Une victoire 3-1 à l'aller, 78% de chances de se qualifier au vu des résultats antérieurs en Ligue des Champions, et pourtant… Le PSG n'a pas réussi à développer son jeu, n'a pas été assez saignant offensivement, face à Chelsea qui a progressivement mis son emprise sur le match et marqué un but par mi-temps pour se qualifier (2-0).
Chelsea monte en puissance au fil des minutes
Chelsea n'avait pas choisi de démarrer pied au plancher, préférant rester bien en place défensivement. Avec un pressing haut, les Parisiens ont réussi à gêner la progression adverse et à mettre leur empreinte sur la rencontre. Après un premier quart d'heure rassurant pour le PSG, joué sur un rythme moyen et sans grande occasion, les Blues subissaient un coup dur avec la sortie sur blessure d'Hazard, remplacé par Schürrle.
Malgré cela, les Londoniens ont alors augmenté leur emprise petit à petit et Lampard sur coup franc obligeait Sirigu à une belle parade (28e). Schürrle ne laissait pas passer sa chance sur une longue touche d'Ivanovic (32e, 1-0) ! Le public s'enflammait, le math changeait alors de dimension et Cahill manquait le cadre de près (36e). Puis Eto'o mettait une bonne semelle à Silva non détectée par l'arbitre (38e)… Une possession quasi égale, mais trois occasions à zéro et plus qu'un but à remonter pour Chelsea, la seconde période s'annonçait explosive !
Deux barres et un but qualificatif pour Chelsea, Cavani vendange…
A raison… Schürrle fracassait la barre d'un tir puissant (51e) ! Une barre qu'Oscar secouait à son tour sur coup franc (54e) ! Ca chauffait sec sur le but de Sirigu. Sous l'impulsion d'un Matuidi offensif, le PSG repartait de l'avant et se donnait un peu d'air. Mais le danger revenait encore, par Schürrle décidément très en vue (68e). Réponse de Cavani, qui manquait deux grosses oportunités de tuer tout suspense en tirant au dessus (72e, 77e) !
Obligés de se découvrir durant les vingt dernières minutes pour remonter leur but de retard, les Blues concédaient une nouvelle occasion à Lucas (80e). A force de vendanger… La rumeur descendait des tribunes à chaque remontée de balle des hommes de Mourinho… Et Ba crucifiait les Parisiens à bout portant (87e, 2-0) ! Dur, très dur pour le PSG, alors que de son côté, Mourinho piquait un sprint pour prendre part à la montagne de joueurs entassés sur Ba…
ps : allez les rageux vous pouvez enfin exprimé toutes la frustrations que vous avez accumulés cette année
Mercredi, le PSG s'est imposé 3-1 contre Chelsea au Parc des Princes. Compte rendu de la rencontre.
Compte-rendu de la rencontre
C'était le match le plus attendu de l'année au Parc des Princes, et on n'a pas été déçu... Paris s'impose logiquement contre Chelsea, 3-1.
Dès les premières minutes, le ton est donné, Paris attaque et marque. Ezequiel Lavezzi trouve la lucarne de Cech sur un enchainement contrôle de la poitrine et frappe en demi-volée. Le Parc bondit sur ce magnifique but (1-0, 4e). Le PSG maitrise, et Lavezzi se procure une nouvelle occasion à la 25e, lancé côté gauche, l'Argentin frappe dans le petit filet extérieur. Dans la foulée, Silva tacle Oscar dans la surface, et l'arbitre siffle un penalty logique. Hazard trompe Sirigu, contre-pied parfait, et Chelsea égalise (1-1, 27e). Les Parisiens sont piqués, réagissent et se mettent enfin à rejouer, mais cela reste stérile. Heureusement, Hazard ne trouve que le poteau de Sirigu à la 40e, une volée du gauche sur un centre de la droite. L'arbitre aurait pu ensuite siffler penalty sur Cavani, tout comme le coup de coude d'Ibra sur Terry sur sa remise de la tête juste avant. Rien. Mi-temps : 0-0.
À la reprise, Paris revient parfaitement dans la partie, avec une tête de Lavezzi juste au dessus sur un service parfait de Matuidi (52e). Et c'est encore l'Argentin, sur un coup franc parfaitement tiré, et dévié par Luiz dans son propre but, qui remet Paris sur les bons rails (2-1, 62e). Mais, ce match n'est pas comme les autres, et Ibrahimovic, touche à la cuisse, doit laisser sa place à Lucas (68e). Ce dernier fait lever le Parc à la 74e, mais c'est stérile. Verratti, au bord des crampes, doit laisser sa place à un quart d'heure du terme. Cabaye entre. Paris gère son avance, presque tranquillement, Chelsea ne réplique pas. C'est même Cavani qui décoche une frappe du droit qui passe tout près du poteau du portier londonien (84e). Mais dans cette soirée qui devient magique, Pastore offre un troisième but déterminant au PSG sur une chevauchée sublime côté droit (3-1, 93e). Paris gagne cette première manche, 3-1, et se donne toutes les armes pour le match retour, mardi, sur la pelouse des Blues.
ps : très bon match de Jallet à qui beaucoup prédisais une soirée cauchemardesque.
Ce vendredi midi à eu lieu le tirage au sort des quarts de finale de la Ligue des Champions. Le Paris Saint-Germain, qualifié après avoir éliminé le Bayer Leverkusen au tour précédent, affrontera Chelsea !
Le match aller se déroulera le 2 avril prochain au Parc des Princes et le match retour le 8 avril à Stamford Bridge.
Perso je ne suis pas très content de ce tirage car bien que l'équipe (les joueurs) de Chelsea ne me fait pas peur, en ce qui concerne l'entraineur c'est autre chose. Ce Mourinho va bien nous faire chier car emmerder les équipes qui ont la possession il sait le faire et très bien même. Mais bon ça reste du du 50/50 pour moi.
Après sa victoire 0-4 à la BayArena de Leverkusen, le PSG avait un boulevard devant lui pour valider son ticket pour les quarts de finale de la Ligue des Champions. Et c'est chose faite, tranquillement.
Et c'est pourtant Leverkusen qui ouvre la marque, dès la 6e, une tête à bout portant de Sam (0-1, 6e), alors que Marquinhos a lâché le marquage. C'est cependant ce dernier qui égalise de la tête, quelques minutes plus tard, sur un caviar de Cabaye (1-1, 13e). Ibrahimovic trouve ensuite la barre sur un ballon piqué (18e). Jallet provoque un penalty pour un tirage du maillot sur Derdiyok, mais Sirigu détourne avec brio (28e). C'est ensuite Cavani (38e) qui manque son face à face avec le gardien... Bref, une mi-temps avec beaucoup d'occasions manquées, et un match nul, 1-1, à la pause.
À la reprise, Digne, en forme ce soir, est récompensé, par une passe décisive pour Lavezzi, qui crucifie Leno d'un plat du pied droit au premier poteau, imparable (2-1, 53e). Mais Leverkusen ne lâche rien, et à la minute suivante, Castro pousse Sirigu à la parade, tout comme à la 65e devant Derdiyok. Leverkusen perd Can à la 68e, pour un deuxième carton jaune, pour une simulation grotesque au milieu de terrain. La fin de match se joue sur un faux rythme. Pastore se permet de manquer son face à face avec Leno pour ponctuer une soirée bien difficile pour l'Argentin (84e). Le PSG s'impose facilement 2-1, sans forcer son talent et en jouant à son rythme. Place maintenant aux quarts de finale, et cela s'annonce bien plus difficile.
Un victoire contre Saint Etienne plus l'achat à prix d'or de ma Xbox One et la semaine sera parfaite.
Entré de la plus belle des manières dans cette rencontre de prestige, le PSG a brillé dès les premières minutes avec un but de Blaise Matuidi (3e, 0-1). Récupérant un ballon et s'aidant d'un relais avec Marco Verratti, il se glisse entre deux défenseurs allemands et trompe Leno d'une frappe du gauche. Touché par cette ouverture du score, le Bayer répond avec une frappe de Sam (8e), mais elle n'est pas cadrée. Paris va ensuite se créer une balle de break avec un ballon qui arrive sur Zlatan Ibrahimovic (11e), mais le Suédois va voir sa frappe stoppée sur la ligne par Toprak. Spahic va offrir la balle de break au PSG en concédant un penalty suite à une faute sur Ezequiel Lavezzi dans la surface, transformé par Zlatan Ibrahimovic (39e, 0-2). Ibra va ensuite briller avec une frappe du gauche dont il a le secret, suite à un décalage de Blaise Matuidi, la balle va se loger dans la lucarne opposée de Leno (42e, 0-3). Réalisant une première mi-temps parfaite, le PSG rentre aux vestiaires avec cet avantage très favorable.
À l'entame de la deuxième période, le Bayer Leverkusen tente de montrer plus d'agressivité, mais n'inquiète pas la défense parisienne. La formation allemande connait ensuite un gros coup dur avec l'expulsion d'Émir Spahic (59e), suite à deux cartons jaunes. En supériorité numérique, le PSG se créer une occasion avec Zatan Ibrahimovic qui profite d'une hésitation côté gauche de la défense allemande, mais il voit le cuir repris et protégé par Wollscheid (63e). Paris marque ensuite un quatrième but par Blaise Matuidi d'une frappe du gauche (65e), mais il est refusé pour un hors-jeu de Lavezzi. Le PSG fait tourner le ballon et gère la fin de match. Les supporters du PSG se font entendre dans la BayArena. Lavezzi laisse sa place à Pastore pour les quinze dernières minutes de la partie. Paris confisque le ballon et gère tranquillement sa fin de partie. Sur un centre d'Ibrahimovic, Javier Pastore peut corser l'addition, mais l'Argentin voit sa frappe stoppée par Leno (86e). Alors que l'on pensait que le match se terminerait là, Yohan Cabaye s'offre son premier but sous les couleurs du PSG au terme d'une superbe action collective (88e). Ibrahimovic lance Maxwell qui trouve Lucas, le Brésilien sert en retrait Cabaye qui trouve la lucarne d'un joli tir du droit.
On attendait le PSG et il a répondu présent. La qualification pour les quarts de finale est presque acquise. Match retour au Parc des Princes le 12 mars.
Qualifié et premier de son groupe, le PSG jouait un match sans enjeux face à cette équipe de Benfica, dans l'obligation de s'imposer pour croire à ses chances de qualification. Pour cette rencontre, Laurent Blanc s'est privé de Zlatan Ibrahimivoc, Thiago Silva et Alex, en plus des suspensions de Marco Verratti et Grégory Van der Wiel. C'est donc une équipe bis qui était alignée avec notamment la grande première de Kalifa Traoré au poste de latéral droit.
Dès la 4e minute de jeu, la formation portugaise s'est montrée dangereuse avec une frappe de Pérez, obligeant Sirigu à la parade. C'est ensuite Silvio (6e) qui met en danger le portier parisien. La première occasion du PSG vient à la 7e minute avec une combinaison Lucas-Cavani-Ménez, mais ce dernier voit sa frappe stoppée par Arthur. Lucas Digne se créé ensuite une occasion (16e), mais sa frappe fuit le cadre. Avec une équipe remaniée, le PSG peine au milieu de terrain et trouve malgré tout l'ouverture à la 37e minute de jeu. Javier Pastore, dans la surface, tente de trouver Kalifa Traoré aux six mètres, mais le ballon arrive dans les pieds de Jérémy Ménez au second poteau, qui remet à Cavani. L'Uruguayen n'a plus qu'à pousser le ballon au fond des filets (0-1). Un avantage de courte durée pour le PSG, puisque Benfica obtient un penalty suite à un contact musclé de Kalifa sur Gaitan (45e) dans la surface. Lima transforme et permet à Benfica de rester dans la partie (1-1).
Dès la reprise, la formation portugaise élève son niveau de jeu et met en difficulté la défense parisienne avec Lima (52e), qui oblige Sirigu à la parade. Une tête de Luisao (55e) fuit le cadre. Le danger est présent et se concrétise sur une erreur défensive. Perez côté droit s'enfonce dans la surface parisienne et centre fort devant le but. Le cuir est stoppé par Zoumana Camara, mais Gaitan, présent dans la surface, reprend le ballon et l'envoi au fond des filets d'un petit piqué (59e, 2-1). Après ce but, Laurent Blanc fait deux changements avec les entrées en jeu de Matuidi et Lavezzi. El Pocho est tout près d'offrir la balle d'égalisation, mais son ballon frôle le poteau opposé (69e). Javier Pastore a également une balle de but, mais l'Argentin n'appuie pas assez sa tête, comme face à Evian (88e). Paris est passé à côté de sa deuxième période et met fin à une série de 13 matchs sans défaite en Ligue des Champions.
Le Paris Saint-Germain a officiellement validé son billet pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions en s’imposant au Parc des Princes face à l’Olympiakos (2-1), malgré l’expulsion de Verratti. Grâce à des buts d’Ibrahimovic et Cavani, les Parisiens sont également certains de terminer en tête de leur poule.
Après avoir concédé le match nul face à Anderlecht avant la trêve internationale, le PSG se devait de battre l’Olympiakos à domicile pour valider définitivement son billet pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Laurent Blanc décidait alors d’aligner une équipe classique et préférait titulariser Lavezzi plutôt que Lucas, pourtant très bon samedi face à Reims.
Et comme depuis le début de la saison, les Parisiens posaient d’entrée le pied sur le ballon. Même si la première tentative non cadrée était signée Mitroglou, ce sont les hommes de Laurent Blanc qui se montraient les plus incisifs. Et cette bonne entame de match allait être rapidement concrétisée. Sur un centre de Van der Wiel légèrement dévié par Bong, Ibrahimovic s’imposait dans la surface et ouvrait le score d’un plat du pied sous la barre de Roberto (1-0, 7e) ! Un nouveau but pour le géant suédois, qui profitait d’une grosse domination parisienne, notamment dans la possession du ballon (74% à la demi-heure de jeu !). Mitroglou, le meilleur joueur de la formation grecque, parvenait toutefois à inquiéter Sirigu à deux reprises (24e et 34e) mais le portier italien s’interposait parfaitement. Avant la pause, Cavani prenait à son tour sa chance mais son tir puissant croisé était repoussé par Roberto (40e).
En début de seconde période, les choses se compliquaient pour les Parisiens. Averti pour la deuxième fois d’un carton jaune, Verratti était expulsé et laissait donc ses coéquipiers à dix contre onze (46e). Laurent Blanc décidait alors de remplacer Lavezzi par Rabiot (50e) pour renforcer son milieu de terrain mais cela ne suffisait pas pour empêcher les Grecs de prendre le dessus. Désireux d’égaliser rapidement, l’Olympiakos pressait et se rapprochait de plus en plus des buts de Sirigu. Cavani et Ibrahimovic prenaient toutefois leur chance de loin mais ne parvenaient pas à cadrer. Après une petite échauffourée provoquée par un tacle dangereux de Van der Wiel, averti d’un carton jaune, les Grecs poussaient encore et allaient être récompensés de leurs efforts. Sur un corner, Sirigu dégageait mal le ballon et Manolas, pourtant en position de hors-jeu, égalisait pour l’Olympiakos (1-1, 80e). Mais encore une fois, les joueurs franciliens faisaient preuve d’une grosse capacité de réaction. Lancé dans la profondeur par Rabiot, Cavani offrait la victoire à son équipe en ajustant Roberto d’un tir puissant (2-1, 90e) !
Grâce à ce nouveau succès, le PSG est officiellement qualifié pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Les Parisiens possèdent six points d’avance sur l’Olympiakos et le Benfica Lisbonne et sont donc certains de terminer en tête de leur groupe. Une bonne nouvelle à quatre jours du choc de la 15ème journée de Ligue 1 face à l’Olympique Lyonnais.
Mardi, le PSG a fait match nul contre Anderlecht sur la pelouse du Parc des Princes en Ligue des Champions. Compte rendu de la rencontre.
Compte-rendu de la rencontre
Après le cinglant 5-0 du match aller en Belgique, le PSG et Anderlecht se retrouvait se mardi au Parc des Princes. Et au final, le match a été bien plus équilibré qu'il y a deux semaines.
À la 5e, Motta dépose un caviar en profondeur sur la tête de Lavezzi, qui voit le ballon passer juste au-dessus de la barre. L'Argentin tarde ensuite à frapper dans la surface à la 10e sur un ballon contré, Ibrahimovic manque ensuite le cadre à la 16e, bref, le PSG tâtonne en cette première période. Anderlecht en profite, timidement, pour s'illustrer, avec des frappes de loin. Mais à faire de jouer avec le frein à main, quelques frissons parcourent le Parc des Princes jusqu'à la mi-temps, même si Sirigu n'a pas eu à s'employer outre mesure.
Paris débute la deuxième période avec des intentions un peu plus marquées, mais sans toutefois mettre en danger la défense belge, bien en place. C'est au contraire Anderlecht qui va trouver l'ouverture, par l'intermédiaire de De Zeeuw, étrangement seul dans la surface parisienne à la réception d'un centre à ras de terre côté gauche (0-1, 68e). Paris piqué au vif, accélère enfin, et Ibrahimovic égalise en s'y reprenant à deux fois sur un jeu à trois avec Lavezzi et Matuidi (1-1, 69e). Il était temps. Paris tentera d'arracher la victoire en fin de match, mais sans grande conviction. Ce PSG là n'a pas tout mis sur la pelouse du Parc pour arracher la victoire. Dommage
Le PSG s'est imposé 0-5 sur la pelouse du Stade Constant Vanden Stock contre Anderlecht.
Avec deux victoires en deux matchs en Ligue des Champions, le PSG avait pour ambition de s'imposer pour avoir un pied en huitième de finale. Laurent Blanc a aligné son équipe type avec Grégroy Van der Wiel, incertain. Marco Verratti et Thiago Motta retrouvaient leur place au milieu de terrain.
Après une entame difficile dans le premier quart d'heure, le PSG réussit à ouvrir le score suite à un centre à ras de terre de Van der Wiel trouvant Ibrahimovic, seul au second poteau, qui pousse le cuir au fond des filets (0-1, 17e). Une ouverture du score qui met en confiance les hommes de Laurent Blanc, qui vont breaker en cinq minutes. Sur un travail de Matuidi, le défenseur hollandais centre à nouveau pour le Suédois, qui d'une talonnade derrière le pied d'appui, aggrave le score (22e, 0-2). Les Belges ont pris un gros coup sur la tête. Et pour cause, sur un centre repoussé de Maxwell, Ibrahimovic prend le cuir et envoie un missile de 30 mètres qui se loge dans la lucarne du portier d'Anderlecht (36e, 0-3). Le coup parfait pour le PSG avec un Zlatan de feu.
Le festival reprend de plus belle en seconde période. Sur une glissade adverse dans la surface, Blaise Matuidi trouve Cavani, seul, qui ajuste le portier d'Anderlecht d'une frappe du gauche (52e, 0-4). Avec ses 21 printemps fêtés ce mercredi, le portier de la formation belge vit une soirée cauchemardesque. Zlatan Ibrahimovic s'offre ensuite un quadruplé. Lancé par une bonne ouverture de Thiago Motta, le Suédois marque d'une frappe du droit qui heurte le poteau opposé avant de finir au fond des filets (62e, 0-5). Paris régale. Laurent Blanc peut ainsi faire tourner son effectif tranquillement avec les entrées en jeu d'Adrien Rabiot et Lucas Moura. Dans cette belle soirée pour le PSG, Salvatore Sirigu s'illustre aussi en stoppant un tir d'Anderlecht suite à une frappe de 20 mètres signé Milivojevic (74e). En grande forme, Ibrahimovic manque d'inscrire son cinquième but en tentant un lob, mais le cuir ne trouve pas le cadre (76e). Paris gère la fin de match et ménage ses efforts en vue du match de dimanche en championnat face à St Étienne. La mission est accomplie, le PSG remporte sa troisième victoire en trois matchs et possède neuf points au compteur. La route vers les huitièmes de finale est tout ouverte.
Vidéo du missile d'Ibra qui après nous avoir mis un but à la Zlatan samedi et après avoir mis une Madjer, il nous fait une Mark Landers.
Dimanche, le PSG a arraché le nul sur la pelouse du Stade Geoffroy-Guichard contre St Etienne après avoir été mené 2-0. Compte-rendu.
C'est dans une ambiance chaude et électrique que la rencontre débute avec une équipe de St Etienne qui presse d'entrée et empêche le PSG de développer son jeu. Hamouma glisse un premier caviar à Brandao (10e), mais le Brésilien manque le cadre. Une première alerte pour Paris, qui va ensuite encaisser un but suite à une erreur de Marquinhos. À la suite d'une mauvaise relance de ce dernier, Hamouma récupère le cuir et le glisse à Corgnet qui frappe de 15 mètres et trompe Salvatore Sirigu, sans réaction (18e 1-0).Blaise Matuidi tente de réagir, mais son ballon fuit le cadre de Ruffier. Présent dans les duels et bloquant le jeu des latéraux parisiens, St Etienne va s'offrir deux balles de break avec Brandao (28e) et Lemoine (31e) qui lobe Sirigu sur une frappe de 30 mètres qui heurte la barre transversale. Bousculé, le PSG essaie de réagir sur coups de pied arrêtés, avec un coup franc de Zlatan Ibrahimovic qui flirte avec la lucarne gauche de Ruffier (34e). Paris est passé à côté de sa première période.
Et nouvelle erreur du PSG ! Sur un ballon aérien, Sirigu manque sa sortie, mauvais dégagement de Marquinhos, le cuir est récupéré par Hamouma qui marque dans le but vide (51e, 2-0). Un coup dur pour le PSG. Blaise Matuidi va une nouvelle fois tenter de relancer son équipe, suite à une passe d'Ibrahimovic, mais son ballon ne trouve pas le cadre (52e). L'expulsion de Lemoine suite à un deuxième carton jaune (59e) est le tournant du match. Sur ce fait du match, Laurent Blanc tente un coup en faisant entrer Lucas et Ménez pour Alex et Lavezzi. Le PSG, en supériorité numérique, pousse et revient dans le match grâce à un but d'Edinson Cavani (68e, 2-1) qui trompe Ruffier au premier poteau. Lucas est ensuite tout proche d'égaliser sur une frappe lointaine stoppée par Ruffier (77e). Malgré son infériorité numérique, St Etienne est tout près de se mettre à l'abri sur un coup franc (86e) mal négocié par Salvatore Sirigu, qui vit une soirée très difficile. Mais Paris ne meurt pas facilement cette saison et réussit in extremis à sauver le point du match nul. C'est Blaise Matuidi qui sauve le PSG sur un coup franc qui effleure Edinson Cavani, mais piège Ruffier grâce à un rebond devant le but (93e, 2-2). Paris est passé très près de la rupture, mais cette équipe a du coeur cette saison et le montre une nouvelle fois.
Après la victoire face à l'Olympiakos, les Parisiens n'avaient qu'un objectif face à Benfica : bonifier ce premier succès pour prendre un bon avantage dans la course aux huitièmes de finale. C'est chose faite avec un succès, presque face, 3-0.
C'est Ibrahimovic à la 4e minute qui ouvre le bal sur une superbe combinaison entre Verratti et Van der Wiel, ce dernier centre fort devant le but et Ibra, seul au deuxième poteau, peut pousser le ballon au fond des filets. 1-0. Paris domine et fait intelligemment tourner, usant des Portugais volontaires et qui n'hésitent pas à presser, mais le jeu de passes courtes des Parisiens fait merveille. Paris n'est pas mis en danger. Sur un corner mal dégagé, Marquinhos double la mise suite à une action à une touche de balle entre Ibra, Verratti et Matuidi qui aboutit sur un centre de ce dernier repris par le Brésilien au point de penalty. Propre. 2-0. Sur un corner de Motta, Ibrahimovic marque de la tête (30e), un ballon qui touche un peu le dos de son défenseur, mais qui termine bien au fond. Ça fait 3-0, et qu'une demi-heure de jeu au compteur. Un régal. La mi-temps approche, Benfica tente de se révolter. Sans succès. Paris domine de la tête et des épaules jusqu'à la pause.
À la reprise, le coach du Benfica fait entrer Markovic pour apporter un plus offensivement. Sirigu repousse un coup-franc direct à la 47e, les Portugais prennent le contrôle du match, tentent des frappes de loin, mais rien n'y fait. Ils ne sont pas dangereux devant le but de Sirigu. Le sentiment d'impuissance montant, les Lisboètes baissent peu à peu les bras. Blanc en profite pour faire souffler Verratti, auteur d'un gros match, et Lavezzi, et fait entrer le duo Rabiot/Lucas. Ce dernier se signale par une bonne frappe à la 72e, repoussée par le gardien dans les pieds d'Ibra qui manque le cadre. Cavani manque le quatrième but sur un tir à bout portant au niveau du point de penalty, mais le portier fait la parade (74e). Paris gère et le Parc chante pour féliciter son équipe. 3-0, c'est fini, Paris s'impose de manière impériale. On en redemande.
Maintenant on ce prépare pour le classico et on peut dire qu'il est bien préparer avec cette victoire sur les Portuguais.