Au terme d'un superbe match, où les deux équipes ont joué, le PSG s'est imposé 0-2 à St Étienne grâce à un doublé de Zlatan Ibrahimovic et un grand Kevin Trapp dans les buts...

Alors que l'on annonçait une attaque-défense, les Stéphanois ont choisi la carte de l'agressivité dans les premières minutes de la rencontre et ont bousculé les Parisiens. Le gardien du PSG Kevin Trapp s'est alors illustré avec deux parades face à un centre tir de Malcuit et un tir de Tabanou dans la foulée. Un début de match qui met rapidement en confiance les Verts présent dans les duels et ne permettant pas au PSG de mettre en place son jeu habituel. Malgré cette difficulté, Lucas aurait pu ouvrir le score dans cette première période, sur une talonnade d'Ibrahimovic, mais le tir du brésilien qui prenait le cadre est sauvé sur la ligne par Bayal Sall.





En seconde mi-temps, les efforts des Stéphanois pour rivaliser avec le PSG se sont fait ressentir et Paris parvenait ainsi à approcher facilement les cages de Stéphane Ruffier. Laurent Blanc a donc profité de ce temps fort pour relancer à la compétition Marco Verratti. Un changement qui donne un nouveau punch à Paris permettant même de débloquer la situation. Sur un ballon bien distribué par l'international italien, Lucas lance Serge Aurier sur le côté droit. Le latéral droit centre alors pour Zlatan Ibrahimovic au point de penalty qui étend son pied droit pour envoyer le ballon au fond des filets (62e, 0-1). C'est alors le 13e but inscrit par le Suédois face aux verts.

Libérés, les Parisiens développent plus facilement leur jeu et font courir les Stéphanois. Toutefois, les verts trouvent des ressources en fin de partie pour tenter d'arracher l'égalisation sur une frappe de Clément, mais Kevin Trapp est à la parade avec un bel arrêt. Quelques minutes plus tard, Zlatan IBrahimovic enfonce le clou après une action collective Di Maria-Cavani pour le break du match et la victoire (90e + 1, 0-2)

Avec un Kevin Trapp décisif qui fait clairement gagner des points à son équipe ce soir et un Zlatan Ibrahimovic réaliste, le PSG reste donc invaincu et enchaîne son 32e match cette saison sans défaite en championnat égalant le record du FC Nantes en 1995. Prochain match mercredi face à Lorient au Parc des Princes avant le déplacement tant attendu à Marseille au Vélodrome.

Le PSG affrontait ce samedi à 17h le surprenant 4e de L1, le SCO d'Angers, au Parc des Princes dans le cadre de la 22e journée de championnat...

Le solide promu démarrait le match, comme à son habitude avec un bloc bas, ce qui conduisait à une grande possession stérile des Parisiens qui peinaient à trouver la faille dans le jeu. Cela malgré une première alerte sur une frappe de Van der Wiel bien stoppée par Letellier, nouveau titulaire dans les buts angevins suite au départ cet hiver de Butelle pour le FC Bruges. Le salut est venu d'un pressing haut qui a permis aux joueurs de Laurent Blanc de se retrouver face au but en 3 passes sur une récupération de Matuidi, ce dernier trouvant un décalage pour Zlatan Ibrahimovic a l'entrée de la surface qui d'une puissante frappe déviée ouvrait le score (1-0, 33e). Sur sa lancée, le leader de L1 continue à faire tourner le ballon quand Di Maria, très actif sur son côté droit, permet d'une talonnade à Van der Wiel de se projeter dans la surface puis, avec un brin de chance, d'obtenir un contre favorable, après un ballon poussé un peu loin, et enfin de servir Lucas dans la surface qui creuse l'écart d'un puissant plat du pied (2-0, 40e). C'est sur ce score de 2 à 0 que se séparent les 2 équipes pour donner suite à une deuxième mi-temps de haute volée.



A la 54e minute, le récital débute : Motta récupère le ballon sur une tête à 35 mètres des buts. Le ballon arrive à Ibra qui effectue un une deux avec Angel Di Maria. Le géant suédois jongle avec le cuir puis transmet à l'Argentin qui d'une touche lance Matuidi dans la profondeur, ce dernier, sans contrôle et en bout de course, centre au deuxième poteau pour Van der Wiel qui conclut une action de grande classe pendant laquelle le ballon ne touche pas le sol (3-0, 54e). Les Angevins montent d'un cran et cela paie puisqu'ils reviennent au score sur un dégagement de Serge Aurier, intérimaire dans l'axe de la défense, qui retombe dans les pieds de Capel qui frappe instantanément puis trompe un Kevin Trapp qui n'avait pas grand-chose à faire jusque là (3-1, 59). Mais ce but n'arrête pas les Parisiens puisqu'à la 63e minute, Lucas lancé dans la profondeur s'arrache et trouve Di Maria en retrait qui profite d'une position avancée du gardien et aggrave le score d'une superbe reprise enroulée du gauche (4-1). Quelques minutes plus tard, l'ancien joueur du Real Madrid s'offre un doublé sur une superbe passe de Blaise Matuidi, sa troisième de la soirée, en trompant le gardien du SCO d'une magnifique balle piquée (5-1, 66e). Ce joli but, encore une fois, parachève le score lourd du match.

Les Parisiens conservent la possession jusqu'au terme du match et gèrent tranquillement par l'intermédiaire d'une circulation de balle par moment interminable. Ils encaissent les trois points au cours d'une rencontre dans laquelle ils ont retrouvé leur fluidité et leur efficacité. Un très beau match du PSG ce soir qui s'est, à coup sûr, réconcilié avec son public.

Rien n'arrête cette équipe du PSG ! Alors que le PSG ne trouvait pas la solution et qu'il a perdu deux joueurs sur blessure, les Parisiens ont été chercher leur victoire avec la rage de vaincre sur une tête de Zlatan Ibrahimovic (0-1).

Pourtant au début de la rencontre, aucun signe ne montrait que le PSG souffrirait face aux Toulousains. Dès l'entame de la rencontre, les Parisiens se créer même une grosse occasion avec Zlatan Ibrahimovic qui voit sa reprise de volée sauvée sur la ligne par Diop (10e). Mais après le premier quart d'heure de la partie, Paris perd Javier Pastore sur blessure, semble-t-il, touché à un mollet (15e). Un sacré coup dur puisque ce remplacement va perturber les hommes de Laurent Blanc avec l'entrée en jeu d'Edinson Cavani et le passage dans un nouveau système en 4-4-2. Les Parisiens perdent donc leur repère de début de match et se font surprendre par des Toulousains qui opèrent en contre. Kevin Trapp fait un premier arrêt sur la tête de Ben Yedder et voit ensuite une grosse occasion de ce même attaquant fracasser la transversale. Paris souffre en cette fin de période et Toulouse semble avoir manqué sa chance...





Au retour des vestiaires, Laurent Blanc fait le choix de repasser en 4-3-3 et remettre ainsi Edinson Cavani sur un côté. Malgré une domination dans le jeu, Paris se heurte à nouveau sur le repli défensif de Toulouse et ne parvient pas à approcher les cages du jeune Lafont. Puis nouveau coup de massue ! Marquinhos sort sur blessure également (60e). Le brésilien est touché aux adducteurs et cède sa place à Van der Wiel. Presnel Kimpembe n'étant pas sur la feuille de match oblige ainsi Serge Aurier à prendre place en défense centrale. Malgré cette poisse, Paris s'offre une grosse occasion avec Lucas qui manque le cadre (64e). Serge Aurier s'illustre ensuite dans un tacle guerrier dans la surface anéantissant une énorme occasion toulousaine. Étant peu brillant et trop brouillon dans le jeu, on pensait alors que Paris laisserait filer des points face au 20e de Ligue 1, mais finalement la solution est venue. Sur un corner de Lucas, David Luiz dévie le ballon pour Zlatan Ibrahimovic qui crucifie à bout portant le gardien de Toulouse et ouvre le score (0-1, 73e). Un coup derrière la tête pour les hommes de Dominique Arribagé qui n'ont plus les jambes pour riposter et s'inclinent donc face au mental d'acier du PSG qui sans génie est capable de gagner.

Paris remporte donc la première manche des trois confrontations face à Toulouse et devra montrer autre chose pour sortir cette équipe nourrie de regrets et qui aura à coeur de se battre mardi au Parc des Princes pour une qualification en 8e de finale de la Coupe de France.

Dans un match complètement stérile pendant une heure, le PSG a relancé la machine au Parc des Princes face à Bastia (2-0) sans forcer et sans séduire par son jeu...

Avec son équipe type, hormis Edinson Cavani pour Lucas, le PSG a mis beaucoup de temps à rentré dans sa rencontre. Une remise en marche tardive qui aurait pu toutefois coûter cher en laissant les Bastiais se créer trois énormes occasions, dont une frappe de Fofana qui passe tout près des poteaux de Kevin Trapp (17e). Secoué par son capitaine, les Parisiens sortent de leur sommeil après 29 minutes de jeu où Thiago Silva reprend de la tête un corner de Di Maria, le ballon qui transperce la défense est repris sur la ligne par Thiago Motta et envoyé au fond des filets pour l'ouverture du score (1-0, 29e). Lancé à ce moment dans son match, le PSG ne tarde pas à faire le break avec une superbe reprise de Volée de Maxwell qui crucifie Leca. Un but digne d'un certain Pauleta sur un caviar d'Angel Di Maria (2-0, 38e). Un sacré coup de massue pour les Corses juste avant la mi-temps.



Au retour des vestiaires, le PSG prive complètement le ballon aux Bastiais qui ne trouvent plus les solutions et abdiquent trop rapidement. Mais malgré cette domination, Paris n'arrive pas aggraver la marque et ne séduit pas dans le jeu. L'entrée de Javier Pastore après l'heure de jeu, après deux mois d'absences, réveille toutefois le Parc des Princes avec une ovation pour le grand retour à la compétition de l'Argentin. Au fil des minutes, la rencontre continue à baisser de rythme et les Batsiais auraient pu se relancer suite à une faute de main de Kevin Trapp, heureusement sans conséquence (67e). Incapable de bousculer ce bloc équipe, Paris aurait toutefois pu voir le score s'alourdir suite à un dégagement complètement manqué de Marange qui fracasse sa propre traversable.

Sans forcer et surtout sans séduire, le PSG a signé sa 17e victoire en Ligue 1 en 20 journées disputées en Ligue 1... et creuse l'écart à 22 points avec son poursuivant Monaco.

Victorieux sans trembler ce samedi à Caen (3-0), un match illuminé par la classe d’un Angel Di Maria auteur d’un doublé et le 15e but en championnat de Zlatan Ibrahimovic, le PSG termine la phase aller avec 51 points au compteur. Un de plus que le record de Lyon en 2006-2007.

Après un début de match équilibré, les Parisiens profitaient d'une erreur défensive des Caennais pour trouver la faille. Sur une mauvaise relance de Ben Youssef dans la surface, Di Maria n'avait plus qu'à ajuster le gardien adverse au point de penalty pour ouvrir le score (0-1, 16e). Dominateurs, les Parisiens tentaient d'enfoncer le clou mais Vercoutre, bien aidé par sa transversale, parvenait à sauver une quadruple occasion d'Ibrahimovic et Lucas ! Quelle opportunité avec notamment un ciseau acrobatique du Suédois !



Dépassés par la maîtrise des hommes de Blanc, les Caennais ne parvenaient pas à réagir et Ibrahimovic inscrivait un but fantastique avec une frappe soudaine à l'entrée de la surface qui terminait dans la lucarne (0-2, 36e). Même les supporters normands ont apprécié ce tir à 97 km/h ! Au retour des vestiaires, la physionomie de la rencontre n'évoluait pas. Sur une magnifique action parisienne, Lucas réalisait une remise de la tête pour Di Maria qui effectuait un petit lob exceptionnel pour tromper Vercoutre (0-3, 50e).

Très faciles, les Parisiens déroulaient sans forcer et s'amusaient à l'image d'une talonnade de Di Maria dans la surface pour Ibrahimovic, finalement signalé hors-jeu. Après deux occasions de Lavezzi arrêtées par Vercoutre, Caen bénéficiait d'un penalty généreux à la suite d'une faute de T. Silva sur Delort. Mais la tentative de l'attaquant du SMC, bien placée sur le côté gauche, était stoppée par Trapp ! Un cauchemar pour les Normands ! A l'inverse, les Parisiens terminaient l'année en beauté avec cette victoire convaincante.

Supérieur à son adversaire et avec un énorme Angel Di Maria, le PSG a infligé une correction à Lyon ce dimanche au Parc des Princes et continue sa course au record...

Dès l'entame du match, Paris n'a pas mis longtemps à mettre la pression sur les buts lyonnais avec une première occasion d'Edinson Cavani stoppée par Anthony Lopes (3e). Puis quelques minutes plus tard, c'est Zlatan Ibrahimovic qui profite d'une mauvaise relance de la défense des Gônes pour ouvrir le score (1-0, 10e). Prenant ainsi à la gorge les Lyonnais incapables de mettre le pied sur le ballon, Paris fait le break sur un coup franc d'Angel Di Maria coupé par Serge Aurier (2-0, 16e).





A ce moment de la partie, on pensait que le PSG déroulait sans soucis cette première mi-temps mais coup du sort, Kevin Trapp remet les Lyonnais dans le match avec une énorme faute de main sur une frappe de lointaine de Ferri (2-1, 24e). Après ce but gag, le PSG repris sa domination mais ne parvenait plus à inquiéter Anthony Lopes, donnant un espoirs aux Lyonnais d'un renversement pour la deuxième mi-temps.

Jouant beau plus haut, Lyon parvient en début de seconde partie à faire douter les Parisiens démontrés par un certain agacement et une multiplication de fautes. Mais Cavani remet le PSG sur de bons rails avec une reprise du tibia sur une offrante d'Angel Di Maria (3-1, 61e). Ibrahimovic provoque ensuite un penalty avec un geste technique qui pousse un Lyonnais à la faute et le transforme dans la foulée (4-1, 77e). Enfin Lucas conclue cette soirée en beauté sur une troisième passe décisive d'Angel Di Maria (5-1, 90e + 1).

Paris signe alors sa 15e victoire de la saison en championnat et met son dauphin Angers... à 17 points. Les Parisiens restent donc dans la course au record avec 48 points et pourraient passer la barre des 50 en cas de succès face à Caen samedi.



ps : Désolé encore pour le retard, pour le tirage de la LDC je ferai un article ce soir. Sinon je ne reçois bizarrement aucun message pour me demandé de posté l'article quand il y a une large victoire.

"Et si c'était Nice ?" titrait ce vendredi matin le quotidien L'Équipe. Une question à laquelle le PSG a répondu sur le rectangle vert avec un énorme Zlatan Ibrahimovic qui a démontré une nouvelle fois qui était le patron sur un score-fleuve (0-3)...

Pourtant l'entame de match n'a pas été facile pour le PSG puisque Nice s'est montré déchainer et s'est procuré de nombreuses occasions avec un Hatem Ben Arfa auteur d'une première frappe qui passe à côté du poteau droit de Kevin Trapp (10e). L'attaquant niçois retente ensuite sa chance de loin, après un splendide enchaînement où il efface Benjamin Stambouli et Marquinhos et déclenche une frappe du gauche qui passe très près des cages parisiennes (30e). Après cet orage, le PSG parvient à reprendre ses esprits et on assiste alors au premier coup de génie de Zlatan Ibrahimovic qui réussit un une-deux avec Blaise Matuidi pour adresser un caviar à Edinson Cavani, complètement seul, et ouvrant le score pour le PSG (35e, 0-1). L'Uruguayen vient alors de marquer son 9e but de la saison en Ligue 1. Les Niçois ont tenté ensuite de réagir sur un coup franc de Ben Arfa mais Niklas Hult plombe son équipe en fauchant Zlatan Ibrahimovic dans la surface. La sanction est sans appel, carton rouge et penalty pour le PSG. Le suédois prend alors le ballon et offre la balle de break à Paris (44e, 0-2). C'est son 86e but dans le championnat en Ligue 1 lui permettant d'effacer officiellement la légende Mustapha Dahleb et ses 85 buts marqués entre 1974 et 1984. UN coup de massue pour les niçois réduits à 10 contre 11 juste avant la mi-temps.





La seconde mi-temps a ensuite débuté avec une blessure insolite, celle de l'arbitre de la rencontre Anthony Gautier laissant sa place au centre à son 4e arbitre. Pris à la gorge de nouveau par le PSG, le gardien niçois repousse avec les poings une reprise de la tête de Zlatan Ibrahimovic parfaitement servi par Blaise Matuidi (51e). Dans la foulée, c'est une reprise d'Angel Di Maria qui échoue au ras du poteau des cages sudistes (53e). Paris pousse et Nice va finalement de nouveau craquer ! Décalé par Angel Di Maria, Ibrahimovic corse l'addition avec une frappe sans angle et à ras de terre qui ne donne aucune chance à Cardinal (61e, 0-3). C'est un doublé pour le Suédois et son 119e but sous le maillot du PSG. Il est donc déjà à dix longueurs de Pauleta, incroyable ! Incapable de relever après ce coup de grâce, Nice subit le reste du match et aurait pu concéder un quatrième but en fin de rencontre où Maxime Le Marchand dévie un centre d'Ezequiel Lavezzi qui était destiné à Edinson Cavani attendant dans le dos du niçois.

Après avoir douté durant 30 minutes, le PSG signe finalement une très belle victoire face à un adversaire que l'on annonçait capable de rivaliser et de faire tomber cette belle machine parisienne. Paris a donc envoyé un nouveau message à la Ligue 1 en démontrant qui est le patron. Après un coup d'arrêt à Angers, le PSG reprend donc sa marche en avant et met dorénavant son poursuivant Caen à 16 points avant le choc la semaine prochaine face à la bête blessée... Lyon.



ps : Bizarrement j'ai reçu aucun MP m'exigeant de faire un article sur ce match. De plus je précise que je n'ai pas vu le match donc difficile pour moi d'en parlé dans les commentaires.

Si le PSG était dominateur dans cette rencontre Angers-PSG, les Parisiens n'ont pas trouvé la faille à l'issue des 90 premières minutes et perdent deux points face à une très belle équipe.

Dès le début du match, le PSG s'est créé une grosse occasion avec une volée d'Angel Di Maria contrée par Romain Thomas. Dans la foulée, Paris obtient un corner, Edinson Cavani reprend le cuir de la tête et fracasse le poteau. C'est ensuite le gardien d'Angers Butelle qui sort le grand jeu devant une frappe de Serge Aurier. Après avoir laissé passer l'orage, les Angevins s'offrent une énorme occasion à 3 contre 1, mais heureusement pour nous celle-ci est finalement gâchée.

Réputé pour être une équipe dangereuse sur coup pied arrêté, Kevin Trapp rassure sa défense en s'imposant dans les airs. Alors qu'Angers commence à sortir la tête de l'eau, Angel Di Maria fait un festival côté gauche et déclenche une frappe qui heurte le poteau droit de Butelle. Incroyable, deux frappes, deux poteaux ! Face à cette réussite qui fuit le PSG, Angers croit alors en ses chances, pousse face à une équipe parisienne qui baisse le rythme en cette fin de mi-temps et touche la transversale de Kevin Trapp sur corner même si l'allemand était sur la trajectoire.





Au retour des vestiaires, Kevin Trapp réussit une parade splendide devant le capitaine Angevins sur corner tiré de la gauche. Dans la foulée, le PSG s'offre une énorme occasion avec Lucas qui gâche un caviar d'Adrien Rabiot. Paris prend l'ascendant dans cette rencontre et Butelle réalise une très belle claquette sur une tête de Romain Saïss tout près de marquer contre son camp. Blanc tente un coup de coaching avec l'entrée de Zlatan Ibrahimovic qui a fait le plus grand bien à son équipe.

Dans les dernières, le jeu s'active et Edinson Cavani perd son duel avec Butelle sur un service d'Angel Di Maria. C'est ensuite Adrien Rabiot qui est à la balle de la délivrance sur un coup franc du suédois repoussé, mais le portier Angevin est à la parade. Pour finir, c'est Angers qui se créer une énorme occasion avec un 5 contre 2 mais le promu gâche cette balle de match.

Score final : 0-0 ! Paris est donc tenu en échec par une belle équipe d'Angers qui ne démérite pas sa place dans sur le podium. Le PSG subit ainsi un coup d'arrêt après 9 victoires consécutives en Ligue 1.




PS : SVP pas la peine de m'envoyé des messages après chaque match nul ou défaite du PSG pour que je poste un article. Je sais qu'une contre performance du PSG permet d'en rendre heureux certains, à défaut que leurs équipe de coeur le fasse en gagnant des match. Dans tous les cas je poste toujours un article peu importe le résultat donc rassurez vous pour ceux qui attendent l'article la bave aux lèvres il y en aura toujours un.
Ce post scriptum s'adresse en faite à une seule personne. Il ce reconnaitra même si moi perso je ne le connais pas vu qu'il ne commente jamais mais est toujours présent pour m'envoyé un mp.

Au terme d'un hommage aux victimes des attentats de Paris grandiose à donner de nombreux frissons, le PSG s'est imposé 4-1 face à Troyes et se sacre Champion d'Automne.

C'était le choc des extrêmes entre le leader et le dernier du championnat. En ce sens, Laurent Blanc tente un changement de système en passant en 4-4-2 et fait tourner son équipe avec les titularisations de Layvin Kurzawa, Benjamin Stambouli et le duo Zlatan Ibrahimovic-Edinson Cavani mis en pointe. Dès les premières minutes, sur deux caviars d'Angel Di Maria, repositionné au milieu, Cavani est tout près d'ouvrir le score (4e). C'est ensuite Grégory Van der Wiel qui est déstabilisé dans la surface lors d'une course, mais l'arbitre de la rencontre ne bronche pas alors que le penalty était fragrant. Si Troyes souffrait défensivement, la lanterne rouge s'offre une occasion par Camus, mais Trapp est présent (10e). Après cette légère frayeur, Paris trouve alors l'ouverture du score grâce à Edinson Cavani (20e, 1-0). Sur un nouveau caviar d'Angel Di Maria, qui nous a encore régalé ce soir, El Matador reprend le cuir du gauche et ajuste Bernardoni. Une vraie bouffée d'oxygène pour l'Uruguayen marquant son 8e but de la saison en Ligue 1. Le déblocage fait, on pensait que Paris déroulerait sa partition offensive, mais les hommes de Laurent Blanc semblaient complètement perdus dans ce nouveau système et ne parvenait pas à donner le deuxième coup de collier. Un attentisme du PSG qui a profité à Troyes tout proche d'une balle d'égalisation par Benjamin Nivet obligeant Kevin Trapp à une parade au pied (37e).





Au retour des vestiaires, Paris retrouve donc après une discussion dans les vestiaires son système en 4-3-3 et là le match bascule complément. Les Parisiens s'installe dans le camps adverse et prennent d'assaut le but Troyens. Une pression du PSG qui pousse les hommes de Jean-Marc Furlan à l'erreur avec Cris Mavinga qui concède un penalty sur Lucas. Zlatan Ibrahimovic prend le ballon et le transforme (58e, 2-0). Le Suédois s'offre ainsi un nouveau record en égalisant la légende Dahleb et ses 85 buts en Ligue 1. Paris corse ensuite le score avec Layvin Kurzawa qui s'offre un joli but avec un contrôle poitrine et une reprise de volée qui scotche Bernardoni (67e, 3-0). Puis petit événement, c'est Jean-Kevin Augustin, fraichement entrée en jeu, qui prend sa chance des 25 mètres avec une frappe ras de fer qui se loge sous les jambes du gardien Troyens (84e, 4-0). Son premier but en Ligue 1 et avec le PSG en match officiel. Alors que Paris se dirige tout droit vers sa 9e victoire consécutive, Ayasse sauve l'honneur avec un joli but qui se glisse sous la barre de Kevin Trapp (4-1, 90e+1).

Suite à cette victoire, le PSG met son poursuivant à 16 points et ne peut plus être rejoint à quatre journées de la fin dans cette phase aller. Paris est donc officiellement sacré Champion d'Automne.



PS : Je précise qu'être champion d’automne je m'en fou royalement ce n'est pas un titre sauf dans un club , c'est juste je fait de l'être aussi tôt qui est bon.