Dimanche, le PSG a arraché le nul sur la pelouse du Stade Geoffroy-Guichard contre St Etienne après avoir été mené 2-0. Compte-rendu.


C'est dans une ambiance chaude et électrique que la rencontre débute avec une équipe de St Etienne qui presse d'entrée et empêche le PSG de développer son jeu. Hamouma glisse un premier caviar à Brandao (10e), mais le Brésilien manque le cadre. Une première alerte pour Paris, qui va ensuite encaisser un but suite à une erreur de Marquinhos. À la suite d'une mauvaise relance de ce dernier, Hamouma récupère le cuir et le glisse à Corgnet qui frappe de 15 mètres et trompe Salvatore Sirigu, sans réaction (18e 1-0). Blaise Matuidi tente de réagir, mais son ballon fuit le cadre de Ruffier. Présent dans les duels et bloquant le jeu des latéraux parisiens, St Etienne va s'offrir deux balles de break avec Brandao (28e) et Lemoine (31e) qui lobe Sirigu sur une frappe de 30 mètres qui heurte la barre transversale. Bousculé, le PSG essaie de réagir sur coups de pied arrêtés, avec un coup franc de Zlatan Ibrahimovic qui flirte avec la lucarne gauche de Ruffier (34e). Paris est passé à côté de sa première période.



Et nouvelle erreur du PSG ! Sur un ballon aérien, Sirigu manque sa sortie, mauvais dégagement de Marquinhos, le cuir est récupéré par Hamouma qui marque dans le but vide (51e, 2-0). Un coup dur pour le PSG. Blaise Matuidi va une nouvelle fois tenter de relancer son équipe, suite à une passe d'Ibrahimovic, mais son ballon ne trouve pas le cadre (52e). L'expulsion de Lemoine suite à un deuxième carton jaune (59e) est le tournant du match. Sur ce fait du match, Laurent Blanc tente un coup en faisant entrer Lucas et Ménez pour Alex et Lavezzi. Le PSG, en supériorité numérique, pousse et revient dans le match grâce à un but d'Edinson Cavani (68e, 2-1) qui trompe Ruffier au premier poteau. Lucas est ensuite tout proche d'égaliser sur une frappe lointaine stoppée par Ruffier (77e). Malgré son infériorité numérique, St Etienne est tout près de se mettre à l'abri sur un coup franc (86e) mal négocié par Salvatore Sirigu, qui vit une soirée très difficile. Mais Paris ne meurt pas facilement cette saison et réussit in extremis à sauver le point du match nul. C'est Blaise Matuidi qui sauve le PSG sur un coup franc qui effleure Edinson Cavani, mais piège Ruffier grâce à un rebond devant le but (93e, 2-2). Paris est passé très près de la rupture, mais cette équipe a du coeur cette saison et le montre une nouvelle fois.

Après la trêve internationale de deux semaines, Laurent Blanc avait choisi de faire tourner son effectif. Les internationaux qui ont fait un long voyage sont sur le banc : Cavani, Lavezzi, Maxwell. Place à la jeunesse, avec Digne, Rabiot et Ongenda. Il faut dire aussi que le coach avait des impératifs, avec les suspensions de Verratti et Motta, ainsi que Van der Wiel pas à 100%. Ce turnover n'a pas gêné le moins du monde le collectif parisien, qui a affiché toute sa sérénité.

Alors que Paris fait tourner le ballon pour déstabiliser le bloc bastiais, un éclair de génie d'Ibrahimovic (10e) fait chavirer le Parc, une aile de pigeon dont lui seul a le secret, sur un centre contré de la droite. Landreau ne pouvant que regarder le cuir filer au fond de son but. Trois minutes plus tard, le même [/g]Ibra[/g] trouve le cadre de la tête sur un coup franc de la gauche de Lucas. 2-0. La messe est déjà dite. Rabiot (15e) passe à quelques centimètres de tromper Landreau, c'est deux mètres pour Lucas (17e), une main de Palmieri sur une tête du Brésilien (20e), bref, Paris mange littéralement les Bastiais au maillot camouflage. Bruno place sa tête à la 26e, mais rien pour inquiéter Sirigu. Paris fait le jeu, mais ne force pas. Lucas se met en évidence, bref, le match parfait. Bastia tente de se révolter, mais sans danger pour le portier parisien. Mi-temps : 2-0.




À la mi-temps, Blanc fait entrer Cavani à la place d'Ibrahimovic, afin de gérer au mieux le temps de jeu et la récupération de chacun. Paris gère et le match tombe dans un faux rythme. Bastia joue avec ses moyens, mais Paris n'est jamais en danger. Et quand Cavani décide d'accélérer (63e), ça donne un but magnifique, où Cioni et Landreau sont driblés par l'attaquant qui marque dans un angle fermé. 3-0. Le Parc exulte.[g] Paris joue à sa guise, appuie sur le champignon quand il le souhaite. Une belle maitrise, tout simplement. [g]Cavani trouve le poteau à la 76e, et manque le cadre quand le ballon lui revient dans les pieds. Pas très grave. Il se rattrapera à la 88e sur un penalty transformé face à Landreau. Paris s'impose 4-0, en douceur, mais avec une telle maitrise...






Et pour votre plaisir la vidéo des deux magnifique but.

Celui d'Ibrahimovic
http://www.youtube.com/watch?v=UlTQk-9nOeA

Celui de Cavani
http://www.youtube.com/watch?v=QSE5FzRhbRI&feature=player_embedded

Toute cette semaine on nous a rabâché que l'om allait jouer avec le coeur et qu'au Paris Saint Germain il n'y avait que de l'argent et bien lors de ce classico on n'a bien vu que le coeur étais du coté de la capitale qui à réussi à ramener une victoire du vélodrome malgré un arbitre acquis à la cause des marseillais (je sais que certains ne vont pas aimé mais je le pense).

Sur cette parenthèse subjective (mais sensé je trouve) de ma part voici le résumé du match.



Après sa très belle victoire en Ligue des Champions face au Benfica Lisbonne, le PSG disputait son deuxième gros match de la semaine face à l’OM. Laurent Blanc alignait la même équipe que celle qui a battu les Portugais mercredi, dans l’espoir de prendre trois points face à des Marseillais qui leurs promettaient un match avec de l'envie et du "coeur"

Dès le début de la rencontre, les Parisiens posaient le pied sur le ballon et se montraient prudents dans la construction. Mais ils n’inquiétaient pas la défense marseillaise et les joueurs d’Elie Baup prenaient petit à petit confiance. Ce sont d’ailleurs eux qui se procuraient les deux premières occasions du match mais heureusement, Sirigu effectuait trois parades de grande classe sur deux tirs de Valbuena, dont un coup franc (12e) et une reprise de Jordan Ayew (21e). Mais le premier grand fait de jeu du match allait intervenir au bout d’une demi-heure, suite à une erreur d’appréciation de Thiago Motta. Devancé par Valbuena, l’international italien frappait maladroitement le pied du Marseillais et provoquait un penalty. Mais l’arbitre de la rencontre, Clément Turpin, jugeait le geste dangereux et expulsait scandaleusement le joueur parisien, évidemment surpris par cette décision incompréhensible Marco Verratti prenait un carton jaune pour contestation avant qu’André Ayew ne se fasse pas prier pour transformer le penalty et donner un avantage d’un but à l’OM (1-0, 34e). Mais les Franciliens ne baissaient pas les bras et obligeaient Mandanda à réaliser deux arrêts, d’abord sur une tête cadrée de Verratti puis sur une reprise du gauche d’Ibrahimovic. Des efforts qui allaient être récompensés juste avant la pause lorsque Van der Wiel servait parfaitement Maxwell dans la surface de réparation. Grâce à une bonne détente, le latéral brésilien devançait Mandanda et poussait de la tête le ballon au fond des buts marseillais (1-1, 45e)!! Une égalisation qui donnait de l’espoir aux Parisiens, en infériorité numérique mais bien décidés à créer l’exploit.



En début de seconde période, les deux équipes se neutralisaient mais l’OM prenait le dessus en s’approchant de l’heure de jeu. Fort heureusement, Sirigu s’interposait une nouvelle fois sur un tir puissant de Payet (63e) avant de réaliser quelques sorties salvatrices. Des alertes timides pour les Parisiens qui allaient encore une fois faire preuve d’une grosse force mentale en prenant l’avantage au score. Bousculé par André Ayew dans la surface, Marquinhos provoquait un penalty logiquement sifflé qu’Ibrahimovic transformait sans trembler (1-2, 66e)!! Un scénario incroyable qui ne révoltait pas les Marseillais, maladroits dans la construction et incapables d’apporter du danger devant le but de Sirigu. De son côté, Clément Turpin, l’arbitre du match, continuait son cirque en avertissant Ibrahimovic et Cavani, qui ont selon lui tenté de gagner du temps au moment d’être remplacés par Camara (76e) et Lucas (81e). En fin de match, les Phocéens se procuraient une dernière occasion par l’intermédiaire de Thauvin mais l’excellent Sirigu repoussait encore le danger.

En infériorité numérique et handicapés par un arbitrage honteux, le PSG a donc réussi l’exploit de s’imposer face à l’OM au stade Vélodrome (1-2). Les Parisiens prennent donc trois nouveaux points et rejoignent l’AS Monaco en tête du classement de la Ligue 1. Prochain rendez-vous après la trêve hivernale, face à Bastia au Parc des Princes.



PS : Ils ont oublié le carton sur les stats.
PS2 : Le turpin va falloir qu'ils arrêtent de le faire arbitré le PSG parce qu'avec lui c'est toujours le même genre de connerie. De tête il me semble que ça fait le 5ème ou le 6ème carton rouge qu'il met au PSG et les carton jaunes à Zlatan et Cavani (qui lui sert la mains avant de sortir le pire) le fun on en parle même pas.







Après la trêve internationale de deux semaines, Laurent Blanc avait choisi de faire tourner son effectif. Les internationaux qui ont fait un long voyage sont sur le banc : Cavani, Lavezzi, Maxwell. Place à la jeunesse, avec Digne, Rabiot et Ongenda. Il faut dire aussi que le coach avait des impératifs, avec les suspensions de Verratti et Motta, ainsi que Van der Wiel pas à 100%. Ce turnover n'a pas gêné le moins du monde le collectif parisien, qui a affiché toute sa sérénité.

Alors que Paris fait tourner le ballon pour déstabiliser le bloc bastiais, un éclair de génie d'Ibrahimovic (10e) fait chavirer le Parc, une aile de pigeon dont lui seul a le secret, sur un centre contré de la droite. Landreau ne pouvant que regarder le cuir filer au fond de son but. Trois minutes plus tard, le même [/g]Ibra[/g] trouve le cadre de la tête sur un coup franc de la gauche de Lucas. 2-0. La messe est déjà dite. Rabiot (15e) passe à quelques centimètres de tromper Landreau, c'est deux mètres pour Lucas (17e), une main de Palmieri sur une tête du Brésilien (20e), bref, Paris mange littéralement les Bastiais au maillot camouflage. Bruno place sa tête à la 26e, mais rien pour inquiéter Sirigu. Paris fait le jeu, mais ne force pas. Lucas se met en évidence, bref, le match parfait. Bastia tente de se révolter, mais sans danger pour le portier parisien. Mi-temps : 2-0.




À la mi-temps, Blanc fait entrer Cavani à la place d'Ibrahimovic, afin de gérer au mieux le temps de jeu et la récupération de chacun. Paris gère et le match tombe dans un faux rythme. Bastia joue avec ses moyens, mais Paris n'est jamais en danger. Et quand Cavani décide d'accélérer (63e), ça donne un but magnifique, où Cioni et Landreau sont driblés par l'attaquant qui marque dans un angle fermé. 3-0. Le Parc exulte.[g] Paris joue à sa guise, appuie sur le champignon quand il le souhaite. Une belle maitrise, tout simplement. [g]Cavani trouve le poteau à la 76e, et manque le cadre quand le ballon lui revient dans les pieds. Pas très grave. Il se rattrapera à la 88e sur un penalty transformé face à Landreau. Paris s'impose 4-0, en douceur, mais avec une telle maitrise...






Et pour votre plaisir la vidéo des deux magnifique but.

Celui d'Ibrahimovic
http://www.youtube.com/watch?v=UlTQk-9nOeA

Celui de Cavani
http://www.youtube.com/watch?v=QSE5FzRhbRI&feature=player_embedded

Samedi, le PSG s'est imposé 2-0 sur la pelouse du Parc des Princes. Compte rendu de la rencontre


Après la victoire poussive obtenue à Valenciennes mercredi, les Parisiens étaient attendus au Parc pour la réception de Toulouse. Et on n'a pas été beaucoup plus convaincants, mais l'essentiel est là avec trois points de plus au compteur. Laurant Blanc avait choisi de faire tourner pour ce match, avec les entrées de Rabiot, Lucas et Ménez, en lieu et place de Matuidi, Cavani et Lavezzi.

Le match débute sur un faux rythme, et c'est Didot qui se procure la première occasion du match à la 4e, une belle tête, détournée par Sirigu. Le 3-5-2 proposé par le TFC, avec cinq joueurs derrière en phase défensive, ne laisse aucun espace aux Parisiens, qui font tourner dans le camp toulousain, mais sans jamais être dangereux. C'est finalement Marquinhos qui délivre le PSG, sur un coup franc côté droit, après une bonne remise de Verratti, le Brésilien s'y reprend à deux fois pour tromper Ahamada (41e). Et ce but a le mérite de réveiller les Toulousains, qui ont failli égaliser par Abdennour sur corner, mais heureusement, Verratti veillait sur sa ligne (44e). Paris rentre finalement aux vestiaires sur ce score de 1-0, encore une fois, ce fut 100% efficacité.



À la reprise, la rencontre repart sur le même rythme, Paris gère, Ibrahimovic tente sa chance avant l'heure de jeu, à côté, Lucas, lui, bute sur le gardien après une bonne frappe suite à une jolie percée dans l'axe. À la 66e, Adrien Rabiot trouve même le poteau sur un corner bien tiré (66e). C'est finalement Cavani, à la 78e, qui double la mise sur penalty, une faute discutable dans la surface alors que l'attaquant avait été parfaitement lancé en profondeur par Rabiot. Paris gère ensuite sereinement sa fin de match, les Toulousains ayant abdiqué. Trois points de pris donc dans la course au titre, avec une bonne gestion de match.



Place à la Ligue des Champions maintenant.

Mercredi, le PSG s'est imposé sans briller 0-1 sur la pelouse de Valenciennes. Compte rendu de la rencontre.

Compte-rendu de la rencontre

Avec un troisième match en huit jours, Laurent Blanc a fait tourner son équipe en mettant sur le banc Thiago Motta, Maxwell et Van der Wiel. L'entraîneur du PSG a également donné une nouvelle chance à Javier Pastore.

C'est justement l'Argentin qui s'illustre avec une frappe dans les premières secondes de la partie qui fuit le cadre. Paris se montre ensuite dangereux avec une tête d'Edinson Cavani (11e) qui n'inquiète pas Penneteau. S'en suit un flottement d'une bonne demi-heure où le PSG est défaillant dans son jeu, manque d'agressivité dans les duels et surtout d'envie. Paris manque même de concéder l'ouverture du score sur une tête de Dossevi (21e) très mal marqué par Marquinhos. Et c'est Zlatan Ibrahimovic qui apporte la lumière dans les arrêts de jeu de avec une passe décisive pour Edinson Cavani, qui trompe le portier nordiste d'un tir croisé (45'+2, 0-1). Un soulagement.



En seconde période, Laurent Blanc procède à un premier changement, avec Alex qui sort, Zoumana Camara entre. Le Brésilien souffrirait d'une douleur à la cuisse droite et le staff parisien ne souhaite pas prendre de risque. Paris se fait d'entrée des frayeurs avec une occasion valenciennoise repoussée par Marco Verratti (47e) sur la ligne de but. Les Nordistes tentent de mettre la pression et se créent une grosse occasion avec Melikson (60e), mais l'attaquant manque son contrôle devant le but de Sirigu et permet à la défense parisienne de se regrouper. Côté PSG, on ne trouve pas la solution pour breaker, malgré des occasions d'Ibrahimovic (67 et 69e). Héros de la soirée, Edinson Cavani cède sa place à Thiago Motta dans les dernières minutes de la partie. Le PSG flotte dans cette dernière ligne droite et manque de peu d'être égalisé par Le Tallec (88e) qui avait un but presque tout fait.

Paris n'a pas réalisé son plus beau match, très loin de là, mais réussi l'essentiel en s'imposant sur le plus petit des scores.

Ce match entre le PSG et Monaco était tellement attendu par les suiveurs et les supporters que la tension était palpable lors de l'entrée des deux formations sur la pelouse du Parc.

Le PSG commence de la meilleurs des manières à la 4e minute grâce Zlatan Ibrahimovic, Sur une belle ouverte de Thiago Silva pour Maxwell côté gauche, le Brésilien centre pour Ibra qui reprend de la semelle, pied en avant, au premier poteau ! Quelle entame ! Malheureusement, Thiago Silva, touché derrière la cuisse, laisse sa place à Camara (15e). Depuis l'ouverture du score, c'est Monaco qui domine et l'inévitable Falcao égalise sur un centre de la gauche qu'il reprend d'une tête plongeante au premier poteau (20e). Le match s'équilibre et se joue sur un bon rythme. Ibrahimovic manque le cadre sur un coup franc parfaitement tiré par Lavezzi (37e), sa tête passe juste au-dessus du but de Subasic. Rebelote à la 43e quand son ballon piqué devant le gardien passe à côté. Bref, un bon match au Parc et un score de parité à la mi-temps (1-1).



La seconde période repart sur le même rythme, avec l'envie pour les deux équipes de jouer vers l'avant. C'est Ibrahimovic qui se procure la première occasion, sur un centre de Lavezzi côté gauche, sa reprise passe au ras du poteau (51e). Monaco répond par Carrasco qui reprend de volée au premier poteau, à côté. Le match est équilibré et aucune des deux équipes ne réussit à faire la différence. Pourtant, Paris a poussé, surtout en fin de match, où Cavani manque deux occasions dans les arrêts de jeu. Il était dit que ce choc n'aurait princier pas de vainqueur au Parc (1-1).

PS : A noté les adieux de Mamadou Sakho, l'enfant du parc à qui on souhaite de réussir à Liverpool (surtout que je suis moi même supporter de Liverpool). Merci pour tous Mamad.

Après deux semaines de trêve internationale, le PSG a retrouvé le championnat avec ce déplacement à Bordeaux, avec comme enjeu, la place de leader provisoire. Laurent Blanc a titularisé Lucas Digne et Hervin Ongenda dans un schéma en 4-3-3.

Le PSG a mis énormément de temps pour rentrer dans son match. Il a fallu attendre la 23e minute de jeu pour voir les hommes de Blanc se montrer dangereux devant les buts de Cédric Carasso, mais Ongenda manque son contrôle dans la surface. Ibrahimovic tente à son tour de se créer une occasion, mais il décroche un tir trop écrasé (24e). La lumière est venue de Blaise Matuidi, l'international français reçoit un caviar d'Ibrahimovic et glisse le ballon entre les jambes de Carasso qui freine le cuir. Matuidi suit le mouvement et marque dans le but vide (30e, 0-1). Marquant durant son temps fort, Paris mène ainsi à la marque à la mi-temps.



Le PSG se fait une frayeur dès la reprise avec une mauvaise entente entre Alex et Van der Wiel, mais heureusement, Sirigu veille au grain. Diakaté se montre ensuite dangereux, mais Alex retire de justesse le cuir dans les pieds du Bordelais. Après un léger flottement, Paris tente une première fois de breaker avec une lourde frappe d'Ibrahimovic (58e), mais le gardien bordelais est à la parade. La deuxième fois sera la bonne. Sur une ouverture de Marco Verratti, Lucas est lancé dans le dos de la défense bordelaise, il feinte Carasso et marque dans le but vide. (64e, 2-0). C'est le premier but en Ligue 1 pour le Brésilien. Le PSG est tout prêt de s'offrir le KO sur une frappe d'Ibrahimovic, puis de Lucas Digne, mais le portier bordelais sauve son équipe avec deux parades. Bordeaux souffre et Paris continue de pousser avec des occasions successives d'Ibrahimovic et de Rabiot, mais les Parisiens butent soit sur Carasso ou manquent le cadre. Évènement, Ibrahimovic est remplacé pour la première fois depuis son arrivée au PSG, par Edinson Cavani (81e). Paris termine tranquillement cette rencontre face à des Bordelais résignés.

Troisième succès consécutif pour le PSG ! Paris prend provisoirement la tête du championnat et envoie un signe fort avant la réception de Monaco la semaine prochaine. Les Parisiens peuvent maintenant préparer tranquillement leur premier match de Ligue des Champions face à l'Olympiakos mardi.

Ouf le Paris Saint Germain enchaine mais ce fut long et dur. Après avoir taper encore 2 fois sur les montant a la 2e et 35e Minutes Paris a enfin trouver la Fail a la 91 minutes avec un But de Adrien Rabiot et Grâce a un deuxième But de Zlatan Ibrahimovic a la 92e Minutes Zlatan qui ouvre son compteur But et Permet au Paris de Terminer le Match tranquillement .



A noter que Javier Pastore a encore fait un Match en demi teinte , une mauvaise performance qui lui a valut de se faire huer pendant 60 minutes par le public du Parc des Princes .

Tout n'est pas encore Parfait le Psg est poussif mais ils enchainent est c'est bien la est bien l'essentiel .

Saluons aussi Laurent Blanc qui a encore fait des choix tactiques qui on payé en remplaçant Pastore par Rabiot .

Le Paris Saint Germain prend provisoirement la 2e place .

Je vous propose la vidéo des buts ci dessous .



Et les statistiques .



A bientôt .

Bon ben c'est fait le PSG viens d'enregistrer sa première victoire dans ce championnat fasse à Nantes dans un stade de la Beaujoire que l'on est heureux de retrouvé en ligue1.



Sinon la première mit-temps est bien maitrisé par le PSG qui marque logiquement à la 24ème par El Matador sur une belle remise de Zlatan qui contrairement à ce que beaucoup craignais joue pour et avec Cavani.
Ensuite et comme à leurs habitudes les parisiens ce relâche et les hommes de Laurent Blanc se font une frayeur sur une reprise de volée de Cichero sur Sirigu (44ème) obligeant le portier à un arrêt reflex.

À la reprise, Nantes prend à la gorge les Parisiens. Et sur un coup franc, Alex trompe Sirigu (52e, 1-1) de la poitrine dans un duel aérien. Un coup dur pour le PSG qui maitrisait la rencontre jusqu'ici. Touché par ce retour au score, Paris n'arrive pas à relancer sa machine offensive et se met en danger. Bedoya (59e) est stoppé par Sirigu. Laurent Blanc procède à ses premiers changements de la partie avec l'entrée en jeu de Lucas pour Pastore et de Verratti à la place de Motta. Souffrant dans cette seconde période sur des contres nantais, le PSG réussit à reprendre l'avantage grâce à Ezequiel Lavezzi (73e, 1-2). Sur une passe d'Ibrahimovic pour Matuidi, le cuir arrive sur Lucas tout proche d'ouvrir son compteur but, mais il voit la balle repoussée par un Nantais sur la ligne. En renard des surfaces, Lavezzi reprend le ballon et l'envoi au fond des filets. Après son but, Lavezzi laisse sa place à Adrien Rabiot pour les dix dernières minutes de la partie. Une dernière ligne droite où le PSG se fera des frayeurs avec notamment une frappe de l'ancien parisien Fabrice Pancrate (86e) contrée par la défense parisienne.

bref le PSG mais ne maitrise pas assez ces match et joue par intermittence à noté aussi la bonne prestation des Nantais qui comme toutes les équipes en Ligue 1 ce donne à fond contre la capital, ce qui au moins nous donne de bon match à regardé bien que stressant pour moi lol. En tous cas je souhaite à Nantes de ce maintenir en Ligue 1 car des stades et des public qui mettent de l'ambiance comme ça il en faut plus en Ligue 1.

Résumé vidéo.