Voilas, j'ai remarqué que l'un des membres avait posté une idée originale d'oeuvre écrite. Je me suis dis que j'allais faire la même chose. Tout d'abords, je précise que je fais des études de cinéma car j'aimerais devenir réalisateur (Si quelqu'un pouvait me pistonner ^^. Ou si quelqu'un connaît une école fiables.). Mon premier livre, intitutlé Algaria qui sera le premier chapitre d'une trilogie. Donc je fais vous faire lire une ébauche du prologue et du chapitre 1 (Attention le vif du sujet n'est pas expliqué dans les premiers chapitres). Sans plus attendre voici la bête ^^ :
Prologue
O muse, conte moi l'aventure de cet homme. L'homme qui défiera tout un empire, tout un monde. Cet homme, cette légende, devra rétablir la vérité et la lumière... Dans les ténèbres...
Algaria
Chapitre 1
Un jeune homme ouvrait les yeux. Il se situait à l'arrière d'une voiture de luxe. Elle était noir cylindrique avec de gros pot d'échappement aérodynamique, ce qui permettait plus de rapidité et plus de portance en vol. La voiture semblait d'une légèreté infini. Effectivement, elle ne touchait pas le sol. Elle ne produisait aucun son. Le silence était omniprésent dedans comme dehors. Seul les gouttes de pluies qui tombaient sur la voiture produisait une musique saccadé et disgracieuse. Il observait la situation autour de lui. Il portait des écouteurs. Sa tête bougeait au même rythme que la musique. Il se retourna pour regarder par la fenêtre. Hélas, il ne voyait pas grand chose à part la pluie et l'obscurité de la nuit qui était obstrué par la lumière de la ville. Les lampadaires défilait devant ses yeux à intervalles régulier. Les lumières étaient de différentes couleurs, en passant du violet, au bleu et puis au jaune et qui gardait cette similarité et se mélangeaient pour ne former qu'une beauté infinis. La ville, que Ewan nommait la ville aux milles étages était effectivement immense. On n'en voyait jamais la fin. Avec les multitudes de magasins, les gens en abondance sortant, entrant dans les milliers de magasins qu'offrait la ville aux milles étages à toute heure de la journée, qu'il soit humain, mi-cyborg, ou cyborg. Ces gens sortaient avec de la nourriture et des fournitures qui ne leurs serviront peut-être jamais, mais sur le coup, ils trouvaient sa jolie, donc ils achètent. Des millions de gens, à ne pas voir la fin. Dans ce monde on pourrait considérer qu'il y ait plus de cinq habitants au mètre carré. Les voitures au sol, ou en l'air, même combat. Cette société d'hyper consommation n'était que le futur d'un passé en sur développement qui n'avait de cesse que pour l'argent et le profit. Les immeubles montaient sur des centaines d'étages. Ewan lui même ne savait pas jusqu'où montait les bâtiments. Ce qu'il savait, c'est que des milliers de voitures passaient entre ses bâtiments sans fin. Les voitures se situaient sur différents étages. Dans son collège, Ewan apprenait que dans les passé, il n'y avait que des voitures au sol et qu'ils n'y avait que sept milliards d'habitants sur terre. Cela faisait rêver les gamins qui écoutaient cette histoire. Pour eux tout ça n'était qu'un mythe. Aujourd'hui, avec les quarante deux milliards d'habitants humains, sans compter les cyborgs et autres êtres vivants venant sur Terre, l'air devenait presque irrespirable. Au collège, on leur donnait des petites bonbonnes d'oxygène... Et oui l'air devenait effectivement irrespirable. Les scientifiques disaient que d'ici trente à quarante ans, les êtres humains devraient sortir obligatoirement avec ces bonbonnes pour pouvoir survivre. Telle était les conditions de vie sur Terre, juste de la survie. Le temps passaient et chaque jour que l'on restait encore en vie était une bénédiction. Les gens s'endormaient en pensant ne pas pouvoir ce réveiller le lendemain. Le monde était devenues bien trop individualiste. Les relations n'étaient plus les mêmes. Le père n'était ni plus ni moins qu'une personne procréatrice qui vous aviez mis au monde. Rien de plus. La mère de même. Il n'y avait pas de hiérarchie familiale, ni dans la société. Enfin si, il y avait un président, enfin, un homme qui dirigeait la population vers un "monde meilleur" disait-il. La ville, la société, urbanisation, cohabitation, profit, consommation, tel était les mots d'ordre dans cette société. Je suppose que vous vous demandez "qu'en est-il des animaux ?" C'est simple, il n'y en a pas. Enfin, on en parle très peu. Avec l'effet de surpopulation terrestre et cette urbanisation de massa dans tout les coins du globe, les animaux n'avaient plus leurs places. Au collège, on parle de déplacement, d'un voyage comme quoi on les auraient posé sur une planète éloigné pour pouvoir garder un semblant "d'humanité". Voilà ! C'était ça, savoir que le progrès était entrain de tout détruire mais garder une bonne conscience, se dire qu'on était toujours humain. Mais cet humain avait disparus depuis des dizaines d'années. On croisait quelqu'un, pas un sourire, pas un signe d'affection. Pas d'amour propre, des porcs, voilà ce qu'étaient les gens, des porcs. Tout cela dans une société pas si lointaine de la notre.
Ewan essayait d'observer les étoiles, mais la sur brillance de la ville aux milles étages faisait qu'il n'en voyait qu'une. Il se mit à sourire et ce dit que celle là était sa préféré, car même si la lumière de la ville obstruait toutes les autres celle-ci était toujours là pour nous montrer le spectacle du soir. Elle le faisait rêver. C'était son rêve, allait sur cette étoile et vivre l'aventure de sa vie, en rencontrant l'amour, combattre l'ennemi, tel était son rêve de gosse. Sur ses genoux il avait des dessins de cette terre lointaine sans limite. On lui avait parler d'un livre qui parlait d'un pays imaginaire où il n'y avait de limite à l'imagination. Il entendit une voix qui gâcha le rythme endiablé de sa musique et lui brisa son rêve éveillé. Enervé, il enleva un de ses écouteurs et regarda son père qui conduisait :
"Tu ne voudrais pas baisser ta musique, tu vas réveiller tout le quartier comme ça." dit-son père d'un ton agacé. Mais le jeune, Ewan, regarda son père comme si de rien était. Son père était habillé en tenue chic et sa mère de même. La mère ne regardait même pas son fils, son visage restait impassible, regardant la route, elle ne clignait presque pas des yeux. Elle ne ressemblait même plus à un être humain. Son père retourna la tête et se remit à regarder la route bondé de personnes vides d'âmes. Seul Ewan était habillé décontracté avec une frange sur le côté pour montrer son côté jeune rebelle et désinvolte. Celui dont les règles n'existe pas, mais qui sans mère n'existerait pas. Ewan lança un sourire mesquin et monta le volume de sa musique tout en se recoiffant d'un geste innée de la tête. Le père ne se retourna pas, il regarda dans le rétroviseur et Ewan le regardait de haut et se retourna vers la fenêtre pour continuer à contempler le spectacle qui était pour lui inoubliable. La lueur de l'étoile se reflétait sur le blanc des ses yeux, tel une lueur d'espoir dans sa petite et misérable vie. "Pourquoi ? Pourquoi ?" se dit-il. Cette étoile le replongeait dans se rêve inimaginable qui n'avait pas de début pas de fin, mais qui mettait un terme à sa vie si monotone et noire. Et il se rendormit, la tête collée contre la fenêtre, face à l'étoile qui montre le chemin...
Ewan se réveilla en sursaut à cause d'un gros coup de frein de la part de son père. "On est arrivé ?" demanda Ewan inquiet. Son père se retourna vers lui, faisant une tête encore plus inquiète. Ewan ne comprenait plus rien à la situation. Tout son monde, son rêve disparaissait en un éclair. "Reste ici mon fils, cache toi ici" dit son père en lui montrant le dessous de son siège. Ewan se mit comme il pouvait contre le siège. Il fermait les yeux. Tout d'un coup, les portes s'ouvrit brusquement. Ewan se mit à pleurer. Il se disait que cela ne pouvait être qu'un cauchemar. Ewan ressentait ce sentiment étrange pour la première fois. Il entendait sa mère répétait "Non, non !" Tout l'espoir que Ewan avait aspiré durant son séjour avec l'étoile glissait sur ses joues. Il entendait différents bruits, des cris, des voix disant "Ton fric !". Ewan décida de se retournait pour voir. Il vit un homme tirer sur ses parents à bout portant. Les yeux de Ewan s'ouvrit comme si le monde avait changé. Le temps se stoppa. L'expression de Ewan changea tout son monde idyllique sans mort sans limites où tout n'est que rêve se détruisait à chaque secondes qui passait. Ewan comprenait enfin ce que voulait dire être humain et avoir cette humanité. Toute une palette de sentiment se révéla devant lui. Il regardait son père tomber au sol tel un pantin. Son visage pale sans expression s'avachit sur le sol. Les bras de Ewan tomba le long de son corps. Le corps de sa mère tomba à seulement quelque centimètre de celui du père. La mère regardait Ewan avec la bouche semi-ouverte. Elle ne n'avait pas d'expression. Ewan ressentait une sorte d'adrénaline lui montait dans le corps. Son poux s'accéléra. L'homme partit en courant.
Ewan sortait de la voiture lentement. Son souffle était lent. La pluie le défigurait complètement. Ses yeux bleus étincelant n'était plus. La pluie se confondait avec ses larmes. Il avança et s'agenouilla à côté de ses parents. Il serra fort le vêtement de son père. Il releva sa tête et cria le plus fort qu'il pouvait. Des éclairs retentirent dans la ville aux milles étages. D'un coup bref, ses mains tapèrent le sol de toute leurs force et firent trembler le sol à un tel point que le sol se fissura devant ses yeux.
Ewan se releva et regarda la direction où l'homme était partit. D'un sentiment incontrôlable, il se mit à courir. Il n'entendait plus que sa respiration. Il empruntait les petites ruelles comme s'ils les connaissaient par coeur. Il arriva sur une grande place. Des lumières ressortait de partout. Des bars et des casinos étaient posté dans toute la rue. Des centaines, voire des milliers de personnes étaient dans cette rue. Il regardait partout et repéra enfin l'homme qu'il cherchait. Ewan se mit à courir, il poussait les gens, il n'avait que lui en tête. Ses yeux bleus se mirent à s'embraser. L'homme se retourna et vit Ewan. D'un sursaut il se mit à courir. Voyant qu'il se faisait rattraper. L'homme avait un bandana de couleur noir et des vêtements sobres. Il n'était pas humain. Ewan reconnaissait la marque. C'était un Dopelgondeur. Des marchands, des escrocs venues de la lune de Yelstrone. Des êtres sans coeur et sans âme. D'un élan il sortit le pistolet et tira en fermant les yeux. Puis il se retourna et partit au loin dans la foule. Ewan entendit la balle arrivant à la vitesse du son. La balle de métal chaud entra dans la cuisse gauche de Ewan. Il tomba à terre avec la force de l'impact. Ewan cria de toute son âme. Cet impact lui déchira le muscle, le sang se mit à couler à flot sur son pantalon. La balle tournait encore dans son muscle. Ewan regardait l'homme partir au loin. Il essayait de se projeter vers l'homme mais la souffrance le stopper. Il se mit sur le dos. Etendit ses bras en croix et ses jambes le long de son corps. Les gens observaient la scène. Il ne comprenait. Les gens se mirent en cercle pour voir Ewan souffrir. Comme si cela n'était qu'un spectacle qui allait divertir leurs vies inutiles.
Ewan regardait le ciel. Les lumières obstruaient l'obscurité de la nuit. Seul l'étoile était là face à lui. Ils n'étaient plus que deux. Des rails enfermaient l'étoile de la nuit, l'étoile du chemin. Un métro arriva et cachait son spectacle. Une banderole volait derrière ce train. Ewan se concentra pour lire ce qu'il y avait écrit dessus. On pouvait lire "Bienvenue en l'an 2172". Ewan posa sa tête contre le sol humide. Il était dans une flaque d'eau. Les gens se rapprochaient de lui toujours aussi étonné et concentré. La pluie continuait à glisser sur son visage à moitié inerte. Ewan se mit à sourire paisible. Le sang coulait abondamment le long de sa cuisse. Les gens était toujours là. Ewan se mit à fermer les yeux lentement. Une pensée lui vint en tête. "La voilà ma vie. Une suite d'échec, pour arriver à une fin tragique digne d'une pièce grecque." Un bruit d'hélicoptère apparut lentement. Ewan ferma les yeux complètement. Les gens le regardaient. La vie s'était arrêté dans la ville aux milles étages...
Voilas pour cette première partie. Cette histoire fait partis d'une histoire fantastique découpé en trois tomes. Elle fait partis des nombreuses histoires que j'ai en tête telle que "Logiciel TR.", "The Travel", "L'insurrection", "Dark Planet", "Les 7 contes du mortuaire solitaire", "1949, Roswell", Sous les cieux, et d'autres... Voilas pour ceux qui aurait lu le tout, merci de faire part de leurs impression, de m'envoyer un MP. Mon adresses e-mail est debons-romain@hotmail.fr
Merci à tous. Espérant en un succès futur ^^
posted the 12/05/2010 at 03:44 PM by
playstation2008
Je suis content d'avoir incité d'autres membre à faire pareil que moi
Ton histoire est très bien ,quelques incohérences et fautes d'inattention ,mais c'est du tout bon sinon!
Description ,mise en scène ,action....j'ai hâte de voir la suite
De plus le héro ferme les yeux et on a tendance a comprendre qu'il voit les gents qui commence à l'entourer
M'enfin je chipote ,je chipote ,mais c'est très bien