"@Birmou en effet où est Sega ? Mais malheureusement, j'ai personnellement fait un certain deuil depuis la mort de la Dream :?
Toutes ces licences que vous citez d'ailleurs : TopSpin, Fight Night, je me souviens de Sega Extreme Sports aussi jouable à 2 connexion à internet :love:
j'avais beaucoup aimé aussi Table Tennis à l'époque de la 360
Vivement le retour de l'arcade (et du fun)"
"S'il s'agit d'un discours à l'attention des actionnaires, est-il possible qu'il parle de l'année fiscale (de mars à mars si je me souviens bien) ? Dans ce cas, ça ne serait pas un mensonge de la sortir en fin d'année :nerd:"
"Vraiment, au-delà de l'aspect technique (animation, crayonnage, 3D datée ...) et des raccourcis scénaristique (parfois compréhensible parfois pas du tout), l'oeuvre qui en résulte démord sur un point pour moi essentiel : la violence et la mort omniprésente qui sont totalement évincés. Alors oui, évidemment, Berserk est inadaptable en tant que tel (trop violent, trop sexuel, trop immoral) encore plus sur un format d'anime de 12 épisodes, mais mince quoi celui de 97 respecté bien plus l'essence du manga sur des points sur l'aspect poétique, théologique, humaniste, les enjeux du rêve, de l'amitié, et surtout l'amour. Où sont les ténèbres, le noir, la mort, le fatalisme ? Nul part et c'est bien dommage. Ce qu'on voit découle d'un torrent de couleur criardes dégueulasse (du rose, du vert, du bleu, du jaune c'est la fête) et des persos mal développés tout droit sortis d'un vulgaire shonen, mais encore une fois je sais bien qu'avec si peu de moyen et de temps, ils ne pouvaient pas faire de miracle. Reste des points positifs comme le simple fait de retrouver Guts à l'écran, la Dragonslayer et son bruit bien trouvé, les clins d’œil bien amenés, certains textes retranscrit mot pour mot. Malheureusement, cela ne suffit pas à compenser les lacunes. Dommage."