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Voici quelques mois que je n'ai pas posté sur ce groupe.
J'ai donc décidé de poster un nouvel article sur les génériques des 2 films Ghost in the shell, une petite merveille du genre.
On y découvre un esthétisme cybernétique entrecoupé des mises en place typographique sui inspireront plus tard toute la scène SF dont les Wachowsky pour leur film Matrix qui marquera une génération, et son genre.
Cette inspiration jamais cachée marque l'avénement d'un film qui osa dénudé à l'écran un cyborg comme personne, entre la douceur d'une naissance, et la froideur des machines.
Ce générique laissa son empreinte chez tout les fans de SF part sa DA très réussie, mais aussi par sa musique des plus ennivrante.
Je vous laisse donc le (re)découvrir :
Par la suite, des années plus tard et après un passage à Cannes qui marque la reconnaissance de l'art de Mamoru Oshii, sort la suite : innoncence.
On y redécouvre une nouvelle fois la (re)naissance du cyborg avec le même ton que le précédent, mais à la différence que cette fois-ci, on abandonne les tonalités vertes et noires pour se frotter à un esthétisme proche de l'ocre et du noir.
L'imagerie de synthèse poussée à son paroxysme permet à son créateur de réussir à nouveau un tour de force qui éblouira les spectateurs férus de numériques.
On peut y visualiser une référence au générique de Fight Club dans ses premières images d'une synapse qui dézoome pour laisser apparaîre un cerveau qui se matérialise.
Le photoréalisme nous plonge dans un nouvel abysse d'un futur sombre, sophistiqué et où les machines sont de véritables mannequins organiques, comme développés dans la suite de cet opening.
Je vous laisse le soin de le (re)découvrir à son tour :
On y voit donc 2 classiques du genre, qui ont célébré en leurs temps une apogée de l'opening cinéma, représentés par un sous-genre encore méconnu à l'époque que l'anime venu du Japon.
Lorsque l'inspiration des studios hollywoodiens viendra piocher dans ces films, ceux-ci connaîtront la postérité quelques années plus tard.
Enfin, l'adaptation live de James Cameron, longtemps annoncée, ne verra jamais le jour pour beaucoup de raison, mais reste une occasion inespérée pour tout les fans de revoir à nouveau autant de frénésies créatives en alliant le génie de Oshii et la mise en scène de Cameron. Un jour peut-être…
Je suis assez curieux de voir Scarlett avec une perruque brune. Enfin, vu que c'est une adaptation américaine, autant qu'ils aillent à fond dans le cadre que de faire un mélange cheap Japon/USA.
Le personnage de Scarlett se nommera Margot Kusunagi.
Enfin, l'opening du premier film GITS est mémorable, tout comme sa bande-son.
Je suis assez curieux de voir Scarlett avec une perruque brune. Enfin, vu que c'est une adaptation américaine, autant qu'ils aillent à fond dans le cadre que de faire un mélange cheap Japon/USA.
Le personnage de Scarlett se nommera Margot Kusunagi.
Enfin, l'opening du premier film GITS est mémorable, tout comme sa bande-son.