de libération.
20 Minutes 5/5
La résurrection de cette héroïne originale est si jubilatoire que les votants de l’Académie vont préférer Emma Stone à Margot Robbie dans Barbie de Greta Gerwig. La performance d’Emma Stone est purement et simplement à couper le souffle.
Ecran Large 5/5
Parfois inconfortable, souvent déchirant, constamment jubilatoire, "Pauvres créatures" est une merveille de cinéma aussi précieuse que la performance hors-norme d'Emma Stone.
L'Humanité 5/5
Un ravissement de tous les instants pour les yeux.
La Voix du Nord 5/5
Yórgos Lánthimos signe un incroyable conte baroque et fantasmagorique où Emma Stone, dans le rôle d’une femme qui redécouvre son corps et le regard des hommes, livre une prestation hors norme.
Les Fiches du Cinéma 5/5
Issue d’une expérience scientifique, Bella Baxter a le cerveau d’un nourrisson dans le corps d’une jeune femme. Yorgos Lanthimos suit son apprentissage du monde, drôlatique et émouvant. Une fable virtuose, très justement lauréate du Lion d’or.
Sud Ouest 5/5
Impressionnante, Emma Stone s’empare avec maestria de ce rôle : elle interprète un être animé par le désir et dont la libération va essentiellement passer par le plaisir charnel au contact d’un avocat pas aussi malin qu’il voudrait le faire croire – étonnant Mark Ruffalo – mais pas seulement…
IGN France 4/5
Magnifique dans la forme comme dans le fond, Pauvres Créatures souffre à peine d'un manque de contrôle lié directement à son héroïne. Mais personne ne contrôle Bella.
L'Obs 4/5
Qu’importe : il y a plus d’intelligence et de folie dans cette fable baroque contre la morale et la connerie bourgeoises, lion d’or à la dernière Mostra de Venise, que dans 95 % de la production actuelle.
La Croix 4/5
L’iconoclaste Yorgos Lanthimos revisite le mythe de Frankenstein dans un conte aussi amusant qu’intelligent, à l’univers gothique et au propos féministe.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Ce voyage fantastique et fantasmatique convoque l’imaginaire à la fois complexe, étrange et extraordinaire de Yorgos Lanthimos, fait d’extravagance et de baroquisme flamboyants. Son univers créatif rehausse sa révision postmoderne du Frankenstein de Mary Shelley de visions folles, radicales et spectaculaires.
Libération 4/5
Le film de Yórgos Lánthimos, grâce aux performances brillantes de Emma Stone et Mark Ruffalo, est une prise de risque réussie.
Mad Movies 4/5
Une fable singulière et stimulante pour les sens et pour l'esprit qui s'impose comme ce qu'on a vu de plus jubilatoire ces dernières années en matière de cinéma d'auteur.
Ouest France 4/5
Emma Stone habite son personnage avec une telle force qu'elle fascine de bout en bout.
Paris Match 4/5
Visuellement stupéfiant, « Pauvres créatures » démarre en noir & blanc, bascule en couleurs quand les personnages embarquent pour un voyage au long cours et se laisse admirer à chaque plan.
Rolling Stone 4/5
Une épopée gothique et féministe servie par un scénario qui ne cesse jamais de surprendre.
Franceinfo Culture 3/5
Inventif et talentueux, Yórgos Lánthimos évoque les excès exquis et fiévreux d'un Ken Russell ("Les Diables"), en encore plus excentrique, très arty, dandy, mais un peu too much.
Le Monde 3/5
Bel alignement des planètes, donc, pour ce film assurément moins disruptif qu’il ne voudrait s’en donner l’air, ce qui reste une condition sine qua non pour rejoindre tranquillement le merveilleux pays des Oscars.
Le Parisien 3/5
Bardé de prix dans les festivals, bien placé pour les Oscars, acclamé par la critique internationale, le nouveau film de Yorgos Lanthimos, une variation sur le thème de Frankenstein, pourra cependant faire fuir nombre de spectateurs par son cynisme et certaines scènes peu ragoûtantes.
Les Echos 3/5
« Pauvres Créatures » brille par ses trouvailles et idées loufoques mais finit par s'égarer dans l'autocomplaisance.
Les Inrockuptibles 3/5
Dans une recherche désespérée du malsain, le film se donne des airs, notamment celui de grand film malade qui reste finalement plus sage qu’il ne veut bien le laisser entendre. Mais reste alors la plus grande beauté du film : voir Emma Stone prendre les rênes pour ne plus jamais s’incliner et être à la fois sauvage, bestiale et ingénue.
Première 3/5
Hilarante bien qu’un peu répétitive, cette quête d’émancipation féminine en équilibre précaire doit beaucoup à la performance hors normes et joyeusement impudique d’Emma Stone : on la savait surdouée, mais jamais on ne l’aurait crue capable d’une incarnation aussi balèze.
Cahiers du Cinéma1/5
Quand les auteurs se hissent au sommet de l’industrie pour accomplir exactement ce qu’elle attend d’eux, quels risques subsistent ? Ceux que prennent les actrices.
Le Figaro 1/5
L'esthétique douteuse du film est aggravée par l'abus que fait Lanthimos du grand-angle, ou œil de poisson, qui entraîne une distorsion de l'image. Au spectateur de faire preuve à son tour d'endurance pour aller au bout des 2 h 21 de ce film monstrueux, dans tous les sens du terme.
Marianne 1/5
Avec ses airs de faux Frankenstein, cette fiction m’as-tu-vu souhaitait ressusciter l’esprit corrosif du grand Buñuel, mais ne ressemble qu’à une (très) longue plaisanterie potache. À éviter.
Film feministe anti patriarcat, ca aurait été etonnant qu'il soit mal critiqué. Suffit de voir les journaux qui le note mal.
Personnellement apres barbie j'ai eu ma dose pour 5/6 ans niveau discours feministe.
barbie c est correct niveau discourt feministe, il ont la bonne idée de pas mettre les hommes comme les grand ennemie.
SPOILS pauvre creature
Le père de bella est toujours apprécié par ça fille.
Le seul mec qui est gentil avec bella et un homme soja j'avoue.
Et j'ai remarqué que le moment ou bella devient enfin normal c'est la fin quand elle passe du temps avec des prostitués et fais des manifs.
Perso j'ai bien aimé le jeux de emma stone surtout a la premier partie mais tres vite ce film fais mal au crane, c'est du sexe tout le temps, on attend que ça ce termine.
ippoyabuki mouais c'est un peu dommage de passer a coté d'un film vraiment interessant sous plein d'aspects sous prétexte que tu n'es pas d'accord avec une partie du message de celui ci et surtout in finé en occultant le reste
En tout cas c'était un film intelligent dans la présentatino de son propos , mise en scène , la DA, l'ambiance et la mise en scène ont une petite touche Jeunet/Caro qui déboite sa mère !
Rien que le trailer montrait un film qui semblait déchirer les standards, tellement hâte de le voir. Chaque film de ce réal est une attente surprenante. Par contre certaines critiques insistent sur le fait que le film est outrageusement féministe (pas dans le bon sens du terme)
Personnellement apres barbie j'ai eu ma dose pour 5/6 ans niveau discours feministe.
barbie c est correct niveau discourt feministe, il ont la bonne idée de pas mettre les hommes comme les grand ennemie.
SPOILS pauvre creature
Le père de bella est toujours apprécié par ça fille.
Le seul mec qui est gentil avec bella et un homme soja j'avoue.
Et j'ai remarqué que le moment ou bella devient enfin normal c'est la fin quand elle passe du temps avec des prostitués et fais des manifs.
Perso j'ai bien aimé le jeux de emma stone surtout a la premier partie mais tres vite ce film fais mal au crane, c'est du sexe tout le temps, on attend que ça ce termine.
Godzilla était top
En tout cas c'était un film intelligent dans la présentatino de son propos , mise en scène , la DA, l'ambiance et la mise en scène ont une petite touche Jeunet/Caro qui déboite sa mère !