Toute cette semaine on nous a rabâché que l'om allait jouer avec le coeur et qu'au
Paris Saint Germain il n'y avait que de l'argent et bien lors de ce
classico on n'a bien vu que le coeur étais du coté de la capitale qui à réussi à ramener une victoire du vélodrome malgré un arbitre acquis à la cause des marseillais (je sais que certains ne vont pas aimé mais je le pense).
Sur cette parenthèse subjective (mais sensé je trouve) de ma part voici le résumé du match.
Après sa très belle victoire en Ligue des Champions face au
Benfica Lisbonne, le
PSG disputait son deuxième gros match de la semaine face à l’OM.
Laurent Blanc alignait la même équipe que celle qui a battu les Portugais mercredi, dans l’espoir de prendre trois points face à des Marseillais qui leurs promettaient un match avec de l'envie et du
"coeur"
Dès le début de la rencontre, les Parisiens posaient le pied sur le ballon et se montraient prudents dans la construction. Mais ils n’inquiétaient pas la défense marseillaise et les joueurs d’Elie Baup prenaient petit à petit confiance. Ce sont d’ailleurs eux qui se procuraient les deux premières occasions du match mais heureusement,
Sirigu effectuait trois parades de grande classe sur deux tirs de Valbuena, dont un coup franc (12e) et une reprise de Jordan Ayew (21e). Mais le premier grand fait de jeu du match allait intervenir au bout d’une demi-heure, suite à une erreur d’appréciation de
Thiago Motta. Devancé par Valbuena, l’international italien frappait maladroitement le pied du Marseillais et provoquait
un penalty. Mais l’arbitre de la rencontre, Clément Turpin, jugeait le geste dangereux et expulsait scandaleusement le joueur parisien, évidemment surpris par cette décision incompréhensible
Marco Verratti prenait un
carton jaune pour contestation avant qu’André Ayew ne se fasse pas prier pour transformer le penalty et donner un avantage d’un but à l’OM
(1-0, 34e). Mais les Franciliens ne baissaient pas les bras et obligeaient
Mandanda à réaliser deux arrêts, d’abord sur une tête cadrée de
Verratti puis sur une reprise du gauche
d’Ibrahimovic. Des efforts qui allaient être récompensés juste avant la pause lorsque
Van der Wiel servait parfaitement
Maxwell dans la surface de réparation. Grâce à une bonne détente, le latéral brésilien devançait Mandanda et poussait de la tête le ballon au fond des buts marseillais
(1-1, 45e)!! Une égalisation qui donnait de l’espoir aux
Parisiens, en infériorité numérique mais bien décidés à créer l’exploit.
En début de seconde période, les deux équipes se neutralisaient mais l’OM prenait le dessus en s’approchant de l’heure de jeu. Fort heureusement,
Sirigu s’interposait une nouvelle fois sur un tir puissant de
Payet (63e) avant de réaliser quelques sorties salvatrices. Des alertes timides pour les Parisiens qui allaient encore une fois faire preuve d’une grosse force mentale en prenant l’avantage au score. Bousculé par André Ayew dans la surface,
Marquinhos provoquait un
penalty logiquement sifflé qu’
Ibrahimovic transformait sans trembler
(1-2, 66e)!! Un scénario incroyable qui ne révoltait pas les Marseillais, maladroits dans la construction et incapables d’apporter du danger devant le but de
Sirigu. De son côté, Clément Turpin, l’arbitre du match, continuait son cirque en avertissant
Ibrahimovic et
Cavani, qui ont selon lui tenté de gagner du temps au moment d’être remplacés par
Camara (76e) et
Lucas (81e). En fin de match, les Phocéens se procuraient une dernière occasion par l’intermédiaire de Thauvin mais l’excellent
Sirigu repoussait encore le danger.
En infériorité numérique et handicapés par un arbitrage honteux, le
PSG a donc réussi l’exploit de s’imposer face à l’OM au stade
Vélodrome (1-2). Les Parisiens prennent donc trois nouveaux points et rejoignent l’AS Monaco en tête du classement de la Ligue 1. Prochain rendez-vous après la trêve hivernale, face à Bastia au Parc des Princes.
PS : Ils ont oublié le carton sur les stats.
PS2 : Le turpin va falloir qu'ils arrêtent de le faire arbitré le PSG parce qu'avec lui c'est toujours le même genre de connerie. De tête il me semble que ça fait le 5ème ou le 6ème carton rouge qu'il met au PSG et les carton jaunes à Zlatan et Cavani (qui lui sert la mains avant de sortir le pire) le fun on en parle même pas.
Après la trêve internationale de deux semaines,
Laurent Blanc avait choisi de faire tourner son effectif. Les internationaux qui ont fait un long voyage sont sur le banc :
Cavani, Lavezzi, Maxwell. Place à la jeunesse, avec
Digne, Rabiot et Ongenda. Il faut dire aussi que le coach avait des impératifs, avec les suspensions de
Verratti et Motta, ainsi que
Van der Wiel pas à 100%. Ce turnover n'a pas gêné le moins du monde le collectif parisien, qui a affiché toute sa sérénité.
Alors que
Paris fait tourner le ballon pour déstabiliser le bloc bastiais,
un éclair de génie d'Ibrahimovic (10e) fait chavirer le Parc, une aile de pigeon dont lui seul a le secret, sur un centre contré de la droite. Landreau ne pouvant que regarder le cuir filer au fond de son but. Trois minutes plus tard, le même [/g]Ibra[/g] trouve le cadre de la tête sur un coup franc de la gauche de
Lucas. 2-0. La messe est déjà dite.
Rabiot (15e) passe à quelques centimètres de tromper Landreau, c'est deux mètres pour
Lucas (17e), une main de Palmieri sur une tête du Brésilien (20e), bref, Paris mange littéralement les Bastiais au maillot camouflage. Bruno place sa tête à la 26e, mais rien pour inquiéter Sirigu. Paris fait le jeu, mais ne force pas. Lucas se met en évidence, bref, le match parfait. Bastia tente de se révolter, mais sans danger pour le portier parisien.
Mi-temps : 2-0.
À la mi-temps,
Blanc fait entrer
Cavani à la place d'Ibrahimovic, afin de gérer au mieux le temps de jeu et la récupération de chacun. Paris gère et le match tombe dans un faux rythme. Bastia joue avec ses moyens, mais Paris n'est jamais en danger. Et quand
Cavani décide d'accélérer (63e), ça donne un but magnifique, où Cioni et Landreau sont driblés par l'attaquant qui marque dans un angle fermé. 3-0. Le Parc exulte.[g] Paris joue à sa guise, appuie sur le champignon quand il le souhaite. Une belle maitrise, tout simplement. [g]Cavani trouve le poteau à la 76e, et manque le cadre quand le ballon lui revient dans les pieds. Pas très grave. Il se rattrapera à la 88e sur un
penalty transformé face à Landreau. Paris s'impose 4-0, en douceur, mais avec une telle maitrise...
Et pour votre plaisir la vidéo des deux magnifique but.
Celui d'Ibrahimovic
http://www.youtube.com/watch?v=UlTQk-9nOeA
Celui de Cavani
http://www.youtube.com/watch?v=QSE5FzRhbRI&feature=player_embedded
sankadabo Voilà typiquement le genre de discours démago que je déteste. Au final à la fin du match le coeur c'est le PSG qui l'avait.
Sérieux à croire qu'elle est smicar la grosse marta, ils oublie vite qu'a une époque c'étais colony capital qui ne sortais pas un rond pour le PSG et de la coté tu avais drefus qui sortais les billets. A ce moment on l'entendais pas le discours démago de votre coté?????????
En tous cas cette victoire avec ce scénario fait un bien fou. Même en ayant tous fait pour nous faire tombé ils n'y sont pas arrivés.
Comment ça fait plaisir à 10 contre 12 on est quand même meilleur mdr !!!
Mais la verite est bien la: tout est une question de pognon...et ce n'est pas un mal pour le psg.
Pas la peine de me sauter a la gorge pour si peux
Zlatan c'est juste un mercenaire trop vieux, Thiago Silva pour 45 millions qu'elle arnaque de mettre autant sur un défenseur, Maxwell il est trop vieux et chauffe au barca inutile, Verrati c'est qui ce rital inconnu, Cavani pour 64 tu avais mieux etc....
Par contre Imbula c'est un crack, Thauvin un futur grand, le petit Mendy sur son coté c'est juste le prochain Daniel Alves etc....
sankadabo justement hier ça devais pas être une question de pognon mais de coeur, de fierté etc...
Le type a quand meme des couilles a 60 millions de pesos bordel.