Voila, je suis le premier à poster quelque chose, je suis fier et honoré *se tire une balle*
Plus sérieusement je ne sais pas si vous vous rappelez d'un blog (à l'époque de Jeux-France, Haaa ce fameux JF, avec ses blogs géniaux !) qui s'appelait généralisme et nous ?...................*bide* c'est pas grave !
En fait j'y étais rédacteur et j'avais commencé une histoire qui n'a jamais continué car le blog est tombé à l'abandon.
Puis il y a eu ce groupe "Écriture" de créé, et je me suis dis que c'était le moment de reprendre l'histoire où elle s'en était arrêtée.
J'avais déjà créé et envoyer les 3 premiers passages de mon histoire, mais comme très peu de gens ont du les lire (et ils ne doivent pas s'en souvenir) je vais les rééditer un par un, chaque jour (il y a que 3 parties donc on commencera l'inédit dans 4 jours !)
J'espère que cette histoire vous plaira, elle n'a pas l'ambition d'un grand roman ou d'un futur best seller, je l'ai juste créé parce que j'en ressentais l'envie =)
Un printemps mystérieux...
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Lundi 16 Avril
C’était une chaude journée, comme on en voyait peu au début de ce mystérieux printemps.
J’étais assis devant mon écran d’ordinateur, je ne bougeais pas. Je ne savais que faire, alors je restais là, à attendre quelque chose. Qu'est-ce que j'attendais ? Je ne le savais pas. Je ne savais même pas si cette chose arriverait, mais ce dont j’étais sûr, c’est que je l’attendais.
Le soleil déposait ses doux et invisibles rayons lumineux sur le parquet du salon. De là ou j’étais assis, je sentais leur chaleur qui pénétrait dans mon corps, au plus profond de mon cœur encore glacé par l'hiver qui venait de se terminer. Cette douce chaleur apaisait mon esprit.
Je vis quelque chose passer par la fenêtre, je regardais. De cette fenêtre où l’on voyait un petit bout de mon jardin, je voyais des pétales de cerisier tomber, tel de délicats flocons de neige, sauf que ceux-ci duraient un peu plus longtemps sur l’herbe figée de cet impénétrable jardin. Devant cette beauté si simple, mais si envoûtante, mon regard se perdit au loin, je pensais…A quoi pensais-je ? Je ne le savais pas plus que vous. C’était une pensée abstraite, dénuée de sens. Du moins c’est ce que je croyais.
Je fini par revenir de cette pensée qui me transportait dans une autre réalité. Je me suis levé, j’ai jeté un dernier regard à cette nature qui m’apaisait depuis ma plus tendre enfance et sans m’en être prévenu, je suis sorti de cette maison, celle qui m’a servi de toit durant toute ces années.

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publié le 10/02/2009 à 20:07 par
tourte