Qualifié et premier de son groupe, le PSG jouait un match sans enjeux face à cette équipe de Benfica, dans l'obligation de s'imposer pour croire à ses chances de qualification. Pour cette rencontre, Laurent Blanc s'est privé de Zlatan Ibrahimivoc, Thiago Silva et Alex, en plus des suspensions de Marco Verratti et Grégory Van der Wiel. C'est donc une équipe bis qui était alignée avec notamment la grande première de Kalifa Traoré au poste de latéral droit.
Dès la 4e minute de jeu, la formation portugaise s'est montrée dangereuse avec une frappe de Pérez, obligeant Sirigu à la parade. C'est ensuite Silvio (6e) qui met en danger le portier parisien. La première occasion du PSG vient à la 7e minute avec une combinaison Lucas-Cavani-Ménez, mais ce dernier voit sa frappe stoppée par Arthur. Lucas Digne se créé ensuite une occasion (16e), mais sa frappe fuit le cadre. Avec une équipe remaniée, le PSG peine au milieu de terrain et trouve malgré tout l'ouverture à la 37e minute de jeu. Javier Pastore, dans la surface, tente de trouver Kalifa Traoré aux six mètres, mais le ballon arrive dans les pieds de Jérémy Ménez au second poteau, qui remet à Cavani. L'Uruguayen n'a plus qu'à pousser le ballon au fond des filets (0-1). Un avantage de courte durée pour le PSG, puisque Benfica obtient un penalty suite à un contact musclé de Kalifa sur Gaitan (45e) dans la surface. Lima transforme et permet à Benfica de rester dans la partie (1-1).

Dès la reprise, la formation portugaise élève son niveau de jeu et met en difficulté la défense parisienne avec Lima (52e), qui oblige Sirigu à la parade. Une tête de Luisao (55e) fuit le cadre. Le danger est présent et se concrétise sur une erreur défensive. Perez côté droit s'enfonce dans la surface parisienne et centre fort devant le but. Le cuir est stoppé par Zoumana Camara, mais Gaitan, présent dans la surface, reprend le ballon et l'envoi au fond des filets d'un petit piqué (59e, 2-1). Après ce but, Laurent Blanc fait deux changements avec les entrées en jeu de Matuidi et Lavezzi. El Pocho est tout près d'offrir la balle d'égalisation, mais son ballon frôle le poteau opposé (69e). Javier Pastore a également une balle de but, mais l'Argentin n'appuie pas assez sa tête, comme face à Evian (88e). Paris est passé à côté de sa deuxième période et met fin à une série de 13 matchs sans défaite en Ligue des Champions.
J'ai toujours bien apprécié l'équipe de Benfica. Bien avant ce match contre Paris même
C'est dommage, parce qu'il a un talent fou...
Sinon, je pense que les parisiens ont joués un petit match amical sympathique.
Il n'a toujours pas coupé le cordon avec l'Italie apparemment.
Je l'aime bien Pastore, je trouve qu'il a un vraiment un potentiel de fou mais j'ai l'impression qu'il est trop timoré pour s'imposé au sein de l'armada parisienne.
Faudrait qu'Ibra lui donne un peu de son caractère
milo42 entièrement d'accord, ce qui est énervant avec Pastore c'est qu'on sait qu'il a un talent fou mais là c'est vraiment plus possible, il rate des passes à 2 mètres et des contrôles que des poussins réussirai et le tous avec un manque d'envie qui ne peut qu'énervé. Lavezzi même si il est moins bon depuis le début de saison il est difficile de lui en vouloir tellement il ce donne à fond sur le terrain, Pastore c'est tous l'inverse.
Pastore il lui faudrait surtout du travail pk sur le terrain on dirait qu'il est pas heureux de jouer et qu'il est fatigué au bout de 5 min...
Puis une très bonne passe à lucas aussi qui aurait pu fr but.
Pastore c'est juste moche le mec je me suis demandé si il était encore sur le terrain en seconde période, inexistant au possible, pas d'implication, pas d'application, pas de volonté....
Hier le match n'avait aucun enjeu, l'équipe ter était sur le terrain...Des jeunes joueurs, d'autres pas impliqués...Bref. Lolo a du voir tout ça...
Pastore a été acheté trop cher pour qu'il soit revendu.
En fait pour chaque pays j'ai un club de prédilection, même si mon amour de toujours reste et restera Lyon à 2000%
Angleterre: Manchester
Allemagne: aucun en particulier mais le Bayern Munich m’impressionne depuis des années par leur constance
Italie: Juventus
Espagne: Athletico Madrid
Portugal: Benfica
Bah, ça arrive d'avoir des goûts de chiottes