L’héros que l’on incarne est le croisement d’un sumo et d’un télétubbies. La preuve par l’image :
Votre mission consiste à secourir des enfants séquestrés dans des cubes par un vieillard pervers. Avec 18 gosses à sauver sur 14 plateaux, cela nous fait, rapide calcul, 18 x 14 = 252 p’tits n’enfants entre les mains dégoutantes du plus grand pedobear de l’Histoire. Et notre télétubbies des dojos ne l’arrête point. En même temps, est-ce que Tinky Winky & Laa-Laa réagiraient, eux ?
Gameplay : Il est facile de se souvenir des commandes. Tu pousses ou tu tires avec B. Tu sautes avec A. Les mécanismes tombent sous le sens. Y avait-il nécessité à pondre un tutoriel pour une échelle ou un bouton ? La gâchette L (retour en arrière style magnétophone) fut vitale dans ma progression, tant je sautais avec imprécision.
Durée de vie : Se sortir d’un niveau est un pur plaisir, si l’on peut appeler la torture un plaisir, tant pépé malin Intelligent Systems veut nous piéger. Il existe quatre types de parc différent : un pour la leçon, un défi, un décor et un Nintendo. La difficulté est graduée à l’intérieur d’un parc à thème et là, c’est le drame, une fois que j’ai passé un niveau 4 étoiles, je retombe à un niveau 2 étoiles et je m’ennuie... et je m’em£$€de.
Graphisme : L’univers me semble trop dérangé pour que je le qualifie de mignon.
Musique : J’ai discerné une musique par parc à thème, soit 4 musiques différentes, soit la même musique agaçante sur 18 niveaux d’affilée. En résumé, j’ai coupé le son.
Les +:
Intuitif.
Calibré pour des petites sessions.
La gâchette L empêche les crises de nerf.
Les -:
La musique est tellement ultra-répétitive que l'on coupe le son.
Note 8/10