Hop, comme la manette de la Revolution est au centre de l'actu d'aujourd'hui, j'espère bien évidemment attirer le chaland avec ce titre auquel je ne ferai pas honneur, puisque je ne compte pas parler de la mentte de la Revo dans ce billet, et je ne compte évidemment pas dire qu'elle me séduit complètement. Vous êtes bien feintés hein. Donc je parle de mon retour après 5 jours d'absence que certains ont feint de ne pas remarquer.

Certes il est bien inintéressant et prétentieux de parler de son retour. Mais je suis par nature inintéressant et prétentieux, alors bon. Donc je suis de retour, et le simple fait de dire ça m'assure quelques visites de plus. (Car je ne m'intéresse qu'au nombre de visites de mon blog, qui est à l'heure où j'écris ces lignes de 1362. Ah non pardon 5467. Putain ça va à une vitesse folle dites-moi.)

Rassurez-vous, le succès ne me monte pas à la tête ; c'est à peine s'il fait monter ma bite. Néanmoins, force m'est d'avouer, nonobstant le nombre proprement ha-llu-ci-nant de visites, que cet espace est une réussite totale ; je suis sûr que bien des gens viennent sur JeuxFrance juste pour lire mes admirables et savoureuses chroniques dont l'écriture pourrait faire pâlir les plus grands écrivains de ce siècle, de Loana à Marc Lévy en passant par Raymond Poulidor.

Donc, chers lecteurs, soyez heureux d'apprendre que le roi est de retour, meilleur que jamais, prêt à défier toute concurrence et à écraser les prix.


Et, bien évidemment, toujours très modeste et rempli d'humilité.