Après le
Comité Contre les Cadavres qui Puent, c'est au tour d'une autre association de s'exprimer librement à travers cette page, dans une longue plainte absolument légitime. Aujourd'hui donc, laissons la parole au
CCCP, le
Comité Contre les Conneries de Padrino. Un texte rédigé par son Président en personne, Michel Demoir.
Parmi les innombrables dangers qui menacent notre chère et tendre planète (citons en vrac la fin de l'Instit avec Gérard Klein, la mort de Horst Tappert et, dans une moindre mesure, les maladies en Afrique), il en est un que nous voulons aujourd'hui pointer du doigt : Padrino.
Loin de nous l'idée de vouloir le discréditer, mais il faut bien avouer que ce malotru, non content d'être un connard de première, est en plus une personne qui ne regarde jamais le foot. Padrino attire, Padrino attise, Padrino titille, mais Padrino reste une coquille bien vide. Analysons le phénomène.
Premièrement, le pauvre tente désespérément de faire zigomater les masses avec de bien piètres articles dont les orientations sont plus que douteuses. Car, sous couvert d'un quelconque humour ne servant en fait qu'à dissimuler d'authentiques idées extrémisantes, l'homme tente de nous faire basculer du côté obscur. Il ne faut pas se leurrer ! Padrino est bien le narrateur des textes dont il est l'auteur. En conséquence de quoi il est pédophile, s'est fait Hara-Kiri, est sourd, est anti-catholique, et j'en passe.
Pis encore, quand on l'interroge sur son amour pour Pierre Desproges, le cuistre ne nie rien et assume même son statut de fan-boy de celui qui fut certainement le dernier grand antisémite du XXème siècle (il suffit de le voir sourire en récitant son texte sur les Juifs pour comprendre qu'il est bel et bien convaincu de ce qu'il dit). Car Desproges, bien que croyant pouvoir tout faire passer avec l'excuse galvaudée au possible de l'humour 3ème degré, ne nous a pas dupés, nous ! Nous avons vu clair dans son jeu. Et nous voyons également clair dans le jeu de Padrino. Oui, nous sommes perspicaces. Padrino pense absolument tout ce qu'il écrit, nous en sommes certains. C'est trop évident.
En plus, le pauvre est tellement peu doué pour l'écriture que ses textes propagandistes en deviennent drôles involontairement. De fait, Padrino est tout à fait sérieux quand il écrit, et ceux qui pensent que ses écrits sont publiés dans l'innocent but de les divertir sont des ignares ; ils sont tout simplement en train d'être endoctrinés, mais ils sont trop cons pour s'en rendre compte.
Qu'est-ce qui prouve que Padrino ne sait pas écrire ? C'est simple, il suffit juste d'être un peu intelligent pour le deviner : il usite régulièrement des termes qui ne lui correspondent pas. En clair, Padrino, et nous en sommes certains, passe 2 heures pour écrire un article ; durant ces deux heures il passe 90 minutes dans des dictionnaires ou sur internet à la recherche d'expressions à recopier, expressions qu'il ne comprend sûrement même pas. Nous avons la certitude qu'il ne comprend pas ces expressions parce nous ne les comprenons pas nous-mêmes ; c'est une bonne raison non ?
Nous avons tenté de le contacter pour comprendre de manière plus précise son foctionnement, mais bien évidemment ce jui... ce lâche nous a raccroché au nez. Néanmoins, j'ai personnellement pu établir une analyse psychologique du personnage; c'est un talent que je possède et qui me permet de cerner quelqu'un asez rapidement sans possibilité de me tromper. Voici les conclusions auquelles j'ai été amené après mes études :
¤Padrino a une toute petite bite, 2 centimètres tout au plus, en érection bien sûr;
¤Padrino est cocu;
¤Padrino est narcissique, égocentrique, égoiste ; il y a un malaise en lui. Cela s'explique par le fait qu'ils soit fils unique. (Hein ? Ah, il a un frère... bon). Donc cela s'explique par le fait qu'ils soit le cadet d'une famille de deux garçons. (Quoi encore ? C'est lui l'aîné ? Merde...). En réalité c'est tout à fait compréhensible quand on sait que c'est lui l'aîné;
¤Le père de Padrino est cocu;
¤Padrino mange des Chocapic le matin.
Si avec tout ça vous n'êtes pas convaincus, je ne sais plus que faire.
C'est pourquoi je vous exhorte, mes amis, à déclarer dès demain la guerre à Padrino ! Comment tolérer qu'un anti-catholique/sémite/noirs/cadavres qui puent/pauvres/joueurs de jeu-vidéo/humanité tout entière (toutes les mentions sont à conserver, hélas) puisse continuer de s'exprimer librement sur une page d'infortune qui aurait dû s'échouer depuis longtemps ?
Et après-demain, nous nous attaquerons à Orackle, qui représente un cas particulier ; il s'agit d'un Padrino puissance dix-mille.
Vous remerciant par avance de votre conscience, je vous salue,
Michel Demoir, président du Comité Contre les Conneries de Padrino.

tags :
posted the 10/26/2005 at 09:37 PM by
franz
Zut, moi qui pensais que Gotrunks avait tort, je m'étais trompé.