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    Qui a aimé ?
    publié le 21/09/2005 à 21:26 par franz
    commentaires (7)
    orackle publié le 21/09/2005 à 21:30
    Tu utilises un brumisateur, je te plains.
    franz publié le 21/09/2005 à 21:34
    Attends avant de me plaindre ; Megdan n'est pas encore passé. ''Tu es mort en 2003 ? Eh bien je te pleins''.
    orackle publié le 21/09/2005 à 21:51
    Bon tout le monde a compris que Megdan était mon maître, je n'ai cependant point pu me débarasser de ce connard d'arriviste qu'on nomme - en général - "Orthographe". Un nom mauvais, dénué de tout sens, et profondément éthymologique ! Comme dirait un joueur de Rugby "ce connard, il a rien pour lui", évidemment ça c'est dans le jargon et en gros ça signifie "si tu t'appelles Orthographe, je te plains". Mais je m'égare, alors que les gares sont justement faites pour rejoindre des destinations choisies ! Ah ça y est, je tombe dans l'humour très padrinien de certains articles qui hantent ce blog, ma fois très .. très ... très quoi? Quelque chose, sans doute. Je ne suis pas précis ! Ha ! Mais je n'en ai cure, pourquoi "excellent" vaudrait il mieux que "quelque chose", je vous le demande? Vous êtes pote avec Langue Française, peut être? Vous vous tournez les pouces en le décortiquant et en fumant vos cigares - ndlr : petards pour riches - tranquillement dans une Académie, française aussi de surcroît, peut être? Non ?! Alors que faites vous à m'ennuyer sur le choix d'un terme, qui s'il est assez grand, fait tendre la suite Un vers l'infini. Vous l'avez compris, moi, mes meilleurs potes, après mon miroir, c'est Math et Matix ! Et fi de l'écriture automatique, attaquons nous à la mécanique du monde avec l'ami Physique, oui l'Ami physique qui n'est pas si moitié que ça, et pas dépourvu de croûte. Comprenne qui pourra, et qu'il prenne, qui il peut. Sans dec, il a des préservatifs à utiliser. Mais me voilà encore perdu dans les méandres prodigieux que mes doigts en contact rapide avec le clavier créent, si perdu d'ailleurs que je ne sais même plus où aller, et d'ailleurs d'où suis-je parti? Qui suis-je ? Où vais-je? Et que vient faire une problématique de Philo dans ce texte? Et que vient faire cette poncuation affective, que d'ailleurs vous n'allez sans doute pas aimer. Et pourquoi, quand on dit aimer pense-t-on à Romeo And Juliette, et pourquoi Romeo wanted Juliette and Juliette wanted Romeo? Et quel est l'amant, pardon l'aimant qui les attire? Quelle est la maîtresse, pardon la maîtresse qui les a éduqués? Eh ducon, tu m'écoutes? Ou tu préfères rester sur Lou Reed, qui ne lisait pas énormément ceci-dit, et d'ailleurs quel est ce cédi ? Et pourquoi ce cédi ment-il ? Il est glissant et aussi souple que du sable, il a été porté et créé par le courant, qui ne marche plus, il dévale, tandis que d'autres dévalisent, et que certains élisent, ou essaient d'élire, car si les enfants croient au père Noël, les adultes votent. Et ce faisant, ils chassent... et pêche et traditionnent ! Mais qu'importe ces derniers, car ils partiront en premier, qu'importe mon texte, puisqu'il ne sortira pas. Alors pourquoi le poursuivre sinon parce que je ne peux rattrapper ma pensé qui vagabonde, et bondit, et courent le long des connexions neuronales en moi, d'août. Voyons, voyons, et même sans lunettes, que vais-je dire maintenant ? Et plus tard? Et dans le futur plus lointain? Que m'a appris mon passé, sinon à la fermer discrètement à m'exiler, loin, sur une ile, à m'ostracir moi-même alors même que les gens qui ne m'aiment, me refusent ce plaisir, envoyez-moi au loin, allez vous-en, dégagez, et arrêtez de parier, vous pouvez même m'envoyer un tueur à gages, s'il sait où cette ville se trouve, car le champion du cache-cache c'est moi. Je suis un cache-né, je l'ai toujours été, et je le serai, mais nous voilà revenus au futur, qui rime avec voiture, et pourriture, quelle vision pessimiste, et pas simiesque, tout cela en devient abracantesquetesque, comme dirait Chirac, mais ne tombons pas dans la scathologie, ni dans la scientologie d'ailleurs. En plus, j'ai jamais aimé Tom Cruise, il ruine les chances de drague au cinéma, même si au fond, on tombe sur plein de choses, en tirant bien sur la corde du filet, et pas seulement de saumon. Mais arrêtons-nous là, car tout cela pourrait ne jamais trouver sa fin, ni y remédier en parlant de saumon..
    franz publié le 21/09/2005 à 21:54
    Dire que je suis jaloux de toi est un doux euphémisme.
    orackle publié le 21/09/2005 à 22:02
    Dire que la réciproque est vraie est absolument exacte.

    Ps : je crains de devoir m'excuser auprès des lecteurs de ce blog, quelques fautes viennent d'être trouvées : penséE, coure sans "nt" un peu plus loin. Et quelques autres, plus coquilles que bowling. D'autre part, mes "mais" sont répétitifs mais le lecteur n'en tiendra pas compte, c'était ma première écriture automatique absurde depuis un long moment.
    icesolid publié le 21/09/2005 à 22:28
    spece de sal batar !!
    Pour ki tu te prend ! Tu te krois ou avec té texte a 2 balle quta piké sur un site !?
    Et orakle , tes kun pti merdeux , sal intello , jvais tmarrav tu va voir ! Jvais mem pas lire ton texte de merde !

    pffff
    franz publié le 22/09/2005 à 00:05
    Ahlàlàlà où ça nous mène, la folie des hommes. Du coup je me rappelle que l'autre idée que nous avions avec Stéphanie pour faire un article ce soir était de se baser sur une réplique du cultissime ''La Classe américaine''.