Douce balade bucolique, bouffée d’air frais, sentiment d’immensité, écrasement de l’espace sur la petitesse réalité de ton personnage, immersion totale, impression de ressentir la brise entre les conifères arborant fièrement les collines bondées de mousses et de végétation, vision d’un monde vivant, et surtout sans fin. Autant dire que nos premiers pas sur Skyrim ont été enchanteurs. Après un tutoriel et une introduction, certes peu intéressants mais nécessaires, on découvre pour la première fois le monde de ce cinquième opus des Elder Scrolls d’une manière enchanteresse. Que faire après avoir fais un tour à 360 degré juste pour apprécier à sa juste valeur le soucis du détail dans les différents décors ? Aller chasser du gibier ? Contempler un ruisseau dévalant une montagne ? Observer les daims dans leur habitat naturel ? Aller attraper des papillons ? On se contentera pour l’instant d’arriver au premier village, qui confirmera notre première impression : bordel que c’était beau. Se surprendre à se mettre à marcher parce qu’après tout "on a tout notre temps", se surprendre à parler à tous les PNJ parce qu’après tout "on a tout notre temps", et se surprendre à aller couper des bûches inutilement parce qu’après tout "on a tout notre temps". Puis on prend notre première quête, on suit notre premier objectif, on se met tout d’un coup à courir après ce petit pointeur satanique "objectif : ici sale rusheur merdique".
Puis la machine infernale se met en route, la roue tourne, le cercle vicieux démarre. La désillusion nous atteint. Au moins, on n’aura pas été berné plus longtemps que cela, c’est le bon côté des choses. Le jeu devient une formule mathématique. La progression est scientifique : une rigoureuse exécution machinale et répétitive aux procédés toujours identiques. Skyrim devient alors superflu. Une succession de dialogues passés le plus rapidement possible, un enchaînement d’écrans de chargement et de rush de donjons.
L'article ici : http://jeuxfiste.wordpress.com/2013/10/16/skyrim-suite-arithmetico-geometrique/

Même si j'avoue ne pas avoir tant d'expérience que ça pour avoir un avis définitif à ce sujet, je peux encore découvrir pas mal dans ce genre là.
Skyrim est un bon jeux ! Mais c'est répétitiiiiiiiiiiiiiiiiffffffff et que ça rush et que ça faaaarrrmm tout le temmmmpps
C'est quand un test de Splatterhouse?
Le mec creuse si profond qu'il va passer par le noyau de la Terre et finir à l'autre bout du globe
Autant dire que nos premiers pas sur Skyrim ont été enchanteurs.
Comme quoi , pour moi c'est le début que je trouvais moisi , dirigiste , limité, peu de possibilités ect , le jeu deviens bien plus intéressant après avoir atteins un certain moment dans le jeu.
Qu'on aime ou pas , il est certain que ce jeu possède de nombreuse qualités , mais il n'est clairement pas aussi parfait que la presse voulais le faire croire à l’époque de sa sortie.
vlexx On capte direct ceux qui lisent ou pas de toutes façons, la note n'est qu'accessoire, elle permet de se fixer un repère. Ceux qui ne voient qu'elle sont grillés, si ça les fait mousser, c'est qu'il n'y ont pas trouvé la justification dans le texte.
cooper C'est un peu le principe du site. Si tu veux des critiques positives, le net en regorge, mon blog veut proposer autre chose.
Foxtep On a l'avis totalement inverse pour le coup.
Celle-ci a bien trop de signification, surtout si basse, tandis que le jeu est plutôt appréciable et bon dans sa globalité.
Ce que tu dis peut être juste (je dis peut être, car pour moi un skyrim est au contraire très immersif, ce qui tend vers la subjectivité de chacun pour le coup) mais la note finale on s'y retrouve pas.
Au final on se dit, bah il abuse quand même.
Dans ce cas enlève les notes !