Salut!! Aprés des mois d'arrets mon roman reprend. J'ai l'honneur de vous proposer une histoire sans faute d'orthographe!! ou peut être quelques unes qui m'ont échappées! Sinon vous allez voir comme je parle bien le français lorsque je fais parler les bourgeois.

- Dédicace à megaman dans ce chapitre vous verrez!

Avertissements:

Il s'agit d'une histoire purement fictive réservée à un public adulte si vous étes jeunes et sensibles passez votre chemin.
Je tiens à préciser que je ne cautionne pas le comportement des " héros de l'histoire".
Je vous déconseille également de prendre ces comportements comme modéle.
Cette histoire est bourrée de clichés, de violences et de scénes immorales, pour apprécier il faut donc prendre les choses au second degré.

musique d'ambiance pour lire:



CHAPITRE 8: DES BOURGOIS ET DES RICHES PUNIS DANS LE TGV


Stéphane Zagliati dit el matador, Mohamed Ben Sayad el cheikh, Cedric Olmeto le terroriste, Pablo Suarez el gitano, malik bektahboui el niño se retrouvèrent devant l'escalator qui menait au niveau des quais de la gare Saint charles de Marseille.
Chacun tenait fermement son sac de sport remplie d'armes de guerre et autres joyeusetés dignes des plus
puissants commando militaire.

Le jeune Malik Bektahboui 13 ans, avait le sourire jusqu'aux oreilles. Pour lui cette mission s'apparentait à une formidable fête.

"
- Putain les mecs ça va être la foliee je sens. Dit Malik qui ne tenait plus en place. Si bien qu'il voulait tout de suite monter prendre le train.

- Eh ouais minot. J'ai le crime dans mes mains et la soif de violence qui coule dans mes veines alors j'me languis tarpin comme toi. Répondit Stéphane notre héros.

- éh zagliati on attends qui ici?? vamos a tomar el tren. Allez j'ai envie de me casser. S'agaça Pablo.

- Frére, on attend la tepu. Répondit Cédric.

- Wesh, Pablo rappelle-toi, on a commandé une grosse salope à mon zin. Une tepu pour... Dit Stéphane en étant interrompu par Malik.

- Une pute pour niquer de long genre dans le tgv même que quand on baise on reprend des forces comme dans GTA.

- T'es fada mon pote, c'est une chienne pour les grands, on te laissera pas t'as 13 ans. Tu sais mec j'ai une morale: je m'autorise à tuer à voler et violer et nique la police pour ce qui viendra ensuite, mais jamais les keufs viendront me chercher pour une affaire trempant un mineur. Dit Cédric en présentant sa fort bien belle philosophie et morale de vie.

- Ohh putain les mecs!! Paire de nichons et cul bien bandant en vue!! S'exclama Mohamed.

En effet, Mohamed Ben sayad avait vu juste, une fille pas comme les autres avait pénétré dans le hall d'entrée. Elle était genre Playmate blonde sexuellement bien taillé. En homme galant qu'était Mohamed celui-ci alla à sa rencontre.

" - Ohh fan de chichounne t'es bien la salope dont je m'attendais à voir débarquer. Allez puta suis-moi dans les toilettes que je sois le premier à te trouer la chatte.

- Pardon monsieur? Je comprends pas là.

- Tu comprends pas quoi. Toi être pute et moi ton client alors fais ce que je te dis de faire. S'énerva Mohamed

- Laissez-moi... je vais voir la police si vous continuez. S'énerva la femme.

- Nardinamouk t'es pas une pute?? pourtant tu en as l'air bébé.

- Fiche-moi la paix salaud je vais voir la sécurité. Cria la femme en courant. "

Le reste de la bande était restée là à regarder la scène. Cédric et Malik étaient mort de rire tandisque Stéphane et Pablo ne semblèrent pas avoir apprécié la plaisanterie.

"

- C'est un zgeg ce mec c'est pas possible. Dit Pablo énérvé.

- Oh trou du cul on est beau si elle est allée prévenir la sécurité, qu'est ce qu'on a dit? pas de bordel tant qu'on a pas embarqué dans le train.

- Te casse frére. Répondit Mohamed d'un air confiant.

- Ouaf Ouaf, aboya un chien au loin. Celui-ci semblait se rapprocher, on entendait aussi des pas.

- t'entends? batard. S'enerva Stéphane.
"

La femme qu'avait abordé Mohamed s'était bien plaint à la sécurité. Un grand homme de la sécurité avait déboulé avec son pitbull dont il enleva la muselière. Le pitbull montra les crocs devant Mohamed qui sortit immédiatement un couteau de sa poche.

" - Allez approche fils de chienne. Dit Mohamed à l'intention du pitbull qui aboyait comme un fou.

- Tu ne peux rien faire c'est le pitbull le plus agressif et le plus puissant de toute la région. Allez Schwarzy neutralise-le. Dit le vigile.

- Ouaf Ouaf. "

Le chien sauta sur Mohamed mais celui-ci l'esquiva. Le pitbull fonça à nouveau sur Momo, cette fois-ci le garçon ne put esquiver et le chien l'agrippa avec ses pattes et le mis au sol. Il commença à lui mordre les
jambes, le jean de Ben Sayad fut déchiré puis du sang commença à couler.

" - Merde les mecs faut faire quelque chose. Dit Cédric.

- Na. On fait style on le connait pas. Il va tout faire niquer c'qu'on devait faire.

- Putaainnn les mecs aidez-moi. Ahh aaahh putain. Implora Mohamed en se tordant de douleur. "

Finalement Mohamed se ressaisit et donna un coup de couteau sur une patte du pitbull qui lacha sa proie en couinant. Mohamed se releva puis recula. Le pitbull était encore plus énérve il courut en direction de notre héros.

" - MOTHERR FUCKKERRRRR. Cria Mohamed en donnant le coup de grace au chien.

- Mouarf. Laissa échapper le pitbull. ( dédicace à Megaman)

- Schwarzy nooonn. Cria l'homme de la sécurité."

Le Chien gisait mort sur le sol le couteau planté au sommet du crâne. Mohamed tout fier retourna à coté de ses amis. Le vigile ne pouvant pas se battre contre 5 hommes appela des renforts. Ceux-ci ne tardèrent pas à arriver de tous les cotés, des dizaines de maitres chien avec à leur tête un grand black de plus de 2 métres.

"
- on est dans la mierda fréres. Soupira Pablo.

- Les mecs j'crois qu'on va devoir utiliser nos armes plus tôt que prévu. Annonça Stéphane. Malik met-toi en haut des escaliers, utilise ton AK-47 si ça part en couille.

- Ok. Dit Malik Bektahboui."

Malik échappa aux vigiles, se plaça en haut et chargea son arme. Les hommes de la sécurité entourèrent la bande de Zagliati. Ce qui était redouté se passa, les chiens vinrent sniffer les sacs de sport.

"
- Mouarf Mouarf.

- Y'a quoi dans ces sacs? demanda le grand black.

- Le corps de ta femme la salope. Répondit Cédric.

- Ok. Les mecs on ouvre. Fit signe le chef de la sécurité.

- Malik! vas-y!! Cria Stéphane."

Malik appuya sur la gachette de son AK-47, mais rien ne se passa.

"
- Bordel! la sécurité j'arrive pas à l'enlever. Cria Malik.

- On est mort. Se plaint Pablo. "

Nos héros assistèrent impuissant à l'ouverture des sacs de sport abritant les armes confiées par Roberto Di Orilla. Mais quelque chose d'étrange se passa, le grand black referma le sac et donna ordre à ses hommes de se replier. Il s'avança alors vers la bande Zagliati.

" - Vous étes Pablo, Mohamed, Cédric , Malik et Stéphane?

- Wesh gros. Répondit Cédric.

- Ok. Moi je suis Mouloud. Le Boss m'a parlé de vous. Il m'a confié la mission de vous accompagner à Paris.

- Putain, éh ouais c'est vrai. Heureusement que Malik n'a pas pu tirer alors.

- Mais vous les arretez pas? Demanda la femme qui s'était plaint.

- Non, c'est la famille. Répondit Mouloud.

- Et alors, ils m'ont agressés!

- Tu vois ce doigt? Tu te le mets bien en profondeur dans la chatte. Répondit Mouloud.

- Allez les mecs on se casse. Dit Pablo. "


La Bande monta sur les quais avec leur nouveau pote, Mouloud un noir haut de 2m 18 qui avait une masse musculaire de plus de 100 kilos. Il était habillé d'une grande veste grise foncée avec " sécurité" marqué au dos. Les 6 hommes marchèrent jusqu'au quai E où le tgv à destination de Paris se trouvait. Soudain une femme blonde avec une grosse poitrine aborda nos héros.

" - Bounjoule jé souis svetlana jé cherché monsieur zgliate , suaré and olmeto atta y'a aussi monsieur Ben saya. Dit-elle

- Svetlana, c'est toi la tepu? Demanda Malik.

- Jé souis oune poute et jé récherché mays cli..cli..ents voila c'est ça. Vous n'etes zgliate?

- Wesh bébé. C'est nous. Tu sais que t'es bonne. On va s'amuser dans le wagon. T'aimes la bite? Demanda Stéphane.

- ouui monsieur boucoup. j'aime les grosses zizi bine doure. Répondit la prostituée.

- Bon vous avez vos billets? Demanda Mouloud.

- Qu'est ce que billets?? On s'en bat les couilles on en a pas besoin. Fit remarquer Cédric.

- Bon les mecs venez on va squatter en première classe il doit y avoir des putains de bourges. "

La bande de zagliati monta dans le deuxiéme wagon de la 1 ére classe du tgv, puis se dirigea vers le compartiment du fond où une famille bourgeoise s'était déja installée.

" - Hum, hyppolite, voulez-vous donc gouter à cette infusion de thé que j'eu préparé pour vous? Demanda la femme de ce dernier.

- Oui, trés chére. Depuis que, de vos nobles mains ayez préparé cette mixture fort remarquable, une senteur particuliére s'est répendue dans l'ensemble de ce compartiment s'apparentant à un parallélépipède régulier. Je constate que quelques molécules de la dite mixture ont envahi ma muqueuse nasale me donnant une envie de gouter au produit de votre labeur. Répondit le mari.

- Et toi Thomas? le veux-tu? Demanda la femme.

- Oui mère. Etant Thomas Watson fils d'Hyppolite Watson lui même fils d'alphonse III, gouter de votre infusion s'apparente à une logique fort implacable, même logique qui a conduit Louis IV sur les sentiers des peupliers le 4 juillet 1282. Répondit le fils.

- Quel exemple astucieusement choisi, mon fils. Maintenant buvons et exaltons nous. "

Alors que la famille buvez le thé, la bande de Zagliati avançait toujours en direction du dernier compartiment où se trouvait les bourgeois.

"
- Alors, mon infusion plait-elle? Demanda la femme.

- Oui Gertrude, l'infusion plait. Pour tout vous dire ses senteurs me transportent sur les chemins de mon enfance, où nous allions cueillir le muguet sur le sentier de l'abbaye de Limoges. Dit le mari.

- Père, nous en parlâmes tout à l'heure mais ne serait-ce t-il pas des peupliers du genre populus de la famille des Salicacées que nous voyons sous la voûte de Saint-Charles?

- Ca m'en a tout l'air fiston. Je dirais même qu'ils appartiennent à l'ordre des Malpighiales.

- Naturellement. Dit Thomas en buvant une gorgée de thé. "


Zagliati et ses amis, étaient enfin arrivés devant le compartiment, Cédric avait mis la musique à fond sur son portable " Le soir s'approche ça s"tape des barres ça fume des sbars comme si c'était légal, les gars veulent serrer des meufs , les meufs serrer des gars " .

"
- Hé mais y'a même les gens du 77 Wati Bronx wesh ahmed quand tu veux on remet ça. Completa Malik en chantant.

- wesshh à la bien minot. Lui félicita Pablo.

- Argh nique sa mère le sac, ça fait 35 fois que je me plante dans la jambe le truc du gun qui sert à viser. Se plaint Cédric.

- Ferme ta race j'vais te le mettre dans le cul. Putain Svet jme languis de faire une branlette s'pagnol avec tes seins dpute. "

Expliqua Stéphane en poussant des cris de singes. Il fut rejoint par Malik qui criait comme un fou.
La famille bourgeoise s'était retournée et chaque membre se regardait, incrédule.

"

- J'eu entendu quelques sons m'ayant irrités la trompe d'eustache. Thomas, mes oreilles me jouent-elles des tours? N'ai point crainte de contrarier ton père. Questionna Hyppolite qui étant assis en sens inverse, n'avait pas vu l'entrée de la bande de Zagliati.

- Père, j'eu entendu les mêmes sons. J'en conclus donc le bon fonctionnement de votre appareil auditif. Etant placé de face à la cause de ces fameuses sonorités sans qu'aucun obstacle nous sépare, mes yeux ont pu capter quelques photons de celle-ci. Père tournez-vous donc j'eu peur cette fois-ci que ce soit ma vision qui me joue des tours. Répondit Thomas Watson.

- Que vois-je! S'exclama Hyppolite en se retournant. J'eu capté les mêmes photons que toi mon cher Thomas. A présent nous sommes légitimement en droit de nous poser la question suivante: quelles sont ces entités incommodantes ayant pénétrées notre compartiment?

- Wesh les mecs!! Cria Cédric à l'intention des bourgeois.

- Père. D'aprés mon analyse il s'agirait d'individu Homo Sapiens, appartenant cependant à la classe des sauvages. Cela explique l'agression de nos sens suite à l'arrivée de...

- Ta gueule, callate hijo de puta. Lui coupa Pablo qui heureusement n'avait pas entendu le mot " sauvage"

- Vé le avec sa tête de payot. Frére, il te fait pas penser à Jonathan le teston qui s'était fait tabasser au collége? Demanda Mohamed à Stéphane.

- Wesh, tarpin gros. Répondit Stéphane.

- Thomas Watson mon fils! Ces ignobles individus t'ont adressé la parole, mon fils tiens bon, bois vite du thé pour te guérir de leurs infâmes paroles!!

"

Nos héros s'installèrent tout en ignorant pour le moment les riches installés avec eux en première classe. Cédric et Mohamed se chargèrent de placer les sacs contenant les armes dans les compartiments situés en haut, tout en gardant quelques pistolets sous la main pour se parer à toute éventualité.Lorsque le train démarra nos héros poussèrent leur cris de guerre: " ON CRAINT DEGUN PRET POUR TOUT NIQUER". Nos héros s'assièrent ensuite. Comme il manquait des places Svetlana s'assit sur Stéphane ce qui ne fut pas pour le déplaire. Mouloud qui était trop grand se leva et prit la table au centre par ses deux mains.

" - Qu'est ce tu branles? Lui demanda Malik.

- Ca commençait à me casser les couilles. Répondit Mouloud qui arracha la table avec sa force et la jetta sur les bourgeois.

- Ecoutez, cela commence sérieusement à m'agacer. S'énerva Hyppolite qui avait reçut la table. Les incontinents du respect et autres troubadours de votre espéce méritent une correction. Fois d'Hyppolite je ne laisserais pas de tels comportements perdurer encore longtemps.

- Zarma tu vas fermer ta gueule sale bourge. Haussa le ton Stéphane.

- Bon , maintenant c'est sûr, c'est clair je vais devoir réprimander. Répondit Hyppolite.

- Ok. Améne ton cul fils de pute. Vas-y comment tu nous parles? Tu sais qui on est? Mais vas-y on va te montrer qui on est. Dit Stéphane d'un ton ferme.

- Hyppolite!! Veuillez vous calmer! Cria sa femme. La violence ne resout pas les problêmes. Jouons plutôt de la musique, celle ci apaise l'esprit et adoucit les moeurs.

- Vous avez raison. Veuillez excuser ma réaction. Mais ces odieux personnages ont bien failli avoir raison de mon coeur de pauvre vieil homme. Quant à la musique j'acquiesce. Jouons la 5 éme symphonie de Beethoven. Thomas sort donc ton Banjo je t'accompagnerais à la flûte. Proposa Hyppolite.

- Bien père. Je n'ai point d'objection la 5 éme symphonie étant une de mes musiques préférées c'est avec une joie certaine que je vous accompagnerais. Répondit Thomas.
"

C'est ainsi que la famille de bourgeois commença à jouer de la musique sous les regards moqueurs de notre bande favorite.
Malgré cela les deux s'efforçaient de ne pas faire attention à toutes les insultes que prolifiaent Zagliati et ses amis. Pablo décida de se lever pour aller parler aux bourgeois.

" - Tu vas lui rentrer sa flutte dans le cul? Se moqua Cédric.

- Je sens qu'on va s'amuser frére. Rigola Stéphane tout en tripotant Svetlana. "

Pablo Suarez el gitano s'approcha d'Hyppolite qui essayait tant bien que mal de l'ignorer. Ses mains étaient crispées et son souffle de plus en plus faible. Malgré la peur Hyppolite continuait de jouer. Sa femme regardait le sol tandisque Thomas jouait du banjo le regard vide: ils savaient trés bien ce qui allait se passer.

" - Tu transpires comme un porc. Remarqua Pablo. T'es tendu gros?"

Pablo lui avait adressé la parole, mais l'homme continuait de jouer de la flûte les mains tremblantes.

" - Hé oh. Dit Pablo. Hé oh je te parle."

Voyant que l'homme n'était pas décidé à arreter de jouer Pablo lui arracha la flûte des mains et la jetta au bout du compartiment.

"
- Voila. Tu joueras plus ta musique de merde. Dit Pablo.

- Eloigne toi donc de moi petit voyou et va me chercher ma flûte. Dit Hyppolite sur un ton qui mêlait peur et énervement.

- Ta flûte? Wallah tu crois que j'suis ton esclave. Vasy tu crois que je suis ton esclave. S'enerva Pablo qui saisit le bourgeois par le côl de sa veste.

- Non, non... Répondit Hyppolite la gorge nouée.

- Alors ferme ta putain de gueule. Ok?

- P...p...pardon. Répondit l'homme face aux regards impuissant de sa femme et de son fils.

- Ca va gros, je rigole! Dit Pablo en relachant Hyppolite visiblement sonné. Tu connais Mohamed?

- Qui ça? Demanda Hyppolite d'une voix hésitante.

- Mohamed. Attends je vais te le présenter. Momo viens. Appela Pablo. "

Mohamed se leva et rejoint Pablo et le bourgeois.

"
- Je te présente Mohamed. Dit pablo en rigolant.

- Ca va? Demanda Mohamed Ben sayad à Hyppolite.

- Oui et vous? Répondit Hyppotile ce qui provoqua un puissant rire moqueur de la part de Mohamed.

- T'es mon pote toi hein? S'exclama Mohamed qui tint Hyppolite par les épaules. Pas vrai mec?

- Je sais pas. Répondit Hyppolite.

- Quoi tu sais pas? on est pas tes potes? Questionna Pablo en simulant un air triste.

- Oui si vous voulez. Excusez moi de m'être emporté tout à l'heure au fait, j'ai un mauvais caractère mais je suis un bon vivant vous savez.

- Ah ok. Sourit Mohamed qui passa son doigt dans la manche du costume d'Hyppolite.

- C'est quoi ça? Demanda Pablo en montrant la montre cachée sous la manche du costume du riche.

- Ah ça c'est ma montre. C'est la montre que m'a offert mon père il y a maintenant bien trentes années. Répondit Hyppolite.

- C'est de l'or? vasy je peux voir? Demanda Mohamed.

- C'est que c'est précieux. Personne a le droit d'y toucher pas même mes enfants. "

Malik s'était quant à lui approché de Thomas.

" - J'peux voir ton Banjo? Demanda Malik.

- Non. Répondit-il.

- Comment? S'exclama Malik.

- Parceque tu vas me l'abimer. Répondit Thomas.

- Et alors? Répondit Malik en arrachant l'instrument des mains de Thomas. Tu le vois ton banjo? regarde le bien. Se moqua Malik.

Malik prit le banjo à deux mains et le cassa en deux en le cognant sur ses genoux. Thomas fondit en larmes.

" Ca va je te le rends poto." Sourit Malik qui jetta à ses pieds les restes de l'instrument. Malik retourna ensuite s'asseoir en recevant les félicitations de nos héros.

" - Vasy fais péter la montre cousin. Dit Mohamed.

- Quoi? Mais... qu'est ce que vous faites? Demanda Hyppolite.

- Vasy frére tiens le. Je lui prends sa montre et il doit avoir du fric dans sa veste." Dit Pablo Suarez.

Mohamed serra fortement Hyppolite par le cou pendant que Pablo arracha la montre et lui fit les poches. Nos héros y trouvèrent le porte feuille de l'homme qui contenait 3300 euros. Mohamed tapa dans la main de Pablo en signe de victoire.

"
- Mouloud tient je te passe le fric. On en aura besoin à Paris. Dit Pablo.

- Wesh! bien joué fréres! oh putain ça y est j'ai le barreau Svetlana on va aller dans les toilettes! Dit Stéphane Zagliati. "

Soudain, Hyppolite se releva, enleva sa veste et serra les poings. On pouvait sentir toute la haine sur son visage. Il n'était pas passablement énérvé, il avait juste envie de commettre un meurtre. S'est ainsi qu'il fonça sur Mohamed qui était retourné et lui donna un coup de poing dans le dos. Le jeune homme s'écroula au sol.

"
- Je vais vous tuer, vous écarteler, vous massacrer! Vous allez payer pour toute l'humiliation que vous avez fait subir à ma famille et à moi même! Cria Hyppolite de tous ses poumons.

- Fréres... Je sens qu'il va y avoir du sang de versé. S'exclama Cédric d'un ton sérieux.

- Vous allez me rendre mon porte monnaie et ma montre! Ou JE VOUS TUE! "

Mouloud sortit alors son pistolet et le pointa en direction d'Hyppolite.

" - Créve, fils de pute".


FIN DU CHAPITRE 8.